Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 234 J'aime
  • 12 Commentaires

Un chantage pervers

Chapitre 2

Trash
Ça bout dans ma tête, et l’attente est incroyablement longue, lorsque j’aperçois Sylvie qui arrive à ma rencontre. J’ai l’impression que c’est la première fois que je la voie. Elle est vraiment sexy dans une démarche un peu féline. Elle porte une robe qui la cintre aux hanches qui lui arrive à mi-cuisses et je comprends quand je vois ses jambes gainées de noir qu’elle doit porter des bas. Sa robe est moulante, ce qui a pour effet de souligner le galbe de sa généreuse poitrine. Son visage fin et joli orné d’une élégante paire de lunettes et mis en valeur par un maquillage très discret et encadré par une chevelure brune qui lui descend en temps normal jusqu’au milieu du dos, sauf que cette fois elle a une queue-de-cheval.
— Bonjour M Natas et excusez-moi pour ce retard, me lance-t-elle avec un sourire enjôleur. Sa voix me fait frissonner et me renvoie aux mots entendus dans les toilettes. — Vous êtes toujours aussi ponctuel... Et élégant, continue-t-elle en me tendant la main. Le contact de sa peau avec la mienne m’électrise et je sens une onde traverser mon corps à cet instant. — Bonjour Mme Bayle, merci, mais vous l’êtes tout autant et si j’osais, je vous dirais que vous êtes très séduisante.— Merci pour ce beau compliment, vous êtes un charmeur... vous me suivez, j’ai réservé une salle de réunion pour discuter tranquillement de nos affaires.
Passant devant moi, je la suis et en profite pour la détailler. Elle marche en roulant des hanches, mettant ainsi en valeur ses fesses moulées dans sa robe. Ses jambes donnent les cadences, accentuées par ses escarpins talons hauts. C’est un superbe spectacle surtout que je sais que sous cette robe, elle est nue. Cette pensée m’occasionne un début d’érection. Je dois me contrôler et attendre le moment opportun pour me découvrir.
Nous arrivons devant la porte de la salle, lorsque Sylvie sort sa clef et l’ouvre en me priant de bien vouloir pénétrer. En plus, elle utilise des mots qui ont un sens sexuel. J’entre dans la pièce qui est close, aucune fenêtre, c’est très bon ça...
— M Natas, me dit-elle avant de commencer, je souhaiterais vous présenter Sandy, elle s’occupe des relances et des plannings et en plus c’est une très bonne amie. Sandy entre dans la salle en me souriant « Je suis enchantée de faire votre connaissance » Sandy est une femme d’une cinquantaine d’années, très sensuelle. Portant des habits près du corps qui mettent en valeur ses courbes, il émane de cette femme un érotisme naturel. Sylvie clôt la présentation et referme la porte derrière elle.
— Je vous en prie, prenez place et discutons un peu de nos affaires, qui se portent plutôt bien en ce moment.
Je décide d’aider Sylvie et de jouer le même jeu.
— Oui c’est vrai, mais au-delà des affaires, je trouve que nous avons construit ensemble, depuis que je vous connais, une véritable relation, avec une communication ouverte et authentique, et cela est très appréciable dans nos métiers de contact. Je ne devrais pas vous le dire, mais vous êtes très douée pour créer un contact chaleureux et confiant.
Je vois que chaque mot prononcé fait mouche, et que Sylvie est rassurée.

« Merci, que de ses compliments... Vous me troublez M Natas et ce n’est pas la première fois. Vous savez, je vais vous livrer une confidence...J’espère que je ne vais pas vous offusquer, mais je ressens toujours un immense plaisir à vous rencontrer, comment vous dire, vous êtes la seule personne qui me fasse autant d’effet, d’ailleurs de me confier à vous comme ça me donne des bouffées de chaleur. Puis-je ôter ma veste, ça ne vous dérange pas ? » Je la prie de faire et vois que son plan se déroule comme prévu.

Elle pose un dossier sur le rebord du bureau, et met ainsi en valeur sa superbe poitrine que l’on devine sous la fin tissue de sa robe. Ce qui me fait durcir la queue ce sont les deux formes rondes que font ces tétons et les pointes en leurs centres qui tendent le tissu. Divine vision. Sylvie en joue, car elle a creusé ses reins pour faire ressortir ses seins gonflés. Pour ma part, ma bite est raide comme jamais et je m’aperçois que j’ai commis une erreur en ne la replaçant pas dans mon boxer, car la bosse occasionnée par mon érection est énorme. Tant pis je me lance...
— Excusez-moi, mais j’ai moi-même très chaud, puis-je également ôter ma veste.
Sylvie m’invite à le faire.
