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Chasse à l'homme jeune

Chapitre 1

la jolie rousse

Hétéro
    C’est une histoire saugrenue. Immorale, pour certains. Heureusement, je ne pense pas comme la plupart des gens sinon rien de tout cela ne me serait arrivé.     Je m’appelle Jean, je venais tout juste d’avoir dix huit ans quand cette histoire m’est arrivée.     J’avais trouvé un petit boulot comme caissier dans un grand hyper marché, pendant les vacances. C’était un job chiant, inintéressant, mais qui me permettrait de me faire quelques thunes. J’avais très envie de passer le permis à cette époque. Mes parents n’avaient pas les moyens de me le payer. En fait, ils n’avaient pas vraiment de moyen du tout. Leur existence se résumait à payer leurs innombrables crédits, ce qui leur laisser trop peu d’argent pour faire plus que manger. Je n’étais pas pauvre. J’avais un boulot (pour l’instant) et je mangeais à ma faim. Disons simplement que, si ma vie avait pu être plus facile, j’aurais remercié le Ciel tous les jours. Bien entendu je n’y croyais pas au « Ciel ». Quel saint d’esprit y croirait ? Eh puis je ne voulais pas me priver de sexe avant le mariage.     Cette année là, lorsque je travaillais à l’hypermarché, l’été était plutôt beau. Cela faisait bien deux semaines que l’on avait pas vu un nuage dans le ciel : tout le monde venait travailler avec le sourire. Tout le monde sauf monsieur Dermier, le patron. On ne faisait jamais assez de chiffre pour lui. C’était un cinquantenaire moche, le ventre bedonnant, toujours en chemise à carreaux, qui nous regardait avec un air de pitbull prêt à mordre le premier qui oserait ouvrir la bouche devant lui. Sa journée, il la passait à compter l’argent du magasin. Et il n’y en avait jamais assez selon lui.     Oh j’ai eu affaire à ce vieux con. Plus d’une fois. Je me rappelle encore de cette fameuse après midi. C’était vers la fin juillet. Le ciel s’est assombri dès le matin, comme pour me prévenir qu’un orage allait éclater pour moi aujourd’hui.     Je faisais passer des clients en caisse depuis plusieurs heures maintenant. J’étais fatigué, moralement à zéro. « Le client est con », voilà ce qu’on nous apprend en premier, en formation. Con, mais plein de pognon. Notre but c’est de lui en faire lâcher le plus possible, et pour cela, le sourire est primordial. Mais je dois vous avouer, que sourire et rester poli face à quelqu’un de passif, qui vous ignore, et ne vous dit même pas « bonjour, merci, au revoir », c’est compliqué. Après le centième « de rien, connard » que je lançais du regard à un client impoli, une sympathique femme d’environ quarante ans s’est présentée devant moi. Habituellement je ne regarde pas vraiment les clientes. Je me contente de scanner leurs articles, et de les encaisser. Mais là, j’ai été éblouis comme en plein soleil. Il y a des personnes qui vous frappe d’un seul regard, et cette femme en faisait partie. C’était une sympathique rousse, les cheveux cours légèrement ondulé, des yeux noisettes pétillants. Elle me souriait de toutes ses jolies dents blanches éclatant. J’avais du mal à me détacher de son visage angélique, de ses tâches de rousseur qui lui allaient si bien. Elle était ma définition de la beauté. Ce n’est qu’après avoir pu détacher mes yeux de sa tête que je fus englouti par une autre vision. Elle portait un petit juste-au-corps rose bonbon, affublé d’un incroyable décolleté plongeant vers une poitrine ni trop grosse, ni trop petite. J’avais entendu dire que les seins s’affaissaient avec l’âge. Pas les siens manifestement. Je sentais qu’un gonflement pointait le bout de son nez dans mon pantalon.    — Jeune homme, vous allez bien, s’enquit une petite voix agréable non loin de moi ?— Euh… oui, désolé.. madame.
    C’était elle qui m’avait tiré de ma rêverie ? Combien de temps étais-je resté là à la regarder ? Je rougis honteusement.     Sans un mot, je passais ses articles au scanner. Il y avait un peu de tout et -mon cœur ne fit qu’un bond dans ma poitrine agitée- une boîte de préservatif, ainsi qu’un gel lubrifiant. Mon rougissement ne s’est pas arrêté. Cette charmante dame semblait profiter des plaisirs de la vie. j’ai fini par voir la fin de son panier arriver, et elle a voulu procéder au règlement.     Je suis redevenu professionnel.
— ça vous fera cent deux euros et quatre vingt centimes, s’il vous plaît, lui dis-je avec mon plus beau sourire.
