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Chantal et Aurélie

Chapitre 9

Zoophilie
Debout sous la douche, les cuisses écartées, je frottais mon corps endolori.
Mes mains descendaient, dessinaient mon corps, couraient sur mon ventre, caressaient mes seins aussi durs que la pierre. Je laissais mes doigts errer sur mes parties intimes et quand ils effleurèrent mon anus, une douleur aiguë me rappela à quel point j’avais souffert. Mon sphincter ne s’était pas encore tout à fait refermé et je pris un peu de pommade pour le masser, espérant quand même qu’il ne resterait pas comme ça. J’avais encore mal au derrière, me demandant même si j’allais pouvoir poser mes fesses sur une chaise. J’avais encore la sensation, l’impression qu’il était encore en moi, que sa boule était encore à l’intérieur de mes reins et que je sentais son sexe bouger, crachant son sperme brulant en moi . Je venais de subir ma première sodomie. Je venais de me donner, d’offrir mes fesses à un chien. Jamais je n’aurais pu croire que la jouissance qui m’avait traversé le corps lorsqu’il s’était soudé à moi, le noud de son sexe bien ancré entre mes reins qu’un tel plaisir puisse être aussi fort. Je savais que malgré cette douleur immense que j’avais eue lorsqu’il s’était retiré de mes reins, douleur encore lourde et présente, que je recommencerais, que j’en redemanderais. Maintenant, je comprenais pourquoi Maman n’aimait et ne se donnait que de cette façon à Mambo. Les yeux clos, je repensais à ce qui venait de m’ arriver.
    « « Aussitôt Maman partie, accompagnée par la meute de chiens, j’appelais Mambo pour qu’il vienne avec moi. Il fallait que je me fasse monter par lui. J’avais le corps en feu et la lave qui perlait sur mes poils pubiens, me disait que le volcan qui bouillonnait en moi devait être éteint et vite, sinon tout allait exploserJ’étais terriblement excitée en pensant et en imaginant ce qu’elle allait faire avec la meute et il me fallait quelque chose pour me calmer. J’avais envie de câlins, de léchouilles. Ma chatte était en feu et le seul être humain présent dans cette maison, le seul qui pouvait me calmer les esprits et le corps était là près de moi, allongé sur les carreaux, le tête posée sur ses pattes de devant, ses yeux posé sur le haut de mes cuisses. - Allez viens toi ! Dépêches toi ! Viens me grimper, j’ai trop envie. Viens faire ton travail de mâle, ta chienne est prête à être montée.J’ouvris la chambre de Maman, Mambo sur mes talons. Pendant que je lui parlais, le suppliant de me donner beaucoup de plaisir et vite car nous n’avions pas trop de temps devant nous, l’idée m’était venue de me faire prendre dans sa chambre. Ce que je voulais surtout, c’est qu’elle retrouve à son retour, les signes de nos ébats. Qu’elle sache et se rende bien compte que moi aussi je m’étais donnée à « son amant ». Assise sur le plancher, les cuisses écartées, j’écartais ma culotte et collais ma chatte ruisselante et parfumée devant la truffe de Mambo, pressée qu’il me donne ce qu’il me manquait et me taraudait le ventre depuis le départ de Maman. J’avais beau remuer mon ventre, titiller son odorat avec mes doigts - dont j’avais bien pris soin de les tremper dans mon jus - c’est à peine s’il daignait s’occuper de moi, à peine s’il osait poser sa gueule sur mon sexe. Arrachant littéralement ma culotte, je me mis à quatre pattes devant lui, j’ondulais des fesses pour lui faire comprendre que j’étais prête, que j’étais à lui, que j’étais moi aussi sa chienne, décidée même à lui offrir mon anus s’il le désirait, car ce matin j’avais décidé de me faire sodomiser : mais rien n’y fit. Il était complètement las, vidé, épuisé. Ce n’était pas le Mambo que j’avais connu, celui qui m’avait pratiquement violée et qui m’avait tant faite hurler de plaisir. Je ne le reconnaissais plus !Le corps gros, les larmes pleins les yeux, méchamment de mes deux pieds je le repoussais devant l’affront qu’il osait me faire. Mon sexe n’était pas assez bien pour lui ! Il préférait celui des femmes plus vieilles. Je le haïssais, je les haïssais tous les deux, car j’étais certaine maintenant que les présomptions, les pensées que j’avais eues tout à l’heure en voyant Maman avec sa robe de chambre ouverte sur ses cuisses, le sexe nu à proximité de Mambo s’avéraient exactes. Malgré sa saillie de cette nuit, Elle s’était de nouveau faite monter par lui ce matin, juste après que Papa soit parti faire son footing et elle l’avait complètement vidé. Elle était trop radieuse quand elle m’avait aperçue, trop heureuse d’imaginer qu’il ne risquait pas de me saillir, mon tort avait été de lui dire qu’après le semblant d’attaque par les deux autres chiens, j’en avais rêver.Elle avait fait en sorte que je ne puisse pas ma servir de lui et elle avait réussi cette salope. Même pas la force de me lécher— Allez oust ! Dégage, va au garage ! Et ne t’avise pas d’essayer de recommencer à me passer ta tête sous ma jupe. C’est fini, tu ne me mérites pasLa tête basse, la queue entre les jambes, il descendit au garage et je claquais la porte derrière luiJe ne pus retenir mes larmes plus longtemps et c’est avec des sanglots pleins la gorge que je me décidais d’appeler Aurélie. Elle au moins m’était fidèle! Pas avec son chien, ça je le savais mais pour le reste, je pensais que oui ! Enfin je l’espéraisJe pris mon portable pour l’appeler, j’avais de nouveau beaucoup de choses à lui raconter.
