Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 61 J'aime
  • 4 Commentaires

Charlène, sa nièce et son amie

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Charlène, j’ai 61 ans et une particularité: Je ressemble à Claire Chazal. J’ai le même âge qu’elle mais surtout les mêmes traits et la même physionomie qu’elle et je ne fais franchement pas mon âge. C’est vraiment à s’y tromper. Certaines fois il m’est arrivé d’être saluée dans la rue et on m’a même demandé des autographes et des selfies, que j’ai bien entendu acceptés
Je suis maintenant à la retraite et me suis définitivement installée dans ma villa du Cap d’agde. C’est un endroit que j’aime bien avec piscine et spa, en plein village, mais cependant isolé des voisins par une végétation abondante.
Je dois reconnaître que, si je suis venu vivre ici , c’est aussi pour séduire de jeunes gens et que je joue de l’avantage que me procure mes similitudes physiques avec la célèbre journaliste pour arriver à mes fins. Il ya en été pléthore de gamins en goguette et le fait de séduire un cougar rode souvent dans leurs têtes.
L’année dernière, j’ai eu une aventure avec Philippe, mon neveu, qui vit dans la banlieue sud de Paris. Ce dernier a une soeur de 21 ans, Charlotte, qui m’a demandé s’il elle pouvait venir passer quelques jours chez moi, en août, avec une copine. J’aime bien mon petit chez moi mais j’ai fini par accepter. Pour des parisiens avoir de la famille qui possède un pied à terre proche de la grande bleue est toujours attractif.
Il ya huit ans que je n’ai pas vu ma nièce et je suis curieuse de la retrouver, les ados changent tellement vite. Je dois les récupérer, elle et sa copine, à la gare d’Agde pour les ramener chez moi et je me demande si je vais la reconnaître.
A l’heure dite je scrute les passagers, surtout les passagères, qui descendent du TER de Montpellier. Je vois une fille brune fort mince les cheveux courts, habillée à la garçonne. J’hésite un peu mais c’est bien Charlotte. Ell est accompagnée d’une gamine de son âge, les cheveux également courts, jean et débardeur, quelques tatouages sur les bras.
Charlotte me reconnaît également et me fait un signe de la main. Nous nous embrassons, je fais une bise à Eva, sa copine, et nous regagnons mes pénates. Les deux filles sont sympas et visiblement trés complices. Je vois tout de suite que les deux vivent une relation plus amoureuse qu’amicale.
Une fois arrivées je les laisse s’installer et se remettent du voyage. Nous nous  retrouvons  un peu plus tard en maillot au bord de la piscine. Les deux gamines sont longilignes, cependant Eva a une poitrine assez haute et ferme tandis que Charlotte est plutôt plate.
Je leur explique qu’elles sont ici chez elles et qu’elles peuvent rentrer et sortir à leur guise et même utiliser ma voiture si besoin. Elles sont ravies. Je les invite dans un petit restaurant du port et là je remarque qu’Eva prend régulièrement la main de ma nièce sous la table. Ma première intuition était la bonne. Ma nièce a une petite amie.
Quand nous rentrons Eva décide d’aller se reposer et j’en profite pour discuter avec ma nièce, qui est en train de finir ses études d’infirmière. Elle me dit librement qu’elle a rencontré Eva à l’école et qu’elles sont amies depuis deux ans. Je lui réponds que je l’avais compris et que je les trouve très amoureuses. Charlotte me sourit.
Nous faisons ensuite un tour d’horizon de nos connaissances communes. Je lui demande des nouvelles de ma sœur, sa mère. Elle ne la voit plus beaucoup car celle-ci n’a pas très bien supporté d’avoir une fille lesbienne. Charlotte conclut le chapitre en disant que je suis l’opposée de sa mère, ce que je prends pour un compliment. On en arrive à son  frère, mon neveu Philippe.
Ma nièce me dit, toujours nature, que son frère lui a raconté qu’il avait eu une aventure avec moi l’été dernier. Je lui confirme l’histoire. Elle ajoute que cela ne la gêne pas du tout, chacun ayant le droit de choisir sa sexualité comme il l’entend dans la limite de ce qui est acceptable pour l’autre.
Nous devisons ainsi sur le sujet un moment et elle me demande si j’ai eu des expériences homosexuelles. Je lui réponds que oui et qu’en fait j’aime le sexe en général sans me soucier spécialement du genre de l’autre. J’ai eu certes plus d’aventures avec des hommes, mais à l’occasion j’ai aussi eu des relations avec d’autres femmes.

