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Le chantier de l'adultère

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ce jour-là n’était pas un bon jour. Je le sentais depuis le réveil que ce ne serait pas ma journée. J’avais fait des mauvais rêves toute la nuit, et au réveil, alors que ma tendre femme Danielle me caressait l’entrejambe et commençait à délicatement me sucer le bout de la verge, la panne ! Mes cauchemars continuaient d’agir sur mon subconscient, et je n’avais rien à donner à qui que ce soit. C’allait être une journée morne, sombre, je le sais, et cette incapacité à bander en était la première preuve indéniable.
Ma femme, après 20 ans de mariage, ne s’en offusqua pas. Mais tout de même, je savais qu’elle appréciait me faire jouir de bon matin, et surtout, je savais qu’elle serait aussi frustrée du fait de ne pas avoir pu passer ce tête à tête matinal avec ma queue qu’elle appréciait tant avoir en bouche. En général, elle se levait un peu avant moi, se préparait un café très fort, puis revenait dans notre chambre se faufiler sous les draps et me sucer. Pas le genre de fellation qu’on voit dans les films pornos, pas ce genre d’acte faussement violent et qui ne procure aucun plaisir. Non. Danielle, c’était le luxe. Elle suçait avec application, car elle aimait ça. Le contact de ses lèvres charnues sur mon gland, sa langue chaude qui s’entortille autour de ma verge, ses mains moites d’excitation qui palpent mes couilles, ou qui accompagnent le mouvement de va-et-vient de sa bouche le long de mon sexe, sa bave qu’elle utilise à si bon escient, pour prolonger le plaisir...
Une véritable suceuse de verge, une adoratrice de semence, une buveuse d’homme. Elle adorait son rituel café-sperme, dont elle était injustement privée aujourd’hui.Frustration que je partageais aussi, et encore plus, sachant que j’allais être de mauvaise humeur, et victime de ces mauvais rêves toute la journée.
Et pour ne rien arranger, nous voilà en voiture pour la clinique de radiologie. Je déteste les médecins. Ca m’angoisse. Mais récemment, alors que nous étions en week-end chez notre fille, j’ai glissé au bord de la piscine. Résultat : double fracture de l’avant-bras. Au moins 6 semaines de plâtre. Du haut de 66 ans, comprenez que ça ne m’enchante pas de me casser un os, surtout à mon bras fort. Je suis donc quasiment totalement handicapé, ma femme a pris un petit congé pour pouvoir s’occuper de moi. Ca me mine un peu le moral, car nos quotidiens sont très chamboulés, et je la vois tourner en rond la journée. Mais elle est forte, elle garde le moral pour nous deux. Et cela passe notamment par ses tenues vestimentaires. Depuis mon accident, elle se lâche, ose beaucoup plus. Ce qui fait qu’à la maison, ma femme est devenue mon aide à domicile vraiment, VRAIMENT très sexy !
Il fallait voir à la clinique, le nombre d’hommes, et de femmes - je vous épargne les jeunes hommes de 18 ans qui la regardaient sans vergogne, la bave aux lèvres, la braguette prise de spasmes ! - à la mater ! Petite jupe noire en cuir, qu’on qualifiera non sans peine de courte, puisqu’au moindre léger pliage de genoux, on apercevait non sans mal ses deux fesses rondes, à la chair ferme et abondante. Autant dire que quand elle marchait là, dans ces couloirs, le cuir de sa jupe avait du mal à contenir ce fessier béni, divinement musclé, sublimé par un son galbe arrondi. Bref, un sacré cul ! Une jupe donc, dans laquelle rentrait un chemisier blanc à la transparence presque vulgaire, sous un perfecto très sexy. En dessous, ses adorables seins, une , bien ronds, aux tétons durs et fiers. Aux jambes, venant magnifier ses puissantes cuisses, lisses, douces, au teint hâlé parfait, un pair de bas Dim Up, et des souliers rouges à talons aiguilles. Une sacrée bombe. Une allumeuse. Ma femme.
Celle qui chaque matin, venait s’abreuver à ma bite. Une femme de caractère. 54 ans, une véritable MILF. Un petit mètre 60, dont les talons à aiguilles lui donnaient de l’assurance, et la faisaient arriver au niveau des femmes de mes collègues, toutes hautes d’un mètre 65. Cheveux courts, ondulés, avec du volume, d’un roux sombre, électrisant le regard, aux délicieux yeux noisette. Un véritable bonbon que cette Danielle. Avec son bon fessier, ses hanches taille 42 faites pour être maintenues fermement. L’archétype de la femme, selon mes critères.
