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Le Chaperon Rouge

Chapitre unique

Revisité

Divers
Il était une fois une jeune femme que tout le monde aimait.Cette jeune femme, de tout juste dix-huit ans, était la fille unique du chasseur du village. Elle était gentille, attentionnée et serviable. Elle aimait toujours aider les gens quand elle pouvait et adorait la nature. Cette demoiselle, aux yeux d’un bleu profond et à la chevelure rappelant les blés les soirs d’été, était l’unique jeune fille dans le petit hameau où elle vivait. Les quelques garçons qu’elle pouvait croiser n’étaient pas à son goût et ne cherchaient qu’à boire et s’amuser dans l’auberge du coin. La personne qui lui tenait plus à cœur était sa mamie, elle l’adorait et cet amour était réciproque. Celle-ci adorait lui faire plaisir. Un jour, sa tendre mamie lui offrit un magnifique chapeau de couleur rouge, il lui allait si bien qu’elle ne voulut plus jamais s’en séparer. Elle aimait tant ce chapeau qu’elle se baladait tout le temps avec. Du coup, tout le monde dans le village l’appelait « Chaperon rouge », mais ses proches préféraient la surnommer « Chapie ».

Un jour, sa mère lui dit :
— Viens voir, ma chérie : j’ai préparé un gâteau, peux-tu aller en amener une part ainsi qu’une bouteille de jus de fruits à mamie ? Elle ne se sent pas très bien.— Bien sûr maman, je me prépare et je file.
Elle alla dans la salle de bain pour enfiler un minishort et un débardeur blanc qui mettaient, tous deux, en valeur le corps sculpté de Chapie. Ses habits laissaient apparaître son ventre et son nombril où étincelait un petit bijou d’orée en forme d’aubergine encadré par un cœur. Comme à son habitude, elle attrapa son chapeau et sa cape couleur coquelicot.
— Fais vite, ah oui, quand tu seras en chemin, fais attention et ne t’écarte pas de ta route.— Oui maman ! Ce n’est pas la première fois que je vais chez mamie !— Et ne va pas traîner en route !
La jeune femme quitta la maison, levant les yeux au ciel.
— Pff, ces parents, ce qu’ils peuvent être pénibles parfois.
Sa mamie ou « Mamou » comme elle aimait l’appeler, habitait loin, au milieu d’une petite forêt de chênes et de châtaigniers, à une demi-heure du village. Ce chemin, elle le connaissait par cœur, elle l’avait parcouru de nombreuses fois depuis toute petite, du coup, elle décidait de prendre son temps et de flâner un peu en chemin.Arrivée aux abords de la forêt, elle rencontra un être extraordinaire. Sa silhouette ressemblait à celle d’un homme, d’ailleurs tout son corps était celui d’un homme, mais il avait une longue queue qui faisait penser à celle d’un loup. Ses cheveux longs et son pelage fin, aux couleurs poivre et sel, lui couvraient les bras, les jambes ainsi que son dos, seul un short lui cachait le reste d’un corps athlétique.
— Bonjour, Chaperon rouge.— Bonjour, comment ça se fait que vous connaissiez mon nom ?— Je suis un grand ami de ta mamie et elle m’a beaucoup parlé de toi et de votre complicité. Mais je manque à tous mes devoirs, je me présente, je m’appelle Loup.
— Enchanté monsieur Loup.
La jeune Chapie était ravie de faire cette connaissance, elle, qui n’avait jamais vu un homme torse nu, avait du mal à cacher son émoi face à ce Loup au physique si avantageux.
— Vous connaissez Mamou ?— Oui, je suis son voisin, je vis aussi dans la forêt et je suis son voisin le plus proche.— Où vas-tu donc à cette heure de l’après-midi ?— Chez Mamou, elle n’est pas très bien, en conséquence, je vais lui apporter un panier avec de quoi manger.— Alors faisons un bout de chemin ensemble.
