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Le charme fou de l'Asie

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Episode 2
Je n’ai pas très bien dormi cette nuit. Après mon « expérience » avec Justine, je culpabilise un maximum et surtout, je suis inquiet, car je suis un homme discret et les rumeurs vont si vite ! Je ne désire pas avoir une réputation encore plus salace que celle que j’ai déjà. Car parler de cul, c’est OK, mais là... ça été bien plus loin.
J’arrive au bureau avec un peu d’appréhension. Justine est déjà là et comme tous les matins, elle m’apporte mon café avec le courrier. Un joli sourire qui est plus beau que d’habitude. Je la vois avec un autre regard, mais toujours très respectueux.
— Merci Justine. Pour hier, j’aimerais m’excuser.— Tu n’as pas aimé ?— Non au contraire, mais je connais ton mari et je ne veux pas d’histoires. Garder notre super relation est le plus important, tu ne trouves pas ?— Ne t’inquiète pas, tu n’as pas de soucis à te faire avec moi, mais...— Mais !!!— Mais tu n’as pas réalisé que nous n’étions pas seuls hier.— Oui, j’ai entendu que tu disais « bonne soirée » Merde, c’est la femme de ménage ! C’était qui ? La petite Samira ou sa mère ?— La petite n’est plus si petite et elle devait être là depuis un bon petit moment. Sous ses petits airs... Elle est bien coquine celle-là.— Que veux-tu dire ?— Lorsque tu as fini sur mon visage, je suis allé aux toilettes pour me laver et elle était en train de remettre sa jupe... t’imagines. Une petite voyeuse...

Moi qui espérais que cela reste entre nous, c’est raté. Zut, zut, zut. Je connais bien la maman de Samira depuis plusieurs années, car elle s’est toujours occupée du ménage de mes activités tant à la maison qu’au bureau. Samira l’a rejoint, il y a un an. 20 ans et très mignonne, mais sans intérêt pour moi, car j’ai 55 ans.
— Tu es en train de me dire que je me suis branlé devant Samira ?— Oui, je crois bien – me dit-elle en rigolant.

Voilà, une connerie qui en amène une autre. Non de zou. Je suis dans une mélasse terrible. Surtout si elle parle.

Justine, en me voyant au bord de la panique, met sa main sur mon genou, très proche de mon entrejambe, c’est l’impression que j’ai, mais je dois me faire des idées. Elle ne va pas recommencer à m’allumer. Tout le monde est au bureau même si celui-ci est fermé et que personne n’entre sans toquer à la porte.
— Ne t’inquiète pas. Elle avait l’air encore plus gênée que toi lorsque je l’ai découverte. Au moins, elle a dû se faire plaisir et ce sera un bon souvenir, non ?

Je n’étais pas convaincu, mais pour Justine, j’étais rassuré, car elle ne tentait rien.
Quelle journée de boulot ! Non-stop. Un client compliqué à la limite chiant, mais je le connais bien. François duJardin, un gars sympa qui a hérité de l’argent de maman. Un coureur de jupons, il vient souvent avec sa maîtresse qui d’ailleurs est à chaque fois différente. Notre discussion qui devrait être confidentielle ne l’est jamais, car il demande toujours l’avis de la charmante demoiselle.
Mais aujourd’hui, la discussion va être compliquée, car François me doit déjà trois mois de mandat en retard et j’ai bloqué la remise du rapport pour lui faire comprendre qu’il faut passer à la caisse.
Il va arriver dans 1h et je dois préparer la réunion qui sera avec Justine et Damien (le doyen du bureau, presque 65 ans, 1m70, un peu gros, 3 enfants – deux garçons qui viennent de finir l’université et une dernière fille de 19 ans qui va prochainement faire un stage chez nous pour son orientation. Il est également responsable du compte client).
Une heure plus tard, à l’heure, voici François et ... Non de zou, une bombinette terrible. Là, mon goût à 200%. François fait les présentations : « Kasino ma charmante collaboratrice qui d’ailleurs ne parle que l’anglais et voici l’équipe qui gère mes affaires ».
Kasino, quel nom étrange ! Je me permets de lui demander l’origine de son nom. Elle m’explique dans un anglais parfait qu’elle vient de Thaïlande et que son papa était fou de casinos et donc il lui a donné ce nom.
Elle me dit cela simplement, je bois ses paroles, des yeux... oh mon Dieu, irrésistible, un visage d’ange et un corps parfait. Là, François a fait fort. Moi qui étais parti pour une séance de travail tendue... elle le sera, mais pas au même endroit. Elle me fait un effet terrible et tout le monde s’en rend compte sauf elle, qui me regarde sans plus. Quelle frustration ! Je jalouse presque François. Mais revenons au sujet de la séance de travail : le rapport de gestion et surtout les factures impayées.
François m’explique qu’il a des difficultés de cash et il me faudra encore patienter quelques semaines, car il attend une entrée d’argent, mais sans garantie de sa part, je ne peux pas avancer. L’impasse totale.
Kasino prend la parole pour me demander si elle peut lire une partie de ce rapport qui est en anglais – c’est notre langue de travail à l’international – je suis surpris de sa demande, car d’habitude les maîtresses de François n’y comprennent rien. Tous les regards sont braqués sur moi, car je venais de refuser à François la lecture du rapport, mais sa demande est tellement...
— Oui bien sûr, mais vous ne pourrez pas prendre le document avec vous et il faudra une personne de notre équipe pour pouvoir vous expliquer les détails techniques et répondre aux éventuelles questions. — Of course, répond Kasino. I am free now if someone is able to stay with me (je suis disponible maintenant si quelqu’un est d’accord de rester avec moi).

