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Le charme fou de l'Asie

Chapitre 1

Mon assistante

Orgie / Partouze
Bonjour cher lecteur,
Cette histoire relate différentes périodes de ma vie et elle démarre à la fin de l’hiver 2000 où je venais de divorcer et je me remettais en « chasse » étant libre à nouveau.
Je suis un homme grand, 1m90, costaud et dominateur. Bien membré et libertin même si durant de nombreuses années, je suis resté fidèle à mon ex-femme qui n’était pas pour la pluralité. Quel dommage !
J’ai une situation professionnelle enviable. Je suis le patron de ma société de conseil économique internationale avec une dizaine d’employés. Tous me connaissent bien et on s’apprécie.
Un matin, arrivée à mon bureau, mon assistante qui m’apporte mon café me fait la remarque que je n’ai pas l’air d’être en forme, moins de sourire, moins amusant que d’habitude. Elle s’appelle Justine, 45 ans, encore bien pour son âge. De belles formes, mais sans plus.
Je lui explique que j’ai enfin fini mon divorce et que cela pèse bien entendu sur mon moral et à ma grande surprise, elle me dit que je devrais être content, car maintenant je pourrai lâcher prise à mes envies... Et elle s’en va en dodelinant ses fesses de manière exagérée. Je crois rêver, car je connais bien Justine et également son mari et rien ne m’a fait imaginer qu’elle était coquine.
Dans l’après-midi, Justine revient à mon bureau avec une pile de dossiers. Elle me regarde avec une moue de friponne, car mon travail n’a pas avancé. Je me fais presque gronder, mais sur le ton de la plaisanterie, Justine me dit qu’elle va devoir me prendre en main.
Cette fois, je la regarde bien dans les yeux et lui demande ce qu’elle veut bien dire par là.
— Jean, tu es un bel homme et bien bâti. Tu dois certainement avoir du succès avec les femmes, non ???— Tu serais surprise Justine. J’ai des goûts plutôt « spéciaux » et cette fois, je ne veux plus faire de compromis.— Quels goûts ? Blonde, grande, grosse poitrine ?— Non, pas ce genre de goût. J’aime partager, j’aime regarder, j’aime dominer et je sais que ce n’est pas évident de trouver chaussure à son pied.— Mmmm, c’est vrai que les femmes d’ici ne doivent pas facilement correspondre, mais laisse-moi réfléchir et je te dirai ce que j’en pense.

La discussion de travail est devenue une discussion sur le sexe et je bande en lui parlant. Justine a bien vu la bosse qui déforme mon pantalon.
Elle me regarde intensément et en se levant de mon bureau, elle me dit « Dommage que je suis déjà prise... ». Et elle repart, toujours en exagérant sa démarche. Elle est en train de m’allumer la petite salope !
La fin de l’après-midi arrive. Les collègues quittent le bureau et comme d’habitude je suis presque le dernier à partir. Justine est encore à son bureau et s’affaire derrière son écran d’ordinateur.
— C’est l’heure Justine, tu vas manquer ton train.— Ne t’inquiète pas, c’est prévu. Je voulais te parler un peu seule à seule.
Son chemisier est un peu plus ouvert que d’habitude et elle a le même regard coquin qu’avant.
— Vient assieds-toi, je veux te montrer quelque chose.
Je m’installe à côté et regarde son écran et je ne vois pas un texte, mais une photo d’une très jolie femme, 30 ans, taille mannequin, avec des menottes et des habits en latex couvrant à peine ses formes.
— Whowww... C’est quoi ça ?— C’est bien cela que tu aimes chez une femme ?
J’éclate de rire et lui dit que la photo est magnifique, mais que ça c’est du Bondage et c’est un jeu de soumission. Moi j’aime la vraie soumise, la vraie salope qui aime le cul... en disant cela, je me rends compte que j’en ai trop dit.
Justine tape sur le clavier et une autre photo arrive où la même jeune femme apparaît, mais cette fois-ci, elle se fait prendre par un apollon avec une bite d’éléphant.
La situation devient très chaude et je bande clairement. Justine passe sa langue sur les lèvres et me regarde à nouveau avec cet air de salope. Mon Dieu que j’aime ça. Mais je ne fais rien. C’est ma collègue de travail et je connais bien son mari, John.
— Il fait chaud et tu devrais te mettre à l’aise Jean. Je n’en crois pas mes oreilles. — Que veux-tu dire par là ?— Que tu bandes comme un taureau et que je pense que tu serais plus à l’aise si ta queue sortait de sa grotte.
En disant cela, elle tape à nouveau sur le clavier et une autre photo apparaît. La belle se fait bien prendre, mais en plus elle suce un autre homme.
— Tu veux vraiment que je te montre ma bite ? Là maintenant ? Et après, que vas-tu faire ?— Rien... Juste regarder.
Je la prends au mot, je me lève. Descends doucement la braguette de mon pantalon et je sors mon engin. Une belle queue de 20 centimètres avec un bon diamètre de 4 centimètres. Je suis très proche du visage de Justine qui pourtant ne bouge pas. J’ai envie de lui prendre la tête et de lui enfoncer ma queue dans sa bouche, mais j’arrive à me contrôler et je reste sans bouger.
Justine retape sur le clavier et une autre photo tout aussi hot que la précédente apparaît.
— Tu attends quoi pour te soulager ?— Tu veux que je me branle devant toi ?— Oui, j’ai déjà un beau spectacle et j’aimerais en voir plus.— Tu es une belle cochonne Justine. Moi j’ai envie que tu t’occupes de moi...— Mmm... ben non, je regarde seulement.— Si je me caresse alors je veux aussi en voir plus de ton côté, car ce n’est pas égal.
Justine éclate de rire. « La vie n’est pas égale. Tu es mon patron avec sa bite à l’air en train de mater des photos pornos... »
— Tu es sérieuse ?— Oui.— OK.
Je commence à me branler devant elle. Nos regards sont vraiment intenses et je me branle plus vite. Fais des pauses lorsque j’ai l’impression de venir trop vite.
Ce petit jeu m’amène après 10 bonnes minutes à l’extrême et je ne peux pas vraiment me retenir. Justine est toujours à 30 centimètres de ma bite et l’idée de lui jouir en plein visage est trop tentante. Je ne lui dis rien. Elle me regarde avec ses yeux, comme hypnotisée et là d’un coup, je lui envoie un long jet de sperme gluant sur le visage. Elle est surprise de l’intensité, car le premier jet est suivi très rapidement par deux autres tout aussi épais.
Elle n’a pas eu le temps de reculer et son visage est bien couvert de foutre.
— Tu l’as bien cherché, Justine.— Oh mon salaud. Quelle purée !
Elle prend son doigt et commence à reprendre le sperme pour le goûter. Très bon goût. Elle continue jusqu’à ce que presque rien ne lui reste sur le visage.
Comme si de rien n’était, Justine se lève, éteint son ordinateur puis prend sa veste.
— A demain, Jean.

Merde alors. Mais quelle connerie j’ai faite !!
Surtout lorsque j’entends Justine dire au revoir à la femme de ménage...
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