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Chantale, l'amie de grand-mère

Chapitre 1

Hétéro
—‌Cette histoire se passe à l’aube de mes 30 ans, ma grand-mère vient d’être admise en maison de retraite. L’appartement dans lequel elle vivait dev‌enait insalubre en plus d’être trop grand.
Elle s’était résignée à rentrer dans cette résidence pour personnes âgées. Cela avait été dur aussi bien pour elle que pour moi. Elle était ma seule famille (ma mère était son enfant unique) et m’avait élevé une grande partie de mon enfance.
Autant vous dire que nous étions tous les deux tristes de cette solution. Car selon elle, c’était déjà un premier pas dans la tombe en nous éloignant.
Heureusement, elle était dans l’aile des personnes assez autonomes et elle pouvait donc se faire facilement des ami(e)s, avoir de vraies discussions et recevoir des gens de l’extérieur, essentiellement moi du coup.
Je prenais toujours un grand plaisir à aller la voir. Au moins une fois par semaine. Très vite, les habitants m’avaient adopté. Aussi bien le personnel soignant que les habitants.
Autant vous dire que c’était loin d’être une corvée. Ma grand-mère m’accueillait toujours très bien, chaque dimanche après-midi avec une pâtisserie de la boulangerie d’à côté et notre traditionnel verre de Porto. Nous agrémentions souvent notre goûter d’une partie de Scrabble ou de Tarot avec différentes personnes de la résidence. Chantale, la nouvelle meilleure amie de ma grand-mère était quasiment toujours de la partie.
Chantale était de ce style de grand-mère toujours très gentille, souriante et attentionnée. A chaque fois que nous nous voyions, elle m’embrassait ou me prenait dans ses bras. Ne recevant pas de visites, elle me voyait comme son petit-fils.
Cela ne me déplaisait pas, ses conversations étaient captivantes. Nous parlions histoire, de sa vie, de nos passions communes pour la bonne gastronomie, les bons vins, la lecture et la peinture. A tel point que ma grand-mère s’endormait parfois et que nous finissions la conversation dans le réfectoire ou dans sa chambre.
Plus le temps passait, plus ma grand-mère s’éteignait, moins bavarde, plus fatiguée, parfois elle ne parlait pas lors de mes venues, trop fatiguée pour faire quoi que ce soit. Je restais dans la chambre de Chantale à discuter avec elle, attendant qu’elle se réveille. Puis ma grand-mère finit par s’éteindre. Tout en douceur, j’en étais presque soulagé tant son état s’était vite dégradé.
Il me fallut plusieurs semaines pour retourner dans cette maison de retraite y récupérer ses affaires. J’en profitai pour aller saluer mon amie Chantale, mais à sa vue dans sa chambre, j’explosai en sanglot. Les souvenirs de nos parties de cartes ensemble me revenant en tête. Elle me prit dans ses bras, mettant délicatement sa tête au-dessus de sa poitrine, me caressant doucement les cheveux sans rien dire. Nous sommes restés ainsi, assis longuement sur son lit médicalisé. Impossible de vous dire combien de temps. Je me suis juste laissé bercer par ses caresses et cette sensation d’abandon.
J’ai juste le souvenir de Chantale s’allongeant sur le lit, m’entraînant avec elle. Ma tête descendit dans la manœuvre, se retrouvant sur son sein gauche, ma main sur son autre sein. Du reste de ma nuit, il ne se passa rien de sexuel, juste un sommeil reposant par rapport à mes dernières semaines. Et une odeur persistante qui allait hanter mes nuits, celle de Chantale : une odeur d’un parfum raffiné mélangeant fleurs fraiches et odeurs de linges de maison.
Chantale me réveilla, me prévenant que la ronde du matin allait commencer et qu’il serait plus judicieux de partir.
Imaginez mon embarras, mon visage était contre sa poitrine sans tissu entre nos deux peaux. Confus, mais après maintes excuses, je partis rapidement, totalement perdu dans mes pensées.

