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Chantal et Aurélie

Chapitre 18

Zoophilie
— Et alors, Tu n’as pas aimé ?Je ne lui répondis même pas. M’étirant tel un lézard, je me coulais contre elle, prenant sa main dans la mienne, pour la coller entre mes cuisses, lui permettant ainsi de constater les dégâts.— A votre avis ! Ai je aimé ou pas ?— Hummmmmmm je vois!!!!!! Te caresses tu souvent ?— Oui, avouais je, l’esprit à demi égaré.— Combien de fois par jour?— Je ne sais pas, cela dépend... Je ne le fais pas tous les jours non plus. J’aime le faire il est vrai, mais de loin, je préfère quand c’est Maman ou la grosse queue de Mambo. Vous savez ! Maintenant ce sera Oko qui profitera le plus de mon corps, Mambo lui, il est à elle, mais il va de soit que nous nous le partagerons— Me le prêteras tu si j’en ai envie ?— Je suis à vous maîtresse et il vous appartient aussi.Je ne pus dire une parole de plus car sa bouche parfumée, se colla à la mienne pour un baiser langoureux. Sa langue fouillait ma bouche, cherchant elle aussi les arômes du sexe de Mambo— Caresse toi, me chuchota-t-elle à l’oreille ! Après tout nous avons le temps d’aller voir Monique : tu ne crois pas ma chérie ! Fais-le pour moi, maintenant!C’est vrai que nous avions le temps, et qui sait quand je pourrais de nouveau profiter d’elle ! J’aurais quand même voulu lui expliquer que j’avais la chatte tellement irritée que je ne savais pas si j’en éprouverais du plaisir, mais je me tus, obéissante aux ordres qu’elle venait de me donner. Alors, telle l’esclave que j’étais devenue, sachant qu’elle n’aurait pas accepté un refus de ma part, je posais les doigts sur mes lèvres turgescentes. Avais je vraiment envie de lui désobéir, me dis je en commençant à me caresser?Durant quelques secondes, crispée, le dos raidit, les mains posées bien à plat sur mes cuisses jointes, je me détendis, puis me laissais aller en arrière contre le haut du lit en relevant la jambe gauche, jusqu’à pouvoir poser le pied sur le lit, assez loin de son genou droit.Cartouche s’approcha pour me renifler le sexe, mais un ordre impérieux de sa maîtresse le fit retourner s’étendre devant la cheminée, près de ses compagnons qui ne s’étaient même pas donnés la peine de bouger. Les pauvres récupéraient. Oko depuis hier matin, m’avaient saillie deux fois et une fois Nathalie cette nuit: comme je le comprenais. Moi aussi j’aurais aimé rester allongée près d’eux pour pouvoir dormir, dormir, dormir.Mes yeux rivés aux siens, je portais une main à mon pubis, que ne protégeait aucune toison, séparant mes lèvres intimes pour découvrir mon entaille sexuelle. J’effleurais mon clitoris, frissonnante un peu et le cœur battant si fort qu’il me semblait que toute la pièce en résonnait, j’engageais un doigt, puis deux entre les doux pétales de ma Féminité.Avec une conscience aigüe de mon obscénité, je me consacrais au jeu grisant en appuyant plus fermement un doigt sur ma chair, le faisant aller et venir au long de ma fente, le plongeant dans mon vagin pour le mouiller, puis le remontais sur la crête dardée de mon clitoris en le faisant vibrer. Alors, fermant les yeux pour mieux me concentrer, je ne pus retenir plus longtemps un gémissement incontrôlé s’échapper de ma gorge. Le plaisir était déjà là.— Tu ne te caresses jamais l’anus?La question me fit tressaillir et j’ouvris les yeux pour considérer Nathalie d’un regard que le plaisir troublait déjà, hochant vaguement la tête, dans l’incapacité de parler.Sans un mot, je relevais mon autre jambe et les deux pieds posés bien à plat, les cuisses largement ouvertes, le pubis projeté en avant, j’insérais un doigt puis deux, entre mes fesses , les faisant tourner sur le bord de mon orifice le plus secret.— C’est bon, n’est ce pas?La bave au coin des lèvres, j’approuvais du menton, en silence.— Moi, me dit elle ! J’adore m’exciter très longuement avant de me laisser aller à l’orgasme. Aussi, plutôt que de toucher à mon clitoris, j’enfonce mes doigts dans mon vagin et mon anus, je les fais aller et venir doucement, mais très profondément. A te dire la vérité, j’aime mieux encore user de godemichés. J’en possède plusieurs, dont deux ou trois, particulièrement originaux, que je te montrerai et qui je peux te l’assurer, te procureront des sensations absolument délirantes. Rien à voir avec celui que tu avais entre les fesses tout à l’heure.
