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Charlotte ma chérie

Chapitre 1

Lesbienne
Charlotte
Cette histoire se passe en 2008.
Je suis Léa, j’ai vingt-six ans à l’époque, grande, très bien foutue, jolie avec de beaux seins, de belles jambes, un pubis bien rebondi et lisse et un très beau cul. Je suis canon, je le sais et j’en profite. Je ne manque pas de partenaires sexuels, hommes ou femmes, mais surtout les femmes, je suis plus en harmonie avec leurs corps. J’aime promener mes mains sur leurs hanches, leurs jambes, leurs ventres, leurs seins. J’aime aussi poser mes lèvres sur leurs tétons durcis, leurs lèvres douces et surtout sur leurs vulves humides. Je suis bi, plus attirée par Sappho.
J’ai une formation à la logistique et à la qualité. Je travaille depuis trois ans dans une grosse société de transport au service expédition de sept heures trente du matin à seize heures avec une heure et demie pour déjeuner. Nous sommes six à préparer les tournées des chauffeurs, mais nous sommes une bonne trentaine dans un vaste bureau paysager, le niveau de bruit est assez élevé. Certaines tournées sont faciles à faire car répétitives, c’est systématiquement la même tournée tous les jours, il suffit de vérifier si toutes les escales sont validées, les chauffeurs les connaissent par cœur. Les autres, surtout à l’international, sont plus complexes car uniques, il faut optimiser le trajet de manière à limiter les kilomètres de la tournée pour économiser du carburant, mais aussi réduire la fatigue du chauffeur, leur faire l’itinéraire grâce à un programme informatique spécialisé, prévoir les dépenses, les points de repos, etc...
Je travaille en binôme avec Jacques, mais nos relations ne sont que professionnelles, il est marié et très amoureux, il me regarde à peine le matin quand j’arrive. Pourtant, toutes les autres personnes se retournent sur moi, il faut dire que je suis toujours habillée sexy, jupes assez courtes, corsage ample juste boutonné pour laisser entrevoir le haut de mes seins. De toute manière, ça me laisse froide, car la personne qui « a mis le feu à ma mémoire »© est une femme qui travaille juste en face de moi. Elle vient juste d’intégrer la société. Charlotte est une jolie brune de vingt-six ans, comme moi, avec des cheveux lisses tombant en avalanche derrière son dos jusqu’au bas de ses fesses, des seins hauts, des fesses rondes et des jambes superbement galbées. Pour ce que j’en vois, c’est le top. Je suis folle d’elle, elle occupe toutes mes pensées, je m’endors en pensant à elle, je rêve d’elle. Le gros problème, c’est qu’elle est ma patronne directe, ma nouvelle chef de service qui vient juste de prendre ses fonctions, et quand je l’ai vue pour la première fois, ça a été le coup de foudre, je suis tombée raide dingue de cette superbe femme. En plus, elle dirige le service d’une main de fer, c’est plutôt une femme autoritaire et je n’ose pas l’aborder pour autre chose que le travail. D’autant qu’elle semble complètement indifférente à ce qui se passe autour d’elle.
Juste avant les vacances, nous sommes conviés à arriver une demi-heure plus tôt pour une réunion exceptionnelle. Patrick, le patron, veut nous présenter la nouvelle organisation de la société. Il s’est rendu compte qu’un immense bureau paysager n’était pas du tout adapté à la société, trop de bruit ambiant gênant la concentration et pénibilisant le travail. Il décide de cloisonner l’espace pour faire des bureaux adaptés à chaque service. La réunion est prévue pour que chacun donne son avis et fasse ses requêtes. Le soir même, je pars en vacances pour quatre semaines. Mes vacances se passent bien, farniente, bronzage intégral, repos total. Je fais bien quelques rencontres intéressantes, mais mon esprit est parasité par Charlotte, je ne peux rien faire sans penser à elle. Je décide de passer à l’attaque à la rentrée, je ne peux plus vivre comme ça.