C’est Justine qui répond et se propose de rester avec Kasino. Elle me coupe l’herbe sous les pieds et je n’apprécie pas. Pourtant, je ne montre pas ma déception. François nous informe qu’il doit partir et qu’il serait bien que quelqu’un raccompagne Kasino chez lui lorsque le travail sera terminé.
François parti, Kasino va avec Justine pour lire le rapport. Moi, je retourne à mes dossiers.
La fin de l’après-midi se déroule normalement et vers 17h30, la maman de Samira toque à ma porte.
— Entrée, bonjour, Radija – moi je suis un peu nerveux, car d’habitude Radija fait son travail et nous ne nous parlons pas.— Bonjour Monsieur Jean. Je voulais vous dire que Samira ne pourra pas venir et qu’elle est remplacée par une amie à elle si cela va pour vous ?— Oui, bien sûr. Qu’arrive-t-il à Samira ?— Oh vous savez, les histoires des femmes chaque mois, me dit-elle un peu gênée.

Je vois derrière Radija, l’amie de Samira, même âge, jolie fille, qui me salue et qui entre dans le bureau en disant à Radija qu’elle fera le nettoyage de mon bureau si cela va pour tout le monde.
D’habitude, mon bureau est nettoyé après mon départ, mais Delphi, c’est son nom, insiste pour s’en occuper maintenant. Moi j’ai encore un peu de travail et tant qu’elle fait le sien sans faire de bruit, je suis OK.
Après quelques minutes, Delphi me fait une remarque en disant qu’elle trouve mon bureau super grand. Je la regarde en lui disant assez fièrement que c’est le privilège du patron, mais qu’aussi j’aime bien voir certains clients dans un espace plus intimiste que notre salle de réunion. Delphi se met dans le canapé trois places.
— Wow, il est super grand votre canapé. C’est quand vous rencontrez plusieurs clientes qu’il est utile !
Le ton est très sensuel et provocateur. Je lève mes yeux pour la regarder et je constate qu’elle est habillée très light pour une femme de ménage surtout dans cette période de l’année.
— J’ai appris, Monsieur Jean, que vous aimez bien des filles ... un peu soumises, qui ont des fantasmes et moi j’aime bien les hommes d’expériences.

Je suis soufflé par autant d’audace. Elle me regarde avec un grand sourire et attendant une réponse de ma part. J’ai bien envie de lui faire la leçon et entrer dans son jeu.
— Tu as raison en partie, car je suis exigeant et ce genre de femmes est rare.

Mon regard est persistant et on va voir si elle relève le défi.
— Je pense correspondre, Monsieur Jean, et j’ai déjà pas mal d’expérience pour mon âge.— Ah oui ? Tu t’envoies en l’air avec ton copain de la cité.— Oui, Monsieur Jean, et aussi avec son meilleur amie et ma meilleure amie.— Trio, ou à 4, petite partouze, c’est un bon début. Et pourquoi tu me dis tout cela ?— J’ai entendu que vous êtes bien ...— Monté, merci du compliment – je désire m’assurer de ce que Samira lui a dit –, mais de qui as-tu cette information ?— Vous le savez bien, Monsieur Jean. Samira vous a vue avec votre collègue et elle est entrée tout excitée. Vous savez, elle vous a toujours beaucoup aimé. Lorsqu’on baise ensemble...— Vous baisez ensemble ? Elle est lesbienne ?— Oui, mais elle préfère les queues.— C’est avec elle que tu partouzes ?— Oui Monsieur, mais là moi j’ai envie de voir si elle ne m’a pas dit des bêtises. — Tu veux que je te montre ma queue !?— Oh oui Monsieur, s’il vous plaît.— Mais pour cela, il faut mériter. Moi j’ai quoi en échange ?— On négocie, Monsieur Jean ? Demandez et j’obéirai.