Youpi !!!!!!!!!!!!!!
Aurélie allait venir me voir demain, elle allait rester avec moi toute la journée et je pense que j’arriverais à la persuader de rester la nuit et lundi. Mon cour recommençait à battre la chamade après cette tristesse qui c’était emparée de moi. J’étais de nouveau heureuse de savoir qu’elle serait la, tout près de moi. Sa bouche, ses lèvres, ses seins, son ventre, enfin tout son corps me manquait. J’avais aussi besoin d’être aimée, câlinée, caressée (surtout caressée), léchée, embrassée par celle qui m’avait fait connaître mes premières amours saphiques. — Tu sais où je suis : lui dis je après qu’elle m’eut annoncé la bonne nouvelle— Non ! Sous ton chien ?— Mais non ! Sûrement pas ! Quel nul celui là, il n’a même pas eu envie de me lécher, ni de me sauter !— Ah bon ! je sens que tu es en colère !— Il y de a quoi tu ne crois pas ! Je ne suis plus assez bonne pour lui. Sûrement que ma mère lui donne des choses que je lui donne pas ! Son anus par exemple !— Et alors tu attends quoi pour le lui donner ? je sais que tu en as envie ! Alors fait le ! ouvre toi à lui. — On verra ! J’en avais envie aujourd’hui, je m’étais même préparée pour lui, mais il est trop fatigué, ma salope de mère l’avait certainement vidé ce matin.— Je t’avais dit que ta mère était une salope ! — Ça, je m’en rends compte ! Pour le moment, Je suis dans sa chambre. Je cherche ce dont tu m’as parlé hier. Tu sais la crème et aussi je veux savoir si elle a des gadgets !— Bravo ! Je vois que tu as de la suite dans les idées. — Tu vois comme je t’obéis ?— C’est ça ma salope ! C’est que t’en crèves d’envie oui !— C’est vrai ! Je le veux dans mon petit trou, je veux qu’il me sodomise. J’en meurs d’envie depuis qu’il a failli me le faire et surtout depuis que j’ai vue Maman prise comme ça. Je ne te l’ai pas encore raconté, mais c’est comme ça qu’elle s’est donnée à lui cette nuit. Elle s’est positionnée pour qu’il s’enfonce entre ses fesses et jamais je ne l’avais vue aussi belle, aussi éclatante de bonheur quand il la tirait par derrière. Et je ne te dis pas quand elle a joui ! Et comment moi j’ai joui en les regardant.Tout en fouillant, prenant bien soin que Maman ne s’aperçoive de rien, je lui racontais tout ce qui c’était passé depuis hier au soir après avoir raccroché avec elle. — Je viens de trouver ! Dans le tiroir de sa table de nuit ! — Raconte !— Il y a un tube de crème et je viens de m’en mettre sur les doigts, c’est super. C’est gras mais sans plus, ça glisse bien.— Mets toi en sur ta minette et sur ton petit trou !— D’ac ! C’est trop bon ! Je sens que tout à l’heure je vais me mettre mon jouet. Mon doigt est rentré tout seul, c’est trop top ! Si tu ne m’avais rien dit, jamais je n’aurais pensé venir dans sa chambre— Cherche encore : me dit elle ! Je suis certaine que tu vas encore trouver des choses dont tu ne t’attends pas. Si tu avais à cacher quelque chose, tu le cacherais où ?— Avec mes sous vêtements ! — Alors cherche sous les siens, toutes les femmes sont identiques. — Je fouille dans son armoire et je n’aurais jamais cru qu’elle ait d’aussi beaux sous vêtements. En plus ils sentent super bon. Ça y est j’ai trouvé ! J’en reviens pas !— Raconte ?— Il y a un truc conique avec des renflements, tu sais ce que c’est ?— Oui ! ça s’appelle un « plug »— Et ça sert à quoi ce truc ? — Je me doutais que tu trouverais un truc comme ça, vu que ta mère aime se faire défoncer l’anus par Mambo comme tu me dis. Mets toi un max de crème dans ton petit trou et enfonce ce bijou entre tes reins. Ça va te le former et tu le garderas tout le temps que nous serons ensemble. Les renflements que tu voies, l’empêchent de ressortir. Pose la base sur le sol ou sur une chaise et descends doucement dessus. Tu vas voir comme tu vas aimer ma chienne ! Après tu te lèves et tu marches avec en le laissant bien niché en toi.Le corps tremblant d’excitation, Je l’écoutais, faisant exactement ce qu’elle me disait de faire. Depuis le début elle m’avait été de bons conseils et si elle me disait de faire comme ça, c’est qu’elle avait déjà essayé. Je me pommadais l’anus et je présentais le « plug » devant mon petit oillet qui se mit à frémir au contact de l’engin. Doucement, je m’enfonçais sur le jouet et cette sensation de dilatation de plus en plus forte, me fit jouir de suite, sans avoir eu besoin de me caresser. Ça promettait quand ce sera Mambo qui sera entre mes reins.Je traitais Maman de salope, mais Je ne pouvais ressembler qu’à elle !— Alors ! Tu as joui salope ? Je t’ai entendue — Attends ! Il faut que je reprenne mon souffle, c’était trop bon. Et je fais comme tu m’as dit, je marche avec et je sens que je vais encore partir. Faut que je me mette sur le lit de Maman sinon je vais tomberAllongée sur le lit, les fesses serrées au maximum pour ne pas qu’il ressorte, me caressant doucement le clito, lui racontant en détail tout ce qui c’était passé entre Maman et moi, lui assurant par la même occasion qu’avant la fin de la semaine prochaine, je serais dans son lit. Je lui expliquais aussi comment j’allais procéder avec elle, lui faisant comprendre que je voulais que ce soit ma mère qui m’aide à me faire prendre par Mambo ou un autre chien. — En fait, tu sais pour le chien, que ce soit Mambo ou un autre, je m’en balance . La seule chose qui m’excitait dans tout ça, c’était de me faire prendre par derrière et qu’elle fasse comme j’en avais décidé. _ Génial : me répondit elle ! Je n’aurais pas pensé à mieux. Tu es vraiment géniale.