Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 67 J'aime
  • 1 Commentaire

Changement de programme

Chapitre 2

Hétéro
— "J’adore voir les femmes se masturber, dis-je en me libérant de son étreinte. Est-ce que tu fais ça, seule, le soir ?"
— Depuis l’âge de seize ans, oui. Des copines m’en avaient parlé et m’ont expliqué comment me faire du bien. La première fois que j’y suis arrivée, c’était avec elles qui m’ont montré parce que je n’y arrivais pas toute seule… et depuis, chaque fois que je veux être sûre de jouir en me doigtant, je pense à elles et à nos séances… Je ne suis pas lesbienne pour autant mais j’avoue que ça m’excite de me souvenir de ces quelques séances.


— « Alors je te regarde. Tu veux bien me montrer… ? »

J’étais aux anges. Elle m’aurait touché à ce moment précis, je ne sais pas si j’aurai pu tenir longtemps tellement l’excitation était intense.

— Ce sera facile, je suis nue devant toi et ton regard sur moi m’électrise totalement. Prends ton sexe entre tes mains pendant que je te montre comment je m’offre à toi.Je n’eus pas besoin de me faire prier. Je prends mon sexe dans une main et commence à doucement le faire coulisser, une chaleur délicieuse m’envahissant le ventre. Elle s’assoit sur le sol, jambes écartées, doigts tournant sur son clito et entrant lascivement entre ses lèvres. Elle gémit, la tête rejetée en arrière, je me branle lentement en la regardant, debout devant elle. Elle me regarde de temps à autre, fixant mon sexe dans ma main, fermant les yeux et introduisant ses doigts dans la minette un peu plus profondément, accélérant le rythme au fur et à mesure que les allers et retours se succèdent. Sa chatte est petite, très peu fournie, ses grandes lèvres presque rasées. Son cul s’aplatit sur le sol, au rythme de ses coups de reins.
Elle gémit une dernière fois, ouvrit les yeux.

— Embrasse-moi.
Je me penche pour échanger un baiser qui devient vite fougueux, nos langues s’entremêlant avec passion.
Elle m’attrape alors par le sexe et m’attire vers elle, jambes ouvertes, sexe offert.Je m’agenouille, frottant mon membre entre ses lèvres tendres et glissantes. Elle me regarde dans les yeux, se caressant toujours d’une main, allongée sur le sol, abandonnée.
Je l’embrasse dans le cou, pressant un peu plus mon sexe sur sa chatte, glissant doucement vers ses petites lèvres, mais je décide de ne pas la pénétrer immédiatement.
Ma bouche glisse sur ses petits seins d’une fermeté incroyable, sur son ventre plat et doux, mon nez dans le sexe ainsi offert humide à ma langue, lui effleurant le clitoris, puis plongeant entre ses lèvres, en les lapant avec volupté. Je la suce, la déguste avec volupté, profondément, langoureusement, l’observant onduler sous mes coups de langue, l’entendre gémir, me regarder disparaître entre ses jambes. Mes mains cherchent ses seins, ses mains descendent pour m’aider à la combler. Elle appuie sur son clito avec acharnement, tremblant de plaisir sous la puissance de sa masturbation. Je relève la tête, mêlant mes doigts aux siens sur ses lèvres, dans sa vulve rose, majeur enfoncé jusqu’à la garde dans son abricot si délicat.

Je remonte le long de son corps, écarte ses jambes, et la laisse me guider dans sa chatte brûlante. Je la pénètre doucement. Elle a les yeux fixés au plafond, écoutant son corps réagir à mon sexe qui l’empale, centimètre par centimètre au plus profond de son corps.
.Mon ventre hurle son excitation, la puissance de l’instant, l’intensité du moment. La douceur de son sexe autour du mien est surprenante.

Je m’enfonce en elle jusqu’à ce que nos ventres se touchent, je prends sa bouche, y enfonçant ma langue avec bonheur, et commence à aller et venir en elle. Elle attrape mes fesses, me guidant en elle, de plus en plus fort, de plus en plus vite, tête rejetée en arrière, oscillant de droite à gauche, me rendant mon baiser de temps à autre, la respiration coupée. Je me relève sur mes bras, continuant à la pénétrer, la labourer, et regardant sa minette presque glabre s’ouvrir et se refermer sur ma verge, avec un léger bruit de succion, admirant ses seins se soulever et s’abaisser dans l’excitation de l’acte de pur sexe que nous échangeons.

Je m’allonge, lui saisis les fesses, et la fais passer au-dessus de moi. Elle s’assoit sur mon membre raide, et me monte comme un cheval, s’empalant littéralement sur ma virilité telle une amazone en furie. Elle se caresse les seins, se masturbe tout en m’enfonçant en elle, se baisse et m’embrasse. Mes mains glissent sur son cul, mon index trouve son anus et le titille très légèrement, ne sachant la réaction que la belle va avoir. Elle ouvre des yeux souriants, met ses mains sur les miennes. Je ferme les yeux, et enfonce mon majeur d’abord dans sa chatte, pour bien l’humidifier, puis délicatement dans son anus juste la première phalange, m’attendant à un recul de sa part. Je vois un petit sourire illuminer son joli minois ce que je prends pour un acquiescement.


