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Chantal et Aurélie

Chapitre 23

Zoophilie
L’invitation était vraiment trop belle pour que je la refuse, j’en avais déjà senti la chose trop heureuse de pouvoir de nouveau sentir sa queue en moi. Sentir son nœud contre ma chatte, regrettant en le regardant aussi gros, que je ne puisse le rentrer de force au fond de mon ventre.— Tiens le allonger au sol, dis je à Monique! J’ai envie de le sentir en moi, tu veux bien ?— Viens ! me dit elle. Il t’attendÉcartant mon sexe avec mes doigts, délicatement je présentais et guidais ma chatte sur la hampe droite comme un « I ». Le contact de cette virilité sur ma chatte affamée, me fit frémir de plaisir et quand je commençai à caresser mes grandes lèvres avec la pointe de sa bitte, je savais qu’avant peu je jouirais.C’est vrai qu’elle était grosse et longue !Penchant la tête sur ma poitrine, je pouvais voir ma chatte qui s’ouvrait à la limite de la déchirure et doucement, très doucement, je m’enfonçais sur elle jusqu’à ce qu’elle toucha mon utérus. J’y étais, je l’avais tout en moi, enfin presque ! La réalité était là et bien là, comme je l’avais supposé en le regardant sortir de Monique, mon ventre ne l’acceptait pas en entier.J’avais beau essayer de m’empaler, forçant autant que mon vagin me le permettait de le faire, une partie de son sexe était encore dehors et malgré tous les efforts que je faisais en essayant de frotter mon clito à sa boule démesurée, à part me faire du mal, car la douleur était là et bien là, il m’était d’en l’impossibilité de réussir. Alors, l’insultant, me traitant de tous les noms d’oiseaux, criant, pleurant de rage, au risque de me perforer l’utérus, je tentais vainement de m’enfoncer sur sa queue.— Calme toi, me dit Maman, comprenant que j’étais à la limite de la crise de nerfs. Tu y arriveras ma chérie, mais pour ça, il va falloir t’armer la patience. Tu es trop étroite et pas assez profonde, et ça, ça se travaille.— Pourquoi !!!!!!! Pourquoi ne puis je pas tout le prendre ?— Tu as vu l’engin qu’il a !!!!!! Et toi, tu te rappelles l’âge que tu as? Fais moi confiance ma chérie, je te préparerais et avant peu, tu pourras en profiter comme tu voudras.Monique ne disait rien, mais comprenait mon désarroi. Elle me laissa encore me tortiller un moment sur la tige du Danois, puis me dit :— Tu pourrais me laisser finir ce que j’ai commencé avec lui ma chérie ! Tu pourrais te relever !Ce que je fis avec regret bien sur. Maman au passage, en profita pour caresser le sexe du mâle qui ressortait du mien, et délicatement posa sa bouche dessus, enrobant aussi vite qu’elle le put, sa langue autour de la tige violacée engluée de mouille. Avec force, mais sans méchanceté, Monique la repoussa :— Toi ! Tu as tout le temps pour faire ce que tu voudras avec lui. Je sais que cette queue ne te fait pas peur, mais pour aujourd’hui, elle est à moi.Comme pour nous dire « celui là m’appartient » elle se pencha en nous regardant toutes bien en face et continua la fellation qu’elle avait commencée, jusqu’à ce qu’elle l’ait vidé définitivement. Certainement avec beaucoup de regrets, qu’il n’y ait plus rien à avaler, elle écarta ses doigts, laissant s’échapper le sexe que le Danois se mit à lécher avant qu’il ne rentre dans son étui protecteur.Pendant toute cette scène, Aurélie était restée allongée près de Monique et avec amour, comme elle le faisait si bien avec moi, savamment elle lui fit sa toilette, en lui léchant la chatte et surtout en lui tétant le clito qui avait doublé de volume par le plaisir reçu.Nathalie s’agenouillant près de sa fille, incrustant deux doigts dans son sexe baveux, tendit sa bouche à Monique en lui demandant: - Tu as eu mal ?