— Merci ! Mais ce que je voudrais en plus, ce serait de la surprendre avec Mambo ou avec les autres .— Quels autres ? de quels autres tu parles ?— Tu te rappelles les deux chiens de l’autre jour, ceux dont je t’ai parlés ! Et bien ils étaient encore là ce matin et ils n’étaient pas devant chez Monique, mais devant chez nous..— Raconte ! Tu es entrain de me mettre l’eau à la bouche. Tu veux que je te dise où sont mes doigts en ce moment ?— Surement au même endroit que les miens ! Tu sais ! je ne sens pratiquement plus mon anus tellement le plug m’ouvre, mais pour tout l’or du monde, je ne voudrais l’enlever. Attends, je me lève, je retourne fouiller. Il est bien au fond, niché entre mes reins. C’est trop bon ! Trop génial ! Merci mon amour de me faire connaître tout ça. Sans toi, je serais encore une nunuche, une oie blanche.Je lui racontais ce qui c’était passé lorsque j’avais aperçu les chiens. Le comportement de maman à partir du moment où elle les avait vus &,&,&,&,&,&.A son tour elle se décida enfin à me raconter jusqu’où sa mère et elle même avaient été avec leur chien. Je n’en revenais pas de tout ce qu’elle me narra. J’en étais pas encore là, hélas mais je ne désespérais pas d’en faire autant— Et ce n’est pas tout : lui répondis je après qu’elle eut fini ! Ce n’et spas tout ! Il y en avait un troisième. Encore plus gros que mon agresseur et que Mambo. C’est de lui que Maman est devenue folle et c’est à ce moment qu’elle a décidé d’aller elle même s’occuper de la chienne. Et je l’ai vue partir, suivi de la meute. Avant de fermer le portail, elle s’est bien retournée pour me regarder et maintenant elle sait et elle a comprise que je me doutais pour elle et Mambo et surtout ce qu’elle allait faire chez la voisine. Maintenant elle ne peut plus me le cacher— J’imagine la scène : me répondit elle ! Certainement qu’en ce moment elle est accrochée à lui.— Tu as raison ! Je n’arrête pas de penser à elle, je la vois à quatre pattes, prise par les chiens à tour de rôle. C’est pour ça que je voulais me faire défoncer par Mambo. Dommage que tu ne sois pas là avec le tien, je lui donnerais mon anus et tant pis pour mon chien. Je vais jouir ma chérie!!!!!— Moi c’est fait ! Excuse moi, mais tu m’as mise le feu. Demain ça va être chaud ! j’espère qu’ils seront encore là.— Ne t’en fais pas ! Ils seront là j’en suis certaine. Il n’y a pas de raison car maintenant ils savent qu’il y a plusieurs chiennes en chaleur dans le quartier. Attends ! Je viens de trouver autre chose. Une ceinture avec un godemiché accroché après.— Et bien ta mère ne s’ennuie pas on dirait! C’est une vraie chaude ! Tu sais de qui tu tiens maintenant ?— Oui et j’en suis fière ! Je me demande bien avec qui elle s’en sert !— Tu veux que je te dise ? Ta mère a une copine !— Tu crois ?— Bien sur ! Pourquoi aurait elle un tel jouet sinon pour le faire avec une autre femme, à moins que ce ne soit pour le faire avec ton père. — Ça va pas non ! Que Maman prenne mon père .. très trop toi. En plus, mon père, tu le connais ! Tu trouves qu’il est porté sur le sexe toi ? Moi pas !Je pouvais m’empêcher de rire en imaginant Maman affublé de sa ceinture, prenant mon père. Ça valait « dix » - Tu me fais trop rire !— Tu as raison ! Je me suis souvent posé la question, c’est vrai. Bref ! En attendant c’est super pour toi, pour vous deux. Un jour elle va te prendre avec ça, j’en reste persuadée. Vous allez me rendre jalouse toutes les deux— Je pensais exactement comme toi, en même temps que toi. Je te promets que si ça doit se faire , je la forcerais à le faire un jour avec toi. Enfin s’il y a besoin de la forcer !— Promis ?— Je te le promets et tu sais que je tiens toujours mes promesses. Tu sais à quoi je pensais en te disant ça ?— Non ! Mais avec toi aussi , je m’attends à tout.— Ce serait encore mieux si ta mère participait aussi.— Pour ça, il n’y a pas de problème. Ce sera certainement plus facile avec elle qu’avec ta mère. Comme je viens de te le raconter, J’ai l’avantage de l’avoir déjà fait avec elle, tandis que toi, tu en es qu’aux prémices. En plus, je ne te le jamais avoué, mais tu lui plais beaucoup. Très souvent elle me parle de toi quand nous sommes ensemble. — A bon ! Et qu’est ce qu’elle te dit ? Et vous faites quoi en parlant de moi ?— Devine ! Je suis toute trempée. Je me frotte le clito avec l’autre godemiché et j’ai les doigts qui sentent hyper bons. Tu me fais mouiller comme une fontaine.— Lèches les ! — C’est ce que je fais. Mais j’aimerais mieux que ce soit toi ou ta maman qui me le fassiez.