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Le charme fou de l'Asie

Chapitre 5

Mon ami Robert

Orgie / Partouze
Justine n’hésite pas une seconde et commence à lui masser l’entrejambe. Kasino n’a pas retiré sa main, mais ne fait aucun mouvement.
— C’est très grand et ça devient dur maintenant, nous dit Kasino, d’une petite voix.— Tu veux voir ?
Quelques secondes plus tard, un membre énorme, aussi long que prévu, mais également très large. Justine arrive à peine à le mettre en bouche et lui lèche la hampe. Il apprécie le traitement. La main de Bernard se pose sur la tête de Kasino et lui fait comprendre qu’il a aussi envie qu’elle participe. Kasino me regarde comme pour avoir ma permission. Je suis surpris de ce regard.
— Lèche le Kasino.
Je lui donne un ordre, car j’ai envie de voir sa réaction. Elle s’approche du membre et rejoint Justine qui arrive à gober le gland alors que Kasino s’occupe de lui masser les bourses qui sont adaptées à son anatomie.
— Sois une belle cochonne Kasino, fais-toi plaisir.
J’ai envie de sentir si ma petite thaïlandaise est excitée. Ma main remonte sa cuisse pour atteindre sa petite chatte et elle est toute trempée. Je constate en la caressant que c’est exactement ce qu’elle attendait. Je lui enfonce un doigt, puis deux et je fais des va-et-vient avec douceur.
— Alors ça fait du bien d’être une petite salope qui suce la queue du serviteur que tu ne connaissais pas il y a une heure ?— Mmmm oui, elle est si énorme.— En fait, tu aimes le sexe. Tu aimes la bite. Imagine si je te baisais devant tous ces gens qui mangent, qu’ils te regardent te faire prendre comme la petite pute que tu es et qu’ensuite le patron et quelques autres serviteurs te baisent tous à tour de rôle...
En continuant de parler ainsi, j’accélère mon doigtage et Bernard ne se retient plus, il jute dans la bouche de Justine, sort sa queue pour ensuite enfourner le bout et rejute dans la bouche de Kasino. La quantité est grande et je dis dans l’oreille de Kasino de ne rien jeter. Elle obéit à nouveau même si je sens qu’elle aurait préféré ne pas recevoir une telle dose.Bernard s’en va comme il est venu.On se regarde. Les dames ont encore quelques petites traces blanches au bord des lèvres.
— Kasino, nettoie Justine !
Elle me regarde, un peu surprise, et à nouveau obéit en léchant le pourtour des lèvres de Justine qui répond par une embrassade langoureuse.Repus, fatigués, nous prenons ma voiture pour ramener Justine chez elle puis Kasino chez François. Pendant le trajet, Kasino ne parle pas et à nouveau, j’entame la conversation :
— La soirée t’a plu ?— Oui.— Tu as envie de me revoir ?— Oui me dit-elle en me regardant avec un sourire toujours aussi charmeur.— Alors ce soir, repose-toi et si tu veux, je viendrai te chercher dans quelques jours. Je pense que tu dois réfléchir sur ce qui s’est passé.— En quelques heures, j’ai vécu plus que les dernières années et c’est une sensation étrange.
Nous nous quittons devant chez François. Il est presque 2h du matin.............Depuis plusieurs jours, mon esprit est occupé par le sourire charmeur de Kasino. Je vais au bureau où Justine ne m’a pas relancé, étant occupé sur plusieurs dossiers assez complexes.De même du côté de Radija. Nous ne sommes pas croisées.En un sens, je suis soulagé et j’ai aussi un peu de temps pour moi, car j’ai des doutes d’abord sur moi-même et ma capacité d’avoir une relation sérieuse avec une autre femme. J’ai vécu plus de 15 ans avec une femme merveilleuse qui du jour au lendemain m’a laissé tomber pour un autre.
Je n’ai pas essayé de me battre pour mon couple, car j’estime que si elle ne me désirait plus alors il était temps de changer même si pour moi ce fut tout de même difficile à vivre, car la séparation fut soudaine. Lorsque j’ai reçu les documents de l’avocat pour le divorce, elle demandait 50% de la fortune tout en lui laissant la maison qui valait déjà bien son prix. Enfin, c’est de l’histoire ancienne maintenant et cela fait trois mois que le procès est terminé. J’ai pu garder 100% de l’entreprise contre le versement d’une somme coquette en plus de la maison.
