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Chantal et Aurélie

Chapitre 2

Zoophilie
Radio allumée sur une station locale, j’avalais mes céréales un peu choquée et pensive. Je devais devenir complètement dingue, je venais de branler notre chien. Dingue ! J’étais vraiment arrivée au bas de la société moderne.Des images se bousculaient dans ma tête. Mambo, allongé sur le sol du garage, son fourreau, le sexe chaud et rouge. Stooop ! Calme toi !!Je sentis à nouveau cette démangeaison dans le bas du ventre, la pointe de mes seins se durcissant. Je tremblais pourtant je n’avais pas froid, j’enfilais tout de même une vieille robe de chambre puis retournais m’asseoir à table passant de nouveau près de la porte du garage . je ralentis le pas, je l’ouvris pour voir s’il était là ! Il était bien là, tranquille, levant la tête vers moi et remuant la queue en signe de joie de me voir. Sa langue pendait sur le côté, on aurait dis qu’il souriait. Tu m’étonnes petit cochon ! Je te vois venir avec tes gros sabots. Mais non, n’y pense même pas ! Cela dit, je ne refermais pas la porte, retournant m’asseoir à table excitée comme une puce. Ce qui dut arriver, arriva ! Voilà, Mambo qui entre dans la cuisine. En principe mes parents ne voulaient pas qu’il soit à l’intérieur, à cause des traces de pattes, les poils. Et puis ce n’était pas un chien de salon, il fallait bien l’avouer. Mais il n’était pas idiot pour autant et il savait où se mettre pour ne pas déranger, en général il allait se loger pas trop loin du radiateur, dans un coin de la pièce en face de moi. Je continuais de manger mes céréales. De Là où il était placé, il me voyait et aussi ce qui se passait sous la table. Une idée naquit doucement dans mon esprit tortueux. J’en rigolais déjà.Doucement j’écartais mes jambes et les refermais, tout en mangeant comme si de rien n’était. J’étais idiote, ça je le savais, ce petit jeu aurait pu peut-être avoir quelque influence sur un jeune homme en pleine puberté, mais un chien, ça j’en doutais . Enfin, de toute façon, je m’en fichais comme de l’an 40. Il n’y avait personne pour me juger à part moi, et moi je trouvais cela très amusant, même assez excitant. J’ouvrais et refermais. Pour l’instant le résultat n’était pas phénoménal. Mambo restait là couché, la tête entre ses pattes. J’ouvrais et refermais. Une oreille bougea (un commencement !). J’ouvrais et refermais. Il leva la tête, un bruit ? Un chien qui aboyait au loin ? Il se recoucha.J’ouvrais et refermais (je me sentais humide, ma minette chauffait). Il releva la tête et me regarda. Il devait se demander à quoi je jouais.Cette fois, J’ouvris et laissais mes jambes largement ouvertes. Il devait avoir une vue imprenable sur ma petite culotte qui témoignait d’une tache suspecte de mon état de nervosité. Il renifla, il dut me sentir. Je tremblais sur ma chaise. Mais il reposa sa tête sur le sol dans un long soupir. Quel con ! Mon auto estime en pris un coup. Même un chien ne voulait pas de moi. J’enlevais ma culotte et la lui jetais, peut-être que mes effluves lui parleront, lui que mes pathétiques jeux de jambes n’émoustillent même pas. Elle tomba devant son museau. D’un oil curieux, il l’examina, la renifla et ô miracle, lécha le tissu. Je me sentis couler, le regardant fascinée en me mordant les lèvres. Goulûment sa langue cherchait les effluves intimes sur l’étoffe. Ma main ne peut s’empêcher d’aller caresser mon abricot à présent nu. Le spectacle me troublait et mes doigts gluants de cyprine pouvaient en témoigner.Puis le chien se lassa de ma culotte et retourna à sa place.Bon ben ça ne sera pas encore aujourd’hui que je ferai des folies. Je me décidais donc à ranger la table et faire contre mauvaise fortune bon cour, prenant d’une main le litre le lait et de l’autre les corn-flakes. Mais je ne sus pas comment je me débrouillais, ma robe de chambre se prit dans un coin de la table me déséquilibrant. Le lait commence à chavirer, je dus choisir le lait ou les corn-flakes. Le carton commençait dangereusement à tanguer. Je décidais donc de desserrer la prise pour rattraper le lait mais trop tard, le lait était déjà dans l’air, plus moyen de le rattraper, et le carton de céréales aussi après avoir jongler se retrouva par terre. .. Le Désastre ! En égrainant tout un chapelet de jurons (les plus grossier) que je connaissais, je me mis à quatre pattes pour ramasser les quelques corn-flakes qui restaient et qui n’avait pas été touchés par le lait. Mambo qui s’était levé en sursaut, se chargeant de nettoyer le reste. A nous deux on aura vite fait. La tâche est ardue et pénible. Je ramassais un a un les pétales de maïs qui s’étaient éparpiller partout. A côté, la langue canine faisait des miracles, je la voyais laper le lait à grand bruit. Elle était longue et large.