— Un jour tu seras là et tu verras, ça va être ta fête. — Il me tarde ! Moi, Je t’ai dit qu’avant la reprise de l’école, je serais dans le lit de Maman et je le serais. Elle ne peut plus rien me refuser maintenantComplices jusqu’au bout des ongles, nous trouvions cette idée excellente et nous nous sommes mises à rire comme des folles. Continuant à lui parler, je regardais dehors, tout en caressant le gland factice du godemiché, me demandant si je n’allais pas me le mettre devant, laissant le plug bien au chaud entre mes reins, mais surtout avec qui elle pouvait bien s’en servir.— Ce n’est pas vrai !!!!!! Ce n’est pas possible !!!!!!!!!— Qu’est ce qui se passe ! Ta mère ????????????— Non ! Le chien ! Mon agresseur, celui d’hier et bien il est encore devant le portail. Je l’ai vue partir avec Maman mais il est revenu !— Alors va le rejoindre ! Appelle le ! Donne toi à lui !J’avais le cour qui tapait fort, très fort en le regardant et en écoutant ce que me disait Aurélie. Je savais qu’elle avait raison et je sentais qu’il était revenu pour moi. Mon sexe avait du lui plaire. Je me devais de m’occuper du sien, lui il le méritait.— Je ne sais pas ! Oui, tu as peut être raison! Je te laisse, il m’attend !— Bye ! Amuse toi bien et à demain— Oui ! je vais le rejoindre. Je t’aime !— Moi aussi je t’aime
Le corps tremblant comme une feuille, Je posais le téléphone, allais dans la salle de bain poser les deux jouets pensant les laver plus tard, je remis ma culotte et me dirigeais au dehors, mes yeux bien rivés aux siens, essayant de m’imaginer à quoi il devait penser en me regardant venir vers lui. Au fond de moi même, je ne voulais pas admettre que c’était pour ce bel animal que j’étais sur cette terrasse, me disant que je voulais être là quand Maman arriverait. Je voulais surtout voir dans quel état ils l’auront mise et surtout la tête qu’elle fera quand elle se rendra compte que je suis là. Elle ne pourra plus se dérober, d’ailleurs est ce qu’elle en aura envie. J’essayais de me persuader que c’était pour elle que j’étais là, mais c’était surtout pour celui qui était derrière la barrière et qui regardait dans ma direction. Je venais de jouir il y avait dix minutes à peine avec le plug encore enfoncé en moi , mais voyant ses yeux posés sur moi, mon ventre se mit de nouveau à me faire mal. Une fille normale aurait refermé la fenêtre, chassé les pensées malsaines qui occupaient son esprit, mais son cour et son corps lui disaient le contraire. C’était comme un aimant qui m’attirait et comme une somnambule, le ventre lourd, le clitoris gonflé par l’envie, la culotte collée aux sexe trempée par l’envie, je descendis les escaliers, mes pas m’emmenant vers lui. Je passais ma main au delà de la barrière pour le toucher, le caresser. Il était comme un fou, sa queue battait dans tous les sens et quand sa langue se posa sur ma main, je fermai les yeux, les souvenirs de cette langue sur mon sexe me firent défaillir. Le corps tremblant, je sentais mon sexe couler par l’envie que j’avais de me faire prendre par lui, collant mes poils contre ma culotte, culotte qui n’était plus qu’un morceau de chiffon complètement imbibée de cyprine. Machinalement, je regardais autour de moi, mais ici je savais personne ne pouvait me voir et remontant mon tee short sous mes seins, j’écartais ma culotte trempée, avançant mon ventre pour qu’il puisse enfin passer sa langue sur mon sexe ouvert. La gueule collée à mon sexe, il continuait à laper ce qui coulait de mon vagin et s’il n’y avait pas eu la barrière pour me retenir, je me serais laisser tomber au sol tant le plaisir qui m’envahissait le ventre était grand. Je pouvais voir sa langue courir entre mes lèvres mélangeant sa salive aux sécrétions qui perlaient sur mes poils pubiens. L’envie de me faire lécher entre les fesses était trop forte, je voulais sentir sa langue sur mon anus à peine refermé. Je me retournais, me penchais en avant pour lui présenter mes fesses et quand sa langue toucha mon bouton turgescent, glissa le long de mes grosses lèvres et qu’il se mit à me lécher mon anus ouvert, il n’en fallu pas plus pour me faire jouir encore une fois. Mambo m’avait donné beaucoup de plaisir, m’avait faite crier, hurler, mais Je n’avais jamais eu autant l’envie, cette envie de crier le bonheur que je ressentais et si ce n’avait été la proximité des voisins, je me serais laissée aller à hurler la jouissance qui venait de me traverser le corps, me laissant pantelante, ruisselante, toujours accrochée à la barrière.Les jambes flageolantes, reprenant mes esprits doucement, je savais qu’il m’en fallait encore plus pour assouvir la faim de sexe , qui depuis ce matin me tenaillait le ventre. Je le voulais dans mon ventre, le sentir au fond de moi, qu’il fasse de moi sa chienne, la chienne que j’étais.Regardant ma montre, je savais que j’avais encore le temps de prendre du plaisir et de profiter au maximum de sa queue qui était encore cachée dans son fourreau mais que j’allais faire grossir en moi. Il n’était que dix heures du matin et Papa ne reviendrait pas avant midi. Maman était partie depuis une heure déjà et comme je savais qu’elle ne reviendrait pas sans avoir été complètement remplie par les deux autres chiens, je pouvais si je me dépêchais, me faire