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Charlène, son neveu et ses pôtes

Chapitre 2

Paris sera toujours Paris

Inceste
J’ai décidé d’aller faire un tour dans la capitale, histoire de voir si les monuments n’ont pas bougé depuis mon dernier passage. Non, en fait mon neveu Philippe m’a relancée...
Il faut dire que je ne lui avais pas donné signe de vie. Mais de Facebook en SMS, il a eu raison de moi, le coquin. J’ai accepté son offre. Je vois à peu près ce qu’il a derrière la tête, je pense qu’il veut sauter sa vieille tante. Comme l’automne est arrivé et que le public du Cap devient rachitique, cela me fera du bien de voir du monde.
Rendez-vous au « Train Bleu », gare de Lyon. J’adore l’endroit, on recule d’un siècle en passant la porte. Et puis c’est bourgeois, cossu, bref tout ce qu’une petite vieille comme moi adore. Philippe n’est pas seul, Mouloud et Abdel, sont là aussi qui me font des grands signes. Le public BCBG du restaurant n’est pas habitué à voir la banlieue débarquer ici. Je vois des regards en coin, des chuchotements quand je leur fais la bise.
Ce petit salaud de Mouloud en profite pour me passer sa sale pogne sur les fesses. Je glousse et retire sa main. Il y a un gros type à côté, vautré dans un fauteuil crapaud, qui a vu la scène et me jette un regard peu amène.
Ibrahim a été retenu. En fait il est plutôt détenu, vu qu’il a pris quelques mois de placard pour trafic de stupéfiants. Tant pis, nous ferons sans lui. Philippe et les deux gars sont tout contents de me retrouver. On part dans Paris dans leur Golf flambant neuve, la parfaite voiture de loulous, vitres teintées à bloc, musique rapeuse qui déborde de toutes les enceintes ; Vive la jeunesse !
Mon neveu me dit que les affaires vont bien, ce que je vois à sa tenue, Armani et chaîne en or, Rolex au poignet. Ses deux comparses font plutôt dans le genre sport, Nike and Cie. On file jusqu’à Châtelet,  puis on remonte vers le nord, direction Montmartre. Mon neveu s’arrête parfois aux feux, mais je pense que c’est plus pour mater une passante que pour respecter la signalisation.
On approche de Pigalle, Philippe ralentit. On ne perd pas de temps, semble t-il. Les trois zèbres semblent avoir planifié quelque chose. Ça pinaille un peu et nous voilà garés en double file devant le « Sexodrome ». Le panneau sur la façade annonce qu’il s’agit du « plus grand love store du monde », bref, un sexshop sur 6 étages.
On rentre. Des gadgets à perte de vue, cela fait longtemps que je n’avais pas mis les pieds dans ce type de bazar. Le business a énormément progressé. Mouloud balance au gars à l’entrée : "On t’amène Claire Chazal ! »
Le type me regarde et doute. Il faut dire que je sors de chez le coiffeur et  la ressemblance est plus que troublante. Il ne voit pas trop ce que la journaliste viendrait faire là en compagnie des trois loubards et se contente de saluer en souriant.
Direction le premier étage « Bondage, Cuirs, Latex,... ». Je passe devant, Mouloud remet ça. Ce coup ci, il glisse carrément sa main sous ma jupe et joue avec l’élastique de ma culotte tout en montant l’escalier. Je le laisse faire.
Nous voilà au royaume des fétichistes. Les garçons ont décidé de m’habiller. Enfin, si l’on peut dire... Ils jettent leur dévolu sur une robe manteau court en vinyle brillant, intérieur satiné, grand col relevable et fermeture par boutons pression invisibles, sans poches, ceinture avec passants.  C’est ce que dit le descriptif.
Il y a toutes les tailles. Je fais du 40, mais ça sera du 38, bon. Je fais l’essayage en sous vêtements sans fermer le rideau de la cabine.  Le bas de ladite robe me passe vraiment au ras du bonbon et ma poitrine déborde légèrement de l’échancrure du col. Cela leur va très bien... Ils me dégotent une paire de cuissardes en 37, avec des talons plus que haut. L’ensemble fait un peu vieille pute, mais puisque cela leur convient je me prête au jeu.
Comme il fait un peu frais dehors, je réclame quelque chose à porter dessous et j’ai droit à un body opaque noir, qui colle bien avec l’ensemble. Je repasse par la cabine, me déleste de mes sous-vêtements, enfile le body que je clipse entre les jambes, puis la robe manteau et enfin les bottes. Je suis fin prête. Philippe sort une liasse de billets de 50 et 100 €, paye et demande au caissier un sac pour fourrer les vêtements avec lesquels je suis venue ici.

Dés que nous passons le pas de la porte, je deviens l’attraction du boulevard. Ça zieute dans tous les sens. Abdel, qui s’était tenu tranquille jusque là, passe derrière moi et remonte ma robe sur mes fesses. J’ai le cul à l’air, puisque seul le string du body intervient entre mes fesses. Je me fait traiter de traînée par une quadragénaire dont le mari a eu le tort de vérifier à courte distance mon anatomie.