Elle prend mes mains, et fait glisser le majeur hors de son petit trou, continuant de m’embrasser. Elle se lève, me laissant allongé sur le sol, pantelant, prend mon sexe dans sa bouche et l’engloutit lentement, doucement, avec précaution. Elle ouvre sa gorge, happant mon sexe jusqu’à ce que ses lèvres touchent mon pubis puis libèrent doucement mon sexe en finissant par un long et langoureux coup de langue sur toute la longueur de ma verge. Puis elle se met à quatre pattes, me présentant ses belles fesses s’élargissant sous sa taille fine.


Je me place donc derrière elle, glisse mon sexe le long de ses fesses magnifiques, passant sur son anus. Elle s’aplatit sur le sol, cul relevé, et écarte ses lobes avec ses mains, me montrant clairement le chemin qu’elle souhaite que j’explore. Je tourne mon gland autour de celui-ci, l’ouvrant de plus en plus, et en essayant d’y enfoncer doucement mon gland. Elle gémit, entre la douleur et le plaisir, tandis que je continue à progresser centimètre par centimètre avec douceur et lubricité.
Je vois mon sexe entre ses deux fesses blanches offertes, elle, tête et poitrine plaquées au sol, grimaçant parfois, gémissant beaucoup. J’attrape ses hanches de chaque côté, et la pénètre avec lenteur et régularité. Je lui caresse le dos, les fesses, admirant ses formes aguichantes.Elle passe une main sous elle et recommence à se masturber en rythme, gémissant clairement de plaisir cette fois, la bouche ouverte, langue haletante. Je la baise plus fort, répondant à sa demande, m’oubliant, l’admirant se branler comme une adolescente insatisfaite, nue et belle, empalée sur moi. Elle se met à crier brièvement, embrochée plus profond encore, mon ventre sur ses belles fesses blanches, mes doigts dans sa chatte trempée, brûlante. Elle se crispe, essoufflée, secouée de spasmes de plaisir, m’enserrant le sexe avec force. Je prends ses petits seins à pleine main, l’embrasse dans le cou, la caresse, et après quelques va-et-vient, je sors avec lenteur et précaution mon membre de son étreinte.
Elle se retourne alors, se met à quatre pattes devant moi, se caressant toujours la minette d’une main tandis qu’elle retire ma capote et enfourne ma bite dans sa bouche en me branlant de l’autre. Elle fait tourner ses lèvres sous mon gland, le léchant à grand renfort de salive, appuyant sa langue sur la partie la plus sensible. Je pris mon membre dur dans ma main, et me branlai sur ses lèvres et sur sa langue, me régalant de voir ses jolis petits seins, sa nudité fraîche, et son désir perceptible et intact. Elle ouvre la bouche, langue en attente de mon sperme qui ne tarde pas à jaillir, lui zébrant le visage, la langue, les yeux. Le second jet finit dans ses narines, puis sur ses lèvres, sur sa langue. Je jouis longuement dans sa bouche, tandis qu’elle avale ma semence avec un sourire mutin, se caressant les seins, le clito et la chatte, jouant avec le sperme sur sa langue, récupérant les gouttes qui coulent de ses yeux et de son nez.Je l’embrasse, mêlant ma salive à la sienne, au sperme sur son visage, et la serre dans mes bras, reconnaissant. Elle se libère de mon étreinte, passe ses jambes par-dessus mon visage tête sur ma bite, et continue de me sucer tout en me présentant son sexe humide. J’y pose mes lèvres, puis enfouis ma langue, et l’aspire, la lèche longuement. Mon sexe durcit à nouveau dans sa bouche, qu’elle happe en haletant par le nez, accélérant le rythme de ses coups de langue. Je jouis une nouvelle fois, fourrant mon nez profondément dans sa minette, tandis qu’elle m’avale jusqu’à la garde, buvant mon sperme à la source, directement dans sa gorge.
Nous nous embrassons longuement pour conclure cet instant d’intense sexe.
— J’ai faim et soif maintenant après tout cet exercice! me dit Vio en marchant nue d’une allure chaloupée vers la cuisine.
— Je te sers un jus d’orange ?
— Avec joie mais si tu pouvais y ajouter de la vodka ça serait parfait!
— Pendant que nous boirons, tu m’expliqueras ce qui t’a pris de venir me… euh… visiter…

Je lui sers un jus d’orange, un trait de vodka, et je m’assois sur une chaise en face d’elle. Elle s’assoit sur mes genoux, toujours nue. Je lui caresse les seins, sans comprendre.
— Que veux-tu dire ?
Elle sourit.
— Aucune idée. Tout ce que tu veux. Tout ce que tu comprends.
Cette fois, je ne pige plus rien.
— Euh… je ne comprends rien du tout, en fait.
— Si ! Quand je dis « sexe », qu’est-ce qui te vient alors à l’esprit ?
Je réfléchis. Deux femmes qui me sucent. Je crois que c’est la première chose qui me venait à l’esprit. Et baiser une nana avec une autre aussi. Et tellement d’autres jeux aussi…
Mais je ne vais pas tout le lui dire, tout de même.
— « C’est-à-dire… »
— Je sais que tu es en couple et moi aussi. Laissons ça de côté. Tu m’as fait découvrir une facette de moi-même que je rêvais de pouvoir découvrir un jour et faire partager. Sans oser jusqu’à aujourd’hui et toi. Alors peu importe, ne me répond pas de suite mais je veux que tu partages tes fantasmes avec moi. On fera l’amour ensemble quand tu le souhaiteras, et tu m’apprendras ce qu’est « le sexe » dont tu rêves !
Je hochai lentement la tête…— Je crois que j’ai besoin de quelque chose d’un peu plus fort que du jus d’orange, finalement…
Diffuse en direct !
Regarder son live