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Le charme fou de l'Asie

Chapitre 3

La rencontre avec Kasino

Orgie / Partouze
Episode 3Je reste sans réponse pendant qu’elles se moquent de moi. Plein de questions explosent dans ma tête. Elles ne m’ont pas vue avec Delphi tout de même !
— Viens finir la bouteille avec nous.
Je n’hésite pas. Je prends un verre et me verse le reste de la bouteille.
— Alors la nouvelle nettoyeuse nettoie bien ! Tu as bien vérifié ? me dit Justine en anglais.
Je comprends que Justine a envie de m’amener sur un terrain où je ne vais rien maîtriser. Mon Dieu, elles sont toutes des salopes ! Ma Kasino a l’air d’un ange, innocente et pourtant très intelligente, j’en suis convaincu alors pourquoi Justine me balade ?
— Tu sais Jean, nous avions fini le rapport et lorsque nous sommes allées te voir, j’ai ouvert la porte et on a vu la nouvelle nettoyeuse sur ton bureau et toi la tête entre ses jambes... Kasino était un peu surprise, mais pas trop, car souvent le patron s’amuse avec son personnel en Thaïlande, mais moi, je me suis dit que tu es vraiment un chaud lapin. Non ?— Si on me cherche, on me trouve et j’éclate de rire. C’est communicatif et l’ambiance est relax.— Alors le dossier ? – pour changer de sujet.
Kasino me dit qu’elle a quelques questions surtout sur la partie immobilière, mais qu’elle est trop bourrée pour développer le sujet et moi j’avoue que je n’ai pas envie de parler de travail. Justine me dit que c’est peut-être mieux de parler de choses plus agréables et elle repart sur le sexe en demandant à Kasino plus de détail sur les patrons qui abusent de leurs assistantes.
J’interviens en précisant que le mot "abuse" n’est pas approprié, car je ne force personne. Kasino me dit qu’il y a certainement une différence culturelle entre l’Europe et l’Asie, mais pour elle, il y a toujours une relation difficile « Comment dire non à son patron ? ». Elle a raison. Ici dire non doit être compris et ne pas porter à conséquence dans la relation. Kasino a le sourire et me dit que d’habitude une employée qui dit non à son patron ne reçoit plus d’augmentation et il est rare de promouvoir quelqu’un qui refuse quelque chose à son patron.
Je lui réponds que ce n’est pas mon cas et que pour moi on peut avoir une relation lorsque les deux le désirent vraiment sans y mettre la hiérarchie du travail dedans. Elle est surprise de ma réponse et me dit que je suis un peu naïf, car dans la réalité c’est très différent. C’est un débat stérile, car pour moi, c’est d’abord une question de respect de l’autre.
Justine en rajoute en demandant à Kasino si par exemple Jean demande de se faire sucer, elle le ferait ? Heureusement que l’alcool la rend un peu pompette, car Justine y va fort et Kasino me regarde comme pour m’évaluer.
Kasino la regarde et dit qu’avec un homme comme moi, elle serait heureuse de dire oui. Je n’ai pas le temps de répondre que Justine lui dit que Jean est un homme complexe. Il est libertin. Kasino la regarde et lui demande c’est quoi libertin ? Un homme qui a plusieurs femmes. J’interviens, car la définition n’est pas vraie à mes yeux. C’est un homme ou une femme qui aime partager.
Justine, qui n’a pas sa langue dans sa poche ce soir, profite pour ajouter que par exemple si Jean te baisait, il aimerait bien que je sois là et que l’on en profiterait tous les trois. Kasino me regarde surprise.
— Tu aimerais me faire l’amour ? Devant Justine ? Ou avec Justine ? Tu es avec Justine aussi et avec la femme de ménage ?
Son discours devient incohérent et je rigole, car je lui précise que Justine est mon assistante et pas ma maîtresse et pour ce qui est de la femme de ménage, je ne cherche pas vraiment à nier et je lui dis que l’occasion s’est présentée et j’en ai profité.
Justine continue sur la lancée et ajoute que j’aime aussi la domination. Avoir une femme soumise et obéissante et qu’ici il ne trouvera pas facilement de femme qui aime cela. Kasino, un peu perdue, nous répond qu’elle ne connaît pas ce genre de relation. Qu’elle n’a pas beaucoup d’expérience, car sa famille est traditionnelle.
Sans me laisser répondre, Justine me regarde et me dit : Jean, tu n’as pas répondu à Kasino. Tu n’aimerais pas la baiser ? Là devant moi ?J’ai l’impression d’être totalement manipulé par Justine. Kasino ne réagit pas. Un silence lourd dans la pièce. Je n’ai pas le choix et je réponds que Kasino est magnifique et que j’aimerais beaucoup, mais qu’elle est avec François et que ce n’est pas mon habitude de voler la femme d’un autre – ouf, je m’en suis sortie. Du moins, je le crois, car Kasino me dit, en toute innocence, qu’elle n’est pas avec François. Sa sœur – elle a une sœur – est une amie de François et que Kasino fait un stage dans l’entreprise de François, sans plus.
Justine demande à Kasino de s’asseoir afin de lui rendre la pareille en la massant. Justine me regarde et lui fait un massage sensuel, frôle ses seins qui sont comme deux petites poires dont les pointes confirment son excitation. Elle ne fait rien comme geste pour repousser les mains de Justine.
— Regarde Kasino, Jean bande fort pour toi.
