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Changement de programme

Chapitre 1

Hétéro
Sonnerie de mon portable.
Jeudi. 27 juillet. Il est 18h30.
Je suis sur la terrasse à boire un verre en cette fin d’après midi paisible. Cela fait une semaine que mes parents sont partis en vacances me laissant la maison pour moi seul. Ma copine est partie avec deux copines pour quelques jours. Seul.
Je profite de l’instant présent. Enfin je profitais.

Je prend mon portable : « Violaine ». Une copine de mon école de commerce qui habite pas très loin et que je vois de temps en temps.
Je décroche pas trop mécontent de son appel j’avoue car je l’apprécie mais elle est en pleurs au bout du fil. Entre ses sanglots j’arrive à discerner qu’elle ne veut pas être toute seule et qu’elle voudrait passer chez moi. J’avais prévu d’être tranquille mais je ne peux la laisser dans cet état et c’est ok.
Moins de 30 secondes plus tard, mon interphone sonne. Elle devait être au coin de la rue lorsqu’elle m’a appelé.
Je lui ouvre et la vois toute en pleurs. Ses larmes ont fait couler son maquillage, la rendant d’un certain point de vue assez vulnérable et désirable. Désirable, elle l’est. Pour présenter Violaine, c’est une jeune femme assez fine et grande, avec un carré noir jais, des yeux verts pétillants et des lèvres délicatement ourlées et d’un rose/rouge faisant parfois dire qu’elle a un maquillage permanent. Quelques tâches de rousseurs constellent son visage très fin. Ses formes sont assez fines avec une poitrine menue mais de longues et jolies jambes. J’ai toujours eu un léger faible pour elle je l’avoue. Elle le sait bien d’ailleurs, jouant un peu avec moi par moment.

Reprenons. La voici en larme à ma porte et se jetant dans mes bras. Je la fais rentrer et la tenant par les épaules l’installe sur la terrasse. Je lui sers un coca et la laisse un peu reprendre son calme car elle est toute chamboulée. Après une petite minute à reprendre son souffle elle me remercie et commence à m’expliquer ce qui l’a mise dans cet état.
Elle est rentrée plus tôt ce soir pour faire une surprise à François pour leur anniversaire de vie commune et en rentrant discrètement elle a entendu des bruits venant de la salle de bain. En s’approchant doucement elle a entendu la voix de François demander si elle en avait encore envie et si elle n’en avait pas eu assez. Ce à quoi une voix féminine a répondu que non et qu’elle allait le sucer jusqu’au bout comme il adorait et que sa bêtasse de copine lui refusait pour son plus grand plaisir à elle.
Suite à quoi Violaine est partie en claquant la porte pour errer quelques temps puis se décider à passer me voir pour se calmer.

