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Charlotte ma chérie

Chapitre 2

Lesbienne
–Bon, il est temps d’y aller, évidemment je paye l’addition puisse que nous avons quand même travaillé.–Merci Madame.
Elle paye et nous retournons au bureau. Elle va s’asseoir les jambes serrées. Je m’assois en écartant un peu les jambes de manière qu’elle voit l’énorme tache qui souille mon string. Une fois assise, je resserre mes jambes, elle me regarde.
–Je peux vous donner un conseil Léa ?–Bien sûr Madame.–Léa, je ne sais pas si c’est le résultat de notre conversation, mais je constate que votre string et bien humide, ça doit être très désagréable, vous devriez en changer.
Cette remarque me surprend, je suis rouge écarlate, mais je reste calme.
–Je n’en ai pas d’autres.–Et bien, allez l’enlever et faites comme moi, n’en portez pas.–Vous ne portez pas de culotte ?–Ni culotte, ni string, rien, j’adore avoir les fesses libres, vous pouvez vérifier.
Elle écarte un peu ses jambes, stupeur, elle n’a rien sous sa jupe. Je savais depuis le début qu’elle ne portait pas de soutif, mais pas de culotte, c’est une première.
–C’est une idée.
Prise d’un coup de folie, je soulève mes fesses de ma chaise, remonte ma jupe jusqu’à la ceinture, porte mes mains sur mon string et le fais glisser jusqu’à mes genoux. Une fois rassise, je passe mon string sous le genou gauche et écarte la jambe en le faisant glisser jusqu’à ma cheville, ouvrant mes cuisses en grand devant elle. Je répète la même manœuvre pour la jambe droite. Je me lève pour réajuster ma jupe, m’assieds sans resserrer complètement mes jambes, de la sorte, elle a une vue imprenable sur ma vulve brillante de cyprine. Le regard de Charlotte n’a pas quitté mon entrejambe. Elle me regarde droit dans les yeux, ses jambes sont un peu plus écartées. Je remarque aussi que son sexe brille plus que de normal. Je prends mon sac pour y cacher mon string.
–Voulez-vous bien venir à côté de moi avec votre string Léa ?–Bien sûr Madame.
Je me lève et viens me mettre juste à côté d’elle le string à la main. Elle le prend, me regarde.
–Je peux ?
Je ne réponds pas, je ne sais pas ce qu’elle veut. Elle me regarde toujours et le porte à ses narines.
–L’odeur est intéressante, agréable et très intéressante, j’adore.
Je ne sais que faire ou que dire, je suis figée, ma patronne snife ma culotte, j’hallucine. Elle tire un tiroir et le pose dedans.
–Pour snifer de temps en temps.
Elle me montre sa main.
–Je peux ?
Je n’ai pas le temps de répondre qu’une main qui se pose sur ma fesse gauche, je sursaute.
–Ça vous dérange ma main ?–Absolument pas, bien au contraire, faites ce qui vous plaît.
La main se déplace entre mes fesses passant de l’une à l’autre, les caressant alternativement. Elle me regarde droit dans les yeux tout en continuant ses caresses.
–C’est vrai que la peau de tes fesses est douce, j’aimerais aller un peu plus loin, j’aimerais vérifier tout ce que tu m’as dit, serait-il possible que tu m’inities au saphisme ?
Mon cœur explose, enfin, je vais pouvoir donner du plaisir à ce corps magnifique, à cette femme que j’aime.
–Bien sûr que je peux vous initier au saphisme, j’en rêve depuis que je vous ai vue.–Je le savais depuis le début, c’est donc moi l’objet de tes tourments.–Oui, c’est vous.–Maintenant, tu me tutoies et tu m’appelles Charlotte, même en public, je viens quand même de renifler ton string et de te caresser les fesses, et nous sommes assez proches collaboratrices pour ça. Après notre tête-à-tête au restaurant, personne ne sera choqué et ça sera plus facile pour nous. Et puis, le tutoiement est une tradition du transport routier.