Quoi qu’il en soit, nous avions terminé les radios rapidement, et étant donné que le docteur nous avait pris en avance, nous avions pas mal de temps libre. Aussi décidions-nous d’aller visiter, par surprise, le chantier de notre nouvelle maison. Le plombier, que je n’aimais guère - j’étais sûr que c’était un vrai magouilleur - devait cette semaine terminer la salle de bains à l’étage. Mais il prenait son temps le bougre. Ca m’irritait. Notre visite au chantier était donc indispensable, mais je n’en avais guère envie, vu mon irritabilité.
Durant le trajet, ma femme Danielle arrive à allier conduite sportive et massage de nuque pour essayer de me détendre. Sa main glisse même vers mon entrejambe, mais là encore, rien à en tirer. Je sens qu’elle aurait adoré recevoir sa collation là, au bord de la route. Dommage.
Une fois arrivés, c’est tout un parcours du combattant. Malgré le mois de septembre somptueux, il a plu toute la nuit. Le chemin n’est que boue et gadoue. Ma femme galère avec ses talons. Un ouvrier le remarque et accourt pour lui porter secours, une paire de bottes à la main. Comme si je ne le voyais pas venir celui-là, avec son beau bronzage à jouer les sauveurs de talons aiguille ! Moi évidemment avec mon attelle, impossible de porter ma femme comme un gentleman. Je subis. Danielle remercie chaleureusement son sauveur, un jeune français, d’origine maghrébine, tout sec, mais tout en muscle et en sourire pour Danielle. Rapidement, nous arrivons au seuil de la maison, où un autre jeune - les deux gars se ressemblent, on dirait deux frères - travaille. La pose du carrelage du salon, me dit-il.
Nous les laissons à leur tâche, entrons dans le salon, car c’est le plombier que nous voulons voir. Enfin surtout moi. Une fois dans le hall, ma femme Danielle me redemande pourquoi le superbe escalier en chêne qu’elle a fait construire sur mesure n’est pas encore installé. Je lui explique qu’il faut au maximum limiter l’exposition de ce genre de pièces coûteuses pour limiter les éventuels dégâts. Ce qui explique la pauvre échelle qui trône là, positionnée pour accéder à l’étage, où on entend le plombier travailler.
Je sens ma femme anormalement excitée. Le chantier, me confie-t-elle, sa main agrippant avidement mes couilles, de savoir qu’il y a tous ces mecs-là autour d’elle, de nous, l’excite énormément. Aussi elle m’attire sous l’échelle, alors que le plombier sifflote, et que des coups de burins nous parviennent de l’autre côté du mur, et me met à genoux. Surprise, elle n’a pas de culotte, la dévergondée. J’arrache son collant pour y faire une ouverture, tombant nez à nez avec son sexe déjà trempé d’excitation, d’attente que je bouffe son intimité. Même si je ne bande pas, de sentir ma femme si désireuse de ma langue me procure la première joie de la journée. Aussi je déguste sa chatte avec beaucoup d’appétit, lui palpant le cul alors que mon visage est rapidement souillé par sa cyprine. Elle râle, gémit, et ce con de plombier qui se ramène. Dans l’urgence, on se rhabille, ivre d’humour d’être passé à quelques secondes de se faire choper. Danielle m’embrasse, empoignant mes joues.
Un vrai baiser de reconnaissance.
Encore en train de ricaner, ma femme Danielle interpelle le plombier, lui signalant notre présence, et lui demandant de nous faire visiter le chantier de l’étage. Le plombier arrive dans l’encadrement du premier étage, et a le malheur de nous dire qu’un des deux lavabos présente un défaut, minime, à l’arrière, qui sera invisible une fois installé. Seulement, nous sommes perfectionnistes, et nous voulons voir ce défaut "minime". Le plombier ne semble pas prêt à coopérer, aussi nous sentons l’arnaque. Il nous conseille de ne pas monter, de peur que nous tombions. — Surtout vous monsieur, avec votre bras dans le plâtre.
Qu’il m’énerve ! Ma femme prend les devants, elle monte.
Les deux ouvriers, entendant les voix monter, nous ont rejoints, et demandent au plombier, leur collègue, si tout va bien. Il les rassure, mais alors que ma femme commence à monter, je vois sa mine faussement inquiète. Il doit la prendre pour une cruche, la juger avec sa tenue de minette bimbo, se dire qu’elle va forcément se rétamer. Je lui glisse à l’oreille que monter, habillée avec sa jupe, n’est pas très judicieux, puisqu’il y a du public.
