Pour ma première année de BTS, j’étais contraint d’emménager à Nice pour louer un petit appartement pour étudiant. Je quittais pour la première fois le cocon familiale pour m’installer seul et j’étais à la fois excité et stressé. Un appartement est une lourde charge, entre son entretien, mes dépenses chaque mois en nourritures, factures, vêtements, etc. Il fallait que je me responsabilise. Je m’appelle Clément et j’ai 19 ans. Originaire de Montpellier, je n’arrive pas à croire que j’emménage enfin. J’étais un peu plus libre !Je dis cela mais mes parents (ma mère et mon beau-père) étaient vraiment formidable, ils ont d’ailleurs eus aucun mal à accepter ma bisexualité. Pour eux il fallait que je sois heureux. Cependant personne n’était au courant, je ne voulais en aucun cas faire honte à mes parents. De plus j’étais la fierté de mon beau-père, à ses yeux j’étais un bon footballeur qui pourrait peut-être un jour évoluer en milieu professionnel. Grace à lui, j’ai tout un fan-club dans le petit bar de mon quartier. Je mesurais 1m82 pour 84 kilos. J’avais des cheveux blonds légèrement bouclés qui m’arrivaient aux épaules. Mon corps était fin mais assez bien tracé. Je prenais aussi un plaisir à m’épiler toutes les parties de mon corps et me raser dès qu’un début de barbe se présentait. Cela m’excitait énormément. On était mercredi et ce jour-là j’avais mon entrainement dans mon nouveau club de foot. Je me suis d’ailleurs fait rapidement des amis là-bas. Semaines après semaines, nous enchaînions les entraînements et les matchs amicaux le samedi, et cela me fait mal de le dire mais je jouais dans une équipe bien meilleure que l’ancienne. Puis enfin c’était le moment des matchs nationaux. Pour notre premier match, nous devions nous déplacer à Metz. Le voyage fut long. Mais nous arrivions doucement, mais surement vers cet hôtel. C’était un hôtel 2 étoiles, l’accueil était charmant, le cadre était bien choisi. Nous avions à peine eu le temps de déposer nos affaires dans nos chambres que nous devions déjà nous préparer pour le match. Je partageais la chambre avec Sébastien le gardien de but de notre équipe. C’était le beau gosse de l’équipe. Il pouvait avoir n’importe quel fille à ses pieds mais il était toujours célibataire ce qui ne m’échappa. Qui sait peut-être qu’un jour j’aurais assez de courage pour tenter ma chance avec lui ?Pour le moment je ne sais pas s’il est hétérosexuel, bisexuel ou homosexuel. Lorsqu’on se changeait, je n’hésitais pas à mater un petit peu. Il avait de belles fesses musclées. Physiquement, il était plus musclé et un peu plus grand que moi. Il était brun et avait des cheveux courts. Il avait un petit bouc. Son boxer semblait presque transparent, Je l’avais déjà vu entièrement nu d’ailleurs comme le reste de l’équipe durant nos douches collectifs. Il m’arrive même de penser à eux lors de "mes petits plaisir solitaires". Nous étions prêt, on se retrouve tous devant l’hôtel puis on se dirigea ensuite vers le stade qui était à quelques mètres. Le public commençait à envahir les gradins et nos deux équipes firent leur entré. Le public n’était visiblement pas le public qu’on pouvait voir dans un match de Ligue 1. Il devait y avoir une quarantaine de personnes. Mais le match passait très vite; La mi-temps était déjà arrivée et nous avions 10 minutes de pause qui passèrent très vite. Nous étions menés 1 - 0. Le coach nous remonta le moral et nous renvoya sur le terrain. Les 45 ème dernières minutes furent très serrées, mais le match se solda par une victoire de notre équipe 2-3. A la fin du match nous prenions soins de saluer nos adversaires avant d’aller aux vestiaires. Je me languissais de me décrasser. Arrivés aux douches, le coach nous félicite pour le match puis nous laisse seul. La pièce ressemblait à un dortoir vide d’un hôpital abandonné …C’était une grande pièce et tout était blanc et carrelé. Il y avait un long banc qui longeait les murs de part et autre ainsi qu’un banc central et tout au fond il y avait les douches qui étaient séparées par un rideau en PVC transparent. Les douches se mirent d’ailleurs en route et de la fumée s’en dégageait. Nous nous dénudions tous et je ne peux m’empêcher d’avoir quelques pensées malsaines comme me faire prendre en Gang Bang par toute l’équipe ou bien me mettre allongé au sol et me recevoir une pluie de sperme sur le corps de la part des garçons par exemple. Mais il fallait de suite que j’enlève ces idées obscènes de ma tête au risque d’avoir une érection et me faire charrier par tout le monde. Il fallait que je pense a quelque chose de dégoutant pour couper net mon excitation et cela marchais pour le moment.