Je me lève et retire ma veste doucement, je suis à un mètre d’elle, et elle découvre la bosse que j’essaye de dissimuler quand même. Je perçois dans son regard une joie qu’elle ne peut cacher. Je suis certain qu’elle est excitée à mort.Alors que j’allais me rasseoir, Sylvie fait tomber son stylo à mes pieds. En chevalier servant, je m’agenouille pour le ramasser. Alors que je me redresse, je vois ses deux cuisses largement écartées, me laissant découvrir sa chatte ouverte et offerte à ma vue. Son sexe est entièrement épilé, ses grandes lèvres gonflées, cernant ses petites lèvres brillantes de mouille. Ses cuisses blanches contrastant avec le haut noir des bas. C’est la première fois que j’étais dans cette position de voyeur et j’adorais ça. Je finis par me relever, les yeux de Sylvie brillent de mille feux, elle m’observe, guettant une réaction de ma part. Je lui envoie un sourire complice et elle me sourit en détaillant la bosse encore plus proéminente.
Sylvie se lève attrape son trousseau de clés et se dirige vers la porte d’entrée, puis la verrouille.Elle me dévisage en me disant sur une voix chaude.
— Comme ça, on sera tranquille, qu’en penses-tu Thomas.
On vient de passer un cap, le prénom et le tutoiement me paraissent effectivement de rigueur.
— Alors Thomas dis-moi, tu as un avantage sur moi... Tu as vu ma chatte et maintenant mes seins, alors qu’elle fait descendre son encolure, dégageant ainsi sa poitrine. Ouah la paire de seins qu’elle a, ils sont splendides et elle voit dans mon regard que j’apprécie au plus haut point le spectacle.
— Alors que moi je n’ai vu que la bosse qui déforme ton pantalon. Alors, montre-moi ce que tu me caches et que je désire depuis si longtemps.
Obéissant, mais doucement histoire de faire durer ce moment le plus longtemps possible, je déboutonne puis je fais glisser lentement la fermeture de ma braguette. Sylvie ne respire plus, aux augets et le regard fixe. Alors je libère mon sexe qui se détend dans un bond et apparaît aux yeux de Sylvie, puis lui présente
— Mon Dieu.
S’écrie Sylvie « Comme elle est belle. Dis-moi, je te fais de l’effet, tu bandes fort pour moi » me souffle-t-elle « C’est le fait que je ne porte pas de culotte qui te met dans cet état, » finit-elle en riant.
— Non c’est parce que tu es une femme envoûtante et très excitante.
Elle est ravie et s’approche de moi.
— Il faut que je t’avoue que dès notre première rencontre, j’ai eu envie de toi. J’ai senti une chaleur envahir mon corps et je me suis caressée le soir même sous la douche. Depuis je rêve de toi, en nous imaginant dans des scénarios tous les plus érotiques les uns que les autres. Et te voilà à ma merci.
Elle est maintenant devant moi, nous sommes face à face à un mètre. Ma queue est tendue vers elle. Passant ses mains derrière ses hanches, elle dégrafe sa robe. Dans cette position, ses seins généreux et ronds se dressent vers moi. Sa robe tombe au sol, me laissant découvrir Sylvie presque entièrement nue, mis à part ses bas et ses escarpins. J’ai très envie d’elle. Son pubis est recouvert d’une petite toison de poils bruns, qui descend jusqu’à la naissance de ses grandes lèvres lisses et exemptes du moindre poil. Au centre, un renflement capuchonne son clito gonflé, pareil à une friandise dans son écrin. J’en salive... je m’approche délicatement et très lentement. Je la sens frémissante alors que nos peaux s’électrisent avant le premier contact. Ce sont d’abord le bout de ses tétons qui viennent se poser sur ma poitrine, puis mon gland qui se colle sur son ventre chaud. Puis passant mes bras autour de son cou, je la presse contre moi en déposant mes lèvres sur les siennes.
S’ensuit un baiser furieux, où nous langues se battent pour envahir la bouche de l’autre. Dans une ivresse vertigineuse, nos corps se resserrent l’un contre l’autre, Sylvie avance le bassin pour mieux sentir la raideur de ma bite contre son ventre, elle voudrait déjà le happer au fond de ses entrailles bouillonnantes.Soudain, Sylvie se recule doucement, me laissant orphelin de son corps et de sa bouche. Elle me prend les deux mains et me conduit vers la table de réunion. Debout dos à la table, j’appuie mes fesses sur le rebord de celle-ci. Délicatement, me regardant dans les yeux avec un large sourire, elle fait glisser mon nœud de cravate, jusqu’à pouvoir l’ôter par-dessus ma tête.