Ça promettait !Je ne cherchais plus à réprimer la plainte qui montait à mes lèvres.— Oh! Excusez moi, je ne peux plus me retenir!J’agitais plus vivement le doigt sur mon clitoris et les autres dans mon anus endolori puis mon râle devint un cri. Mes cuisses s’ouvrirent d’un coup davantage, se refermant avec violence, claquant l’une contre l’autre en emprisonnant ma main. Je criais encore, de façon presque déchirante, en m’inondant les doigts de mon plaisir, puis je m’affaissais sur le lit en exhalant un dernier sanglot assourdi, ce qui eut pour effet de faire lever la tête des chiensDebout, les oreilles dressées, me fixant tous les trois, puis regardant Nathalie, comme s’ils quêtaient de sa part une permission, permission qui ne leur fût pas aucunement accordée, hélas. Alors ils se recouchèrent tous les trois sagement.— Dormez mes amours ! Leur dit elle en s’approchant d’eux et en leur caressant sagement le fourreau qui cachait ce qui nous avait fait tant jouir. Vous nous avez bien gâté toutes les deux, mais vous aurez besoin de toutes vos forces pour allez voir Monique qui nous attend. Je vous réserve encore de bonnes choses, mes jolis.Je ne sentais plus mes doigts, ni ma chatte et encore moins mon anus, et malgré ça, je regrettais presque qu’elle ne les eut pas autorisés à venir se délecter de la mouille qui recouvrait mes doigts et qui coulait le long de la raie fessière, ne pouvant que constater encore une fois, que même à elle, les chiens s’étaient soumis. — Allez oust ! Me dit elle ! Il est déjà 13 heures, nous devons encore aller chez Monique et ce soir ta Maman sera avec nous. Tu es heureuse ?— Oh oui ! On va pouvoir faire enfin l’amour toutes les deux en toute liberté, elle me l’a promis. Vous resterez avec nous, vous vous joindrez à nous ?— Tu aimerais ? Alors je resterais. Ça fait déjà trois jours que nous nous sommes pas vues, et j’ai l’impression que ça fait une éternité déjà. A moi aussi elle me manque tu sais !— Répondriez vous à une question maîtresse ?— Je t’écoute !— Aurélie !!!!!!! Je sais qu’elle l’a fait avec Cartouche, pour les avoir vus tous les deux entrain de copuler, alors, quand j’appelais le soir pour lui raconter ma journée, surtout mes premières amourettes avec Mambo, était ce elle ou vous qui me répondiez ?— Parfois elle, mais le plus souvent moi. L’aurais tu fais avec lui, si tu ne l’avais vue et si je ne t’avais dit comment faire et quoi faire ?— Je ne sais pas ! La première fois où je les ai vus, j’ai trouvé ça complètement débile, me demandant même si j’allais continuer à la fréquenter et en vérité, je l’ai fait parce que je croyais que c’était elle qui me le demandait et pour elle j’aurais fait n’importe quoi. Je l’aime fort vous savez ! - Je le sais ! Elle le sait et elle aussi elle t’aime. — Pas un seul instant, j’aurais pu penser que c’était vous, jusqu’à hier où nous nous sommes parlées.— Regrettes tu que ce soit moi l’instigatrice de tout ?— Non !!!! Au contraire. Mais jamais je n’aurais pensé un seul instant, que vous puissiez être de connivences toutes les deux.— Mais toi avec ta Maman ! Vous l’êtes bien aussi, n’est ce pas ? — Oui c’est vrai. Mais on croit toujours que nous sommes les seules au monde. Aurélie sera-t-elle bientôt avec nous, si bien sur vous l’aviez décidé?— Oui ma chérie, et bien plus vite que tu ne penses.— Est elle au courant que vous êtes là, et l’avez vous fait toutes les deux avec Cartouche ?— Je croyais que ce n’était qu’une seule question ! Oui elle le sait, d’ailleurs elle sait tout, je ne lui cache rien et même maintenant, je sais ce qu’elle fait et où elle est. — Alors ! Où est elle et que fait elle ? — Tu es trop curieuse. D’abord ma réponse à ta question. Oui nous l’avons fait et le faisons le plus souvent possible avec lui. Es tu satisfaite ? — Oui je le suis. — Maintenant, c’est moi qui te questionne! Avec ta Maman ! L’avez vous fait toutes les deux ?— Avec Mambo ! Jamais, mais comme j’aimerais. Mais elle et moi, très souvent mais pas assez à mon goût. Plusieurs fois je les ai surpris Mambo et elle : ils étaient tellement beaux tous les deux. Croyez vous qu’elle acceptera de me laisser participer à leurs ébats?— Elle le fera, elle me l’a dit.