Les jours qui suivirent furent assez troublants, je me mettais à rêver de Chantale alors que je l’avais toujours vue comme une amie et surtout son âge me travaillait beaucoup. Dans le même temps, les travaux de l’appartement se finirent et j’y mis mes affaires et emménagea. Pendant près de trois semaines, je ne savais plus quoi faire, appelant Chantale puis raccrochant aussitôt, ne décrochant pas quand elle essayait de me rappeler et ainsi de suite.
Un jour, elle me laisse un message vocal, très bref, mais inoubliable :
— Entre l’envie et le regret, il y a un point qui s’appelle le présent. Il faudrait s’entraîner à y tenir en équilibre.
Sans hésitation, je l’ai rappelée, et nous avons convenu de ma venue à 15h le samedi qui venait.
A mon arrivée, elle m’attendait dans sa chambre, tout apprêtée du haut de ses 77 ans. Elle était vêtue d’une robe noire à manches courtes et descendant en dessous du genou, d’un collier de perles, de collants couleur chaire, ses cheveux gris noués en tresse, très légèrement maquillée avec du rouge sur les joues et un peu de mascara. Elle dégageait cette grasse qui définissait certaines personnes toujours bien apprêtées, désireuses d’apparaître raffinées. Mes hésitations sur son âge avaient immédiatement disparu à sa vue. Elle était magnifique, radieuse, sublime, délicieuse. Et je ne manquai pas de lui dire.
Cela peut vous sembler étrange au vu de l’écart d’âge, mais c’était pourtant mes sentiments.
Nous nous prîmes dans nos bras, nos respirations s’accélérant, nos bouches se sont collées et nos langues se sont mélangées. Cela s’est fait de façon si naturelle, que j’avais l’impression de l’avoir toujours embrassée, tel un couple d’amants se redécouvrant après des mois d’absence. Impossible de cacher mon érection, elle s’en rendit vite compte et mit sa main dessus, sur mon pantalon. Elle vibrait sous sa paume, son massage me faisait gémir. Elle en fit de même lorsque ma main se posa sur sa jambe gainée.
Mais elle s’arrêta d’un coup :
— Pas ici, allons ailleurs s’il te plaît.
Nous sommes partis en catimini, le temps de réserver un taxi, de prévenir une infirmière avec qui je m’entendais bien. Et nous voici arrivés chez moi. Le trajet m’a semblé durer une éternité, nous n’avons rien dit, mais nous ressemblions à deux adolescents sur le point de faire une bêtise.
L’excitation était à son paroxysme dans l’ascenseur, nos mains découvrant le corps de l’autre, nos baisers étaient fougueux.
Elle fila directement dans la salle de bain, me demandant d’éteindre les lumières et de mettre uniquement quelques bougies pour dissimuler son corps dans la pénombre.
Sa sortie fut comparable à celle d’une déesse, vêtue d’un simple soutien-gorge sans bonnet d’une culotte assortie avec des dentelles et des bas chaires. Les années étaient passées, mais sa silhouette n’en demeurait pas moins svelte et sa démarche sensuelle.
Avec beaucoup d’attention, je la pris dans mes bras et la déposai sur mon lit. Elle en profita pour me glisser quelques mots dans l’oreille. Je ne vous les dirai pas, mais j’en tremblai d’émotion.
Elle était belle dans cette semi-nudité. Dans un dernier geste de timidité, elle cacha timidement une partie de son corps à l’aide de ses bras, mais abandonna vite quand je fis rouler sa culotte jusqu’à ses chevilles.
Sa culotte retirée, je glissai ma tête entre ses cuisses au niveau de son pubis légèrement poilu, les lèvres gonflées de plaisir et humides. Son odeur était la même que celle de cette autre nuit, en plus forte, plus enivrante et en bien plus excitante. Mes premiers baisers à l’intérieur des cuisses lui procurèrent des frissons, ma langue sur son sexe lui arracha un premier cri suivi d’un bon nombre. Ses mains s’agrippèrent à mes cheveux, donnant un rythme aux caresses buccales sur son clitoris. Elle remontait par moments ses bains pour se cacher les yeux, semblant ne pas vouloir accepter ce plaisir puis les remettait dans mes cheveux.
C’était un tel plaisir de la boire, d’explorer les moindres recoins de son intimité.
Sur un ton affectueux, pleine d’envie et essoufflée, elle me demanda de la prendre.