La situation est vraiment excitante. Une petite salope dans mon bureau, très cochonne on dirait. Une bombasse Thaï dans la salle de réunion avec Justine et la maman de Samira qui ne va pas tarder à revenir lorsque son travail sera fini, il me reste 20 minutes grand maximum.
— Très bien Delphi, tu vas tout d’abord me donner ta petite culotte. J’ai envie de sentir la femelle en chaleur.— J’ai un souci, Monsieur Jean... je n’ai pas de culotte.

Elle a tout préparé et moi je dois être un peu rouillé. Cela faisait longtemps que je n’avais rencontré une chienne pareille.
— Montre-moi ta chatte.

Delphi remonte sa petite jupe et doucement, en faisant bien durer, me dévoile son abricot complètement rasé.
— Viens. Je veux sentir l’effet que je te fais – ma voix est ferme, c’est un ordre.

Elle s’approche de moi avec moins d’assurance. Elle tremble un peu. Elle s’assoit sur le bureau et je reste sur ma chaise. Ma main frôle sa jambe, elle frissonne.
— Ferme les yeux.

Pendant quelques secondes, je ne fais rien. J’hésite même, mais elle me tente beaucoup. Mon cerveau fonctionne à l’instinct et là je deviens plus animal. J’ai envie de la baiser sur le bureau, mais chaque chose en son temps. Là, je vais sentir une petite perle. Je m’avance sur son entrejambe. Un doigt caresse doucement en relevant sa jupe afin d’avoir une vue totale sur son sexe épilé.
Ma bouche s’approche et je commence à la lécher très tendrement alors que je devrais être presque violent. Une vraie fontaine, elle mouille abondamment.
— Cela te plaît ?— Oh oui beaucoup, mais j’ai envie de baiser.— Tout d’abord, tu dis Monsieur et tu demandes avec politesse.— Pardon, Monsieur Jean. Pouvez-vous me baiser s’il vous plaît.

Je lui enfonce un doigt dans sa chatte baveuse. Elle a un sursaut. Elle ne s’y attendait pas. Je fais rapidement des va-et-vient. Elle soupire. Presque des gémissements, mais elle sait que la mère de Samira est à côté.
— Cela t’excite de savoir que l’on pourrait être surpris ?— Oh, oui, beaucoup – j’accélère le mouvement et profite de lui mettre un autre doigt dans le cul, mais sans préparation.

La surprise passée, j’accélère encore et en moins de 3 minutes, Delphi se cambre sous l’emprise d’un orgasme.
Elle met une bonne minute pour redescendre de son nuage.
Avec des yeux de victoire, elle me demande si elle peut voir ma queue, Monsieur.
Je lui réponds qu’il faudra être mieux éduquée et lorsque j’estimerai le moment opportun, elle aura l’occasion de faire connaissance avec mon engin. D’ici là, il faut qu’elle nettoie le bureau, car Radija va revenir rapidement et comme elle n’est pas stupide, elle va se poser des questions.
— Promis Monsieur Jean ?

Bien essayé, mais je reste de marbre et ne lui réponds pas. Je remets ma tête dans mes dossiers.
10 minutes après, on toque à la porte et c’est Radija qui me demande si je suis content de Delphi comme remplaçante de sa fille. Elle me dit que normalement sa fille reviendra demain ou après-demain au plus tard. Et donc, je ne risque pas de revoir souvent Delphi. Delphi me regarde comme pour avoir une intervention de ma part, mais je ne réagis pas. Les deux misses vont devoir trouver elles-mêmes une solution pour me revoir.
Il est presque 18h. La nuit est déjà tombée. J’ai fini mes dossiers du jour. Je pense à Delphi qui est une cochonne comme j’aime, même si je la trouve très jeune, mais bon, je ne vais pas faire le difficile et j’espère la revoir bientôt.
Je commence à ranger mes affaires. Il ne devrait rester que Justine et Kasino dans la salle de conférence ou alors elles sont rentrées ensemble.
J’éteins mon bureau et en sortant, je constate que la lumière de la salle de conférence est allumée. J’entends des rires et une bonne discussion est en cours.
J’entrouvre la porte et je vois Kasino debout, derrière Justine, en train de lui masser les épaules. Sur la table, une bouteille de vin bien entamée.
Justine me regarde avec un air joyeux. Je sais qu’elle ne tient pas l’alcool et les Asiatiques n’ont plus d’habitude. Elles ont l’air de deux très bonnes copines.
— Tout va bien ?— Très bien, nous avons fini le rapport et comme tu étais occupé dans ton bureau, en attendant, nous avons décidé d’ouvrir une bonne bouteille, me dit Justine.— Oui j’avais un dossier à finir.— On aime beaucoup le dossier que tu devais finir... me dit-elle en anglais afin que Kasino comprenne bien, et elles éclatent de rire toute les deux en même temps.
Suite prochainement...
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