— Vivement !!!!!!!J’ai hâte qu’elle m’appelle, et j’ai grande hâte qu’Aurélie revienne ! Elle aussi, j’aimerais qu’elle me trouve collée à Mambo, comme je l’ai vue avec Cartouche. Le faire avec elle et Oko aussi, la voir prise par lui, j’en rêve ! — Et moi ! Tu n’aimerais pas me voir saillie par lui ?— Oh oui !!!!!! Tout à l ‘heure si vous voulez, quand il se sera remis.— Non, plus tard, nous aurons tout le temps toutes les deux. N’oublie pas que nous avons rendez vous avec Monique.— Je suis sure qu’elle doit nous attendre avec impatience. — Allez il nous faut nous préparer et mettre un peu d’ordre dans cette chambre. Que dirait ta maman si elle la trouvait dans cet état. Il me semble entendre hurler ton père s’il trouvait sa maison occupée par des chiens— Maman ! Elle trouverait ça normal, en se disant que nous aurions été bien bêtes de ne pas l’avoir fait, mais alors lui !!!!!! Après tout, je m’en balance de ce qu’il penserait.Sur ce, après avoir fait le ménage, prises une douche toutes les deux, sans oublier quelques caresses au passage, vêtue d’une mini jupe, comme elle me l’avait exigée, le cœur joyeux je sorti de chez moi. — Enfiles la culotte que tu portais chez Monique, m’avait elle lancé avant que je me rhabille: on ne sait jamais ! Si les chiens étaient encore là !— Croyez vous qu’ils la sentiraient encore ?— Tu peux en être certaine. Attends toi à être encore solliciter s’ils sont là.— Vous êtes sur ? Elle est pas bien nette vous savez !— Fais moi confiance chérie et ce qui est au fond de la culotte t’appartient si je ne me trompe.Les fesses enveloppées, précédent Nathalie qui avait encore des choses à faire - choses qui ne me regardaient pas comme elle me l’avait fait remarquer et dont je me fichais royalement - je gambadais sur le trottoir, trop pressée de voir la tête que ferait Monique quand je lui raconterais ce qui c’était réellement passé entre Nathalie et moi. De plus elle m’avait dit qu’elle avait une surprise pour moi et j’avais hâte de voir de quoi il en étaitNathalie, m’avait juste crié avant que je ne ferme le portail :— S’il y a de nouveau la meute devant chez elle, essaie de les faire rentrer dans la cour pour ne pas qu’ils s’en aillent, les nôtres ne sont pas encore remis de leur nuit. Depuis le temps qu’elle me refuse celle là, je lui réserve un traitement de « reine » crois moi. Elle ne va pas être déçue.Il était vrai, que les pauvres n’avaient eu aucun moment de répit. — Promis ! J’espère qu’ils seront là!— Ils le seront, j’en suis persuadée ! Je sais dont quoi sont capable les chiens, quand les chiennes comme nous sommes en chaleur.
Riant à gorge déployée à sa remarque, je n’avais pas oublié le ton de sa voix et les yeux qu’elle avait en faisant allusion à Monique, ce qui me fit froid dans le dos, me demandant ce qu’elle avait du lui réserver. Il n’y avait pas longtemps que j’étais à elle, mais ces paroles me firent comprendre qu’elle ne serait pas heureuse si je lui désobéissais, mais d’un autre côté, je me découvrais un côté « maso » en me demandant si je n’aimerais pas qu’elle me punisse fort, très fort.Arrivant devant de Monique, Nalla était dehors à se promener dans le jardin, mais la meute n’était pas là comme elle me l’avait prédit et comme je l’avais espéré. J’en étais profondément déçue, sans compter la déception de Nathalie, en vue de ce qu’elle avait prévue pour Monique. Comment allions nous faire pour la faire monter, vu que nos chiens étaient complètement « nases ».Je me mis donc à faire le pied de grue en l’attendant, allant de la maison au coin de la rue, espérant les voir arriver, mais « nada », il n’y avait rien à l’horizon. Déçue, le cœur gros, attendant un peu, je me décidais de rentrer quand même, mais juste avant d’ouvrir le portail, comme surgit de nulle part, l’énorme bête, la gueule ouverte, la langue collée au sexe de la chienne qui en appréciait sa façon de faire de la façon qu’elle avait relevé sa queue pour qu’il puisse bien la lécher. Les oreilles dressées, le regard me fixant, alors qu’il dégustait la fente de la chienne, il me barrait le passage. D’où sortait il celui là ?! Je ne l’avais encore jamais vue dans le secteur : et quelle bête, me dis je, autant intimidée, que