— C’était atroce mais bon tellement bon en même temps! Il est vraiment très gros tu sais. Tu verras le jour où il va te sauter, et vous aussi nous dit elle, en nous regardant tour à tour. Vous verrez que c’est vraiment atroce quand il se détache, mais trop bon quand il se démène et que sa bitte commence à s’allonger et le nœud à grossir. Je n’aurais jamais cru pouvoir le contenir. Vous savez toutes les deux, s’adressant à Maman et Nathalie, pendant qu’il se vidait en moi, je me traitais de tous les noms de vous avoir toujours refusé. Comme je regrette tout ce temps perdu, vous ne pouvez savoir.M’étant approchée de Maman, la tête posée sur une épaule, doucement je lui dis, en lui mordillant l’oreille :— On le garde chez nous ?— On ne peut pas et tu le sais ! Me répondit elle posant ses lèvres contre les miennes.— Maman !!!!! Je t’en prie !Se retournant, face à moi, ses mains posées sur mes seins, ses doigts titillant mes tétons :
— Moi aussi j’en ai envie, tu le sais, mais vraiment c’est impossible, mais je te promets qu’on va garder Oko. — C’est vrai !!!!!!!!! On garde Oko ! Et Papa ?— Il n’aura pas le choix ! Du sais je me fâcher pour de bon avec lui, et comme je te l’ai dit, il n’aura plus pour longtemps à nous supporter tous les quatre. Tu es heureuse ?— Oh Maman, tu es un amour lui dis je, lui sautant au cou, passant mes cuisses autour de sa taille, glissant ma langue au fond de sa bouche.Puis me retournant vers Aurélie, je ne pus m’empêcher de lui dire en criant, frottant ma chatte comme une folle au ventre de Maman :— Maman est d’accord ! Nous gardons Oko ! Tu te rends compte Aurélie, deux chiens rien que pour nous. Tu pourras venir quand tu veux mon amour, tu sais qu’il est à toi aussi.Alors, Nathalie se dirigeât vers Maman et lui dit :— Je suis heureuse de ta décision mon amour. Après tout, Oko, c’est Chantal qui l’a trouvé, normal qu’il lui revienne. — Et alors moi ? demanda Monique après c’être relevée, les cuisses dégoulinantes de sperme canin. Nous nous étions mises d’accord pour que ce soit chez moi qu’il serait le mieux— Ma chérie ! lui répondit Nathalie en lui glissant sa langue entre ses lèvres et en lui passant les doigts sur sa chatte gonflée, je dois t’avouer, que ce chien, nous l’avons trouvé devant chez toi, et que c’est le destin qui l’a amené ici. Et puis, comme c’est lui qui t’a « dépucelée » si on peut dire, alors si tu le veux bien comme amant et bien, je pensais quand tu l’avais dans le ventre, que tu pourrais le garder. Après tout, ta chatte est déjà habituée à lui, non !— C’est vrai !!!!!!! Je peux. Je ne sais pas comment je vais les concilier lui et Nalla, mais je vais m’arranger, elle aussi je crois. Et si je lui faisais faire des petits, nous dit elle en rigolant. — Mais attention, lui cria Nathalie ! Nous en disposerons comme nous l’entendrons, suivant nos envies. Il en est pareil pour lui, me dit elle en désignant Oko— Oui maîtresse, m’entendis je lui répondre, en même temps que MoniqueNous étions toutes heureuses de la tournure des évènements, soulagées aussi que Monique réagisse aussi bien. Il nous fallait quand même nous laver, nous ne pouvions pas rester le reste de la soirée dans cet état, alors Maman me tendant la main et me tirant à elle, m’entraîna dans la salle de bain en me disant :— Viens ma chérie, j’ai trop envie de toi. J’ai trop envie de te faire l’amour, et que tu me fasses l’amour toi aussi.— Moi aussi j’en ai envie.Alors, la collant contre le mur je me mis à genoux devant son sexe parfumé :— Moi aussi j’ai envie de te faire l’amour lui dis je avant que ma bouche ne se pose sur sa chatte, et que ma langue disparaisse dans ses replis inondés par l’envie.— Attends me dit elle essayant de me repousser la tête ! Ce serait beaucoup mieux si nous nous lavions avant.Sa vulve sentait le chien et ma langue lapait les gouttes de sperme canin qui suintaient entre ses lèvres gourmandes.