Chapie et Loup s’avancèrent alors dans la forêt, sur le chemin, ils discutèrent et apprirent à se connaître. Au fur et à mesure de leur avancée, Chapie était de plus en plus troublée par la beauté de cet être au point qu’elle commençait à s’imaginer dans ses bras et l’embrasser.
— Arrêtons-nous là un instant Monsieur Loup, je suis un peu fatiguée.
Elle posa son panier d’osier au pied d’un chêne et s’asseyit contre lui. Loup se posa près d’elle.
— Je suis intriguée, est-ce que je peux toucher votre pelage ? Je me demande s’il est doux.— Bien sûr Chapie, il n’y a pas de problème.
Chaperon rouge posa alors sa main sur l’avant-bras de Loup et lui caressa son doux pelage grisonnant.
— Oh, mais c’est incroyable comme il est doux !
Chapie regardait Loup droit dans les yeux tout en continuant de caresser le bras. Elle se perdait dans ses pensées et ne s’apercevait pas qu’elle ne caressait plus le bras, mais son torse de Loup. Celui-ci ne disait rien, il la laissait faire. Après quelques instants d’égarement, Chapie reprenait ses esprits et se rendit compte que sa main se trouvait sous le nombril à la lisière du short de Loup.
— Oh pardon, je suis désolée, j’étais perdue dans mes pensées.— Il n’y a pas de mal, à quoi pensais-tu ?
Un peu honteuse et n’osant pas lui avouer ses pensées, elle balbutia quelques mots presque inaudibles.
— ... caresse... dans vos bras...— Je n’ai pas bien entendu, dans mes bras ?
Le teint du visage de la belle prit alors la même couleur que sa cape. Chapie prit son courage à deux mains et lui dit :
— Je me rêvais enlacée dans vos bras.— Ah ! Mais si ce n’est que ça il n’y a pas de problème, allez viens, si je peux te faire plaisir.
Loup ouvrit les bras en grand et Chapie vint s’y enlacer. Elle posa sa tête sur le torse de Loup, elle put y entendre un cœur qui battait la chamade, elle ferma les yeux pour mieux l’entendre tout en continuant de lui caresser le corps. Quelques secondes plus tard, une folle envie d’embrasser Loup lui vint, ce qu’elle fit sans lui demander son autorisation. D’abord surpris, Loup lui rendit son baiser. S’en suivit un long baiser entouré de caresses, les deux promeneurs faisaient courir leurs doigts sur la peau de leur partenaire. Chapie qui restait une jeune femme avec les hormones qui la travaillent avait envie de plus, elle posa sa main sur la braguette de Loup et le regarda dans les yeux.
— J’ai envie de voir ta queue, celle qui te sert à donner du plaisir !
Loup qui lui aussi avait envie de prendre du plaisir lui répondit :
— Mettons-nous nus, que nous puissions tous les deux profiter du corps de chacun.
Sur ces paroles, Chapie enleva son débardeur et son minishort ; comme beaucoup d’adolescentes de son âge, Chapie ne portait pas de sous-vêtements par-dessous, elle gardait juste sa cape rouge. Loup, lui, fit juste glisser son short à ses pieds. Les yeux de Chapie s’écarquillèrent : devant elle se dressait l’engin de Loup, une belle verge légèrement pointue de plus vingt-cinq centimètres de long sur quatre de large et à sa base une boule. Sans s’en rendre compte, sa main avait déjà attrapé la bite de Loup.
— Tu veux la goûter ma chérie ?— Je ne sais pas, je n’ai jamais fait l’amour, alors sucer une queue encore moins. Mais elle est vraiment belle et j’ai mon entrejambe qui est tout chaud rien qu’en la regardant.— Alors c’est qu’il faut que tu te lances.
Chapie ouvrit la bouche et commença par déposer un baiser sur le gland pointu de Loup. Puis, elle sortit sa langue et lécha celui-ci avec application.