–Ok, on se tutoie.–Bon, il est évident que tu ne vas pas pouvoir m’initier ici, tu viens chez moi ce soir, à moins que tu n’aies autre chose à faire.–Tu plaisantes, je serais chez toi immédiatement après avoir pris une douche et m’être changée.–Ok, mais chacune dans sa voiture, et n’oublie pas de prendre de quoi te changer pour demain, mon lit est très confortable, surtout à deux.–Bien sûr.
Je suis sur le point de retourner à mon bureau quand une main se pose de nouveau sur mes fesses et les caresse. Je me positionne pour qu’elle ait accès aux deux sans problème, elle relève un peu ma jupe et palpe mes fesses des deux mains. Elle les soupèse, les caresse, les écarte, les malaxe. Ses mains s’aventurent sur mes hanches, avancent encore un peu, remontent sur mon ventre, redescendent sur mon mont de Vénus et repartent au niveau de l’aine pour descendre le long de mes jambes, remonter à l’intérieur, revenir sur mes fesses et finir par soulever ma jupe. Deux lèvres viennent poser un baiser sur chacune d’elles. Je suis au bord de l’orgasme, mon cœur bat à deux cents.
–La suite ce soir, il faut bosser.
Je retourne à mon bureau d’un pas mal assuré, mes jambes flageolent. Arrivée à mon bureau, je m’assieds en écartant bien les jambes, de manière qu’elle puisse voir mon minou lisant, mais je les resserre une fois assise les laissant à peine ouvertes pour que ça ne paraisse pas obscène. Elle en fait autant, ce qui me permet de constater qu’elle est glabre et bronzée.
–Tu es naturiste ?–Oui, comme toi à ce que j’ai pu voir.–Oui, moi aussi.
Durant toute l’après-midi, je passe mon temps à lui apporter des documents, ce qui lui permet de me caresser les fesses où de glisser sa main à l’intérieur de ma cuisse, sans remonter trop haut, sur mon pubis, sans descendre sur le clitoris mais moi, je ne la touche pas, je ne peux pas, ce serait trop voyant. Ses caresses m’excitent énormément, à tel point que je suis obligé de m’essuyer l’entre jambe de temps en temps sous le regard intéressé et amusé de Charlotte. J’ai hâte d’être dans ses bras, de la caresser, de la goûter, de la boire. Une question me taraude l’esprit, je finis par lui poser.
–Tu as dit à table que dernièrement tu avais eu un petit pincement au cœur pour une femme, je la connais ?–Petite futée, tu penses à quelqu’un en particulier ?–Pas particulièrement, mais j’espère.–Eh bien oui, je parlais de toi, comment veux-tu que je ne remarque pas un canon comme toi. Tu étais habillée d’une jupe droite qui te moulait tes magnifiques fesses et d’un corsage blanc légèrement translucide qui ne cachait pas grand-chose de ta poitrine enveloppée d’un simple balconnet, tu étais bandante. J’ai eu comme une envie de te prendre dans mes bras, mais ça n’a duré que quelques secondes.–Dommage que tu ne l’aies pas fait, car moi, je suis tombée raide dingue de toi dès que je t’ai vu.–Je sais, je m’en suis rendu compte tout de suite, mais je n’étais pas dans ce trip, je venais d’arriver, il fallait que je m’impose, j’ai même exagéré ma froideur vis-à-vis de toi. –Alors, pourquoi tu m’as prise comme adjointe ?–Parce qu’au vu de ton diplôme et de ton travail, j’ai pensé que tu devrais être la meilleure à ce poste, et puis aussi parce que je commençais à te regarder autrement. C’est pour ça que j’ai provoqué cette discussion à table à midi.