J’étais actuellement sous la table, me dirigeant vers le vaisselier qui en cachait plein au dessous me disant que si je les laissais, les souris se feraient un plaisir de nous les manger.  Opération commando, je me baissais en tendant mon bras le plus que possible, la joue contre le carrelage, saisissant les derniers rebelles embusquées. Mais là !! Une sensation à nulle autre pareille. Je sentis sa truffe humide sur mes fesses, la position était trop belle pour lui. Je sursautais, mais ne pus me dégager du fait de ma position. Son museau venait de soulever ma chemise nuit et reniflait avidement les odeurs féminines, sa langue commençant par explorer l’intérieur de mes fesses largement écartées par la position que j’avais, descendant doucement vers mes cuisses. Je ne cherchais plus à bouger et ne fis rien cette fois pour le repousser. J’étais paralysée, hypnotisée par la situation. Un frisson partit de mon sexe, me parcourant le ventre et remontant jusqu’au bout de mes seins. Plus fort que tout, une sensation inouïe. Je ne fis aucun mouvement et n’avait aucune intention d’en faire. La situation était trop bonne pour moi, Mambo continuait de me lécher. Second frisson, un troisième puis un quatrième et la jouissance venait doucement mais inexorablement. Je voulais que ça dure, il fallait que je me calme.Reprenant mon souffle, je modifiais ma position inconfortable et m’asseyais sur une chaise tout en écartant les cuisses au maximum qu’autorisait ma position assise, attendant le museau du chien avec excitation. Nouveaux frissons. L’explosion était proche. Mes seins étaient tendus, hyper tendus, les caressant à travers ma chemise de nuit, que je remontais au maximum. Je pinçais légèrement mes tétons. Mambo me léchait, son museau appuyait sur mon sexe et mon bouton. Il se retira pour faire je ne sais quoi, pourvu qu’il ne s’en aille pas. Me demandant si je n’aurais pas du rester comme j’étais et jouir comme j’en avais envie. Je me décidais à changer de position, posant un pied sur la table tout en écartant les lèvres de mon sexe avec mes doigts Ce fut comme une centrale nucléaire qui passât à travers mon ventre lorsque le museau et la langue de Mambo entrèrent en contact avec ma peau. Dans cette position, mon sexe était ouvert et je sentis sa langue sur les grandes lèvres, mon bouton distendu. Je le sentais durcir, la langue de Mambo le titillant avec rudesse, ce qui déclenchât des spasmes de plaisir dans mon ventre. Réflexion faite, je me dis entre deux spasmes que j’avais eu bien fait d’attendre, Je ne voulais plus que cela cesse.Sa langue venait chercher la source de ma jouissance à l’intérieur de mon vagin, me pénétrant littéralement et venait masser mes chairs gonflées et humides.Avec une main j’essayais de maintenir les lèvres ouvertes, pendant que je calmais mes seins avec l’autre. Sa langue me procurait un plaisir extraordinaire, immense, je ne trouvais pas de mot pour en qualifier l’importance. Je basculais ma jambe posée sur la table pour que la langue canine vienne me lécher entre mes fesses, une nouvelle extase m’envahit en sentant sa langue sur mon anus. Mambo se retira, je le priais, le suppliais de continuer :