A mon retour de vacances, fin août, tout a changé. En fait, la société a déménagé dans d’autres locaux, juste à côté, que nous avions vus en construction pendant plusieurs mois sans savoir que ce serait pour nous. Patrick avait bien gardé le secret. Mon service est installé à côté des quais dans une immense pièce. Charlotte, qui n’a pas pris de vacances, a organisé le service par secteurs, nous ne travaillons plus en binôme, chacun a son secteur. Avec l’accord de Patrick, Charlotte a décidé de prendre une personne pour la seconder. Il se trouve que c’est moi qu’elle a choisi. C’est une promotion pour moi, mon travail consiste à m’assurer que tout ce qui est nécessaire au bon fonctionnement du service est disponible, contrôler les heures de conduites, le suivi des tracteurs, des semis, etc... Nous sommes installées dans un bureau séparé des autres membres du service, Charlotte est juste devant moi à un bureau situé à deux mètres du mien. Nous sommes en vis-à-vis. Je ne sais pas si je me fais des idées, mais j’ai l’impression qu’elle me regarde plus qu’avant et autrement.
Un jeudi, fin septembre, il faut beau et encore bon, j’arrive au bureau habillée d’une minijupe plissée sur un string blanc et d’un corsage ample légèrement ouvert sans soutien-gorge. Je veux voir comment elle réagit. Je m’installe à mon bureau, face à elle, les jambes parallèles, mais pas trop serrées. Charlotte arrive quelques minutes après moi, elle porte une jupe à dix centimètres de ses genoux et un corsage légèrement ouvert en haut, aucune trace de soutif. Après m’avoir salué, elle s’installe à son bureau et se plonge dans son travail. Elle est droite, les jambes serrées, légèrement orientées vers la gauche. Je ne peux voir que jusqu’à mi-cuisses. Je suis sur mon ordinateur, dans l’axe de son bureau, je peux donc bien voir ses réactions. Après quelques minutes sur son ordinateur, elle lève la tête dans ma direction. J’ai toujours les jambes serrées, mais un petit peu moins. Son regard se focalise une seconde dessus puis retourne à son ordi. Je tapote sur mon ordinateur tout en desserrant un peu mes jambes. Une nouvelle fois, son regard se porte dessus, mais elle n’a aucune expression particulière. Au bout d’un instant, je décide de bouger.
–Je m’absente quelques minutes madame, il faut que j’aille aux toilettes.–Bien sûr Léa, mais vous n’avez pas besoin de me le dire.–C’est juste pour que vous sachiez que je n’en ai que pour deux ou trois minutes.–Prenez votre temps Léa, nous ne sommes pas submergées de travail.–Bien Madame.
Je quitte la pièce, je n’en peux plus, je ne sais que faire pour attirer son regard sans paraître trop provocatrice. Elle m’a tellement excité que mon string en porte une légère marque. De retour, je tire ma chaise un peu bruyamment et m’installe en écartant largement les cuisses au moment de m’asseoir. Je remarque qu’elle n’en a pas perdu une miette, son regard était focalisé sur mon string, j’espère qu’elle a vu la petite tache qui le souille. Elle se remet à son travail sans montrer la moindre émotion. Je multiplie les allers et retour aux classeurs verticaux pour chercher des documents, je fouille surtout dans les tiroirs du bas, ce qui m’oblige à me pencher en avant, dos tourné à Charlotte. Je sais que ma jupe dévoile au trois-quarts mes fesses. Je suis toujours dans l’impasse jusqu’au moment où Charlotte se lève et vient vers moi avec un document.
–Je ne comprends pas bien ce document, il date de l’année dernière, mais il me semble un peu obsolète, nous ne pratiquons pas comme décrit sur ce papier.

Elle me tend le document en se penchant sur moi, me dévoilant son sein gauche intégralement bronzé, mais ça ne m’intéresse pas, je veux qu’elle me voie moi. J’en profite pour me pencher un peu sur le document afin d’augmenter mon décolleté, dévoilant ainsi la presque totalité de mes seins. Elle plonge son regard sur ma poitrine, j’ai l’impression qu’elle y prend du plaisir. Elle reste penchée devant moi, son corsage bâille un peu plus, me dévoilant sa poitrine. Je ne peux résister et porte mon regard sur ses magnifiques seins une seconde, juste en bougeant les yeux. Je ne sais pas si elle l’a remarqué.
–Vous avez raison, il a été remplacé par un autre, je vais vous le chercher.–Merci Léa.
Elle se redresse, non sans jeter un dernier coup d’œil à mes seins largement dénudés. Mes tétons érigés forment deux chapiteaux sur mon corsage, l’ouvrant un petit peu plus. Quand elle s’est redressée, je remarque qu’elle aussi elle a des chapiteaux au niveau de ses seins. La vue de mes seins ne l’a donc pas laissée complètement indifférente, c’est bon signe. Je vais chercher le document et lui remets sur son bureau.
–Le nouveau document madame.–Merci Léa.