— C’est bien ma belle, tu t’y prends bien.
Les mains de la belle commencèrent un va-et-vient le long de la verge de Loup, sa langue continua à lécher ce gland pointu d’où commença à sortir un liquide transparent légèrement salé.
— C’est bizarre ce liquide, il sort de ta bite, mais il ne me dégoûte pas, il a même bon goût.— Alors ne t’en prive pas, il est à consommer sans modération.
Chapie ouvrit plus grand la bouche pour y enfermer le gland de Loup, elle fit tournoyer sa langue pour le faire gonfler encore plus. Ses doigts accélérèrent la cadence des va-et-vient. Loup lui ferma les yeux pour profiter du moment.
— Oh ! Ma belle, si tu continues, je vais te remplir la gorge de mon jus. Arrête un peu que je m’occupe de toi.
Chapie retira alors la verge de Loup de sa bouche. Un peu déçue de ne pas avoir eu droit à sa récompense. Loup la regarda dans les yeux et lui dit :
— Ne t’inquiète pas, je veux d’abord te donner du plaisir et après si tu veux, tu pourras de nouveau me sucer.
Chapie s’assit par terre, adossée au chêne, les fesses posées sur sa cape. Loup s’allongea près d’elle et commença par lui embrasser l’intérieur des cuisses tout en caressant celles-ci avec le dos de sa main pour que son pelage augmente la sensation de caresse. La belle ferma les yeux et ouvrit plus grand encore son entrejambe. Une odeur d’excitation sortit de son puits du plaisir ainsi qu’un liquide clair. Loup en profita pour laper ce liquide du bout de sa langue, déclenchant une vague de frisson dans le bas-ventre de Chapie.
— Oh ! ça chatouille ! Continue, c’est si doux et délicieux.
Les doigts de Loup continuèrent à se balader à l’intérieur des cuisses de la belle, sa langue commença à lui lécher l’abricot qui laissa échapper ce liquide de plaisir avec plus d’intensité. Après un long moment à s’occuper des lèvres fines de la belle, Loup décida qu’il était temps qu’elle prenne plus de plaisir. Il écarta les lèvres avec ses doigts et aspira le clitoris de la belle Chapie qui en redemandait toujours plus.
— Oh oui ! Loup continue, c’est trop bon !
Après de longues minutes à alterner entre les coups de langue sur le bouton d’amour, les aspirations de celui-ci et l’insertion de sa longue langue dans les entrailles de la belle. Chapie prit enfin son pied et jouit avec une telle intensité qu’un grand jet sortit de sa chatte et aspergea le visage de Loup.
— Hum ce goût exquis que tu as ma Chapie, il me rappelle celui d’une amie.— Oh, tu m’as fait jouir comme jamais mon Loup, à mon tour de te faire jouir.
Loup prit la place de Chapie et la belle s’agenouilla devant sa récompense.Elle qui avait dû s’arrêter tout à l’heure était bien décidée à aller jusqu’au bout. Elle prit de nouveau la verge de Loup dans la bouche et s’appliqua à jouer avec sa langue sur le gland. Ses doigts glissaient le long de cette bite très tendue et accéléraient la cadence. Chapie voulait goûter ce jus, elle ne pensait plus qu’à ça. Ses lèvres aspiraient la queue de loup avec avidité tandis qu’elle serrait ses doigts pour accentuer les sensations de Loup et qu’il jouisse fort et vite.
— Oh ! Chapie si tu continues, je vais t’inonder le visage.
Peu importe les lamentations de Loup, Chapie voulait sa récompense, c’était devenu sa raison de vivre à cet instant. Soudain, un grand spasme de la queue de Loup déclenchait une avalanche de sperme dans la bouche de Chapie, une seconde vague venait s’écraser sur son visage et une troisième sur ses seins et son ventre. Chapie avait réussi, elle avait reçu sa récompense et elle s’en délectait.