désemparée !!!!!!!Il ressemblait à un danois, enfin issu de cette race et la position soudaine qu’il prit, lorsque je voulu le pousser pour rentrer, me fit reculer de frayeur. Pourtant jusqu’à ce jour, aucun chien ne m’avait intimidée, mais alors lui, c’était quelque chose.Abandonnant la fente parfumée de Nalla, cessant d’haleter, la langue pendante, il posa son derrière sur le trottoir, puis la tête inclinez sur le côté, il semblait me sourire de façon sournoise, comme s’il voulait se moquer de la peur qu’il m’avait inspirée. Ses pattes antérieures étaient solidement posées sur le sol, légèrement écartées, laissant la masse de ses parties génitales pendre lourdement entre ses cuisses. Je vis, malgré le recul que j’avais pris, son sexe gonfler et la pointe de son phallus rouge et humide émerger de son fourreau. Etait ce les odeurs de la culotte que je portais qui l’émoustillait à ce point???????Mon dieu comme son engin était déjà gros et je me surpris à rêver de le caresser, de me pencher sous lui et de le prendre dans ma main pour le faire sortir complètement de sa gaine protectrice. Mes yeux ne quittaient plus sa pointe humide qui sortait gaillardement.Revenant sur terre, j’eus le sentiment irrationnel que le molosse avait pris de lui même l’initiative de me guetter pour me surprendre comme l’avait fait Oko auparavant. Était ce pour moi ou pour la chienne qu’il était là, planté devant moi, ses yeux lorgnant sur le haut de mes cuisses ? Serait il un aussi bon amant, me demandais je malgré la trouille que j’avais de lui ?Lui, il ne me quittait pas un seul instant des yeux et j’avais la sensation pénible d’être jaugée, appréciée, dénudée, désirée, avec la certitude à présent que son sexe s’enflait pour de bon. Je détournais les yeux, gênée, inquiète, le cœur complètement affolé, me demandant comment pourrais je faire rentrer ce monstre chez Monique, cherchant malgré moi l’aide de Nathalie qui ne venait toujours pas. Brusquement, je me sentis seule, abandonnée, comme prisonnière de cet animal qui lui apparaissait tel Cerbère gardant les lieux infernaux.— Sage! ... Doux! Sage! Murmurais je en hasardant un premier pas vers lui. Comment t’appelles tu ?Aussitôt, le monstre canin se dressa sur ses pattes, plus immense encore qu’assis, presque menaçant. Sa gueule s’ouvrit davantage, laissant la bave coulée sur ses crocs neigeux, acérés, mais il ne bougea pas de place, se contentant de m’observer la tête toujours penchée sur le côté. Je commençais à en mener pas large, me demandant sérieusement s’il n’allait pas me sauter dessus. Je le sentais, mais pas pour la même façon que j’aurais aimé qu’il le fassePour réussir à lui échapper, la seule voie de salut qui s’offrait à moi, était que je franchisse le portail, alors doucement, je me collais à la barrière et glissais un petit pas timide en arrière. Il fallait que je recule beaucoup plus, mais me voyant bouger en avançant vers lui, le danois tendit le cou, ouvrant la gueule en grognant, rentra la langue en déglutissant et émit un bref aboiement.Il fallait vraiment que je passe, je ne pouvais pas rester indéfiniment sur le trottoir à attendre le bon vouloir de monsieur. Il me fallait tenter le tout pour le tout et en me précipitant pour franchir le portail, mon pied gauche dévia dans ma chaussure, ce qui me tordit la cheville, me faisant m’affaler au sol.Le chien bondissant alors sur moi, les pattes sur mes épaules, il piétinait ma jupe qui se releva, mordant la culotte, essayant de me dénuder la croupe, puis il me libéra, comme satisfaisait d’avoir prouvé qu’il était le plus fort. Je me redressais sur mes genoux douloureux et sans rabattre ma jupe, ce qui me laissait les fesses à moitié nues, je fis face à mon agresseur.De nouveau, j’eu cette impression folle, oppressante, du regard animal détaillant avec désir les volumes à demi nus de mon buste, mon ventre et mon sexe. J’essayais de bouger pour prendre appui sur mes talons et me relever, mais le chien me sauta dessus une deuxième fois, me poussant sur le sol cette fois, approchant sa gueule baveuse de mon visage, pour y lécher mon nez, ma bouche. Beurk, je ne le connaissais pas !!!!!!
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