Je n’attendais que ça et me mis derrière elle, elle étant sur le côté. Tout doucement, je rentrai dans ce sexe chaud et très étroit, imposant un rythme doux pendant que son corps ondulait au même rythme. Nous étions très proches de l’orgasme et une dizaine d’allers/retours suffirent à nous faire exploser de plaisir dans des cris plus proches de l’animal en rut que de l’humain.
Le sommeil nous rattrapa jusqu’au lendemain matin avec la sonnerie du téléphone de Chantale. La maison de retraite demandait quand elle rentrait.
Elle n’y remit les pieds que 6 mois plus tard, affaiblie après une chute, cela devenait compliqué pour moi de m’en occuper. Entre temps, nous en avions bien profité, partageant nos passions pour la gastronomie autour de bons restaurants, discutant longuement et sans cesse. Sachant plus que n’importe qui que le temps nous était compté.
Son retour à la maison de retraite, bien que nécessaire, fut difficile pour elle, et ce malgré mes venues fréquentes.
Son corps était plus fatigué, elle aussi d’ailleurs. Les anti-douleurs ne fonctionnaient que partiellement, la douleur restait toujours présente. A ce moment-là, nous ne faisions plus l’amour, c’était pour elle difficile physiquement et pour moi, ça me faisait souffrir de la voir souffrir. Le seul réconfort qui nous comblait tous les deux, était de pouvoir dormir ensemble nus, l’un contre l’autre une fois par semaine. Grâce à la complicité de l’infirmière de garde le jeudi, je pouvais y rester dormir. Elle ne voulait pas que je me sente frustré et souvent, elle me demandait de me faire plaisir devant elle en la caressant doucement. J’aimais le faire et elle aussi. Ses petits gémissements étaient sans équivoques.
Un vendredi matin, après une de ces nuits, Chantale me réveilla plus vive et en forme que d’habitude, demandant à ce qu’on parte en voiture à Deauville pour la journée et la nuit. Ses coups de tête, je les connaissais et suis aussitôt parti chercher la voiture et les médicaments nécessaires. Une heure après, nous étions sur la route, Chantale à mes côtés, la main sur la cuisse. Pile à l’heure pour le déjeuner chez Maximin Hellio (restaurant étoilé), restaurant dans lequel nous avions nos habitudes. Mais cette fois-ci, elle ne mangeait rien, picorant juste de temps en temps dans son assiette. Elle monta seule dans la chambre, me demandant une heure pour qu’elle se repose.
Quand je revins, elle était vêtue de la même façon que cette première nuit. Toujours aussi belle. Comme dans un film, elle fit tomber sa robe le long de son corps. Dévoilant ainsi un magnifique ensemble de lingerie : soutien-gorge noir à dentelle transparente, la culotte montante assortie et un porte-jarretelles du même tissu retenant des bas noirs opaques.
Après qu’elle se soit assise sur le lit, je me dis dernière et commençai à la caresser. Mes mains semblant redécouvrir son corps tant ses réactions étaient différentes de celles habituelles : ses tétons pointaient de façon provocante, son sexe était trempé, ce que je n’avais jamais connu. Elle était vraiment plus cochonne que d’habitude. A tel point qu’elle me fit mettre debout sur un fauteuil pour que mon sexe soit à la hauteur de son visage. Elle me fit alors ma première fellation. Sa langue jouant avec mon sexe, la prenant en main pour mieux la faire rentrer en bouche, y déposant des petits baisers, puis la reprenant encore en bouche. J’étais sur le point de jouir et elle s’en rendit compte. En retirant sa culotte, elle s’allongea sur le lit, jambes légèrement écartées. Je la pénétrai doucement, faisant attention à ne pas lui faire mal et après quelques aller-retour, elle explosa dans un bruyant orgasme. Je la suivis de quelques secondes, la remplissant.
Après notre sieste, elle se dirigea vers la salle de bain et prit un bain non sans m’avoir dit qu’elle m’aimait et me remerciant pour tous ces moments. Quand je retournai la voir, elle dormait pour l’éternité, avec un petit sourire en coin.Je l’ai rhabillée, déposée dans le lit et appelé les pompiers. Elle était partie heureuse.
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