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Charlotte ma chérie

Chapitre 3

Lesbienne
Son ventre ondule de plus en plus au fur et à mesure que je remonte vers son sexe. Arrivée au milieu des cuisses, elle veut écarter un peu plus ses jambes, mais je l’en empêche, je ne veux pas aller directement sur son sexe, je veux d’abord que nos corps fassent connaissance. Je me positionne entre ses jambes, évite son sexe, d’où émane toujours une forte odeur de cyprine, en le contournant et remonte lentement jusqu’à sa bouche. Quand nos lèvres s’unissent, je suis allongée sur elle, seins contre seins, pubis contre pubis, cuisses contre cuisses. Je l’embrasse passionnément, c’est notre premier vrai baiser d’amantes, je ne peux plus me retenir, nos langues se caressent, s’unissent, s’aiment. Elle monte son pubis pour le frotter au mien plus violemment, ses mains se plaquent sur mes fesses pour augmenter la pression de mon corps sur le sien. D’un seul coup, son corps se raidi et un léger son sort de sa bouche.
–MMMMMMMMMMMMMMM
Elle jouit les yeux toujours fermés. Je me redresse un peu pour regarder ce magnifique visage illuminé par le bonheur. Elle ouvre les yeux, me sourit, pose une main sur ma tête pour m’amener doucement à sa bouche. C’est un baiser d’amour. Une fois qu’elle s’est calmée, je me redresse et descends du divan. Je la prends par la main, la fais se lever et me dirige vers ce que je pense être sa chambre, elle se laisse faire. Une fois dans la pièce je me trouve devant un immense lit rond. J’ouvre le lit, l’allonge au milieu sur le drap tendu, lui écarte les jambes, lui mets les bras le long du corps et viens à quatre pattes au-dessus d’elle.
–Ne bouge pas.
Je pose un baiser furtif sur ses lèvres pour aller me poser sur ses seins. Je les suce, mordille, aspire, lèche. Son ventre recommence à onduler. Ma bouche quitte ses seins pour être remplacée par mes doigts qui pincent légèrement ses tétons.
–Plus fort s’il te plait.
J’accentue la pression tout en déplaçant ma bouche sur son corps pour atterrir sur son pubis. Je contourne le clitoris pour aller directement sur la vulve.
–AAAAAAHHHHHH
Je tombe sur une fontaine à cyprine. Sa vulve coule à flot, je me délecte de ce nectar en la léchant, la suçant, l’aspirant. Ma langue se glisse entre ses lèvres et pénètre dans une grotte chaude et mouvante. Son bassin fait maintenant des ronds dans l’air, je sens la tension de son corps monter doucement, mais je ne veux pas accélérer les choses, il faut qu’elle vienne doucement à l’orgasme. Je redescends sur son périnée, remonte au milieu de ses lèvres, jusqu’à effleurer son clitoris. Elle donne un violent coup de rein, mais j’évite de le toucher.
–Léa !!!!
Je ne l’écoute pas, je ne veux pas l’entendre, je reste de marbre. Je la sens au bord de l’explosion, mais je veux que ce soit le plus bel orgasme qu’elle ai jamais eu, je veux la sentir exploser sous mes caresses. Mes mains lui caressent les seins, mes lèvres aspirent ses lèvres intimes, elle se raidi de plus en plus. Quand je sens que l’orgasme est inéluctable, je passe ses jambes sur mes épaules et plonge sur son clitoris pour l’aspirer, le lécher, le mordiller. C’est l’explosion, son corps se tend comme un arc, ses jambes me serrent le cou, ses mains me plaquent sur son sexe. Elle émet un son sourd.
–MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM.
Je suis submergé par sa cyprine, je m’en délecte. J’excite son clitoris aussi longtemps que je la sens jouir. Quand son corps s’assoupli, ses jambes me libèrent, elle me prend la tête et me fait remonter le long de son corps. Elle plaque mes lèvres contre les siennes pour un long baiser passionné. Ses mains parcourent mon dos et caressent mes fesses, elles se glissent entre nos corps pour venir sur mon mont de Vénus. Elle me fait basculer à côté d’elle, se redresse sur ses coudes et pose ses lèvres sur mon pubis. Je suis parcouru d’un long frisson.