Mon avocat, qui est aussi un ami de la famille et qui s’occupe de mes intérêts depuis longtemps, désirait continuer de se battre pour avoir un meilleur deal... mais il faut savoir tourner la page et j’avoue aussi que mon entreprise a du succès donc pas de soucis dans un proche avenir, notre carnet de commandes étant plein pour les 2 prochaines années.
On toque à la porte de mon bureau. C’est Justine qui entre avec une pile de papiers et qui m’informe que mon avocat va bientôt arriver pour notre rendez-vous de 11h.Quelques minutes plus tard, le voilà qui arrive. Un sacré bonhomme mon ami Robert. 1m95, plus de 100 kilos de muscles, originaire du Sénégal. Marié depuis plus de 20 ans à une extraordinaire Madame que j’adore qui a été aussi un fort soutien durant ma séparation. Elle n’a jamais apprécié mon ex-femme, la trouvant froide.
Christelle, c’est son nom. 1m60 au grand maximum pour 50 kilos, de belles formes et beaucoup d’humour. Toujours un sourire et une attention. Également avocate, elle n’exerce pas, car elle gère ses deux princesses qui ont maintenant 18 ans – des jumelles, Elodie et Sabrina.
— Bonjour Jean, comment vas-tu ?— Bien, et la famille ?— Tout va bien sauf les 2 miss qui viennent à la maison avec leurs mecs que je n’aime pas.— Haha... Des chats ne font pas des chiens.
Je dis cela, car Robert m’a connu en Afrique. Il était l’avocat-conseil de l’un de mes prospects à Dakar. Je cherchai à avoir ce client, mais c’était compliqué, car il me disait toujours qu’il ne prenait pas de décision sans son avocat et moi je n’arrivais jamais à le rencontrer.
Après presque 15 jours d’attentes, mon prospect m’a invité pour une soirée privée où je devrai normalement rencontrer le fameux avocat. Je n’y croyais plus, mais bon à quelques jours de mon départ, pas d’hésitation, j’acceptais immédiatement.
Cette soirée privée était entre 6 hommes. Le prospect, Mamadou me présente à ses amis et là j’ai enfin été en face de Robert. Autour d’excellents plats, le Yassa de Poulet, le Théboudienne et autres spécialités locales servies que par des femmes pas très vêtues qui occupé à mon objectif – discuté avec l’avocat Robert – ce que j’ai pu faire en mangeant, mais je voyais que je l’embêtais, car lui était plus occupé à avoir les mains baladeuses auprès des serveuses qui ne refusait pas les caresses.
Les plats presque finis, les demoiselles étaient à moitié nues et Mamadou à côté de moi sort sa queue et demande à la demoiselle de lui tailler une pipe et sans hésitation, elle s’agenouille pour prendre en main une queue de bonne taille. C’était le début d’une orgie. Ayant toujours eu du succès, je n’étais pas mal à l’aise, mais bon je ne l’avais pas prévu surtout que j’étais obsédé par mon objectif.
L’occasion s’est présentée toute seule, Mamadou tout à l’attention de la serveuse qui lui faisait une gâterie ne s’occupait plus de moi. Robert était en train de culbuter avec force une autre serveuse qui avait l’air d’être toute petite par rapport à lui. C’est là ou Robert m’adressa la parole : - Viens prendre cette petite salope, elle aime les petites queues de blanc.
A sa surprise, je ne me suis pas dégonflé et j’ai baissé mon pantalon pour sortir ma bite pour la présenter à la jolie Sénégalaise qui en prenait cher.
— Eh bien, un blanc qui a l’air de tenir la distance !
Tout le monde était occupé avec une fille et pourtant tous se sont arrêtés pour me « vérifier ».
— C’est quoi ton nom ? — Jean.— Viens prendre ma place et après on la prend en double, OK ?
C’est là que j’ai vu que tout était à la même taille chez Robert. Je me donnais de la peine et la chatte de la serveuse était très accueillante, s’adaptant à ma queue.
— Continuez de me baiser mes salauds, j’aime la queue... Mmmm...
Après un bon quart d’heure de prise par-devant et par-derrière. Elle le suçait comme une affamée et moi son petit cul était un appel à la baise chaude. Cette couleur de peau tellement belle, je continuais sans difficulté en évitant soigneusement de jouir.