A ce moment là, Eva revient et Charlotte en profite pour l’embrasser ouvertement devant moi pour lever toute ambigüité. Les deux filles vont ensuite se baigner dans la piscine en piaillant comme un vol de moineaux. Je les rejoins et leur demande si cela ne les dérange pas que je me baigne nue. Elles acquiescent et en font de même.
J’apprécie leurs corps jeunes et élancés. Charlotte s’est fait tatouer un "EVA", entrelacé au dessus du sein gauche. C’est à ce moment que la dite Eva en profite pour faire son couplet Claire Chazal. Elle me dit que la ressemblance est ahurissante et me félicite pour ma plastique. Comme elle n’a pas l’insolence de relier sa remarque à mon âge, ça passe.
Les jours passent et les filles se trouvent bien chez moi. Elles s’enhardissent au fur et à mesure et flirtent souvent devant moi. Un matin je les entrevois par la porte entrouverte de leur chambre en train de se caresser. Elles alternent des  sorties  et des moments de repos à la villa. Un mardi Eva m’informe qu’elle doit faire un aller retour sur Paris pour régler une histoire de logement.
Je vais donc passer les prochaines quarante huit heures seule avec ma nièce. Nous accompagnons Eva à la gare et décidons d’aller nous balader dans l’arrière pays. Nous passons ainsi la journée entre Pézenas et Saint Guilhem le Désert. Au retour je lui fais  découvrir "la Palourdière" un restaurant qui surplombe l’étang de Thau.
Vers 22 heures, je demande à Charlotte ce qu’elle souhaite  faire. Elle me parle alors d’une boite libertine vers Marseillan et me demande si je souhaite y aller avec elle. Je suis un peu surprise mais pourquoi pas. Après tout j’y vais bien parfois quand je suis seule...
Comme on est en plein été, c’est noir de monde. Les obsédés qui débarquent de toute l’Europe pour envahir le Cap ont débordé jusqu’ici. Tous les âges, toutes les nationalités, c’est la tour de Babel du sexe.
Nous trouvons un endroit plus calme sous le patio, buvons un  couple de mojitos, puis nous allons danser. Quand nous revenons, une fois assises,  ma nièce légèrement pompette se lance dans des confidences . Elle me dit qu’elle trouve que je suis une belle femme, que je lui plais beaucoup. Elle apprécie également ma manière de vivre et espère s’épanouir en s’ouvrant aux autres comme je le fais.
Je la remercie en me demandant où elle veut en venir. Elle reprend en baissant légèrement le regard. Elle m’avoue se sentir totalement lesbienne et l’assumer sans aucune gêne.  Je sens qu’elle tourne autour du pot et je la laisse venir. Finalement elle me prend la main et   me dit que son type  de femme, c’est mon clone, Claire Chazal. Cette fois-ci je suis fixée!
Je lui caresse doucement la joue et elle approche son visage du mien. Elle m’enlace et pose ses lèvres sur mon visage puis sur ma bouche. Je réponds à son baiser. Nous  nous caressons quelque peu en ous étreignant puis nous décidons de rentrer.  Dans la voiture ma nièce pose sa tête sur mon épaule et se laisse aller en déclarant qu’elle se sent super bien.
Nous rejoignons la maison et nous glissons toutes deux nues dans la piscine. Charlotte s’enroule comme une liane autour de mon corps et m’embrasse à bouche perdue. Je la presse contre moi et découvre de mes mains ses petits seins et son fessier charnu. Elle en fait de même avec mon anatomie.
Nous sortons maintenant de l’eau et, toujours enlacées, prenons possession d’un transat double. Charlotte à califourchon sur moi entreprend de lécher mon bas ventre. J’ai sa vulve à la verticale de ma bouche et je lui rends sa caresse. Je suce son petit abricot jusqu’à ce qu’il s’ouvre sous ma langue.
Ma nièce fouille ma chatte de ses doigts en suçant mon clitoris. Je la pénètre également d’un, puis deux doigts. Elle est assez serré car peu de bites ont eu le loisir de se faufiler dans cette intimité. Elle est surtout clitoridienne et c’est en léchant sa protubérance que je l’amène à l’orgasme. Elle jouit sans retenue noyant mon visage de cyprine.
Cette jouissance appelle la mienne et je me lâche à mon tour sur son minois. Je suis secouée pendant plusieurs minutes de crampes violentes. La coquine ne veut ni renoncer à mon bouton , ni ôter les doigts qui envahissent ma cavité. Je la fais éclater à son tour en comprimant son clitoris entre mes doigts, puis en le mordillant.
Nous restons enlacées de nombreuses minutes, nos corps secoués sporadiquement par le désir. Finalement nous nous endormons là, dans la chaleur moite de l’été. Les deux jours suivants furent ceux d’un couple amoureux. Nous étions  tombées amoureuses l’une de l’autre. La complication survint au retour d’Eva, l’amie de ma nièce. Mais ceci est une autre histoire.
Diffuse en direct !
Regarder son live