— Surement pas ! Laisse moi me régaler des odeurs de nos amants et des tiens. Allonge toi s’il te plait !Les cuisses de Maman grandes ouvertes, ses doigts tirant sur ses grandes lèvres ourlées pour que je puisse mieux la déguster, je me jetais sur elle, collant ma bouche affamée à son vagin ouvert. Enfin elle était totalement à moi, enfin nous allons vivre notre amour sans nous cacher, nous donner à nos amants comme nous voudrions et quand nous voudrions ! Voilà ce que je me disais, quand Maman dans un grand cri de jouissance, me jouit dans la bouche, déversant sur ma langue le miel qui coulait de son ventre.— Je t’aime mon amour.— Moi aussi je t’aime Maman ! Tu ne me quitteras plus ?— Promis ma chérie. Je suis à toi, tu es à moi.— Oh ouiiiiiiiiiiiii ! lui répondis je, m’allongeant sur elle, mon sexe collé au sien, essayant de la prendre comme si j’avais un sexe d’hommeJe venais de jouir sans même me caresser, seulement par les paroles qu’elle venait de me dire et en me frottant à son ventre. Ses paroles resteraient à jamais gravé dans ma mémoire et reprenant doucement mes esprits, je m’allongeais auprès d’elle en lui disant :— Moi aussi je suis à toi Maman chérie.Me plaquant le dos sur le carrelage, sa bouche posée sur la mienne, dans un souffle elle me dit, écartant mes lèvres avec sa langue :— Va jusqu’à la chambre de Monique, regarde dans le deuxième tiroirs de sa table de nuit, prends, le plus gros jouet, celui qui est tout noir et apporte le. J’ai envie que tu me prennes. Par le baiser qu’elle me donnât, j’avais senti tout l’amour qu’elle avait pour moi, et après qu’elle m’eut libérée, je courus aussi vite que je le pus jusqu’à la chambre de Monique.Monique était allongée à même le sol, Nathalie entre ses cuisses qui s’occupait de sa chatte trempée, alors qu’Aurélie défonçait sa mère à grands coups de reins, la taille ceinte du gode avec lequel elle m’avait sodomisée. Je n’eu pas de peine à chercher le gros noir, il trônait sur la table de nuit. Embrassant Aurélie au passage, je m’accoutrais de ce terrible engin et retournais dans la salle bain où Maman m’attendait les fesses grandes ouvertes, à genoux, prête pour la sodomie.Se retournant en m’entendant rentrer, les yeux brillant d’envies en regardant le Priape qui pointait entre mes cuisses, elle me dit :— Prends moi vite ! Défonce moi, fais moi mal, j’ai trop envie de te sentir en moi. Dommage qu’il ne soit pas réel. Viens !Sans me faire prier, je me mis à genoux derrière elle, et écartant ses lobes fessiers avec mes deux mains, je présentais le gode sur son anus. Je la tirais à moi, regardant le gland qui s’enfonçait doucement et délicatement dans son fondement, quand dans un cri de rage elle me supplia :— Défonce moi plus fort je t’en prie !Répondant à sa supplique, ne sachant si je faisais bien ou pas, je m’enfonçais d’un seul coup d’un seul en elle, lui labourant les reins autant que les forces qui me restaient me permirent de le faire. Je l’entendais râler, fulminant que je n’allais pas assez vite, ni assez loin, alors ressortant sans précautions, labourant son anus sans ménagement, je replongeais d’un seul coup dans son fondement.— Oui !!!!!!!!!!!! Encore !!!!!!!!!!!!! Défonce moi, je vais venir !!!!!!!!Son corps répondait aux sollicitations du mien, acceptant l’intrus avec amour et délectation et quand je la sentis se cambrer en essayant de me désarçonner, je savais que la jouissance n’était pas loin. Alors passant une main sous son ventre, j’attrapais au passage son clitoris entre mes doigts, le branlant comme si c’était le sexe d’un garçon, et tirant dessus en même temps que je l’a défonçais, alors, dans un dernier soubresaut, son corps recouvert de sueur et secoué par des tremblements, je sus qu’elle allait enfin jouir.Je ressortais l’engin de ses reins pour le replonger aussitôt, jusqu’à ce que la ceinture claque avec force contre ses fesses largement ouvertes. Cette fois, elle était à moi et dans un grand cri largement partagé, nous laissâmes nos corps jouir à l’unisson.Couchée contre elle, l’engin toujours fiché en elle, je la sentis ronronner contre moi.