    Elle me tendit un billet de cent, et se mit à farfouiller dans son sac en cuir. Une minutes. Deux minutes. Trois minutes. J’avais beau aimer la regarder, ça commençait à être lent. Un vieil homme hideux semblait perdre patience à l’arrière.
— Il y a un problème, madame ?— Eh bien…
    Elle fit une pause. Elle avait un air inquiet.
— il me manque les deux euros et quelques centimes, confia-t-elle.
    Brusquement, une idée me vint. j’avais envie de faire une folie. C’était le moment ou jamais.
— Laissez, madame. Ça ne fait rien pour le peu qu’il manque, allez y. Je réglerais ça de mon côté.
    Vous vous attendiez à quoi ? J’avais dix huit ans, presque aucune expérience avec les femmes. Je n’allais pas lui demander son numéro voyez vous ? Et la différence d’âge était insurmontable, à mon avis.
— Vraiment ? Oh merci beaucoup, jeune homme ! Je vous revaudrais ça, ne vous en faites pas !
    Elle me fit un sourire qui me fit rougir à nouveau, et partit avec ses achats. Je la suivais un instant du regard. Elle était plutôt petite (peut être un mètre soixante cinq), mais avait de magnifique hanches marquées, mises en valeur par une jolie robe en jean. Ses fesses étaient fournies, et rebondies. Je bandais encore.
— Jeune homme, tonna une voix, non loin de moi. Dans mon bureau, immédiatement !
    C’était le vieux porc de patron. Tout le monde se retourna vers moi. Même la jolie rousse. Je me suis énervé.     Dans son bureau, l’autre con m’a traité tour à tour d’inconscient, d’imbécile, de gaucho-communiste, de délinquant, et de merde. Il a menacé de me renvoyer sur le champ pour faute professionnelle. Là s’en était trop. Je lui ai répondu du tac-au-tac :
— Écoutez moi, monsieur. Renvoyez moi, allez y. Mais sachez que je connais des journaliste (enfin des stagiaires, mais il n’avait pas besoin de le savoir) de quotidiens nationaux. Si vous me virez, je me ferais un plaisir de témoigner chez eux. Que dira-t-on alors de l’homme qui a renvoyé un jeune homme modèle, pour une histoire de deux euros quatre vingt ?
    Sur ses mots, j’ai claqué la porte et je suis parti. Il n’a pas cherché à me rattraper.
    Je suis sorti du magasin, pour découvrir qu’il pleuvait. Sévèrement. Même les Nordistes n’avaient sûrement jamais connu une pluie pareille. J’avais envie de pleurer. J’avais une demi-heure de marche pour rentrer chez moi.
— On a besoin d’un chauffeur ? Demanda une charmante voix derrière moi.
    Je me retournais, et -mon coeur se mit à battre très fort- je vis la rousse de tout à l’heure devant moi. Elle était petite, en effet. Une petite beauté.         — je ne voudrais pas vous déranger, répondis-je maladroitement.
— Mais non voyons ! Allez viens, je te dépose. Je dois juste passer vite fait chez moi déposer la viande. Tu habites où ?
    Je lui ai donné mon adresse, n’osant croire qu’elle allait vraiment me raccompagner.
— C’est sur ma route, s’exclama-t-elle ! Aller, viens avec moi. C’est quoi ton nom ?
— Euh.. Jean, madame. Merci de me raccompagner.
— C’est normal, voyons ! Tu m’as rendu service, et je te rends service à mon tour ! Et ne m’appelle pas « madame ». Moi, c’est Sophie.
— Enchanté, Sophie, dis je avec mon plus grand sourire.
    Nous avons rejoins la voiture de Sophie -une petite cacahuète- en courant. La pluie tombait en mode « sceau d’eau que je te jette dans la gueule ». Une fois à l’intérieur du véhicule, je remarquais que la pluie avait suffisamment mouillé ma conductrice pour que son soutien-gorge apparaisse à travers son haut. Il était blanc, simple, mais diablement sexy. Mon érection reprit de plus belle.     Je regardais l’heure, histoire de me changer l’esprit, et soudain quelque chose traversa mes pensées : J’avais passé au moins vingt minutes dans le bureau de Trouduc. Qu’avait fait Sophie, qui avait de la viande à mettre dans son frigo, pendant tout ce temps dans le magasin ? Elle avait fini ses achats. M’avait-elle attendu ? Non, c’est impossible. Elle faisait sans doute les boutiques. Oui, c’est ça. Il y a pleins de boutiques de fringues pour meuf dans la galerie marchande de l’hypermarché.