— Allez, Mambo , gentil chien, lèche-moi !Il replongea de nouveau son museau entre mes jambes. Je me glissais au pied de la chaise, les fesses tendues et ouvertes, à quatre pattes, la joue sur le carrelage de la cuisine. Il se retira à nouveau, me laissant dans un état de frustration insupportable. Je l’incitais à revenir entre mes jambes, avec de petites claques sur mes fesses.Il revint, et repartit, revint, repartit, ça devenait insoutenable. Je me levais et ouvris le vaisselier pour prendre un pot de confiture d’abricot, sentant de nouveau mon chien derrière moi. J’ouvris le pot et avec mon index et mon majeur, m’en badigeonna le sexe de confiture. J’étais tellement à cran, que la sensation de mes doigts sur mon sexe me procura de nouveaux frissons.Debout devant lui, je pris sa tête et la porta à mon sexe. Il reprit son ouvrage. J’ondulais sous sa langue et son museau, plongeant mes doigts dans la confiture et enduisant mes tétons avec. Je m’accroupis pour amener mes seins devant le museau de Mambo, il mordillait mes tétons, je m’entendis râler de plaisir.Je glissais une main entre mes cuisses, enfonçant majeur et annulaire dans mon sexe et me masturbais. Mambo léchait mes seins.Cette fois je me sentis partir comme une fusée et la jouissance me terrassa, mais j’en voulais encore. Je me retournais et replongeais la main dans le pot de confiture, cette fois la déposant entre mes fesses. Je me mis à quatre pattes devant lui et il commença à me lécher l’anus et l’entrejambe. Je me masturbais avec une main, la langue de Mambo léchait mon anus. Je posais de nouveau ma joue sur le carrelage de la cuisine, glissais mon autre main entre mes jambes et titillais mon bouton, tout en me masturbant avec l’autre main. Mon bon chien honorait ma rosette et mon minou qui coulait comme une fontaine. Une deuxième et troisième explosion de jouissance me secoua encore et encore. Cela partait de mon entrejambe et remontait à l’intérieur de mon ventre vers mes seins.
Je bavais de plaisir ,la tête posée sur le carrelage, c’était trop bon. J’étais là, les fesses à l’air et en l’air, assommée, ko par tant de jouissance. Je continuais doucement à masser mes seins durs comme de la pierre, quand je sentis les pattes de Mambo m’attraper la taille. Ca y est, le voilà qu’ il me prenait pour sa chienne, mais çà, il n’en était pas question. Je n’avais pas du tout prévue ça au programme et je ne me sentais pas l’âme de devenir sa femelle malgré tout le plaisir qu’il venait de me donnerJE me retournais en un éclair, posant mes fesses trempées sur le carrelage froid de la cuisine en le houspillant.Non ! Mambo pas ça !!Il se retira comme s’il avait compris mon besoin de respirer. Je restais dans cette position, à le regarder. Il était beau, avec son pelage brun foncé, ses muscles saillants, ses yeux tendres. Je repris mes esprits après un long moment. Mambo c’était allongé près de moi.Je m’assis à côté de lui et serrant son cou entre mes bras. Il se relevât et me léchât le visage, mêlant sa langue à la mienne et je me relevais en lui embrassant sa truffe.Plus tard sous la douche, un sentiment de honte m’envahit en repensant à ce qui c’était passé avec mon chien.Enfin quoi ! Je ne savais plus ce que je voulais. Ce n’était quand même pas lui qui avait commencé !Néanmoins le plaisir ressenti, surpassât cette honte. Un plaisir mille fois plus grand que celui ressenti avec mon ex ami, la première fois que nous avions fait l’amour, la seule fois d’ailleurs. Et aussi mille fois plus grand que lorsque je me masturbais. Pourtant déjà la c’était bon.Mon Dieu, quand je pense que j’allais devoir passer une journée entière avec ce fauve.Peut-être devrais-je appeler Aurélie qu’elle vienne me tenir compagnie .

arlette_lo@yahoo.fr
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