On marche un peu mais comme la fourrière va bientôt embarque la Golf, on remonte vite fait dans la voiture. Philippe récupère au passage la prune que lui tend la contractuelle et démarre sans plus tarder. Il jette la contravention par la fenêtre au carrefour suivant et nous filons vers la Place Blanche.
Mon neveu est délicat. Il sait que j’adore les fruits de mer et que c’est le meilleur endroit de paris pour en manger. Nous débarquons à la brasserie «Les Deux Théâtres». Le loufiat à l’entrée va nous dire qu’il n’y a pas de place, mais Philippe lui coupe le sifflet d’un billet de 50€. Et là nous pouvons nous installer où bon nous semble. Il est 20 heures et pas mal de monde commence à arriver.
On s’assied autour d’une table ronde, mon neveu d’un côté, les deux autres tirent la place à ma droite au sort. C’est Abdel qui gagne. Au moment où je vais me poser, Philippe, cachotier, me fait signe que non. Il me tend un petit sac en plastique qu’il sort de sa poche. Je jette un œil, il a fait des emplettes supplémentaires pendant que je m’équipais en vinyle. Pas grand chose, trois boules de geisha et une chaînette courte avec des pinces-étaux au bout.
Je vois à peu près à quoi ça peut servir et file aux toilettes. Mince, il y a quelqu’un. Personne alentour par contre. Je me place derrière la porte et défais les boutons pressions de mon body. J’ai la chatte à l’air. Je masse un peu, toujours personne. Ça devient assez vite humide. Je sors les boules du sac, comme au loto, et les suce quelque peu. Rien ne bouge, je le tente ; la première bille rentre un peu difficilement, ses deux copines ont plus de succès.
J’ai à peine fini qu’un bruit de chasse se fait entendre, la porte s’ouvre et une mégère de mon âge, mais deux fois plus large, apparaît dans l’encadrement. Elle est plutôt cul serré et mon accoutrement ne semble pas trop de son goût. Elle file vers le lavabo et je prends sa place. Une fois la porte fermée, je réajuste les boules dans leur nouveau logis et je me rends compte que le bout de la ficelle, qui se termine par un anneau, dépasse de ma robe  trop courte.
Bon. Je place les petits étaux sur mes tétons après les avoir humectés, je serre sans plus et replace mon col. Je reboutonne le haut et le bas. Je sors, la glace du lavabo me renvoie le petit anneau rose qui se balance entre mes cuisses. Du pur Lexoweb... Ceux qui connaissent apprécieront, les autres iront voir sur le site à quoi je fais référence.
Je retraverse la salle du restaurant, l’air de rien. Philippe et les deux lascars, l’œil sournois, matent mon entrejambe. Je m’assieds et commande du poisson, forcément. Mon neveu passe son bras sur mon épaule et défait les deux ou trois premiers boutons du haut de mon vêtement, sans avoir l’air d’y toucher. Il veut simplement vérifier si j’ai bien respecté la consigne. La présence des pinces sur le body le rassure dans ce sens.
Il saisit un bout de la chaîne entre le pouce et l’index et la tiraille juste au moment où le larbin apporte nos plats. Ce dernier a donc une vue plongeante sur mon attirail mais, certainement calmé par le bifton qu’il a empoché il n’y a pas si longtemps, il reste impassible.
Pendant que je mange Abdel, qui a déjà fini, s’intéresse  à mon anneau. Il a glissé sa main sous la table, puis sur ma cuisse et maintenant il passe son index dans l’anneau, contrairement au mariage où c’est à l’annulaire que ça se fait. Il tire puis relâche et les boules de plastique font la sarabande dans mon for intérieur. J’avoue que cela m’émoustille un peu.
Le plaisir de la chair prend le pas sur celui de la chère. Le salopard a trouvé un truc. Il amène la première des boules à l’ouverture de ma cavité en tirant sur la corde sensible,  puis du doigt il replace la sphère d’où elle vient et ainsi de suite. Si cela continue, je vais avoir un orgasme à table. Il le sent venir et s’arrête, puis reprend...
Quand nous quittons finalement le restaurant une demi heure plus tard je suis toujours au bord du truc, excitée comme une puce. Philippe dégage sa Golf de l’arrêt de bus où elle attendait des jours meilleurs et nous filons à tombeau ouvert dans la capitale, musique à fond bien sûr. Je suis montée derrière avec les deux comparses qui me titillent, l’un le haut avec la chaînette et l’autre le bas avec la cordelette.
J’avoue que je perds un peu le fil du trajet, jusqu’à ce que nous atterrissions, le mot n’est pas trop fort, au Bois de Boulogne. Là  je me reconnais et mon neveu ralentit, ce qui signifie qu’il a une idée en tête. Les deux compères à l’arrière sont visiblement de mèche. Nous passons la Porte Dauphine et remontons vers le rond point du Jardin d’Acclimatation. Philippe s’arrête avant d’entrer sur le carrefour.