–A moi maintenant, mais ne m’en veux pas si je ne te fais pas jouir comme tu l’espère, c’est la première fois, je ne sais pas comment je vais réagir.–Mon corps t’appartient, vas-y, tu n’en auras pas pour longtemps, le bonheur de te donner ton premier orgasme saphique m’a mise au bord de l’orgasme, excuse-moi.–Ne t’en fais pas.
Elle se penche sur mes seins pour les sucer, les mordiller, les lécher. Mon corps réagit immédiatement, il attendait ça depuis si longtemps, être aimé par la femme qu’il j’aime. Elle embrasse toutes les parties de mon corps qu’elle voit, je commence à onduler du ventre, je me liquéfie. Elle descend le long de mes jambes pour remonter après les avoir ouvertes en grand. Je sens qu’elle a envie de me gouter tout de suite, elle veut savoir quel goût a mon sexe, elle connait le goût du sien après notre baiser. Elle regarde mon sexe ouvert.
–Que c’est beau un sexe de femme gonflé de désir, je vais te le bouffer.
Sa bouche remonte en embrassant l’intérieur de mes cuisses, un coup à droite, un coup à gauche. Elle finit par arriver au périnée. Je suis une fontaine à cyprine, elle lèche mon périnée pour la récupérer.
–Hum, que c’est bon, et cette odeur.
Sa langue remonte entre mes lèvres, c’en est trop, je donne un violent coup de rein en avant mais, comme moi, elle réussit à m’esquiver.
–Chacune son tour.
Sa bouche retourne à mes cuisses et remonte sur le périnée, je suis au bord de l’orgasme, mon corps est tendu comme un arc. Sa bouche remonte lentement ma vulve pour tomber sur mon clitoris qu’elle aspire violemment.
–AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH
Je hurle ma joie, heureusement qu’il n’y a pas de voisins immédiats, j’explose dans un fantastique feu d’artifice qu’elle entretient en m’aspirant mon petit bouton. L’orgasme dure, dure, je suis complètement hors de mon corps, je ne sais plus ce que je fais, ou je suis, qui je suis, je ne suis qu’un sexe qui jouit, qui plane au-dessus de la stratosphère. Je fini par me détendre, Charlotte remonte en glissant sur mon corps, son corps trempé de sueur glisse sur mon corps trempé de sueur. Sa poitrine vient s’écraser sur la mienne, je sens que mon corps réagit au moment ou sa bouche vient se poser sur la mienne pour un long baiser langoureux. Au bout de quelques minutes de silence total, Charlotte se laisse glisser sur le lit, son corps reste collé au mien.
–Je n’ai jamais joui de la sorte, c’est le plus fantastique orgasme que j’ai ressenti dans ma vie sexuelle.–Moi aussi, malgré ton inexpérience, tu m’as faite jouir comme jamais, il faut dire que j’attendais ça depuis si longtemps. –C’est la première fois que je pose mes lèvres sur le sexe d’une femme, je dois dire que j’adore ton odeur, la douceur de ta vulve, la souplesse de tes lèvres, la chaleur de ton sexe, le gout de ton élixir d’amour, je réalise soudain que je me sens bien dans cette relation.–Tu n’avais jamais sucé ton doigt quand tu te masturbais ?–Jamais, je n’en ai jamais eu envie, je le regrette maintenant, mais je préfère le tien, d’autant qu’il est abondant.–Moi aussi je préfère le tien qui est tout aussi abondant.
Nos bouches s’unissent une nouvelle fois. Nos mains explorent le corps de l’autre. Sa main gauche atterri sur mon mont de Vénus, en glissant un peu plus vers le bas, son majeur atteint mon clitoris. Il commence une danse de l’amour sur lui, ce qui a pour effet de me faire onduler du ventre.
–Tu aimes ?–Continu.