— « Tu te rends compte ! Quel connard de m’avoir trompé avec une pute ! Tout ça parce je lui refuse quelque chose qui me dégoûte et que je n’ai jamais fait pour ça. »
Je ne peux qu’approuver ces propos car bien que n’étant pas au fait de toute sa vie sexuelle, Violaine est magnifique et je la sais assez cool et open sur certaines choses qu’elle a pu me raconter.
— « Je ne sais vraiment pas quoi faire. Je l’aime mais là j’ai trop mal. Est-ce que ça te dérangerait que je dorme chez toi cette nuit au moins ? »
— « Non bien sûr que tu peux. Je t’en prie. Je te laisse mon lit. Je peux te passer un grand tee-shirt comme pyjama. »
— « Merci, tu es trop chou, trop gentil. Je ne vais pas être d’une bonne compagnie ce soir je le crains. »
La soirée se passe et doucement Violaine se calme et parle d’autre chose. Je prépare un petit dîner sympa et tout se poursuit tranquillement jusqu’à ce qu’elle me demande :
— « Et toi ? Tu apprécies qu’une fille te fasse ça ? Tu aimerais que ta copine avec qui c’est sérieux te fasse jouir dans sa bouche comme une vulgaire traînée ? Adeline te le fait peut-être… »
Je lui explique que c’est une pratique que j’apprécie mais que je ne demande pas forcément car cela doit venir de la partenaire, de l’instant et du plaisir réciproque. Aucun intérêt à forcer cette pratique car pour moi c’est un partage de plaisir, tout comme j’apprécie de faire de longs cunnilingus en faisant jouir ma partenaire. Que je ne trouve pas cela dégradant lorsque c’est réalisé avec l’envie, le consentement de la partenaire.
— « Moi, des ex m’ont parfois demandé mais j’ai toujours refusé. Une fois François a essayé alors que j’étais entravé mais je ne voulais pas alors j’ai tout fait pour l’empêcher. Il croyait que c’était un jeu ce crétin mais non. Un de mes ex m’a même lancé que de toute manière je suçais tellement mal que même si je voulais, je n’y arriverai pas. »
Je me dis intérieurement qu’il y a vraiment des abrutis sur Terre quand même. . .
Puis nous changeons de sujet. Je reste quand même un peu émoustillé par cette conversation et mes pensées voguent un peu.
La nuit tombe et nous rentrons dans la maison. Vio prend la télécommande et allume la TV pour tomber sur une émission qu’elle aime bien. Je lui dit que je vais lui préparer ma chambre et vais me coucher ensuite mais elle me demande si je peux encore rester un peu avec elle, près d’elle. Je m’installe sur le canapé. Elle suit 10 secondes plus tard, se blottissant tout contre moi. Elle pose sa tête sur mon épaules et me prend le bras comme une enfant. Mon nez dans ses cheveux respire et profite de son parfum, limite ensorcelant. Son parfum, celui de ses cheveux, celui de sa peau, tout est là un peu déplacé par rapport au contexte mais j’avoue profiter de l’instant présent et fermer les yeux pour être plus à même de savourer, même si…
— « JB ? Dis moi… » dit-elle d’une petite voix
— « … Est-ce que toi tu tromperais ta copine si elle te refusait certaines choses ? »
— « Je ne pense pas. Une relation n’est pas que sexuelle et ce n’est pas parce que ma copine me refuserait une chose parmi beaucoup que je ne serai pas amoureux ni épanoui avec. »
— « Même si en plus de refuser de te finir elle ne te faisait que très rarement de fellation ? »
Je sens la discussion partir dans une direction étrange et une certaine rigidité, déplacée j’en conviens, commence à se faire sentir.
— « Je ne pense toujours pas. Après, la sexualité d’un couple est fait de plein de choses et peut-être qu’avec de la douceur, de la patience, tout peut évoluer. »
— « Non parce que c’est vrai j’avoue que je n’aime pas sucer. Depuis que ce connard d’ex m’a balancé ça à la figure, je suis restée traumatisée. Je ne parle même pas de faire jouir dans ma bouche et de goûter voire avaler, même lécher et sucer. T’entendre parler comme tu l’as fais tout à l’heure me fait peut-être un peu réfléchir j’avoue… Est-ce que… je pourrai te demander… un petit service ? » La fin de la phrase mourant dans un souffle…
Encore une fois, je sens que ça dérape et ne sais que faire. Je ne voudrai pas paraître… inconvenant ou brusque… déplacé… Elle semble prendre mon silence pour un acquiescement.
— -« Est-ce que tu pourrais m’expliquer comment faire une bonne pipe et aimer ça s’il te plait ? »
Je suis un peu abasourdi par sa demande. Elle sait qu’elle me plait mais que je suis en couple également. Peut-être la situation l’a-t-elle un peu sonnée. Pas que je serai contre bien sûr, mais cela me paraît incongru.
— « Tu pourrais me dire ce que tu aimes. Peut-être tes mots m’aideront… »
Là très clairement, mon corps se réveille et mon esprit aussi. Je m’imagine lui dire ce que j’apprécie, mais inévitablement ces paroles vont faire que je vais m’imaginer. Non en fait je m’imagine déjà…
Je débute en lui demandant si elle apprécie les cunnis ? Et si oui, qu’est ce qu’elle aime lorsqu’on lui en prodigue un. Elle apprécie plus ou moins selon son amant mais trouve ça un peu bizarre. Je me sers de ce qu’elle dit apprécier pour lui faire comprendre ce qui m’est agréable. Les jeux de langues, lèvres et bouches bien sûr. Lécher, sucer, mordiller. Mais aussi les jeux annexes qui sont pour moi aussi importants : les regards, les sourires, les gémissements, les bruits, les gestes. Ces mots sortant de ma bouche en même temps que mon esprit les visualise avec Violaine font que ma température monte et que je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon jean.
Au début un peu distante, et contre moi, elle se fait de plus en plus attentive et je dirai même intéressée voire excitée en se redressant et se mettant face à moi. Son regard se fait perçant. A deux reprises je vois sa langue passer délicatement sur ses jolies lèvres. Sa main passée dans ses cheveux. Puis je vois quelques instants son regard s’égarer.
