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Changement de statut

Chapitre 2

Piégé.

Trash
Je m’étais donc inscrit sur un site gay SMS sous le pseudo "mûrpourservir" sachant que servir pouvait être lu de deux manières, soit "être utilisé", soir "obéir", servir comme un larbin. La seconde n’excluant pas la première. Ma carte de visite précisait mon profil physique : 57 ans, 1,83, 75 kilos, peau douce, sexe 15 centimètres, tétons très sensibles, anus serré. Mes fantasmes étaient détaillés, révélant mon besoin d’être humilié, d’obéir, d’être dressé. Je disais ne pas savoir si j’étais un soumis, une salope, une pute, une lope... et chercher un Maître autoritaire, mature, pour me le faire comprendre.J’ai reçu beaucoup de réponses, et entretenu des échanges réguliers avec les contacts qui m’excitaient le plus, y compris ceux me promettant des scénarios extrêmes. Pour ceux-là je n’envisageais pas de passage au réel, mais leurs auteurs découvraient très vite ma personnalité masochiste, et je me laissais emporter là où ils voulaient m’emmener.Rapidement, j’ai su que j’avais trouvé celui qui me prendrait en main. Son pseudo "cadrenoir" évoquait pour moi le cuir, le dressage des chevaux, la discipline, la cravache. Son expérience m’avait décidé. Il avait plusieurs soumis, et à 65 ans, un beau tableau de chasse, dont beaucoup de" victimes" témoignaient de leur gratitude sur le site.Après un premier rendez-vous auquel je n’étais pas venu, me "défaussant" au dernier moment, ce qui m’avait valu une promesse de punition, je me présentai à 20 heures un mardi de mai, au pied de la résidence où il vivait. Sur son ordre, j’étais nu sous mon jean, mon slip dans la poche de ma veste. Je l’avais ôté dès le matin, et senti toute la journée, mon sexe, demi-bandé, frotté contre la toile du jean. Toujours sur ordre, j’avais une heure avant, attaché mes couilles avec un lacet plat noir assez long pour qu’elles soient bien ficelées. Tremblant d’excitation, de fébrilité, d’angoisse, le souffle difficile, j’ai appuyé sur l’interphone :
— Oui ?— Bonjour Monsieur, j’ai rendez-vous à 20h.
Ma voix était blanche, nouée, elle s’est cassée.
— Je n’ai pas bien compris.
Le ton était ferme et agacé. J’ai repris, essayant d’affermir ma voix sans parler trop fort.
— Bonjour Monsieur, j’ai rendez-vous à 20h.— 4ème gauche.
Il a déclenché l’ouverture de la porte. Le bruit du mécanisme m’a vrillé tout le corps et encore augmenté ma tension. J’ai pensé à la porte d’une prison qui se refermait derrière moi. Je suis monté par les escaliers, pour prolonger ce moment, où j’avais l’impression de monter à l’échafaud, victime consentante, puisque j’aurais pu encore reculer, ce qui ne serait plus le cas une fois sa porte franchie, je l’avais accepté. Me livrant à lui pour le temps qu’il voudrait.J’ai sonné et attendu les yeux baissés, comme ordonné. Il a ouvert.Les yeux rivés sur ses chaussures, je sentais son regard, partout sur moi, réalisant qu’il détaillait ce qui allait lui appartenir. Je me suis mis à trembler, respiration haletante, poussant même un petit gémissement grotesque. Il n’a rien dit pendant une bonne minute, jouissant de mon trouble. Il s’est mis de côté.
— Entre la lope.
Le ton ferme m’a serré le cœur et je suis entré, toujours tremblant, une boule d’angoisse et de désir au ventre. Porte refermée, il s’est remis en face de moi.