— Prends-lui le cul, elle adore et surtout prépare là à m’accueillir.
Je mouille mon doigt et lui enfonce doucement dans sa rondelle qui a l’habitude on dirait.
— Arrête de faire la chochotte, elle n’a pas besoin d’être préparée, tu prends ta bite et tu la lui mets.
Je sors ma bite de sa chatte accueillante et dépose ma queue à l’entrée de son petit cul. Je n’ai pas le temps que Robert lui pousse sa bite dans la bouche, ce qui la force à reculer et ma bite lui rentre dans le cul d’un coup.Je suis surpris qu’elle ne réagit pas plus et donc immédiatement on démarre un pilonnage en règle. Robert utilise sa bouche comme d’une chatte, il lui bouche le nez, il est vraiment fort et j’essaie de suivre la cadence. La petite est une marionnette et subit notre assaut, mais elle a l’air de bien aimer cela et en redemande.La pièce est pleine de cris de jouissance et on s’amuse beaucoup avec des belles qui adorent se faire mettre.Robert prend la petite et la retourne sans me demander mon avis. Puis la met sur le ventre en lui faisant sortir sur cul et d’un coup l’embroche et là il me fait une démonstration digne d’un acteur porno.
— Viens, elle a une bouche faite pour sucer. C’est une chienne à bites. Hein petite salope, t’aimes la queue !— Mmm, choui – elle essaie de s’exprimer, mais à chaque fois qu’elle essaie de s’exprimer, il force la cadence et ce jeu l’amène rapidement à la jouissance.
Elle râle de plaisir et s’écroule sous les coups de boutoirs de Robert.
— Je n’ai pas fini avec toi. Il a l’air infatigable et je constate qu’il est comme en transe.— J’adore les petits culs. Regarde comme son cul accueille ma bite.
Je les regarde tranquillement pendant que je me masturbe. En fait, la scène est super excitante, mais la miss n’en peut plus et je ne suis pas certain qu’elle va pouvoir continuer à supporter encore longtemps ce fou furieux.
— Alors tu n’en peux plus ma chérie ?
Il n’attend pas la réponse et calme le mouvement pour reprendre comme un forcené quelques secondes suivantes, ce qui l’amène à une nouvelle jouissance, mais cette fois elle crie de plaisir.
— Tu vois mon ami. Les pros simulent toujours la première fois, mais là elle est sincère et je la connais bien. Elle aime la baise dure et moi j’aime les traiter comme des chiennes.— Viens salope, prendre mon jus et après tu finis mon copain.
La petite a des yeux plein de désirs et s’agenouille entre les jambes de Robert pour lui lécher les grosses bourses en le branlant avec force. Sa grosse queue commence à envoyer une bonne dose de foutre lorsqu’elle lui met un doigt dans le cul. Ils ont l’air de bien se connaître.Pendant qu’elle avale le foutre de Robert, le maître des lieux se met derrière la petite et la prend par surprise.
— Allez cochonne, prends soin de la bite de notre invité pendant que je me finis dans ton cul.
La petite me prend la bite pendant que Mamadou la pilonne plus tranquillement, mais avec vigueur tout de même.Elle est une superbe suceuse et je ne résiste pas très longtemps, surtout lorsqu’elle me doigt le cul également et c’est une super sensation.L’orgie se termine doucement. Les filles nous quittent et nous sommes plus que trois, Robert, Mamadou et moi-même, les autres protagonistes ayant discrètement quitté la salle.
— Il est pas mal le Jean, non ? demande Mamadou à Robert.— Très bien même pour un blanc. Il tient le coup. Maintenant à savoir s’il gère le business comme il gère sa bite, il a intérêt sinon il aura des soucis à se faire à chaque fois qu’il vient au pays.
Je regarde Robert et lui réponds :
— Robert, aucune raison de me menacer. Je donnerai le même traitement à Mamadou qu’à n’importe quel client que je respecte.— Ne soyez pas offensé Jean. On a l’habitude des Européens qui pensent qu’à prendre le contrat et ensuite ne livrent rien. C’est la raison de votre venue aujourd’hui. Vous avez l’air d’être une bonne personne et donc je suis OK pour une collaboration surtout maintenant que vous connaissez mes goûts. D’ailleurs demain, passez à la maison afin que l’on continue notre discussion.