Abdel ouvre la portière et sort.  Comme il me tient la main, je le suis. Il est 22 heures et il y a encore une forte circulation sur le secteur. Des types en goguette ralentissent quand ils me voient dans leurs phares. Abdel écarte les pans de mon manteau et fait admirer mon intimité aux automobilistes. Là, ça ne ralentit plus, ça pile! Abdel, en expert, défait mes pinces étaux puis enlève mon manteau. Je suis là, au bord de la chaussée en body transparent.
Cela ne dure pas non plus. Il passe sa dextre entre mes cuisses et tire le menu vêtement vers le haut. Je l’aide en levant les bras au ciel. En quelques secondes je me retrouve en tenue d’Eve. Il me  repasse mon manteau et je fais le tour de la voiture en marchant relativement vite. On se croirait aux autos tamponneuses quand l’électricité saute, il y a bien trente voitures à l’arrêt qui bloquent le carrefour.
Les types ont les yeux collés au pare-brise. Même une apparition de la vierge passerait davantage inaperçue. Je m’engouffre à l’avant côté passager et Philippe embraye aussi sec. Nous redescendons vers Bagatelle, mon neveu s’arrête au bord de la route. Quelque clodos et deux trois futurs clients ennuient là une paire de filles ou de travelos, dans la pénombre il est difficile de faire la différence.
Philippe allume le plafonnier et écarte les pans de mon vêtement. Cela fait son petit effet, les puces changent d’âne. Le petit groupe devient compact autour de la voiture. Mon neveu caresse ma chatte en ayant bien soin de maintenir mes cuisses écartées, tandis que les passagers arrières prennent ma poitrine pour cible. Le manège dure quelque peu puis Philippe sort de l’auto et m’entraîne  à l’écart. Ses deux acolytes suivent et les voyeurs avec.
Au bout d’une centaine de mètres nous trouvons un réverbère  et nous nous y arrêtons. Zig et Puce nous rejoignent, le reste du petit cortège reste un peu distant pour le moment. Philippe appuie sur mes épaules et je me mets à genoux devant lui. Mes longues cuissardes protègent mes genoux de la glaise éparse, achat judicieux au passage! Son sexe est déjà partiellement tendu quand il me le présente. Quelques coups de langue bien sentis finissent à le mettre définitivement en forme. Je crache sur  le gland incestueux et m’empresse de l’avaler. Mon neveu prend ma nuque dans sa main pour favoriser l’intromission. Abdel et Mouloud, respectueux de ces retrouvailles dans un premier temps, réclament maintenant leur part. Philippe me relève, je place une main contre le poteau du réverbère pour trouver un équilibre et reprend ma fellation incontrôlée.
Je suis donc penchée copieusement en avant, ce qui offre l’avantage de présenter ma croupe aux sbires. Abdel s’en saisit le premier. Il frotte son dard court et vigoureux à l’entrée de mon vagin qui n’a guère besoin de préliminaires. La pénétration se fait sans aucune difficulté tandis que je suce toujours Philippe avec entrain. Le troupeau humain qui nous entoure désormais, témoigne de l’immense intérêt que l’homme porte à son prochain.
Je ne sais pas d’où sortent tous ces types, mais visiblement la lumière les attire  comme de vulgaires papillons nocturnes. Abdel, en petite forme éjacule précocement. Ce qui fait le bonheur de Mouloud, qui piaffait d’impatience. Un clou chasse l’autre, celui-ci est plus épais et plus long. Mais aucun problème, le bougre me besogne fortement, ses pognes enserrant le haut de mes reins.
Là, je sens la jouissance me prendre et je déglutis Philippe un instant, le temps de râler un bon coup. Ce truc se communique car le fier berbère qui œuvre dans mon dos augmente encore la cadence, ce qui me fait jouir de plus belle. J’ai orgasme sur orgasme. J’engloutis la bite de mon neveu comme une damnée et son foutre ne tarde pas à gicler dans ma bouche qui aspire tout sur son passage.
Mouloud prend son temps, mais comme j’en ai fini avec Philippe, je l’aide à grands coups de reins. Ça finit par porter ses fruits. Il répand sa semence au fond de mon ventre en gueulant des machins incompréhensibles. Nos voyeurs n’ont pas chômé non plus, la plupart ont déjà étanché leur besoins, les retardataires se finissent tranquillement tandis que je reprends lentement une position plus verticale.
Nous filons à la voiture. J’ai bien envie de lécher une bonne glace pour me changer les idées. Le Pré-Catelan est juste à côté. C’est sélect mais, avec quelques billets de plus distribués à l’entrée, on devrait pouvoir y arriver. Philippe est d’accord et puis quand on aime on ne compte pas!
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