sauter par celui qui venait de me lécher copieusement. L’envie était trop forte pour que je dise non et puis tant pis si elle revenait avant que j’eusse fini avec lui et aussi si elle me voyait collée à lui !J’avais eu un doute en raccrochant avec Aurélie, quand à me donner à lui, mais l’envie de me faire saillir était beaucoup plus forte et je me décidais donc de me donner corps et âme à celui qui n’avait pas voulu de Maman et qui était revenu pour moi, seulement pour moiLe cour battant de plus en plus fort, je lui ouvris le portail pour qu’il puisse me rejoindre.Je ne pouvais l’emmener dans le garage, Mambo y attendait sa patronne, Maman en l’occurrence. Aussi l’entraînais je derrière la maison, là où il y avait une grande haie, là ou on pourrait cacher notre amour.A peine arrivée, Il ne me laissa même pas le temps de le caresser, ni de poser ma bouche sur le bout qui pointait de son étui. Pourtant les envies de sucer, de goûter, de boire ce qui coulait de son sexe étaient très fortes mais les prémices de l’amour, lui il n’en avait rien à faire. Je n’eu même pas le temps de me mettre à quatre pattes devant lui, qu’il me sauta dessus, me faisant comprendre qu’il avait assez attendu. Heureusement que c’était sur du gazon, je ne vous dit pas l’état de mes genoux autrement.A peine posais je mes mains sur le sol pour le recevoir, que déjà sa tige brulante était nichée dans ma chatte béante. Ses coups de reins étaient terribles, puissants, il me tenait fermement contre lui, son sexe grossissait, s’allongeait en moi. Mon visage entre mes bras, je pouvais voir les gouttes de sperme qui perlaient sur mes poils luisant et qui coulaient le long de mes cuisses. Je ne voulais pas qu’il me prenne comme ça.Quand il m’avait jetée par terre, j’avais décidé que je lui donnerai ce que j’avais refusé l’autre fois à Mambo. Je voulais qu’il me prenne par l’anus, je voulais qu’il me sodomise. J’étirais mes jambes sous son corps, ce qui eu pour effet de le faire ressortir de mon sexe avant qu’il ne soit trop gros et quand son engin violacé ressorti de ma chatte en feu, un long jet de sperme chaud et gluant vint m’arroser les fesses, jusqu’au milieu des reins. Autant avec lui qu’avec Mambo, j’étais sidérée par la puissance des jets et la quantité de sperme qu’un chien pouvait donner à sa femelle. C’était comme s’il avait voulu m’uriner dessus, comme s’il voulait marquer son territoire, dire aux autres que cette chienne lui appartenait. Aurélie m’avait dit que c’était pour graisser la vulve de leur femelle qu’il crachait leurs premières giclées comme ça. Elle en savait des choses celle là !Comme je l’avais vue faire par Maman avec Mambo, les fesses basses pour ne pas qu’il ne me prenne par devant, je me préparais de nouveau à le recevoir et malgré l’envie que j’avais de me faire saillir comme ça, j’appréhendais grave.Le miel qui coulait de mon sexe me fit comprendre que lui aussi était prêt lui aussi à accepter son sexe, mais c’était par derrière qu’il me prendrait. Pour la première fois, j’allais vraiment me faire sodomiser par quelque chose de gros, de chaud, de brulant. De m’imaginer avec son noud gonflant dans mes reins, nymphomane comme je l’étais devenue, je me suis mise à jouir en sentant le bout de son sexe effleurer, chercher, taquiner mon oillet sans vraiment trouver l’entrée. Avait il déjà sailli une femme ? Je ne savais pas, mais il avait de suite trouvé mon sexe.Avait il déjà sodomisé une femme ? Voilà les questions que je me posais en espérant qu’il trouve très vite l’entrée de mes reins. Mon corps tremblait d’impatience.Il frappait dans tous les sens, continuant à cracher son sperme sur mes reins, mes cuisses, mes fesses. Il cherchait ses marques. L’assaut fut à la hauteur de son envie et de la mienne. Son sexe me pénétrant enfin, il me fit jouir une première fois mais comme Maman je voulais ma part de jouissance, j’en voulais encore et encore. Nous avions tout notre temps, je voulais qu’il reste vissé en moi le plus longtemps possibleSes coups de reins étaient toujours aussi terribles, aussi puissants qu’à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi, je sentais ses boules frapper les lèvres de mon vagin. Son sexe avait déjà doublé de volume entre mes reins et je n’en revenais pas comment il m’avait été facile d’accepter aussi facilement l’intromission de son engin dans mon anus. Sa boule commençait à se former et malgré ça Il ressortit de mes reins. Comme avec Mambo, je commençais à l’insulter, ne pouvant m’imaginer qu’il ne puisse pas me saillir comme j’en avais envie. Quel mufle lui aussi!Assise sur mes fesses trempées, je le regardais reprendre son souffle, sa queue violacée rentrant de nouveau dans son fourreau. Mon attente fut de courte durée ! J’osais espérer que cette fois serait la bonneSes pattes puissantes me retournèrent comme une crêpe et cette fois son sexe qui avait gardé une certaine raideur et une très belle grosseur, m’écarta l’anus violemment et s’enfonça en moi comme je l’avais désiré. Sa poussée fut forte et son sexe enflait, gonflait, grandissait et la boule qui se dilatait en moi