Puis joignant mes mains dans mon dos, elle passe le nœud coulant de la cravate et ressert celle-ci sur mes poignets. Je suis maintenant à sa merci, mon excitation n’en est que plus aiguisée. Elle déboutonne ma chemise et caresse mon thorax.
— Hum plutôt musclé le monsieur, j’aime ça... faisant courir ses mains jusqu’à ma taille, elle dégrafe ma ceinture et le bouton de mon pantalon qui chute au sol. S’accroupissant, elle frôle de son visage, le bout de mon gland tendu, pour m’ôter mon vêtement, puis mes chaussures et mes chaussettes. Toujours accroupie, les lèvres à un centimètre de ma bite, elle fait glisser mon boxer le long de mes jambes et me l’ôte.
— Voilà, me dit-elle, « nous sommes à égalité, et j’avoue que même dans mes rêves les plus fous, je n’avais pas imaginé que ton corps fut si beau. Tu me plais encore plus à poil, et ma chatte ne s’y trompe pas, elle est inondée...» Joignant le geste à la parole, elle glisse sa main entre ses cuisses et la frotte sur son sexe, puis me la tend pour me la montrer. Effectivement, ses doigts sont abondamment recouverts d’une couche épaisse et brillante de cyprine.
— Regarde l’effet que tu me fais, j’ai jamais autant mouillé et je ne me suis pas touchée...
Sur ces mots, j’ouvre la bouche et demande à Sylvie de me faire goutter sa mouille. Elle est ravie et dépose sur ma langue tendue ses doigts englués.
— Hum vas-y tu m’excites avec ta langue, vas-y suce mes doigts, tout en plongeant ses doigts. Le goût de son jus intime envahit mon palais et je découvre alors une nouvelle sensation. Celle de me régaler de sa liqueur comme si je buvais le nectar d’un fruit inconnu. J’ai envie d’encore plus de ce jus dans ma gorge, j’ai envie de m’enivrer de sa mouille, c’est extra. Elle finit par m’embrasser goulûment en mélangeant nos salives à son abondante mouille dans nos bouches gourmandes, sa main droite a saisi fermement ma bite et l’enserre comme pour en tester la dureté. Je suis surpris par cette première étreinte, mais je ne crains rien, je n’ai jamais été aussi dur de ma vie. Elle me branle vigoureusement tout en s’agenouillant. Son visage est face à mon gland trempé. Elle frôle le bout sur sa joue, laissant une traînée humide, puis tendant sa langue, elle lèche mes bourses. Ce premier contact aurait pu me faire éjaculer si je ne m’étais pas contrôlé. Sa langue s’insinue et fouille mon intimité, puis remonte le long de ma hampe pour venir titiller mon frein. Je suis bloqué, les mains dans le dos, j’aimerais lui attraper sa chevelure brune et lui enfoncer ma queue dans la gorge jusqu’à la garde. Elle dépose ses lèvres dessus et l’embrasse, puis du bout de la langue, elle recueille une goutte de mon jus qui perle. Je suis au paradis, cette femme m’embrasse les sens. Je l’observe alors qu’elle me regarde droit dans les yeux, elle ouvre la bouche et gobe mon gland. Cette sensation de chaleur humide me fait encore plus bander.
Sa langue tourne autour comme si elle roulait une galoche à ma bite, puis elle aspire fort et force l’entrée de mon méat. Elle cherche la semence qui s’en extrait goutte à goutte pour le moment. Mais je sens un torrent furieux qui sort au fond de mes entrailles et à ce régime-là, il ne va pas tarder à jaillir. Après une minute de ce délicieux supplice, Sylvie se relève, puis me détachant les mains, elle me dit dans l’oreille.
— Allonge-toi sur la table...
Je m’exécute et prends place sur la table. Sylvie alors s’aidant d’une chaise monte debout sur la table et positionne ses deux pieds entre ma tête. J’ai au-dessus de moi son entrejambe, divine vision qui me rappelle la séance du stylo.
— Très bien Thomas, maintenant je veux que tu me bouffes la chatte comme je l’ai imaginé des centaines de fois en me caressant, je veux que tu me fasses jouir comme une folle, je dois t’avouer que j’adore ça et que ça fait des années que j’attends ce moment, alors mange-moi, finit-elle en s’accroupissant sur mon visage. Sa vulve est inondée de mouille et elle vient littéralement l’écraser sur ma bouche. J’ai à peine le temps de l’ouvrir pour tendre ma langue, qui se plaque sur son bouton.