— « JB. Dis-moi… est ce que je pourrai essayer… avec toi ? » Ne me laissant pas le temps d’ouvrir la bouche pour lui répondre. « J’ai confiance en toi. Tu m’as mis en confiance par tes mots, tes attentions. C’est comme si c’était un cours particulier un peu spécial. Tu en donnes bien en maths pour des lycéens, dis-toi que c’est pour rendre service à une amie ! … Bien sûr Adeline ne sera pas au courant de cet enseignement un peu particulier. »
J’avoue ne savoir que répondre, partagé entre mon envie, mon désir pour Violaine et mon amour et ma relation avec Adeline. Elle ne m’en laisse pas le temps car déjà sa main se pose sur mon jean au niveau de l’entrejambe et commence à ouvrir mes boutons. J’ai à peine le temps de m’en apercevoir qu’elle en est déjà à la boucle de ceinture et que ses deux mains prennent les bords de mon jean en voulant me le retirer sous prétexte que l’on soit plus à l’aise.
Je me retrouve donc sur mon canapé, le jean volant au travers du salon, en caleçon avec Violaine contre moi qui essaie de me le retirer sous le même prétexte. Vu où nous en sommes, en effet je me retrouve en tee-shirt puis nu avec elle toute habillée.
Sa main gauche débute une lente et douce masturbation. Elle est assise à côté de moi, sur ses genoux. Elle se penche très légèrement, semble hésiter, puis se recule pour se mettre un peu à l’aise. Ma main se pose sur son épaule et je lui dis doucement à l’oreille qu’elle serait mieux dans un premier temps à genou par terre si elle veut bien. Elle acquiesce. Je prend un coussin et le pose entre mes pieds.
Elle s’installe et je peux davantage savourer l’instant. Elle a toujours mon sexe en main, bercé par le mouvement de sa main, régulier, lent, doux. Elle paraît davantage déterminée quand son visage descend doucement tout en me souriant jusqu’à ce que le bout de sa langue se pose sur mon méat. Elle ferme les yeux et doucement enveloppe mon gland de sa langue douce et humide tournant autour puis de la couronne, passant sur le frein. Ses lèvres s’approchent et m’avalent jusqu’au prépuce. Je sens alors sa langue continuer son jeu, continuer de me goûter.
Ses lèvres appuient progressivement et cette pression conjuguée à sa langue est délicieuse. Je ne peux qu’émettre quelques soupirs de contentement et d’encouragement. Je passe ma main dans ses cheveux en la complimentant mais la coquine ne compte pas s’arrêter là. Elle se redresse un peu. Je l’admire alors les yeux fermés, les lèvres closes sur mon sexe avec ses joues qui ondulent et qui se creusent au rythme de sa langue et de ses caresses. Elle ouvre alors les yeux en les plongeant dans mon regard qui doit commencer à être vaporeux. Sa bouche s’ouvre et elle commence à me lécher de tout son long, d’abord du bout de la langue, l’agaçant, titillant à plusieurs reprises puis du plat de la langue, toujours en jouant de son regard, tantôt sensuel, tantôt animal, tantôt plus doux. Son autre main descend et me caresse les bourses tandis que ses lèvres m’engloutissent de nouveau.
Mes mains caressent ses cheveux puis passent sur son front, ses oreilles sa nuque. Elle s’interrompt pour me demander si elle fait ça bien. Je lui répond que c’est délicieux et très largement mieux que bien. Qu’elle m’étonne beaucoup, surtout après ce qu’elle m’avait dit.
Elle sourit, rougissant légèrement, et me demande si je voudrai bien lui faire goûter mon lait d’homme., se rattrapant en disant qu’elle aimerait bien me goûter mais qu’elle ne savait pas si elle pourrait aller jusqu’au bout et que je ne sois pas déçu si ce n’était pas le cas.
Je me penche vers elle et l’embrasse tendrement sur les lèvres, lui susurrant qu’elle est libre et en la remerciant déjà pour ce délicieux moment. J’ajoute que j’aimerai lui donner également du plaisir. J’ai droit à un refus car il s’agit d’un cours où elle est l’élève. Elle reprend aussitôt son exquise fellation, accélérant progressivement ses mouvements, ses caresses et y mettant tout son cœur.
Je sens ma verge palpiter lentement, puis de plus en plus intensément et à un rythme croissant. Mon bien-être semble monter inexorablement et je le lui dit en la prévenant mais elle continue à bon rythme et même en redoublant de pression, de cadence et d’effort. Je ressens mon plaisir monter monter... Il semble qu’elle le ressente aussi et y prenne du plaisir à me voir ainsi à sa merci. Elle dégage un peu sa tête et me regarde tandis que la libération arrive et que je jouis dans sa bouche, ses lèvres fermement closes, sa lange agile à l’intérieur. C’est véritablement délicieux. Mes gémissements en témoignent largement je pense. Des soubresauts parcourent encore ma verge toujours prisonnière de ses douces lèvres.
Je sens sa langue passer sur mon gland et un début de sensation désagréable me chasse de cette félicité sensuelle et charnelle. Elle le voit par une petite crispation de mon visage et me libère alors en passant sa langue sur tout la longueur de mon sexe puis ouvrant la bouche pour me montrer qu’il lui en reste un peu en bouche, avant de la fermer et de la rouvrir pour bien me montrer qu’elle a tout bien goûté.
J’avoue resté sans voix devant cette petite perversité, totalement délicieuse et imprévue de la part d’une jeune femme plus que rétive il y a encore quelques heures à la chose. . .
Je la remercie en me remettant de mes émotions puis me penche pour l’embrasser et là où le baiser d’avant était resté assez chaste, elle m’embrasse langoureusement avec gourmandise, heureuse du plaisir qu’elle a su m’offrir.
— « Merci. J’ai vraiment senti le bien que je te faisais et ça m’a excité et même je dois t’avouer, donner du plaisir quelque part. Je suis heureuse d’avoir pu faire ça avec toi et je suis toute excitée là, toute mouillée. Je vais devoir me soulager. Ca ne te dérange pas j’espère ? »
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