— Tu as été fantastique ma belle Chapie.— Toi aussi Loup.— Je dois te laisser, je suis attendu chez une amie, ça ne te dérange pas ?— Non pas du tout, je vais me laver vite fait dans le petit ruisseau à côté et je vais aller chez ma mamie.— J’espère que nous nous reverrons.— Certainement, je demanderai à Mamou ton adresse.— Avec plaisir.
Loup se rhabilla et s’enfonça un peu plus dans la forêt.
En contemplant Chapie, Loup se dit : «Voilà une bien belle rencontre, un vrai délice ! Ça serait encore bien meilleur si je pouvais la partager avec mon amie. Il faut que je m’y prenne adroitement pour les attraper et les baiser toutes les deux ! »
Chapie, elle était allée se nettoyer dans le petit ruisseau qui coulait près du chêne, elle se caressait les seins et sa petite chatte en repensant à la gâterie que lui avait prodiguée Loup, elle aurait bien aimé aller plus loin, mais elle était encore vierge, du coup, elle redoutait quand même un peu sa première pénétration.Pendant ce temps, Loup, lui, courait directement et sans s’arrêter vers la maison de la mamie. Arrivé devant la maison, il frappa à la porte.
— Qui est là ?— C’est moi, ton voisin Loup.— Tire la chevillette et entre. Je suis occupée, je ne peux pas venir t’ouvrir.
Le Loup tira la chevillette, la porte s’ouvrit, là, planté au milieu du salon, Mamou était assise sur son fauteuil, habillée d’une robe de chambre en soie à se colorer les ongles de pieds.
— Je ne peux pas bouger, il faut que ça sèche. Comme nous avions rendez-vous, je me fais toute belle.
Mamou était une belle quinquagénaire, malgré son âge ; elle avait su s’entretenir, ventre plat, de belles fesses rebondies et une poitrine généreuse. Mamou était une femme sportive à la retraite. Grâce à ses efforts, elle ne faisait pas du tout son âge, seuls ses cheveux grisonnants la trahissaient. Mamou était veuve, elle avait perdu son mari il y a plusieurs années et avait rencontré quelques années plus tard Loup en se baladant en forêt. Depuis, ils étaient amants, chacun vivait chez soi, mais quand l’un ou l’autre souhaitait passer du bon temps, ils se donnaient rendez-vous. Avec Loup, Mamou était devenue beaucoup plus libre sexuellement, elle ne voyait plus le sexe comme la corvée pour satisfaire son mari, mais comme une libération d’un plaisir enfoui en elle depuis très longtemps.
— J’ai croisé Chaperon rouge en venant chez toi, elle vient t’apporter un panier de nourriture, car elle pense que tu n’es pas bien.— Ah oui et elle n’est pas avec toi ?— Non Mamou, en chemin, elle est, elle aussi, tombée sous mon charme et a voulu s’occuper de moi comme toi lors de notre première rencontre.— Ah oui ? Et du coup où est-elle ?— Là, elle se lave, car je l’ai arrosée de ma semence, sur tout son corps. Et après elle arrive. Elle est très coquine, je pense que l’on pourrait s’amuser tous les deux avec elle.— Et pourquoi pas, ça va faire longtemps qu’une femme ne m’a pas léché l’abricot et puis elle est très belle tout à fait à mon goût.— La dernière femme qui t’a fait jouir Mamou c’est Blanche, lors de notre dernière soirée avec les nains.— Hum oui, je me souviens, une soirée bien arrosée.
Mamou le disait avec un large sourire, effectivement lors de cette soirée les deux femmes avaient fini au milieu des hommes, recouvertes de leurs jus.
Soudain, on entendit des pas dehors, Loup alla se cacher sous le lit et Mamou se leva, ferma sa robe de chambre d’un simple nœud et alla ouvrir la porte. C’était Chapie, elle avait fini de se laver et venait prendre des nouvelles de sa Mamou.