Le rendez-vous fut pris.................Je préparais mes bagages, car après la visite chez Robert, j’avais prévu d’aller à l’aéroport directement.Le téléphone sonne et c’est le chauffeur qui me prévient qu’il arrive dans 10 minutes et il m’attendra à la réception de l’hôtel.Après plus d’une heure de route, nous arrivons vers une très belle villa, entourée d’un grand jardin.
Robert est là et à côté de lui une femme d’un mètre soixante, blanche et blonde, jolie et j’apprends que c’est son épouse et le couple me reçoit avec beaucoup de courtoisie.
— Bonjour Jean, je m’appelle Christelle, je suis la femme de Robert et bienvenue. Me dit-elle avec un beau sourire.
Nous allons au salon et une bonne vient nous demander ce que nous désirons boire. La jeune femme à la peau d’ébène doit avoir 25 ans environ, fine et habillée en soubrette, assez cours d’ailleurs.Quelques minutes après, elle nous rapporte un plateau avec de la citronnade, en déposant le plateau sur la table elle se penche juste devant moi et la jupe remonte suffisamment pour voir une potentielle culotte, mais en fait je vois son sexe rasé totalement. Elle prend le temps de nous servir et forcément mes yeux ne se détachent pas de ce spectacle alors que Christelle me parle de son mari et me fixe avec des yeux de chat. Son sourire me dit qu’elle sait très bien que la servante n’a pas de culotte et en plein milieu de son discours que je n’écoute qu’à demi-mot, j’entends :
— Elle a toujours la chatte à l’air pour être plus disponible, cela vous plaît-il Jean ?
Je ne suis pas certain d’avoir bien compris et la servante d’ailleurs garde la position courbée alors qu’il est sûr qu’elle a fini de servir la citronnade.Christelle se lève et se met à côté de moi puis prend ma main pour la diriger sur les fesses de la servante. Christelle me chuchote à l’oreille :
— Mon mari a des besoins et je ne peux pas être seule à le satisfaire. Lorsque nous nous sommes connues, j’ai vite compris les conditions de notre relation et j’en suis pleinement satisfaite. Laissez libre cours à vos envies Jean.
Je me reprends et regarde Robert qui entre-temps a dézippé son pantalon pour commencer à branler sa grosse queue. Il ne dit rien.Christelle continue de me chuchoter à l’oreille tout en dirigeant ma main pour que je commence à insérer deux doigts dans la chatte déjà trempée de la jeune femme qui a l’air d’apprécier puisque son bassin vient à l’encontre de ma main.
— Imaginez Jean, j’ai dû convaincre toute la famille de Robert que je méritais de devenir sa femme. Vous savez combien de frères et de sœurs la famille de mon mari est composée ? Et son père, oh mon Dieu son père. Quelle queue ! Étant une grosse cochonne, j’ai adoré. Surtout lorsqu’il a téléphoné à ses frères pour dire que Robert avait enfin trouvé une blanche à queues noires qui était capable de la prendre dans son petit cul.— Cela vous fait bander mon beau Jean, de savoir que je suis une cochonne à croc à de la grosse queue noire ?
Je ne savais pas quoi répondre, mais à l’évidence j’étais tombé sur la plus belle salope que j’ai jamais vue et même si elle n’était pas la femme la plus belle du monde à mon goût, je constatais qu’elle avait des arguments non négligeables tant physiques, mais surtout une envie prononcée pour le sexe extrême et sans aucun tabou.
— J’ai envie de vous voir baiser notre servante, prenez-la pendant que je m’occupe de mon mari. Mais avant laissez-moi voir votre instrument, car mon Robert m’a dit que vous étiez dans la bonne catégorie, levez-vous s’il vous plaît.
Je me lève et Christelle baisse mon pantalon et met sa main dans mon caleçon sans aucune retenue.
— Mmm oui ça c’est déjà bien dur et une taille acceptable. Vous savez que Robert a un talent fou pour nous rendre toutes folles de sexe. Si je l’écoutais, il me baiserait 10 fois par jour et je pensais qu’après 18 ans de mariage, cela allait être plus calme, mais bien au contraire, il veut me savoir être la plus grosse salope, il est très fier de moi.