La fin de journée de travail arrive enfin, je me précipite vers ma voiture pour me préparer chez moi. Je me douche, me maquille, me pomponne, et enfile une minijupe plissée et un corsage, le tout sans sous-vêtements. Trois quarts d’heure plus tard, je suis devant chez elle. Je suis fébrile, je tremble d’impatience, je me force à ne pas courir jusqu’à sa porte. Arrivée devant, je sonne, la porte s’ouvre instantanément (à croire qu’elle m’attendait derrière), sur une Charlotte en minijupe et tee-shirt moulants. Sa jupe lui couvre à peine les fesses et le tee-shirt fait bien ressortir sa magnifique poitrine.
–Bienvenue chez moi, entre.–Volontiers.
J’ai envie de la prendre dans mes bras, de la couvrir de baisers, mais son attitude me fait comprendre qu’il ne faut rien précipiter. Elle me guide vers le salon, me plante au milieu et reste devant moi. Je la regarde fixement, m’avance et pose ma main droite sur sa joue. Elle incline imperceptiblement la tête. Ma main caresse sa joue, descend le long de son cou, vite rejointe par l’autre au niveau de ses épaules. Elles descendent vers sa poitrine, chaque main enveloppe délicatement un sein au travers du tissu. Ils sont très fermes. Quand mes pouces titillent ses tétons déjà érigés, je la sens frémir un peu. Mes mains descendent le long de son corps pour atterrir sur ses fesses. Elles aussi sont hautes et fermes. Après quelques secondes de caresses, je la libère et recule d’un pas. Je la regarde fixement. Elle fait un pas en avant, une main vient sur ma joue gauche et descend sur le cou. Une autre main la rejoint sur mes épaules, elles viennent caresser un instant mes seins en titillant mes tétons, descendent le long de mon corps pour venir flatter mes fesses. Charlotte recule d’un pas. Je suis liquéfiée, j’ai l’impression que ma cyprine coule le long de mes jambes.
–Déshabille-moi.
Je prends son tee-shirt par le bas et le fait lentement passer par-dessus sa tête, je veux la découvrir lentement. Je me penche pour poser un baiser sur chaque sein, ce qui la fait frémir. La jupe tombe d’elle-même à terre une fois que j’ai fait descendre le zip et tiré légèrement vers le bas. Elle l’enjambe pour la libérer, je m’agenouille pour la pendre sans oublier de poser un nouveau baiser sur son mont de Vénus glabre et doux, une douce odeur de cyprine me titille le nez, je l’ai un peu excité. Une fois avoir posé sa jupe sur le divan, je m’immobilise à un mètre d’elle. Je la regarde, elle est vraiment magnifique, mais ce que j’aime le plus c’est son pubis rebondi offrant un sexe bien dessiné aux petites lèvres fines d’où émerge un petit bouton qui m’attire.
–A toi maintenant.
Elle s’approche pour déboutonner mon corsage bouton après bouton en prenant son temps, elle dégage le sein gauche, dépose un baiser sur le mamelon, dégage le gauche, l’embrasse aussi et m’enlève mon corsage en le faisant glisser vers le bas. Ma jupe tombe aussi d’elle-même une fois le zip descendu, là aussi, elle m’imite en posant un baiser sur mon pubis. Elle centralise nos affaires pour les poser sur un fauteuil et revient se planter devant moi. Je comprends que je dois prendre l’initiative. Je la prends par la main et l’amène s’allonger sur le dos sur le divan. Je la positionne jambes serrées, les bras le long du corps en me penchant sur elle. Elle ferme les yeux. Ma bouche se pose furtivement sur la sienne pour un baiser volé et poursuit son vagabondage sur tout le reste de son corps. Je n’oublie aucun recoin de ce magnifique corps qui commence à vibrer sous mes baisers, épaules, cou, seins, torse, ventre, aines, cuisses, jambes, pieds, seul le sexe est laissé à l’abandon. Quand j’arrive à ses pieds, je lui écarte légèrement les jambes pour remonter vers le haut de son corps en m’occupant de l’intérieur des jambes.
–Oh oui, oui..../...
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