Quand je rentre à la maison, je la trouve nue, s’occupant du repassage avec un sourire jusqu’aux oreilles. Je lui dis : « Tu as l’air heureuse, ma chérie ? , elle me répond :‒ J’aime quand je suis ton objet sexuel, mais là, j’étais un petit jouet, j’ai envie d’être ton objet sexuel par excellence, la reine de la perversion !!! » Durant les jours qui ont suivi, je réfléchissais à une idée originale...Comme je voulais que mon associé continue cette expérience avec nous, je lui expose mon idée : « Elle veux être la reine de la perversion, j’ai envie de continuer dans l’idée du chantier, la baiser lors d’une réunion de chantier, qu’en dis tu ? , il me répond :‒ "L’idée est géniale, mais il va falloir qu’elle assume, mais penses-tu que le faire avec des types qui travaillent avec nous, soit une bonne idée ? » Je me dis qu’il n’a pas tort et là, la lumière fut... « Et si on choisissait des intérim, comme ça, on les prend juste pour nous aider quelques jours, histoire de faire un choix et c’est nickel !‒ Allez... ! », me dit il. Nous voilà sur le site d’une boite d’intérim, à feuilleter les CV, reste plus qu’à en sélectionner quelques-uns. Au final, on en recrute cinq, me disant qu’il y en a au moins un ou deux qui ne viendront pas et un qui partira en cours de route. Le lundi arrive et les cinq types sont là, ils ont de 25 à 35 ans, propre sur eux, ils ont l’air sympa. La semaine se passe normalement et je prends le temps de faire une sélection, me disant que cinq plus nous deux, cela fait peut être beaucoup ! J’en sélectionne deux et leur envoie un SMS le vendredi soir : « RDV demain à 11H, sur le chantier, pour un buffet "Original", afin de vous remercier de notre collaboration ! » Le soir arrive , je rentre à la maison et dis à ma femme : « Demain, tu vas être la reine de la perversion, viens à 10 H, sur le chantier, j’ai préparé une table avec apéro, tu passeras prendre les petits fours à la boulangerie et on te rejoint, avec Benoit, vers 10H30, histoire de t’aider, je veux que tu t’allonges sur la table et on disposera les petits fours autour de toi, avant que les autres arrivent ! »
Elle me regarde avec un grand sourire, m’embrasse et monte à la douche en me disant : « Je vais me faire belle pour demain ! » Le lendemain arrive, je rejoins mon associé car on avait une bricole à faire sur un autre chantier, on commence à être excité comme des puces et là, la tuile, on a tellement la tête ailleurs que l’on fait sauter le courant de tout un immeuble ! " merde ! " On trouve le fusible EDF, on va à la voiture, deuxième tuile, on a pas le bon modèle, il est déjà 9H45, on va chez notre principal fournisseur : " plus en stock ", il est 10H, nous voilà obligé de traverser la ville pour essayer d’en trouver un chez un autre, arrivé là bas, ouf, il l’a en stock, on le prend et on fonce... Arrivé sur le chantier, on change le fusible, on vérifie l’installation, nickel on range vite, car il est 10H15 et on va être juste, on prend la route et comme dit le proverbe, " jamais deux sans trois ", " BOUCHON ", suite à un big accident, on va pour faire marche arrière, mais déjà cinq voitures, derrière nous, impossible de reculer... Je regarde ma montre, 10H30, " merde ". Je prends mon téléphone pour la prévenir, mais direct sur répondeur, là je réalise que j’ai installé la table dans le labo, au sous-sol, car au rez de chaussée, il n’y a que des baies vitrées et que le téléphone ne passe pas... On trépigne dans la voiture, il est 11H, je me dis que tout va tomber à l’eau et j’essaie de joindre les deux types pour décaler, mais sur répondeur, eux aussi...11H45, les voitures commencent à avancer, on met le turbo, 12H, nous voilà devant le chantier, je regarde sur le parking et ne vois pas la voiture de ma femme, je me dis qu’elle est certainement partie. On arrive devant la porte vitrée, elle est fermée, j’essaye de téléphoner, toujours sur répondeur. On ouvre la porte, on rentre et on entend le poste de chantier, on se dit qu’il doivent boire un pot en attendant, on descend et là... Je vois ma femme, nue, allongée sur le dos, entre les petits fours et je ne vois pas les deux types, mais les cinq intérim, elle en a un dans la bouche, elle en branle deux, un autre lui lèche les seins et le dernier lui broute la chatte, le spectacle est bandant au possible, mon associé me regarde et me dit : « Et ben, elle n’a pas froid aux yeux, dis moi !!! » Elle nous voit, tourne la tête et nous dit : « On a commencé sans vous, les retardataires, ramenez vous que l’on commence l’apéro, avant d’attaquer le plat principal ! » Ni une, ni deux , nous voilà à poils, elle en lâche deux et commence à nous sucer, l’un après l’autre. De voir que ma femme est le jouet sexuel de 7 gars, me rend dingue et je bande comme un fou, n’y tenant plus, elle me dit : « Venez me préparer, je veux que vous me preniez tout les deux (mon associé et moi), une préparation sans capote ! » Benoit (mon associé), me regarde et me dit : « À toi l’honneur, très cher ! » Je fais le tour de la table, me présente à l’entrée de son minou trempé, tellement elle est excitée et je commence à la prendre sauvagement. Benoit en profite