commençait à me provoquer une douleur insoutenable. C’était comme s’il m’ouvrait en deux. Malgré le noud qui avait doublé de taille, il continuait à me besogner, essayant par la même occasion de se libérer de moi. Le plaisir tant escompté n’y était plus, le mal qu’il me procurait me faisait presque regretter de m’être donnée comme ça. Dans cette position, il m’était impossible de gérer quoique ce soit. La seule chose que je pus et m’empressais de faire, ce fut de lui tenir ses deux pattes avant, pour ne pas qu’il puisse se décoller de moi, certaine qu’il m’aurait faite mourir de douleur tant sa bitte et son noud étaient gros. Il s’arrêta enfin de bouger laissant sa langue pendante baver sur mes épaules et ma nuque. Entre son sperme, ses poils, sa bave, j’aurais de quoi frotter tout à l’heure. Voilà à quoi je pensais coller à lui quand je sentis son sexe se contacter. Mon canal étroit serrait son sexe dur comme une barre de fer et contrairement à la pénétration vaginale, il m’était impossible de le sentir bouger en moi, mais les contractions de son engin, me laissait supposer qu’il me remplissait de son sperme bien chaud. La douleur commençait à s’estomper doucement, cédant la place à un plaisir nouveau qui commençait à naître en moi. Je relâchais une de ses pattes passais ma main dessous mon ventre pour toucher le lien qui l’unissait à moi et prendre ses couilles entre mes doigts. Elles étaient douces, dures, pleines de jus pour sa chienne. Il me remplissait, je les sentais bouger dans ma main et ramenant mes doigts sur mon bouton, je commençais à me caresser, ce qui m’amena très vite à un orgasme foudroyant. C’était comme si j’avais joui par mon anus.Maintenant, La présence de son sexe ne m’indisposait plus, bien au contraire et comme lui tout à l’heure, je commençais à bouger, essayant d’enfoncer encore plus loin sa bitte entre mes reins, cherchant mon plaisir au maximum. Je le happais, le tirais, l’aspirais avec mes fesses et de nouveau ce petit manège me fit jouir. C’était trop bon, je recommencerai, je le savais mais cette fois, je le ferais avec Mambo. Il avait été mon premier amant, aussi je me devais de lui donner ce plaisir. Quelle hypocrite je faisais ! Comme si c’était le plaisir de Mambo que je voulais !Les yeux fixés à ma montre je constatais qu’il était en moi depuis trente minutes maintenant et s’il ne se décidait pas à se retirer, ce serait sûrement dans cette position que Maman ou Papa allait nous trouver. Ouf ! Je le sentais qui essayait de sortir, de se décoller de moi. Je n’en pouvais plus tant il était lourd sur mon dos et cette poire énorme écartée dans mes reins, me donnait plus de gêne que de plaisir. Je n’avais qu’une seule hâte , c’était qu’il sorte de mon séant. Et vite !Je relâchais donc la dernière patte que je tenais pour qu’il puisse faire son travail comme il fallait, espérant de tout mon cour que son noud puisse sortir sans trop de souffrance. Je connaissais celui de Mambo et quand je repensais à la première fois où il m’avait prise, il m’avait faite hurler de douleur lorsqu’il était sorti de mon vagin. Je m’imaginais que par l’anus, ce serait épouvantable et que la douleur allait être extrême.Ma main collée à mon sexe, je me tripotais le clito avec frénésie, essayant de me donner du plaisir pour oublier ce que j’appréhendais depuis dix minutes. A peine sa patte libéré, il se retourna et tira si fort qu’il m’emmena avec lui, me tirant sur le gazon sur plusieurs mètres, jusqu’à ce mon anus éjecta l’intrus qui était en lui. Le bruit que fit son sexe en sortant de moi , se confondit avec le bruit de mon corps s’écroulant au sol. J’aurais pensé que la sortie de son engin aurait été beaucoup plus difficile et beaucoup plus douloureuse que ce que je venais de ressentir. Sûrement que la pommade dont je m’étais enduite l’anus et le « plug que j’avais mis dans mon derrière avant de venir le rejoindre, y était pour beaucoup. Allongée, mes mains posées sur mon anus ouvert et malgré la douleur qui me tenaillait le ventre, je ne pouvais écarter les yeux du sexe monstrueux qui pendait devant moi. Quoique ! il me fallait admettre que celui de Mambo était un tout petit plus gros que le sien. Il m’avait faite souffrir, mais il m’avait donné beaucoup de plaisir. Il m’avait rempli le ventre de son sperme chaud et voyant son sexe continuer à se déverser sur l’herbe, je me dis que c’était bien dommage de perdre de si bonne chose. Les yeux émerveillés, le cour rempli d’amour pour lui, je rampais dessous son ventre pour prendre sa belle queue qui se balançait à chaque pulsion, je la entre mes mains et la dirigeais près de mon visage, écartant ma bouche pour sentir son sperme se déverser au fond de ma gorge. Je n’avais pas osé la prendre entre mes lèvres, il venait de sortir de mes fesses, mais je lui promis qu’un jour je le ferai. Mon dieu comme son noud était gros, si gros que j’en louchais presque !Quand il se fut bien vidé en moi, son sexe de nouveau bien rangé dans son fourreau, je le fis sortir du jardin, sachant qu’il reviendrait et la prochaine fois je le suivrais pour savoir où je pourrais le retrouver si l’envie me venait de me faire saillir encore une fois par lui.Les jambes flageolantes, je refermais le portail et allais jusque dans la salle de bain. Il fallait que je m’occupe de laver les jouets que j’avais laissés et surtout que je me lave. Je sentais le chien, mon corps était recouvert de poils et de sperme et il fallait laver les dégâts. » » » » » »