— Coucou Mamou, comment ça va ? Maman m’a dit que tu n’étais pas bien.— Coucou ma Chapie, ça va beaucoup mieux maintenant que tu es là ma chérie.
Les deux femmes s’assirent sur le canapé. De sa cachette Loup pouvait voir toute la scène, il attendait le bon moment pour faire son entrée.Les deux femmes papotèrent de tout et de rien pendant un bon bout de temps, mais Chapie était peu attentive, elle ne faisait que repenser à ce qui s’était passé dans la forêt avec Loup. Son excitation montait encore de plus en plus. Mamou se rendit très vite compte que Chapie n’était pas très concentrée et visiblement très excitée vu l’auréole qui marquait son minishort au niveau de son abricot. Mamou décida d’enlever sa robe de chambre.
— J’ai un peu chaud, ça ne te gêne pas si je reste en sous-vêtements ma chérie ?— Non Mamou, on est chez toi, tu fais ce que tu veux.
Chapie pouvait alors, pour la première fois, voir sa Mamou en sous-vêtements : celle-ci portait un string en dentelle blanc qui mettait en évidence la courbe de ses fesses et un soutien-gorge de même couleur qui sublimait sa poitrine généreuse. La voir dans cette tenue excitait encore plus Chapie et faisait agrandir l’auréole de son minishort. Fière de l’effet qu’avait eu son strip-tease sur Chapie, Mamou lui demanda :
— Ça te plaît ce que tu vois ma chérie ?— Euh...— Ça ne sert à rien de le cacher ma chérie, je le vois bien, ton shorty est tout trempé au niveau de ton minou.
Rouge de honte, Chapie referma aussitôt les cuisses et ne savait plus quoi faire. Mamou se rapprocha d’elle et lui dit :
— Tu sais ma chérie, il ne faut pas avoir honte, moi aussi, j’aime les femmes. J’aime les hommes, les femmes et tous les êtres qui peuvent donner de l’amour.— Ah bon ? Mamou, tu aimes les femmes ?— Oui, ma chérie et tu es une très belle jeune femme très attirante.— Toi aussi Mamou, tu es très belle et extrêmement sexy.
Mamou posait sa main sur la cuisse de Chapie qui se détendit.
— Tu sais, j’ai déjà fait l’amour avec plusieurs femmes, tu souhaiterais essayer ?— Oui, mais tu es ma Mamou.— Oui, je suis ta Mamou, mais je reste une femme et qui en plus a de l’expérience avec d’autres.
Mamou rapprocha son visage de celui de Chapie et l’embrassa. Chapie était un peu stressée, mais se détendit très vite et lui rendit le baiser.
— Dis Mamou, tu as de belles lèvres.— C’est pour mieux t’embrasser ma chérie.
Un long baiser s’ensuivit, au fur et à mesure l’excitation de Chapie augmentait et la belle écartait de plus en plus les jambes.
— Mamou, tes doigts sont si doux.— C’est pour mieux te caresser ma Chapie.
Et ses doigts virevoltaient sur les cuisses de la belle, ce qui augmentait la taille de l’auréole sur son minishort.
— Mamou, j’ai envie de faire l’amour !— Alors viens avec moi ma belle, j’ai quelque chose pour toi.
Elle l’amena sur le lit.
— Déshabille-toi, ma chérie et ferme les yeux, je vais te chercher ton cadeau.
Chapie se mit nue sur le lit, ferma les yeux et attendit. Mamou fit sortir Loup de dessous le lit et tous les deux enlevèrent leurs habits.
— Tu peux ouvrir les yeux ma chérie.
Chapie ouvrit les yeux et aperçut devant elle, Mamou et Loup qui s’embrassaient. Surprise, mais terriblement excitée, elle ne sut pas quoi dire.