— C’est bien ce que tu es non ? Une lope ?— Oui Monsieur. Ma voix était chevrotante.— Alors tu le dis connasse, dit-il calmement, cela m’a semblé encore plus menaçant.— Je suis une lope Monsieur.— Donne ton slip. Tête baissée !
Le ton était plus sec.
— Oui... Oui Monsieur.
Avec un empressement dont j’ai ressenti la veulerie, j’ai obéi. Il a enfoncé le slip sur ma tête, jusque sous les yeux, laissant le fond pocher sur mon crâne.
— C’est le chapeau qui désigne une lope. Tu auras l’occasion de le porter.
_...
— A poil.— Oui Monsieur.
J’ai ôté ma veste, l’ai laissée tomber au sol, ma chemise, attentif à bien me montrer, mes seins un peu gras, contrairement au reste de mon corps. Leur poids provoquait un pli quelques centimètres sous les tétons.Genou à terre, pour les chaussures et chaussettes, puis droit pour le jean, je me suis mis nu, tête baissée, aveuglé, exhibé. Il se taisait à nouveau, comme s’il voulait me laisser le temps de comprendre la situation. Je la réalisais tellement bien que j’ai senti mon sexe s’alourdir et se redresser à moitié. Comme en sautant dans le vide, j’ai dit, d’une voix geignante et ridicule :
— Je suis votre lope Monsieur.— Tu es UNE lope. Je ne sais pas encore ce que je ferai de toi. Et une lope, on en fait ce qu’on veut, une salope, une pute, une chienne docile, un esclave, selon les jours et les utilisateurs.
Ma queue toujours demi-dressée, dévoilait le paquet de mes couilles bien attachées. L’attente, l’excitation, la peur aussi agitaient mes jambes que je serrais par instants, sentant mes couilles sur mes cuisses. Je me suis dit que j’y étais. Enfin. Cela m’a aidé à me calmer.
— Oui Monsieur.
Ma voix était fluette, presque plaintive. Je l’ai senti s’approcher.
— Pieds écartés, mains dans le dos.
J’ai obéi tout de suite.
— Oui Monsieur.
J’ai entendu et ressenti en même temps le crachat généreux qui coulait, descendant sous le nombril, jusqu’à ma queue, qui a réagi à l’humiliation en se dressant bien droite.
— Une lope excitée quand on lui crache dessus.— Oui Monsieur...— Oui quoi connasse ?— Oui Monsieur, je suis une lope excitée quand on me crache dessus... je... j’aime ça... je ferai tout ce que vous voudrez.— Evidemment, tu es une lope. Tourne-toi, garde les mains dans le dos.
J’ai senti ma queue se balancer en faisant demi-tour. L’humiliation, la honte d’être une lope me faisaient bander.
— Penché en avant, cambré pour bien montrer le cul, écarte les fesses avec les mains pour bien exhiber ta chatte de lope.
J’ai obéi, prenant la position tant de fois fantasmée, le cœur cognant dans ma poitrine, m’abandonnant complètement au vertige cérébral et aux ondes d’excitation dans tout mon corps, honteusement exhibé. Ma chatte de lope offerte. Mon slip sur la tête.Ma position m’obligeait à bien écarter les pieds pour garder l’équilibre. Mes cuisses bien ouvertes donnaient visibilité et accès à mes couilles et à ma queue. Il s’est approché. Il a tapoté sèchement le paquet formé par les couilles, de bas en haut, de gauche à droite, vérifiant qu’elles étaient solidement attachées. Il a enfoncé un doigt dans ma chatte de lope pour vérifier qu’elle était bien graissée. J’ai couiné un sanglot honteux.
— Bien la lope.
_...
— On avait bien vu. Tu es une véritable lope. Prête à tout accepter.
Le "on" m’a inquiété et mon cœur s’est emballé à nouveau, la peur, mêlée d’excitation et de désirs malsains est revenue.
— Comme d’être présentée. Tu te souviens, la lope, que tu l’as écrit dans tes messages ? D’être partagée, prêtée, donnée... J’ai conservé tous nos dialogues. Ce site est vraiment très intéressant. Il signale tous tes contacts. Eux aussi, ils ont conservé tes messages. Enfin, les trois qui t’attendent en visioconférence Skype,... en attendant mieux. Ils suivent tout depuis ton arrivée, grâce à une cam placée dans ce hall.— C’est bien compris connasse ?— Oui Monsieur, j’ai compris.
Il m’a retournée en me saisissant par les cheveux, m’a remise droite m’a attrapée d’une main par les couilles et m’a tirée derrière lui. J’ai gémi... un râle de plaisir plus qu’une plainte.
— C’est par ici.
J’ai suivi à petits pas précipités pour soulager la tension sur mes couilles. Affolé, je pensais à tous les scénarios acceptés pendant les heures passées à "délirer" sur le site. J’avais débandé à cause de la peur, et pourtant, même non tenue, j’aurais suivi.
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