Toute à mes pensées, je me rendis compte que ce que je venais de revivre m’avait mise dans un drôle d’état. Mon sexe était de nouveau humide et chaud. Il avait faim et il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que j’avais de nouveau envie me caresser. Je tendis la main sur la tablette de la douche et pris le godemiché pour l’enfoncer dans mon vagin qui réclamait sa part de jouissance. Les yeux rivés sur le jouet qui rentrait et sortait de mon ventre, j’haletais, sentant venir le plaisir qui naissait au fond de mon vagin— C’est bon ? J’étais si bien, je venais pour la énième fois de jouir, que je n’avais même pas entendu la porte s’ouvrir et je me retrouvais nue devant Maman, le godemiché planté dans ma chatte. Figée, je m’attendais à ce qu’elle me fasse des remontrances, mais ce fut les seules paroles qu’elle me dit en s’approchant de moi.— Oui, énormément ! Et pour toi ? lui répondis jeMes mains n’avaient pas lâché le godemiché et je l’enfonçais tout en lui répondant du tac au tac. Après tout, elle m’avait vue me masturber alors pourquoi ne pas continuer. Elle s’approcha de moi et dans un souffle avant que ses lèvres viennent se poser sur les miennes elle me répondit :— Monique est revenue ! Elle est rentrée hier au soir.— Tu es déçue ?— Oui beaucoup ! Mais je me rattraperais dans la semaine. Elle ne peut encore pas marcher, aussi je continuerais à m’occuper de « Nalla » et toi si tu le désires, tu pourras venir avec moi. Elle est dans sa dernière semaine de chaleur, la pire et ce sera bien que nous soyons deux pour la surveiller d’autant plus qu’il y avait deux autres chiens qui étaient devant le portail.Elle me parlait des chiens qui attendaient, me racontant comment elle avait retrouvé Monique assise sur sa chaise roulante ( elle devait la garder au moins quinze jours encore ) , ceci naturellement, comme si depuis le début nous étions complices et à mi mot, elle me fit comprendre qu’elle n’avait pas pu se faire monter par la meute de chiens, comme elle l’avait envisagé, mais qu’elle pensait le faire dans la semaine , m’invitant quasiment à venir participer avec elle. Elle ne m’avait toujours pas avoué ses attirances zoophiles - ni moi d’ailleurs - mais ce qu’elle venait de me dire me prouvait qu’à partir de ce moment, nous partagerions tous nos secrets— Maman ! tu sais que mon presque « violeur » est revenu ici ?— Oui je sais ! Et alors, tu me raconteras ?— Oui ! Je pense que je le feraisPendant que sa langue fouillait ma bouche et qu’elle la mélangeait avec la mienne, j’avais serré les cuisses pour ne pas laisser tomber le godemiché et pour que mes mains libérées puissent s’amuser avec son corps. Je la caressais, passais mes doigts sur la pointe de ses seins qu’elle avait aussi durs que les miens. Je répondis à son baiser avec fougue, pendant que ses doigts tripotaient mon bouton et m’enfonçaient le godemiché au fond de mon vagin, déclenchant des sensations trop fortes pour que je n’en jouisse pas. Mon corps se mit à onduler sous ses caresses et quand la jouissance vint, mon sexe rejeta le godemiché, inondant ses doigts de ma cyprine parfumé. Le cour rempli d’amour pour elle, je pris sa main, la porta à ma bouche pour lécher ses doigts trempés— Tu viens encore de jouir ?Je ne lui répondis pas, opinant seulement et je me mis à genoux devant son corps qu’elle venait de dénuder. Ma bouche léchait ses seins, son ventre. Mes mains descendaient le long de son dos, serraient ses fesses. Sa culotte était toujours posée sur ses hanches et quand ma bouche se posa sur la partie collée à son sexe, je pus constater qu’elle était très humide et qu’elle sentait l’odeur de « Nalla ». Comme moi, elle s’était frottée à elle pour en garder ses odeurs et comme moi, j’étais persuadée qu’elle ne la laverai pas, trop soucieuse de pouvoir s’en servir.Malgré tous les efforts qu’elle fit pour m’empêcher de poser ma bouche dessus, je pus enfin écarté ce bout d’étoffe qui cachait son sexe parfumé et force me fut de constater qu’elle avait prise le temps de se faire lécher par Mambo avant de venir dans la salle de bains. Ses poils luisants et les traces de baves qu’elle avait le long de ses cuisses en étaient la preuve. Certainement que si elle en avait eu le temps et si je n’avais pas été à la maison, c’est sous lui qu’elle serait à présent. Mes lèvres bécotaient, picoraient son corps jusqu’à ce qu’elle trouvent et viennent se poser sur le fruit « dit » défendu. Ma langue la fouillait, dénichant son clitoris qui dardait entre ses grosses lèvres. Ses mains, qu’elle avait posées sur ma tète appuyait mon visage contre son ventre, obligeant ma langue à fouiller son sexe ruisselant. Elle sentait bon, il était trempé, humide et quand ma bouche