Pendant qu’elle me parlait, Christelle dirigeait ma queue vers la chatte de la servante et je suis rentré dedans sans aucune résistance.Christelle va vers son mari et tout en continuant de me regarder, elle reprend la branlette que Robert avait débutée. Lui me regarde tout sourire. C’est vrai qu’il est fier de sa femme et prend la parole pour la première fois.
— Tu vois Robert, je viens d’une famille, d’un clan où mon père est le chef. Il a six femmes. Il m’a instruit dès mon plus jeune âge au sexe. Il m’a dit que c’est une partie du pouvoir qu’il faut avoir en tant que futur chef.
J’ai eu la chance de faire de très bonnes études et d’aller dans une prestigieuse université anglaise pour obtenir mon master en finance. Là-bas, j’ai mis en pratique les conseils de mon père. J’ai baisé tout ce qui est possible de baiser et j’ai compris comment les hommes et les femmes peuvent aimer le sexe lorsqu’on sait bien le faire. C’est comme une drogue.A mon retour, en ayant goûté à la femme blanche, j’ai dit à mon père que je voulais avoir qu’une seule femme et une Européenne. Ça a été une très grande source de problème entre mon père et moi, mais aussi entre les autres membres de la famille. Personne n’a accepté mon choix, mais alors il m’a proposé un accord, car je suis son fils préféré.
— Mon fils, si tu trouves une femme blanche qui est capable d’accepter le mode de vie du clan alors je serai d’accord pour que tu la maries.
J’ai amené dix filles qui étaient toutes des cochonnes, mais lorsqu’elles comprenaient que mon père, mes oncles et mes frères allaient les tester, elles ont presque toutes pris peur ou alors quelques-unes ont essayé et n’ont pas réussi à tenir la distance.Pendant que Robert me dit cela, sa femme lui embouche la queue et moi je pilonne la servante et il continue son monologue.
— Lorsque Christelle s’est présentée devant moi avec son petit gabarit, j’ai rigolé et je lui ai dit que j’allais tout d’abord la sodomiser, cela pour lui faire comprendre comment je traite mes futures secrétaires. Au contraire de toute femme normale qui se serait enfuie en courant en me traitant de monstre, elle a remonté sa jupe, s’est doigtée devant moi pendant quelques secondes puis m’a dit d’y aller.
Je l’ai prise et tu as vu hier comme j’aime les chiennes. Christelle, c’est juste la reine.Je l’ai présentée à mon père le lendemain et il l’a prise devant moi et à sa surprise, elle a adoré. Il a appelé mes oncles afin de s’assurer que nous avions une femme soumise à nos moindres désirs.Toute la nuit et les deux jours suivants, nous l’avons tous baisée avec quelques pauses où elle devait faire le service avec les autres femmes. Ils étaient tous sous le charme de ma Christelle.Le comble c’est lorsqu’elle a été testée par mes frères, mais aussi par mes sœurs. Elles adorent son cul, sa chatte, c’est une lécheuse de première et d’ailleurs tu vas le sentir aussi si tu veux que l’on travaille ensemble.En disant cela, l’excitation est à son comble, car je comprends que je baiserai Christelle avant mon départ. La petite soubrette a dû sentir que je ne pouvais plus me retenir et s’est retournée pour me finir avec sa bouche.
Robert lui-même est en train de jouir dans la bouche de sa femme, qui ne lâche aucune goutte et nettoie le gland de son mari. Dans quel monde suis-je tombé moi qui étais déjà très porté sur le sexe, j’avais trouvé le roi et la reine de ce domaine.Robert reste seul avec moi au salon tandis que la servante et Christelle se sont éclipsées. La situation est presque amusante, car en deux jours, je partage une serveuse dans une partouze et le lendemain je baise la servante devant sa femme.Nous discutons du partenariat et du contrat que Robert va établir entre la société de Mamadou. Une première version est déjà prête et nous pourrions déjà la signer si je suis d’accord. Je lis tranquillement le document qui est très bien fait, ce qui est rare venant d’avocat, car d’habitude il préserve uniquement les intérêts d’une partie, mais pas de l’autre. Ici, c’est équilibré. Robert a la même vision que moi des affaires.
— Mamadou va nous rejoindre cet après-midi si tu es d’accord sur le contrat. Ton vol est prévu pour ce soir donc tu as le temps. Désires-tu faire des modifications, présenter le document à ton légal, as-tu besoin de temps ?— Non cela me va très bien et je suis heureux avec les conditions que vous proposez. On peut signer aujourd’hui avec Mamadou et toi-même.