— Je te présente Loup, mon ami et mon amant, il m’a raconté votre rencontre de tout à l’heure. Et il me semble que tu as beaucoup aimé.— Oh oui, c’était délicieux, j’ai encore son goût dans la bouche.— Ça te dit si nous faisons l’amour tous les trois ? Comme ça je t’initie à l’amour avec une femme et lui nous apporte le côté mâle qu’il nous manquera à un moment donné.— Oh oui, ça me dit, j’en ai très envie.
Loup et Mamou s’allongèrent tous les deux sur le lit entourant Chapie. La belle ferma les yeux tandis que Mamou commençait par lui embrasser le cou et que Loup lui caressait la poitrine. Un petit filet de cyprine coulait du puits d’amour de la belle pour se déverser sur la couette. Plus les baisers et les caresses avançaient, plus Chapie ouvrait les cuisses et ses gémissements devenaient bruyants.
— Hum, c’est délicieux, continuez, c’est tellement bon.— Merci ma chérie, je vais te faire goûter le plaisir de la langue d’une femme, profite en bien.
Mamou se positionna entre ses cuisses, une forte odeur d’excitation en sortait, ce qui augmenta l’excitation de Mamou et qui l’incita à bien s’appliquer. Sa langue commença par naviguer à l’intérieur des cuisses de la belle, puis elle vint se poser délicatement sur les grandes lèvres. Mamou pouvait enfin goûter le goût de sa chérie.
— Hum ma Chapie, tu es délicieuse, j’adore, j’en mangerais tous les jours de cet abricot bien mûr.
Puis, elle souffla légèrement sur le fruit défendu pour que sa Chapie soit encore plus excitée. Après cette caresse, Mamou décida d’aspirer le bouton d’amour, elle le sortit de sa cachette et le lécha du bout de la langue avant de l’aspirer avec amour. Chapie se contracta alors d’un coup et jouit en éclaboussant le visage de Mamou.
— Oh Mamou, je viens !
Celle-ci se régala de ce nectar et n’en perdit pas une goutte. Elle écarta un maximum les lèvres pour bien tout récolter.
— Tu es toujours vierge ma Chapie ?— Oui Mamou, je n’ai jamais trouvé un homme à mon goût pour lui offrir mon pucelage. Du moins jusqu’à tout à l’heure.
Chapie regarda Loup droit dans les yeux en disant ces mots. Loup qui n’était pas resté inactif pendant que Mamou s’appliquait sur son cunni, s’était occupée de la poitrine de la belle. D’ailleurs Chapie n’avait pas arrêté de lui caresser le torse et la verge durant cette majestueuse épreuve linguale.
— Je pense que Loup est un peu trop gros pour te déflorer ma chérie, je ne voudrais pas que tu aies trop mal. Repose-toi un peu et profite du spectacle. Loup, viens derrière moi et prends-moi, tout ça m’a excitée à un point, je suis toute trempée.
Loup s’exécuta et se plaça derrière Mamou, celle-ci était restée la tête entre les cuisses de Chapie et relevait sa croupe un maximum. Loup commença par lécher la raie de Mamou, d’où coulait toute l’excitation de ce début de soirée. À chaque coup de langue entre ses fesses, son abricot et sa fleur de rose s’ouvraient de plus en plus. Chapie profitait du spectacle en se caressant les seins et son bouton d’or. Après avoir bien lubrifié les deux orifices, Loup présenta sa queue à l’arrière-train de Mamou.
— Tu as un choix en particulier ma chérie ?— Comme ça te fait plaisir, mon Loup, tu peux abuser des deux si tu le souhaites.
Loup fit glisser son membre sur la rondelle de sa partenaire, celle-ci déjà bien ouverte et attendait avec impatience de se faire pénétrer. Ce que fit Loup, il introduisit sa verge, mais juste le gland.
— Oh, c’est bon, vas-y prends-moi fort !