Je me retourne brusquement vers mon bureau faisant voler ma jupe juste à côté d’elle. La matinée se termine, je ne suis arrivé à rien, je commence à désespérer. Il est midi, je me lève pour aller déjeuner, j’ai l’habitude de déjeuner dans un petit restaurant juste à côté de la boîte. Charlotte se lève et vient vers moi.
–Ça vous dérangerait que nous déjeunions ensemble ?
Le ciel me tombe sur la tête, je n’en crois pas mes oreilles, je peux passer un moment avec elle en tête à tête.
–Pas du tout Madame, je déjeune tout le temps à côté chez Louis, c’est très bon et pas cher.–Allons-y.
Nous sortons toutes les deux, elle se dirige vers sa voiture, un cabriolet BMW flambant neuf.
–Montez, ce n’est pas loin, mais avec des escarpins, c’est un peu difficile.–Vous avez raison, je prends toujours ma voiture pour y aller.
Je monte à côté d’elle, elle a remonté sa jupe jusqu’à la limite de sa culotte, je vois la presque totalité de ses jambes. Elle aussi peut voir mes jambes jusqu’à ma culotte, ma jupe est remontée très haut quand je suis montée, mais je l’ai laissée telle quelle. Elle y a jeté un coup d’œil discret. Louis nous accueille à notre arrivée.
–Tu n’es pas seule Léa, je rajoute un couvert à ta table.
Louis m’a réservé une table dans un recoin bien tranquille, un peu à l’écart de la salle. Ça a l’air de bien plaire à Charlotte. Nous nous installons, je ne sais quelle attitude prendre, je ne connais pas ses intentions, mais mon excitation est au maximum, mon string en est témoin. Elle aussi a l’air tendue. Quand Louis a fini de mettre le couvert de Charlotte et prit notre commande, j’ai l’impression qu’elle se détend un peu.
–Léa, je voudrais vous entretenir d’un problème que je n’arrive pas à cerner.–Je vous écoute.
S’ensuit une conversation sur les relations entre membres du service qui affectent son bon fonctionnement. Il est vrai qu’il y a des tensions et des jalousies entre certains membres, accentuées par ma récente nomination, mais je suis extrêmement déçue par la tournure que prend notre conversation, je m’attendais à quelque chose de plus intime. Nous arrivons à une décision concrète vers la fin du repas. C’est juste au moment du dessert que notre dialogue prend une autre tournure.
–Et en amour, où en êtes-vous, je ne vous ai jamais vue avec quelqu’un ?
Je la regarde stupéfaite, cette question tombe comme un cheveu dans la soupe.
–Ne vous étonnez pas de ma question, j’aime que mes collaborateurs soient bien dans leur peau.–En ce moment je suis seule, j’aime une personne, mais je ne peux pas lui dire, c’est trop difficile.–Mais enfin Léa, vous n’êtes pas timide, il suffit d’aller la voir et de lui dire.
J’ai un moment d’hésitation, c’est ma patronne, dois-je lui dire que j’aime les femmes plus que les hommes ? J’ai peur qu’elle me catalogue comme gouine et qu’elle se sépare de moi. Mais dans le fond, je réalise que je n’ai rien à perdre, je me lance.
–C’est d’autant plus difficile que c’est une femme, je ne sais pas si elle est réceptive. Mais elle occupe toutes mes pensées, j’en rêve même la nuit–Vous êtes lesbienne.–Plutôt bi, tendance lesbienne, j’aime aussi les hommes, mais je préfère les femmes. J’espère que je ne vous choque pas.–En aucun cas, chacun ses tendances et sa manière de vivre, mais pourquoi préférez-vous les femmes ?–Peut-être pour leur côté maternel, les femmes me semblent plus douces, plus tendres, plus à l’écoute, plus réceptives et surtout moins égoïstes.–Je ne sais pas, je n’ai jamais eu de rapports avec des femmes, en fait, je n’en ai jamais eu l’occasion d’en avoir, mais je reste ouverte, je ne dis pas non a priori, et je pense même que ça ne me déplairait pas. Je peux même vous dire qu’il m’est arrivé d’avoir un petit pincement au cœur en voyant une femme, ça m’est même arrivé tout dernièrement. J’espère que vous conclurez avec la femme de vos rêves.
Elle me regarde d’un air tendre, je ne la reconnais pas. Je reste dubitative, que veut dire ce langage, elle ne refuserait pas une expérience lesbienne, oui, mais avec qui, avec moi ? Aurait-elle compris la réalité de mes sentiments ?
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