Robert me parle de ses passions, de sa vie en général et j’apprends qu’il a deux filles et un fils. Tous de Christelle, car pour lui, il aime cette vie monogame surtout avec une femme aussi exceptionnelle.
Une heure plus tard, la voiture de Mamadou arrive, accompagnée par trois jeunes, et je découvre qu’il ramène la famille de Robert qui revient du village familial.Le fils de 19 ans et deux jumelles de 18ans qui sont plus qu’agréables à regarder, mais en plus avec quelque chose dans le cerveau.Nous ne tardons pas trop à nous retrouver dans la salle à manger, car Robert et Christelle ont prévu un repas pour me souhaiter bienvenu dans la famille.Je pars à la salle de bain pour me laver les mains et pour ce faire, je passe devant la cuisine pour entrapercevoir quatre personnes qui s’affairent à préparer le repas. Christelle, bien entendu, la servante ainsi que le chauffeur et une autre femme un peu plus âgée qui serait la cuisinière on dirait. C’est amusant de les voir ensemble affairés alors qu’il y a une heure, au salon, on baisait sans être discret. Là tout est revenu à la normale si je puis dire, ne sachant pas ce qui est vraiment normal dans cette famille.
La salle de bain est grande, je prends le temps et suis heureux de connaître Robert, sa famille et Mamadou, mais surtout d’avoir signé cet accord qui me permet de développer des affaires au Sénégal.A mon retour de la salle de bain, je repasse devant la cuisine, mais le tableau est bien différent. Christelle n’est plus là et il y a son fils, son short baissé et qui sodomise la servante. A côté d’elle, la cuisinière continue de faire comme si de rien n’était. Je m’arrête pour admirer le spectacle.Dans le couloir viennent les deux sœurs jumelles et elles constatent mon voyeurisme.
— Bonjour Monsieur Jean. Dialo ne peut pas se retenir longtemps. On dirait que cela vous fait de l’effet, me dit-elle en chœur, chacune passant sa main sur la bosse de mon pantalon.— Vous êtes vraiment très libre dans cette famille, on dirait.— C’est la nature et contrairement à beaucoup de gens, on est très heureuse de pouvoir assouvir nos besoins, toujours en me massant la queue à travers mon pantalon.— Mmm on dirait un joli paquet là.— Arrêtez d’embêter Jean mes princesses – dit Robert qui vient du salon. Allez-vous préparer, on va manger dans quelques minutes. Dialo, tu laisses notre servante et va aider tes sœurs pour mettre la table.
Dialo accélère la cadence et s’arc-boute pour se libérer dans le cul de la servante. Lorsqu’il sort sa queue encore pleine de jute... il parle à la cuisinière qui s’agenouille pour lui nettoyer la bite avec sa langue.Un quart d’heure après, nous sommes tous autour de la table, en pleine discussion sur le monde, le temps qu’il fait. Ce que j’admire, c’est cette capacité qu’ils ont à être totalement lubrique et en même temps tout à fait normal. Première fois que je vois cela chez une famille où tout le monde est obsédé on dirait.Le repas est excellent et se termine normalement. Les trois jeunes nous quittent momentanément et je reste avec Christelle, Mamadou et Robert.
— Tu sais Jean, depuis la soirée avec Mamadou, je suis très heureux de voir que tu es à l’aise, car nous aimons être nous-mêmes. — Je te l’avais dit Robert, explique Mamadou. Depuis le début, Jean peut nous être très utile avec son réseau et son expertise et en plus c’est bien de l’inclure dans la famille. Nous travaillons tous ensemble et nous vivons tous ensemble.
Je ne sais pas ce que sous-entend Mamadou, car je « débarque » dans cet univers, mais je m’y sens vraiment à l’aise.
— Allons au jardin arrière pour prendre un moment de relaxation. Tu as ton maillot Jean ?— J’avoue que non... et j’éclate de rire en pensant qu’ils ont déjà bien vu mon anatomie.— Pas grave mon ami.
On prend nos verres et la bouteille de vin pour nous retrouver autour d’une piscine de belle taille. Christelle se met à l’aise de suite et se débarrasse de ses habits en totalité. Elle est belle sans être un canon. De beaux seins un peu lourds, une chatte complètement rasée et un beau cul.