Je ne bouge pas. Une agréable sensation électrique est dans la pièce. Un rien peu faire chavirer le navire du bon ou du mauvais côté. Tout dépend de Kasino.Justine rajoute « Hier Jean m’a montré sa queue qui est très belle »
— Quoi ?— Nous discutions et il a vu sur mon ordinateur une photo d’une femme habillée en latex et il a réagi comme maintenant.— Une femme presque nue et qui était baisée ... J’ajoute.— Elle t’excite Kasino ?— Elle est magnifique – je réponds.
Kasino ne bouge plus, se laisse masser, mais cette fois Justine approche sa bouche de son oreille et lui mordille le lob. Comme une décharge électrique, elle gémit et Justine comprend que c’est une invitation. Elle commence à lui lécher l’oreille, embrasse le cou. C’est magnifique de les regarder. Je ne savais pas que Justine aimait les femmes aussi.
— Tu as envie de voir la belle queue de Jean ?
Kasino ne répond pas, mais entrouvre les yeux et me regarde comme une invitation. Je lui souris. Justine à nouveau lui demande. « Tu as envie qu’il se branle devant toi ? ». Là, Kasino lui répond comme un miaulement « Oui ». Là c’est clair et je regarde Justine comme pour avoir la confirmation. « Tu as entendu la demoiselle » et Justine lui masse clairement les seins, en découvre un devant moi. « Elle t’excite la petite cochonne. Tu as envie de la baiser depuis un bon moment, de t’en faire ta chienne soumise ». J’adore les mots crus de Justine et je ne me retiens plus. J’ouvre le zip de mon pantalon. « Kasino regarde le bien – regarde cette belle queue ». Je me branle maintenant ouvertement, sans gêne aucune.
— Hier, il a juté sur mon visage. Il a bon goût. Tu aimerais petite salope !
Elle ne répond pas, mais son regard est fixé sur ma bite.
— Viens vers nous Jean s’il te plaît.— Vos désirs sont des ordres Madame.
Je m’approche du couple lesbien. Les deux seins de Kasino sont clairement dévoilés. J’en prends un. Il est beau, sa peau est douce. Je lui pince le téton et Kasino pousse un petit cri de surprise et de douleurs.
— Suce-moi, ouvre bien la bouche et pompe-moi doucement la queue.
Elle est d’une extrême douceur, Kasino commence à me pomper la queue.
— Plus fort, lui dit Justine.
J’ai envie de toucher les fesses de Justine, mais elle se dérobe. « Non mon grand. Là tu vas t’amuser avec elle devant moi. Tu vas me montrer de quoi tu es capable ».Ses mots sont un laissez-passer pour prendre les choses en main. Kasino continue sa fellation et c’est si bon, mais je veux quelque chose de plus rude.
— Viens petite pute. Je force Kasino à se lever. « Penche-toi sur la table de conférence ». Elle m’obéit comme un automate, mais avec un sourire.— Tu aimes te faire baiser petite pute ?
Kasino ne répond toujours pas, mais qui ne dit rien consent. Je lui relève sa jupe. Mon Dieu quel cul ! Elle a un corps parfait. Une courbe du dos, juste ... oh là là, je vais me faire plaisir. Je lui enlève sa culotte qui est déjà bien humide.
— Justine assois-toi en face d’elle sur la table et fais-toi brouter ta chatte. Tu en meurs d’envie.
Pour une fois, Justine obéit aussi, sans discuter, monte sur la table de conférence qui heureusement est bien grande. Écarte les jambes et prend la tête de Kasino pour lui montrer la directement à prendre. J’en profite pour vérifier l’excitation de Kasino. Elle est totalement trempée. Elle aime vraiment ce qu’on lui fait et pourtant ne dit rien. Juste un sourire adorable et elle gémit de plaisir.J’ai envie de la brutaliser. De lui faire mal et je ne la prépare pas. Je la pénètre d’un coup. Je suis un con, je n’ai pas de préservatif – rien n’était prévu –, mais là je ne peux pas résister. Je commence de forts va-et-vient.
— Bouffe-lui la chatte Kasino. Montre-moi comme tu es une bonne chienne obéissante.
Kasino enfonce sa langue dans la chatte luisante de Justine. Elle a l’air d’aimer cela. J’augmente ma cadence. Je ne pense qu’à mon plaisir. Après quelques minutes, je suis près de jouir et je m’arrête, car je veux encore profiter de cette douce demoiselle.Je lui enfonce un doigt dans son cul. Elle réagit en arrêtant son léchage de minou et tourne la tête vers moi pour me dire « Non, je n’ai jamais fait ça et ce n’est pas propre ! ».
— Ta gueule petite chienne. Retourne brouter la chatte de ma collègue. Tu as compris ?
Kasino me regarde surprise de mon ton. Mais se retourne à son occupation première qui est de s’occuper de Justine qui en ajoute une couche. « Tu es notre objet, on va faire de toi une chienne à bite. Tu vas devenir accro. Tu as envie ? »Pas très expressif, Kasino bouge la tête comme pour dire oui, mais on veut être certain de sa décision alors Justine insiste « Dis-nous oui et on continue ou dis-nous non et on s’arrête là, tu as le choix petite pute ».Kasino s’arrête son léchage et nous dit « oui, j’ai vraiment envie d’avoir plus d’expérience, mais ne me faites pas de mal s’il vous plaît ».Comme réponse de ma part, je lui envoie une énorme fessée qui la fait crier.
— Comme ça, c’est OK ? — Oui... dit-elle.
Je frappe plus fort.
— Oui qui ? — Oui Monsieur.— — je vais te former petite pute, tu as envie de connaître le vrai plaisir ?— « Oui Monsieur.
Suite au prochain épisode...
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