pour jouer avec son clito pendant que les autres passent de ses mains à sa bouche, je la prends pendant cinq bonnes minutes, puis laisse la place à Benoit qui la prend avec autant d’énergie que moi. Elle se tord de plaisir et moi, je contemple ma femme, entourée de toutes ces queues, après un petit moment de ramonage intensif, elle se retire de la pine de Benoit, descend de la table, demande à Benoit de s’allonger. Elle s’empale sur sa queue raide et me demande de la lui mettre dans le cul, je m’approche, mets un peu de salive sur l’entrée de son cul et présente ma queue pour la laisser entrer doucement..., on alterne nos coup de reins, sentant nos bites aller et venir dans ses deux orifices, malgré la bite qu’elle a dans la bouche, elle laisse s’échapper des râles de jouissance, je bande comme un fou ... Là, elle nous dit : « Plus vite, je veux que vous jouissiez en moi pour me lubrifier pour la suite ! » Ses paroles nous excitent tellement que nous ne tardons pas à exploser simultanément en elle, je sens la queue de Benoit se raidir et se contracter avant chaque décharge de sperme, on se retire, elle dit alors : « Allez mes loulous, opération capote ! » Elle n’a pas le temps de finir sa phrase qu’ils sont déjà équipés et commencent à la prendre à tour de rôle, par devant, par derrière, en même temps, ils se relaient afin de ne pas jouir ! Quand à Benoit et moi, nous sommes de chaque coté, elle nous branle et nous suce, on ne tarde pas à rebander comme des fous. Là, en regardant ces bites la ramoner, je vois que l’un d’eux en a une hallucinante, une queue d’une longueur folle d’au moins 30 cm, un engin de folie. Ils la prennent à quatre pattes, sur le dos, assise sur la table et même debout, le plus costaud d’entre eux, la relève, la soulève par la taille et la fait descendre sur sa queue, un autre se présente à l’entrée de son cul, l’attraction terrestre fait qu’elle ne peut lutter, elle s’enfourche sur ces queues sans pouvoir rien faire, je vois le sperme que nous avons laissé couler le long de ses deux trous. Elle jouit à répétition... Puis une idée me passe par la tête, je demande à Benoit de s’allonger par terre, je dis à ma femme de s’enculer sur sa queue et demande à celui qui a la longue queue, de la lui mettre dans la chatte, ce qu’il fait sans aucune hésitation et là, je passe devant lui, profitant qu’il ne puisse pas la prendre en butée, colle ma queue sur la sienne et force le passage de sa chatte, elle hurle de plaisir et ma queue la pénètre en même temps, nous voilà à trois, deux dans la chatte, une dans le cul, une dans la bouche, elle tremble et jouit comme une folle, voilà un nouveau jeu instauré. Je n’ai pas le temps de me retirer qu’un autre prend ma place, ils lui demandent de se mettre à quatre pattes et s’amusent, maintenant, à coup de double vaginale, elle à l’air d’aimer ça en tout cas... Je regarde ma montre, "16H", cela fait 4 heures qu’elle se fait baiser comme une chienne, la reine des perverses !!!On continue à la baiser, à tour de rôle, en prenant soin de tous garder notre semence, sa chatte est gonflée et son cul dilaté tellement elle se fait baiser, là, elle me dit : « Je veux que vous vous finissiez tous sur mon corps ! ‒ Bien-sûr ma chérie, mais pas tout de suite, tu voulais être la reine de la perversion, tu va l’être ! » Je la fais se redresser, la positionne face à la table, son cul d’un coté, sa bouche de l’autre, nous voilà tous en cercle, tournant autour d’elle, ce qui fait qu’elle nous suce, puis une pause et nous voilà devant son cul, allant de sa chatte à son cul et ainsi de suite, nous permettant de faire des pauses et de ne pas jouir... Voyant le soleil se coucher, je regarde ma montre, 19H, voilà maintenant 7 H qu’on la baise sans limite, je lui dis de se mettre à genoux, ce qu’elle fait et commence à nous branler, nous sucer à tour de rôle, tellement épuisée, on se sert de sa bouche comme d’un trou béant, puis l’un deux explose dans sa bouche, elle le recrache et il finit de gicler sur son cou, puis un deuxième, un troisième, le sperme commence à dégouliner le long de son buste, sur ses seins, coulant jusqu’à sa chatte béante, un quatrième, un cinquième, il ne reste plus que Benoit et moi, elle nous regarde et nous dit : « Je vais vous faire une faveur ! » Elle nous branle et nous suce avec fougue, je vois Benoit se tendre dans sa bouche, je me dis qu’elle va le recracher, mais non, il se décharge dans sa bouche, elle resserre ses lèvres autour de sa queue, puis prend la mienne dans sa bouche, je sens le sperme de Benoit sur ma queue, ne pouvant plus me retenir, j’explose et sens mon sperme jaillir dans sa bouche, elle me suce et aspire jusqu’à la dernière goutte, je me retire, elle nous regarde, ouvre la bouche pour nous montrer notre sperme, le fait tourner avec sa langue, ferme la bouche et avale avec une petite grimace... Les types nous remercient et partent, on se retrouve à trois, elle dégouline de sperme, cette vue et le fait qu’elle nous ait avalés, nous a refait bander, n’en pouvant plus, on la fait se lever, puis on la prend une dernière fois et jouissons en elle, dans des hurlements de plaisir...