Mais Loup retira son gland de cette cavité pour le faire descendre dans la grotte plus humide de Mamou. Il s’introduisit sans ménagement et commença un va-et-vient lent, mais brutal, tenant fermement les hanches de Mamou et venant taper bien au fond de son antre. La quinquagénaire gémissait fortement, elle ondulait son bassin et cambrait son cul un maximum pour que Loup vienne taper bien au fond de son vagin avec force et dureté.
— Hum oui mon Loup, détruis-moi la chatte comme tu sais si bien le faire.
Loup accéléra la cadence et maintenant résonnaient dans la pièce les claquements du bassin de Loup contre les fesses de Mamou. Chapie, elle se mordait la lèvre inférieure, sa main droite caressait frénétiquement son abricot et son autre main ses tétons. La jouissance était proche, chacun des trois était au bord du plaisir. C’est Mamou qui jouit la première, elle explosa littéralement, ses contractions firent par faire jouir Loup avec force qui lui remplit la chatte de sa semence et enfin Chapie qui prit son pied une nouvelle fois. Après quelques instants pour reprendre leurs esprits, Mamou dit :
— Viens sous moi ma chérie, lèche-moi la chatte, pendant que je lécherais la tienne et goûte ce mélange aphrodisiaque.
Chapie se mit sous elle. Mamou commença à lécher immédiatement le minou tout ruisselant de cyprine de sa descendante tandis que Chapie profitait de la vue. La queue de Loup était toujours dans le vagin de Mamou, quelques gouttes de sa semence coulaient sur le visage de la belle, elle était obnubilée par cette belle image. Loup dégagea sa queue des entrailles de Mamou et un flot de mélange de cyprine et de sperme vint inonder le visage de Chapie qui s’en délecta en ouvrant en grand la bouche. Chapie nettoya la verge de loup avec sa langue et en l’aspirant méticuleusement, puis nettoya la chatte de Mamou et y glissant sa langue au plus profond. Elle adorait cette nouvelle situation et en redemandait. Après cette séance de nettoyage personnalisé, ce fut au tour de Chapie de goûter au plaisir d’un pénis.
— Mets-toi à quatre pattes ma chérie, c’est moi qui vais te prendre ta virginité.
Mamou alla chercher son gode ceinture dans sa table de chevet, le mit et le présenta au visage de Chapie. C’était un gode de taille moyenne, un petit un centimètre de long sur trois de large, de couleur rouge sur lequel ressortaient des veines bien gonflées.
— Mais avant, il va falloir le mériter, lubrifie-moi cette bite qui te dépucellera. Loup chéri, prépare-la bien avec ta langue comme tu sais si bien le faire.
Chapie prit alors son cadeau à pleine bouche, elle salivait énormément et appréciait beaucoup cette belle verge qui lui tapait au fond de la gorge. Loup ne perdit pas de temps, il préparait l’arrière-train de Chapie en lui léchant tous les orifices, il insérait sa langue au plus profond de chacun pour goûter la saveur du Chaperon rouge. Après quelques instants à tout préparer, ce fut le moment tellement attendu, elle allait enfin se faire déflorer.
— Changeons de place mon Loup, il est temps que ma petite Chapie devienne une femme comme sa Mamou.
Elle se mit derrière la belle, présenta sa verge en plastique pleine de salive au bassin de Chapie et posa son gland entre les lèvres de sa descendante.
— Vas-y ma Chapie, recule lentement, c’est toi qui vas te déflorer toute seule, je te laisse aller à ton rythme.