Je pénètre donc à la douche. Certain s’amusent entre eux à se lancer des giclés de gel douche. La douche était censée être rapide mais notre coach avait l’habitude qu’on traine un peu et qu’on fasse les cons après le match. Il y avait une ambiance bonne enfant dans notre équipe. Le coach voulait que l’on soit tous une genre de famille. Je continuais ma douche en me savonnant rapidement. Sébastien mon voisin de chambre était sous la douche à côté de la mienne. Il fit une chose qui attira mon attention. Il fit tombé son gel douche au sol et le ramassa. En se baissant, j’observais du coin de l’œil ses fesses. Je pouvais carrément y voir son anus, ses testicules et son sexe qui pendait vers le bas. Grrrrr, à croire qu’il le fait exprès !!! Je me battais de toute ma volonté contre moi-même pour éviter l’érection et c’est presque peine perdu. « Paupaul » commençait à se réveiller. Je me rince alors rapidement et sort en vitesse des douches avant que quelqu’un ne me remarque. Je n’ai malheureusement pas eu le temps d’observer tous les autres garçons. Je me rhabille en quelques seconde m’assied sur le banc. Mon jean camoufle bien mon érection et tant mieux … D’ailleurs le reste du groupe ne tarda pas à me suivre. On sort alors du vestiaire et direction l’hôtel ! Durant la route nous faisions les pitres et je ne me faisais pas prier pour en faire de même sous peine de passer pour un dégénéré mental auprès des passants … La route fût plus courte au retour qu’a l’aller car on s’amusait plus alors qu’à l’aller on était un peu stressé pour notre premier match de championnat national. Nous sommes vite arrivés à l’hôtel, nous avions quelques minutes pour remonter nos affaires et redescendre pour le repas. On s’exécute tous, le temps de monter et redescendre à la terrasse de l’établissement, quel fut notre surprise de tombé sur un festin digne d’un banquet royal. Du saumon fumé en tranche, du poulet parfumé aux épices des quatre coins du globe, des côtes de porc à la grillade badigeonnant dans de la sauce, des fromages et des charcuteries de la région. Un barman servait toute sorte de boissons, alcoolisé ou non qu’on devait bien évidemment consommer avec modération.Le coach s’approcha et leva un verre. — Mes enfants ! Ce soir c’est notre première victoire du championnat et ca ne sera surement pas la dernière ! Ce soir, on se régale !— Ouuuaiiiiiis !!! Cria toute l’équipe en cœur. Je mangeais quelques bouts mais je ne pus m’empêcher de penser à ce qu’il s’est passé tout à l’heure sous la douche. J’ai l’habitude de voir Sébastien nu dans les vestiaires mais pas aussi précisément. Je décide de monter dans ma chambre. Je me déshabillais puis pénétra dans cette grande salle de bain. Elle était carrelé de blanc et de noir. Au coin de la douche on peut voir une douche à l’italienne et dans l’autre coin une grande baignoire-jacuzzi. Je fis couler l’eau chaude puis alla chercher ma petite trousse de toilette qui était cachée dans le double fond de mon sac. Pourquoi l’avoir caché aussi loin me diriez-vous ?Il n’y avait pas que mes produits d’hygiène et de beauté. J’y cachais un de mes joyaux. Un godemichet en silicone de 25 centimètres. Je le saisis puis je retourne à la salle de bain et ferme la porte derrière moi. Je me rince alors brièvement à la douche puis m’assois contre le coin. Je me replis alors sur moi-même et goute alors à ma propre verge. J’avais la chance d’être quelqu’un d’assez souple mais aussi d’avoir un pénis mesurant 21 centimètres et je n’en étais pas peu fier. J’enfonçais un peu plus mon gland dans ma bouche et le pompais du mieux que je pouvais. J’arrivais à rentrer une douzaine de centimètre dans ma bouche. Mon anus lui se décontractait tous seul sous l’excitation et la chaleur ambiante de la salle de bain. Je n’hésitais pas à y entrer avec mes deux mains mes index puis surenchérir avec mes majeurs. J’essayais d’ouvrir mon anus au maximum et j’adore cela. Je laisse alors mon pénis sortir de ma bouche et je décide de me concentrer sur mon anus. Je saisi alors mon jouet sexuel et alla titiller un peu ma rondelle avant de le rentrer progressivement jusqu’à ce qu’il y soit entièrement dedans. Je retire alors le godemichet pour me l’enfoncer de plus belle. Je commençais alors à branler mon cul. Mon sex-toy était en silicone, ce que je considère comme étant le mieux pour un plaisir solitaire. Je faisais des mouvements rapides avec mon sex-toy et lâchais des petits gémissements. J’enfonce alors mon godemichet au maximum et me repli à nouveau sur moi pour me faire une fellation à moi-même. Je reprenais le travail avec mon cul tout en aspirant ma propre bite. Pendant mes moments de plaisir j’oublie carrément que Sébastien peut arriver à n’importe quel moment. Je décide alors de m’accélérer. Je sens le liquide séminal couler le long de ma langue. Je retire le pénis de ma bouche et me met à me branler tout en faisait des mouvements de vas et viens avec mon gode. Je ne tardai pas à jouir dans un râle de plaisir et laisser échapper 3 longs jets de sperme qui allèrent s’écraser sur mon torse et mon visage. Je retire alors le godemichet et essuie quelques gouttes de mon jus avec mes doigts avant de l’avaler goulument. Je me rince vite et me sèche, j’avais un peu froid, a cause de la porte de la salle de bain qui était entrouverte. Par la suite je me précipite vers la trousse de toilette et cache soigneusement mon « joyaux ». Je viens de me rendre compte d’une chose par contre. La salle de bain était entrouverte alors que je l’avais fermée derrière moi. Bon, ok je deviens parano, il faut que je me détende, c’est la porte qui a un problème. J’aurais entendu si quelqu’un rentrerait dans ma chambre et de plus la douche était occupée donc je ne pense pas qu’on soit venu m’espionner sans oublier que seul Sébastien et moi avions les clefs de nos appartements. Du moins je l’espère …