— Je t’aime mon bébé !Il y avait longtemps qu’elle ne m’avait appelée comme ça et comme à chaque fois, je ne pouvais empêcher les larmes de couler sur mes joues. J’étais heureuse, tellement heureuse que je n’arrivais pas encore à croire que nous étions devenues amantes.— Je ne t’ai pas fait mal ?— Ne t’en fais pas pour ça ma chérie. Tu sais maintenant comment j’aime être prise, aussi bien par toi que par les « toutous ». Tu m’as donné beaucoup de plaisir, veux tu que je te rende la pareil ?— Non ! Enfin pas aujourd’hui. Je suis trop fatiguée MAMAN adorée, il faut que je dorme, je ne sens plus mon corps tellement j’ai joui ces jours. Mais ne t’en fais pas, ce n’est que partie remise, tu ne t’en tireras pas, comme ça. Demain ça ira mieux et tu pourras me faire ce que tu voudras— Alors prenons notre douche et allons nous coucher. Et t’as intérêt à bien te reposer, car ça va être chaud pour toi.— Hummmmmmmmmmm !!!!! Tu me mets l’eau à la bouche.
Nos corps parfumés, allongées l’une contre l’autre, et bien que le sommeil commençait à s’emparer de moi, d’une petite voix, je lui demandais: — Comment va-tu annoncer à Papa que nous avons adopté un nouveau chien ?— Franchement ! Je ne sais pas, mais ne te fais pas de souci, j’en fais mon affaire.— Tu veux que je lui parle ? lui dis je, me retournant contre elle, mon ventre collé au sien. J’ai vue que depuis quelques temps, qu’il me regardait avec de drôles de yeux et je suis certaine que si je lui laissais regarder un peu plus……….. Si tu vois ce que je veux dire. Et puis, quand j’y pense, ça ne doit pas être si mal que ça de se laisser toucher par son père.— Le salaud !!!!!!! Je m’en doutais !!!!!! Tu le ferais ? Tu oserais te laisser toucher par ton père ?— Tu l’as bien fait toi ! Et si c’est pour la bonne cause, pour qu’on puisse garder Oko avec nous, et bien « Oui » je le ferais. Pas avec plaisir, mais pour que nous soyons heureuse, tu comprends ? Alors toi, tu restes tranquille, je t’ai dit que je m’en occuperais, je le ferais. Pas question qu’il te touche. Le salaud !!!!!!!!!— Tu es jalouse ?— Oui et alors ! J’ai le droit non ? Qu’il ne t’approche surtout pas.— Si tu ne veux pas, je ne le ferais pas Maman chérie. D’ailleurs si je l’avais voulu, et si j’avais aimé les hommes, il y a longtemps que je lui aurais appartenu. Combien de fois l’ai-je surpris à me mater, et je dois bien te l’avouer, que je m’étais habiller pour……. — Tu es vraiment une belle salope et je suis certaine que tu devais mouiller, en l’imaginant après te mâter. Pour sur qu’il devait bander ce gros cochon, et une chose que tu ne sais pas ma puce, à moins que toi aussi tu aies fait comme lui, il en a une belle lui aussi. Dommage, qu’il n’ait jamais su s’en servir.— Hummmmmmmm !!!!!! Tu me donnes l’eau à la bouche et si tu continues à me parler de son sexe, tu vas me faire regretter de ne pas avoir été plus loin.— Je te haïs ! Si tu en as tant envie, n’hésites pas, après tout, j’ai mes autres amants ! — Je suis à toi, rien qu’à toi Maman. Je ne veux que toi, et les chiens aussi.— Mon bébé d’amour !!!!!!!!
Ce fut les dernières paroles que j’entendis, avant de sombrer dans un sommeil de plomb, sommeil où tout se côtoyait : Papa nu devant moi, Papa essayant de descendre ma petite culotte, Papa avec Nathalie et Aurélie, Maman et moi, nous deux avec le danois !!!!!!!!! Mon dieu quelle belle queue qu’il avait … ………
FIN.

Arlette_lo@hotmail.fr
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