— Et quoi ? On le laisse nous installer des lavabos pourris ? Tant pis si les deux jeunes derrières matent, c’est toi mon homme, ne t’en fais pas, ne sois pas jaloux pour si peu.
Je capitule. Je vois que ma femme est encore tout excitée, et que ce petit jeu, de savoir que les deux gars vont reluquer son entrejambe, l’excite, et l’empêche de raisonner convenablement.
Un des jeunes carreleurs, le sauveur aux bottes, a bien vu l’opportunité qui s’offre à lui de jouer encore une fois les héros, et s’approche pour lui proposer de tenir l’échelle. Ma femme, toute flattée, le remercie en lui caressant l’épaule. Ca m’agace...
Et son copain de surenchérir, venant de l’autre côté : — Sans votre veste, vous serez plus à l’aise pour grimper. Et puis ça évitera d’abimer ce beau perfecto.
Elle opine, si heureuse d’être au centre de l’attention, et retire sa veste, torse bombé, décolleté ouvert à ces deux charognards, toutes dents dehors. Tenants tous deux l’échelle, Danielle commence son ascension. Au troisième barreau, elle commence à offrir une jolie vue de son intimité, ses cuisses bien galbées, muscles tendus, la naissance de son cul, encore dans l’ombre, mais apparaissant... se fichant maintenant totalement de ma présence, à suivre les conseils du plombier qui doit lui, pouvoir bien baver en regardant les seins de ma femme, bien pressés dans son soutien-gorge.
Les deux jeunes ouvriers se mettent à ricaner, et là je comprends... On voit maintenant clairement ses collants déchirés, laissant apparaître sa chatte et ses poils trempés... Je suis totalement pétrifié. Je n’arrive même pas à réprimander les ouvriers, seulement à demander à ma femme d’accélérer... Les deux gusses en bavent et je ne sais où me mettre.
Et pratiquement arrivée en haut, le drame. Enfin, un nouveau drame. Sa jupe s’accroche à un clou - quelle empotée ! -. Elle s’arrête et ne sait pas quoi faire. Un des deux carreleurs saute sur l’occasion, et grimpe à toute vitesse, tête bien penchée en arrière pour reluquer sa chatte béante. En deux-deux, il est à sa hauteur, et se colle à elle. Sa main, qui fait semblant de décrocher la jupe, en profite avant tout pour passer sur ses fesses. Je ne doute pas une seconde que ce connard bande, et qu’il se frotte à sa cuisse... Prétextant l’aider, je l’entends ricaner, et Danielle s’y met aussi ! Brrrr ! Et voilà qu’il relève carrément sa jupe. Je vais me le faire. Mais son collègue s’interpose. Il me domine. Il me foutrait ma raclée si je tentais quoi que ce soit.
Impuissant, j’assiste à ce spectacle. Le gars palpe bien le cul de ma femme, sa main glissant sur sa cuisse. Je vois Danielle lui sourire, lui glisser un mot à l’oreille. Comme par magie, la jupe se débloque, et ils montent, tout heureux. Danielle accepte la main sauveuse du plombier, et ni une ni deux, les voilà tous trois là haut, hors de ma vue. Hors d’atteinte.
Rapidement, j’entends des petits bruits de souris. Ma femme. Des ricanements étouffés, des petits rires suspects, furtifs, puis, me laissant pétrifié, des crissements en cadence du polystyrène sur le béton, des respirations se faisant plus fortes, plus brutales, des râles des ouvriers, des couinements... J’essaie de grimper. Une, deux, trois marches. La quatrième est fatale, je glisse et m’étale par terre. Humilié et seul. Ce boucan provoque un arrêt des bruits. Le temps est suspendu. Puis des bruits de pas qui s’éloignent. Et le silence. Total. Lourd. Énigmatique.
Un quart d’heure plus tard, les voilà, les deux jeunes ouvriers, fiers, riants, qui redescendent. Leurs yeux me lancent des défis. Arrivés en bas, ils me disent : — Ne t’inquiète pas plâtreman, elle arrive ta femme. Elle se nettoie un peu, elle a voulu visiter toutes les pièces et s’est salie avec le ciment, la poussière, le... plâtre. Eh-eeeh !
Je sais ce qu’il s’est passé là-haut, oh oui... durant tout le trajet du retour, ma femme ne fait que broder, s’enthousiasmant faussement de l’avancement des travaux et de la beauté de notre futur nid.Ce qu’il s’est réellement passé, je ne le découvrirais de mes propres yeux que quelques jours plus tard, en surfant sur internet...
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