Un long gémissement envahit la pièce alors que je commence à m’activer dans sa chatte. La pression a fait que ma langue s’est fourrée dans son vagin l’engluant d’un épais jus odorant et goûteux. Alors commence une chorégraphie étonnante, Sylvie ondule lentement son bassin d’avant en arrière, frottant ainsi sa vulve sur ma bouche. Elle mouille abondamment ainsi mes lèvres se font plus fluides. Sylvie gémit de plus en plus. Son excitation monte et l’amplitude de son ondulation augmente en même temps de son plaisir. C’est de mon nez à mon menton qu’elle frotte sa chatte, s’arrêtant plus longuement sur mon nez. Elle le fait pénétrer dans sa vulve puis frotte son clito sur son extrémité. Son jus peu à peu inonde tout mon visage, comme une éjac faciale. J’adore cette sensation, elle se sert de mon visage comme d’un sex-toy. Je bande fort. Sylvie commence à crier, ce qui trahit l’approche de son orgasme. J’ouvre grand la bouche lorsque son corps se fige dans un râle de plaisir et sa jouissance déferle dans ma bouche. Elle coule en moi.
— Oh quel pied, j’ai joui comme rarement et ton visage en témoigne...
Elle me sourit. Alors je la saisis par la taille en la basculant sur le côté.
Elle s’allonge sur son flanc alors que je pivote au-dessus d’elle, me retrouvant ainsi sur elle. Je glisse mon corps contre le sien, ma poitrine frottant sur ventre puis ses seins gonflés jusqu’à ce que mon gland entre en contact avec sa vulve glissante. Celui-ci se place automatiquement au creux de sa chatte. N’en pouvant plus d’excitation, je stoppe mon mouvement de remontée, puis soudain appliquant un effort sur mes reins, je plante mon barreau d’acier d’un coup brutal jusqu’à la garde. Sylvie, surprise, lâche un cri « Oh oui comme elle est grosse ta bite, hummm j’aime comme ça, tu as envie de me fourrer hein. Alors vas-y lâche-toi et défonce-moi fort... fais-moi encore jouir, oui je sens ta queue, elle me remplit entièrement. Ouiiiiii baise-moi fort » finit-elle en m’embrassant fougueusement. Effectivement je sens ma bite dans son fourreau chaud et humide, mais après un ou deux allers retour, j’attrape ses deux jambes et remonte ses genoux sur sa poitrine.
De cette manière, elle m’offre sa chatte et je peux encore plus accentuer ma pénétration. D’ailleurs, je percute avec mon gland le fond de son vagin.
Je la défonce, j’ai envie qu’elle sente l’énorme envie que j’ai d’elle. Alors je lui demande.
— Dis-moi Sylvie, tu as l’air d’apprécier ma grosse bite... Dis-moi si tu aimes être baisée comme ça, moi j’adore ta chatte, tu mouilles comme, et là, je m’arrête je ne peux pas lui dire ce que j’ai dans la tête, un réflexe lié à la situation. Mais en fait, c’est elle qui finit ma phrase. « Oui, vas-y n’hésite pas j’aime aussi un peu de vulgarité ça m’excite encore plus. Oui tu as raison je mouille comme une salope, mais c’est toi qui me rends salope ouiii vas-y fourre moi au fond je vais encore jouir... »
D’entendre ces mots crus dans la bouche de Sylvie accroît mon excitation, je ne vais pas pouvoir tenir encore longtemps.Je plante une dernière fois mon pieu au tréfonds de cette chatte trempée et déverse ma jouissance en elle. Pendant que je l’inonde, Sylvie a un second orgasme, puissant et bruyant. Nous sommes allongés sur le bureau, enlacés et fourbus par cette séance d’une intensité inouïe. Elle me murmure à l’oreille comme elle a aimé que je la prenne, et qu’elle va garder mon sperme en elle le plus longtemps possible. Puis nous nous rhabillons. Sylvie m’embrasse très amoureusement.
— Tu sais Thomas, je crois que je n’ai jamais pris autant de plaisir à faire l’amour. Il faut dire que l’endroit est plutôt insolite. Mais surtout, j’avais tellement attendu ce moment et je suis tellement heureuse de l’avoir concrétisé. Il faut que l’on se revoie très vite, car j’ai déjà encore envie de toi.
Etant à l’hôtel le soir, je lui propose de m’y rejoindre.
— Je suis désolée mon amour, mais ce soir, je vais dîner au Buffalo Grill avec mon mari et mes enfants... c’est l’anniversaire de mon mari. Je ne peux pas me libérer. Finit-elle avec une tristesse sincère dans le regard.— Ce n’est pas grave, nous aurons d’autres occasions, ne t’inquiète pas.
Puis après avoir remis de l’ordre dans nos affaires, nous sommes sorties de la salle de réunion, et Sylvie m’a raccompagnée jusqu’à l’accueil.Nous nous sommes quittés sur une poignée de main des plus tendres.
Diffuse en direct !
Regarder son live