Je me déshabille également, Robert et Mamadou en font de même. Nous sommes les quatre nus et prenant les transats. Je n’ai plus vraiment envie de prendre mon vol et d’ailleurs je n’y pense pas vraiment. C’est bon cette liberté.
Le soleil tape assez fort. Christelle me demande de lui mettre de la crème solaire. Je m’empresse de prendre le tube et m’assois à côté d’elle. Je commence sur le dos. Je ne constate aucune marque de maillot et donc Christelle doit faire de l’intégrale. Pour une fois, je prends l’initiative et très vite ma main masse son beau cul. C’est la partie du corps que j’aime le plus chez une femme. Christelle réagit sous mes caresses et écarte les jambes en élevant son cul pour répondre favorablement à ma main qui va directement écarter les lèvres de son sexe.
— Mmmm j’aime ce que tu fais Jean.
Je commence à bander également, mais je ne suis pas le seul. Mamadou et Robert ont leur bite bien dressée et ils s’astiquent le manche.Au même moment, les trois jeunes débarquent. Je m’arrête un instant, mais pour finalement me dire qu’ils ne doivent pas être surpris de la situation.Les deux jumelles se déshabillent immédiatement et font un saut dans l’eau, mais en ressortent très vite pour rejoindre Mamadou qui continue à se masturber. Elles prennent le relais avec leurs bouches. Mamadou est aux anges.
— Continuez mes petites chiennes, active-toi sur ma queue et toi lèche mes grosses bourses.
Le tableau est vraiment excitant et je profite de doigter pleinement Christelle qui a mis sa main sur ma queue. J’y ajoute un doigt dans son cul tout en regardant les jeunes demoiselles qui ont le même talent que leur mère on dirait.Dialo enlève également ses habits et se met à côté de son père qui continue de s’astiquer le manche. Ils sont voyeurs et Dialo commence aussi à bander. Il est plus petit que son père et sa bite est une taille normale et fine.Tout à coup, il se penche sur la bite de Robert et commence une fellation pleine de douceur. Il lui masse les couilles.
— C’est bien mon fils, continue. Tu deviendras bientôt aussi salope que tes deux sœurs.
On entend des gémissements dans tout le jardin. Christelle s’est retournée pour me pomper la queue tout en me regardant intensément, elle est vraiment perverse et j’adore cela.Pendant nos ébats, j’entends la sonnerie de la porte d’entrée et après quelques minutes, un homme la trentaine ainsi que deux femmes presque le même âge font leur apparition. L’une est bien en chair tandis que l’autre une très belle plastique et grande.
— Bonjour frérot, dit le jeune homme qui n’attend aucune réponse pour se déshabiller à son tour.
Les deux femmes ne disent rien, mais en font de même et nous nous retrouvons dans une véritable orgie tout en étant chacun dans son coin.Robert demande à son fils de se mettre à quatre pattes et il l’embroche sans douceur. Un rictus de douleur apparaît très vite, remplacé par du plaisir. Le nouvel arrivant se présente devant Christelle et moi-même.
— Bonjour, je suis le jeune frère de Robert, je m’appelle Dam. Voici Amélie et Serena, nos deux sœurs.
Il va rejoindre Mamadou qui continue de se faire sucer par les deux jumelles. Il se met derrière l’une d’elles et essaie de la prendre, mais il n’est pas encore dur. Il appelle ses deux sœurs pour le mettre en forme. Elles se mettent à genoux pour lui prodiguer une belle fellation. Moi je décide de commencer à baiser la maîtresse de maison.
— Non Jean, prends-moi le cul de suite.
J’aime cette sensation d’être serré dans un cul surtout dans ce genre de situation. C’est une belle orgie où j’ai vraiment l’impression où tout le monde jouit et profite sans aucun tabou. On gémit, on se fait plaisir. La partouze dure une bonne heure et nous avons tous bien profité.Je me rhabille, car je dois prendre mon avion. Tout le monde est sur le pas de la porte pour me dire au revoir. Les trois jeunes me disent au revoir et surtout à une prochaine fois – il faut dire que je n’ai pas eu l’occasion de les baiser et donc nous sommes tous un peu frustrés.Ce fut la rencontre avec Robert qui quelques mois plus tard m’a rejoint en Europe et depuis ce jour, il n’est pas seulement mon ami, mais également mon plus proche collaborateur.
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