Chapie recula légèrement, elle put alors sentir le gode rentrer en elle, une nouvelle sensation de plaisir lui apparut alors. Pourtant, seul le gland était rentré, celui-ci venait caresser son hymen sans encore le passer. Chapie resta quelques secondes à apprécier ce moment, peut-être une petite peur la freinait, mais c’est avec fermeté qu’elle recula d’un coup, déchirant au passage ce fin morceau de peau, qui bloquait le passage vers les profondeurs de son vagin. Une douleur lui traversa le corps, après quelques secondes pour reprendre ses esprits et s’habituer à cette légère douleur, elle recula plus encore son bassin jusqu’à ce qu’elle sente que la verge de sa Mamou vienne au plus profond d’elle. Là, elle stoppa, il fallait qu’elle s’habitue à ce cadeau qui lui remplissait sa grotte d’amour et à cette douleur qui inondait son bas-ventre. Mamou caressait les fesses de sa belle, elle savait qu’il ne fallait pas forcer et attendre que Chapie soit prête à continuer.
Elle essayait de lui procurer du plaisir en la caressant. Loup, lui, s’était assis sur le canapé, la queue entre les jambes, cet engin de plaisir était devenu tout mou, il fallait qu’il récupère et en profitait donc pour observer la scène avec intérêt.
— Vas-y Mamou, tu peux y aller, je meurs d’envie de découvrir le plaisir de jouir avec mon vagin.
Mamou embrassa le dos de sa chérie et commença un va-et-vient lent et délicat. Chapie grimaçait un peu, mais elle se concentrait sur son plaisir et était certaine qu’elle allait en avoir beaucoup, même si pour le moment, c’est la douleur qui l’emportait. Cependant, son abricot continuait quand même à couler, signe qu’elle était toujours très excitée. Au fur et à mesure des ondulations du bassin de Mamou, Chapie commença à voir disparaître la douleur et voir apparaître une chaleur de plus en plus intense dans le creux de ses reins.
— Continue Mamou, je sens que la douleur s’en va et une chaleur monte en moi.— C’est que tu es sur la bonne voie ma chérie.
Mamou garda un rythme léger pour que la douleur de sa chérie s’en aille définitivement. Chapie, toujours concentrée sur son plaisir, commença à gémir, car la sensation de plaisir devenait de plus en plus forte.
— Tu peux aller plus vite Mamou, je sens que j’en ai besoin.
Alors Mamou accéléra la cadence et la douleur s’en alla complètement des entrailles de Chapie. Elle ne ressentait maintenant plus que du plaisir. Sa petite chatte dégoulinait de plus en plus et en voulait plus, toujours plus.
— Hum Mamou, accélère encore, c’est trop bon.
La cadence changea encore, Mamou s’agrippa aux hanches de sa chérie et commença à la culbuter de plus en plus fort, à tel point que son bassin venait claquer sur les fesses rouges de sa descendante. De longs râles de plaisir sortaient alors de la bouche du Chaperon rouge, elle fermait les yeux pour profiter intensément de ce nouveau plaisir qui lui envahissait son être. Après de longues minutes à la limer, un long cri de plaisir se fit entendre dans la maisonnette.
— Ouiiiiiiiiiii !!!!!!
Chapie venait de jouir avec force, à tel point que son jus en avait éclaboussé les cuisses de Mamou. Elle avait un large sourire aux lèvres, elle était épuisée, mais heureuse d’avoir pu enfin découvrir ce plaisir. Mamou se retira de sa petite chatte et vient s’allonger près d’elle pour l’embrasser.
— Je suis fière de toi ma chérie, désormais quand tu viendras chez moi, on pourra s’amuser ensemble si tu veux bien.— Oui, je le veux, et j’espère que Loup sera là aussi.— Oh, mais Loup n’est jamais bien loin, rappelle-toi ma chérie, c’est mon voisin. Et plus tard, je te ferai connaître mes autres ami(e)s.— J’ai hâte Mamou, je sens que ça va être divin.
Les trois amants se posèrent alors sur le canapé pour se câliner un peu et récupérer. Puis dans la soirée, Chapie reprit le chemin de chez elle avec plein de souvenirs en tête et une belle auréole sur son minishort. Elle était guillerette, car son avenir s’annonçait à présent rempli d’amour et de plaisir.
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