Son doigt continu son mouvement circulaire, il va de temps en temps se lubrifier à l’étage en dessous. Mon corps se tend de plus en plus, elle le sent et accélère le mouvement. D’un seul coup, elle se redresse pour plonger bouche première entre mes cuisses. Ses lèvres m’aspirent le clitoris, je n’en peux plus, j’explose dans un nouvel orgasme. Quand je reviens à moi, elle s’est redressée et me regarde avec un sourire tendre.
–Tu es merveilleusement belle quand tu jouis.–Je peux te retourner le compliment.–Tu sais, je commence à vraiment aimer ce que nous venons de faire, j’aime cette tendresse et cette attention à l’autre qui se dégage de nos rapports. J’aime caresser ton corps, j’aime boire à ta source de vie, je commence à aimer les rapports saphiques.–Moi aussi j’aime ce que nous venons de faire, mais moi, je t’aime tout court.–Je sais, et je ne peux pas t’en dire plus maintenant.–Je sais, mais c’est plus fort que moi, je t’aime.–Viens, je crois qu’il est temps de passer à table.
Nous passons à la salle à manger, en arrivant, je n’avais pas remarqué que la table était déjà mise.
–Tu avais mis la table en prévision ?–Pas du tout, c’est Olga qui vient de la mettre, elle nous a aussi préparé le repas, viens prendre l’apéritif, Olga va nous servir.–Mais qui est Olga ?–Olga est la personne qui me connait le plus, elle s’occupe de moi depuis que j’ai trois jours.–Trois jours ?–Oui, ma mère est morte à ma naissance, Olga a été engagée par mon père pour s’occuper de moi, elle avait dix-huit ans, depuis, elle ne m’a jamais quitté, elle n’a jamais voulu que je l’appelle maman, mais je la considère comme ma mère. Elle est d’origine russe, c’est pour ça que je parle russe couramment.–Elle ne s’est pas mariée ?–Non, mais je crois qu’elle a eu des relations avec mon père il y a une quinzaine d’années, ça n’a pas duré longtemps. Elle ne m’en a jamais parlé. Elle ne vit que pour moi, je suis sa fille bien qu’elle ne veuille pas d’admettre.–Et ton père ?–Il est aux Etats Unis pour son travail depuis huit ans, il est parti juste après mes dix-huit ans, il s’est remarié là-bas et ne rentre jamais en France.–Olga est là depuis mon arrivée ?–Oui, elle était déjà là quand tu es arrivée.–Elle a vu ce que nous avons fait ?–Dans le salon, certainement, c’est même sûr.
Je suis un peu décontenancée, savoir qu’une étrangère à notre couple nous a vu faire l’amour me gêne un peu, décidemment, tout va très vite avec Charlotte.
–Elle va nous servir ?–Oui, mais tu as remarqué qu’il y a trois couverts.–Mais nous sommes nues.–Oui, je t’ai dit qu’elle ne m’a jamais quitté, ça veut dire qu’elle m’accompagne quand je vais au Cap. Elle me connait sous toutes les coutures, comme je la connais sous toutes les coutures, elle est habituée à voir des personnes nues, de plus, elle aime être nue comme moi. C’est elle qui a initié nos séjours au Cap.
Nous nous installons dans le divan, des verres et des bouteilles nous attendent. Une femme souriante d’une bonne quarantaine d’années apparait avec des glaçons. Elle est assez jolie, blonde, grande, de belles formes, habillée d’une jupe plissée mi-cuisses et d’un corsage. Je ne peux pas dire si elle porte un soutif.
–Léa, je te présente Olga, Olga, mon amie Léa que tu va voir de plus en plus souvent je pense.–Bonjour mademoiselle.–Vous pouvez m’appeler Léa, et même me tutoyer.–Je suis d’accord, considère-la comme ma maîtresse.–Ok Charlotte, en attendant, que prends-tu Léa ?–Je vois qu’il y a ce qu’il faut, un gin tonic s’il vous plait.–Ola, si je te tutoie, tu me tutoies.–Ok.–Et toi Charlotte, un whisky comme d’habitude.–Oui.
Olga nous sert, quand elle a fini, elle s’assoie et se sert un whisky. En s’asseyant, sa jupe à volé et j’ai pu apercevoir de belles fesses nues et bien bronzées.…/…
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