happât son bouton d’amour elle se mit à feuler, d’une main essayant de me repousser, de l’autre retenant ma bouche collé à son ventre. Elle ne résistait plus et les convulsions qui secouaient son ventre me firent comprendre qu’elle allait jouir.Je pensais à ce qu’Aurélie m’avait dite et faite la première fois que nous nous étions aimées.Mes mains écartaient ses lobes fessiers, permettant à un doigt puis deux de pénétrer dans son fondement et c’est comme si elle s’était assise sur un nid de guêpes quand il le pénétrèrent. Elle se mit à faire la danse du ventre, à bouger les fesses, les écartant au maximum pour que j’aille plus loin en elle et Il ne lui en fallu pas plus pour qu’elle se mette à gémir. Tremblante de la tête aux pieds, elle se mit à crier, laissant la jouissance envahir son corps. Ma langue léchait, avalait le miel qui coulait de son sexe. J’étais heureuse, je venais de faire jouir ma mère. Assise contre moi, ayant reprise ses esprits, elle me dit que ce n’était pas bien, qu’on ne devait plus recommencer, qu’on était folles, que c’était mal, très mal ce qui ne l’empêchât pas de poser sa bouche sur mes lèvres, léchant la cyprine qui était sur mes lèvres.— Et toi ! Me dit elle dans un souffle, la bouche collée à la mienne— Quoi moi !— Je ne t’ai rien donné— Ce n’est pas grave ! Je te voulais toi. Je voulais que tu saches combien j’avais envie de toi. La prochaine fois ce sera toi. Et puis toi aussi tu m’as faite jouir avec le godemiché. Tu ne te rappelles plus ?— Oui, ce sera moi ! Je t’avais dit d’attendre la semaine prochaine que ton père soit parti, mais je viendrais ce soir dans ta chambre. Nous avons beaucoup trop de choses à nous raconter tu ne crois pas ?— Oh si ! Toi surtout !— Au juste ! Où as tu trouvé ce jouet que tu avais dans le ventre ? Et celui qui trône sur la tablette ?— Le premier chez Monique et le deuxième, je pense que tu le reconnais !— Pour ce qui est de Monique ! Il te faudra le remettre avant qu’elle ne s’en rende compte et pour ce qui est de l’autre, je n’aime pas qu’on fouille dans mes affaires. Tu t’en es servi de celui là? — Non ! je ne sais pas à quoi ça sert. Mais peut être que tu m’expliqueras ce soir: lui répondis je en lui faisant un coup d’oil ce qui la fit devenir rouge comme une pivoine.— On verra ! J’espère que tu n’as pas fouillé partout ?Je savais en voyant sa tête qu’elle pensait à la ceinture avec le godemiché, mais je voulais qu’elle soit tranquille et que ce soit elle qui me la fasse découvrir et qu’elle s’en serve avec moi.— Bien sur que non ! Pourquoi, tu as encore des choses que je ne connais pas ?— Tu deviens impossible ! Allez ouste, il faut que je prenne ma douche.— Je peux rester avec toi ? Tu veux que je te passe le gant de crins où tu aimes ?— Tu es vraiment insatiable toi ! Non ! ton père ne va pas tarder d’arriver. Il ne manquerait plus que ça qu’il nous découvre nues toutes les deux entrain de nous astiquer.— Embrasse moi et je m’en vais— Où ?— Devine !Avant que je ne lui précise l’endroit, elle s’était mise à genoux devant moi et posa sa bouche sur mes lèvres gonflées . — Hum !!!!!!!!!!!!!! Ta bouche est bonne. Si tu continues je vais encore jouir.Cette fois, c’est elle qui ne répondit pas écartant mes lèvres avec ses doigts, elle enfila sa langue au plus qu’elle le put. Je pris ses mains et les posais sur mes fesses, espérant qu’elle devine ce que j’avais envie qu’elle me fasse et quand son doigt s’insinua dans mon anus, je jouis de suite, lui inondant la bouche de la mouille qui coulait de mon sexe. Heureusement qu’il s’était enfin refermé sinon je n’aurais su quoi lui répondre si elle m’avait posé des questions sur l’état de mon petit trouSe relevant, les yeux au fond des miens elle me demanda : — Ses marques sur tes hanches ! Tu m’expliqueras ?— Et toi tes poils trempés ! Tu me raconteras Riant à gorge déployée elle colla sa bouche à la mienne, attendant que je la lui lave avec ma langue. Ce que je fis avec grand plaisir.— Nous sommes folles ! Allez File ! — Je suis folle de toi ! Je t’aime maman— Moi aussi mon amour.Avant de sortir, je me retournais vers elle et lui dis : - Tu sais Maman! J’en avais envie, très envie, mais je ne l’ai pas fait. Je n’ose pas toute seule.Encore un mensonge de plus, mais je tenais à ce que ça se passe comme je l’avais décidé et expliqué à Aurélie. Je n’attendais pas de réponse et elle ne m’en donna pas, mais je savais que ce que je venais de lui avouer allait faire son chemin dans sa tête. Je savais aussi qu’on allait en reparler cette nuit quand elle me viendra me rejoindre dans mon lit et si je me débrouillais bien et insistais un peu, je pense qu’elle m’emmènera au garage. Lui envoyant un baiser du bout des doigts, baiser qu’elle me rendit et je refermais la porte derrière moi, le cour rempli de joie. Tout s’annonçait pour le mieux du monde pour nous deuxN’avais je pas dit à Aurélie que Maman serait dans mon lit avant la fin des vacances ! Et bien, elle le sera ce soir, après que Papa ait pris comme à son habitude, ses pilules pour dormir.......
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