— Si tu te demande ce que je faisais pendant que tu te faisais engueuler par ce gros lard, j’étais aux toilettes. J’avais une envie pressante.
    Merde, elle suivait mes pensées. J’ai juste répondu un petit « ah oui, je me demandais, c’est vrai. ». Elle a sourit et nous sommes partis.     Elle avait une conduite douce, bien plus que celle de mes amis nouvellement reçu au permis de conduire. Je ne pouvais m’empêcher de regarder ses jambes nues, d’une peau blanche et pure, appuyer avec délicatesse sur les pédales. Chaque coup de volant était parfaitement maîtrisé. Ses seins remontaient légèrement dans son décolleté dès qu’elle bougeait les bras. Je m’imaginais embrasser sa poitrine, la prendre dans mes mains, lécher ses tétons. Mon pénis était bien dur maintenant. Sans doute une bosse déformait-elle mon pantalon.         Pendant le trajet, Sophie me parlait de sa vie. Elle avait quarante deux ans, avait été mariée pendant un temps, mais son mari, militaire, était décédé en mission. Elle vivait seule depuis. Elle me confia qu’elle s’était mariée trop jeune. Elle voulait maintenant profiter de la vie et « libre à toi de comprendre ce que tu voudras par là ».
    Nous nous sommes enfin arrêté devant une petite maison à la façade blanche, et aux grandes fenêtres. Elle a éteint son moteur, mit son frein à main, et m’a regardé, un sourire bienveillant sur les lèvres. Je pensais qu’elle allait sortir, mais non. Elle voulait me parler.
— Jean, commença-t-elle, je dois t’avouer une chose : J’ai eu un coup de cœur sur toi. Et apparemment… toi aussi.
    Elle me montra mon entrejambe. Elle rougit, elle aussi.
— Tu sais, reprit-elle, je suis une femme seule. Et j’ai des besoins comme tout le monde. Peut être pourrions nous…
    Elle ne termina pas sa phrase. A la place, elle posa sa main sur mon entrejambe. Mon sexe était bandé à son maximum. Le sang me monta à la tête, je ne savais plus comment réagir.
— Tu en as envie, s’enquit-elle ? Je ne veux pas te forcer.— Oui, murmurais-je immédiatement. J’ai envie de vous.
    A ces mots, elle m’embrassa. Mon premier baiser avec une femme. Elle prit ma main et la passa sous son soutien-gorge. C’était chaud, et mou. Elle pointait déjà. Je bandais comme un ours.     A son tour, sa main glissa dans mon caleçon. Elle me branla doucement, tout en tournant sa langue dans ma bouche. Ma main malaxait son sein avec douceur. J’entendais mon amante respirer plus fort. Ma bite était à son maximum. Elle me faisait mal dans un si petit espace. Sophie n’arrivait plus à bouger son bras.    Elle a quitté mon pantalon, pour y revenir d’une autre façon : elle a déboutonné le jean, et, avec mon aide, l’a baissé suffisamment pour laisser échapper ma bite, fièrement dressé. Je n’avais pas la plus grosse du monde, mais mère nature ne s’était pas fichu de moi. J’étais content de ce que j’avais. Et vu le regard lubrique que me lança ma partenaire, elle semblait satisfaite, elle aussi. Sophie passa une de ses mains sous sa jupe, se trémoussa et fit tomber sa culotte à ses genoux. Tout alla très vite, ensuite. Elle me la mit sur mon visage. Les odeurs de sa vulve mouillée me parvinrent aux narines. Mon excitation était décuplée. Elle prit ma main, écarta les jambes et la posa sur son sexe trempée. Il était lisse. Je croyais deviner le clitoris, et je m’exerçais donc à le masser avec toute la fougue que me procurait l’excitation. Sophie commença à gémir. Mon sexe s’embrasait. Mes doigts partirent plus bas dans sa fente. Je crus remarquer de longue petites lèvres, ce qui m’excitait encore plus : je hais les chattes bien sage et fermée de petites filles.     Sophie se pencha et prit mon sexe en bouche. Ma première fellation. Faite par une experte. Elle allait et venait autour du gland, me branlait en même temps, prenait tout en bouche sans me prévenir. Je gémissais moi aussi. Elle alternait entre des va-et-vient en gorge profonde et des moments plus doux, où seul mon gland se retrouvait dans la chaleur de sa bouche, sa main fermement serrée autour de mon membre qu’elle branlait de toutes ses forces.    Pendant ce temps là, son autre main guidait la mienne sur sa chatte ouverte. Elle mit mes doigts près de son trou et appuya pour me dire de rentrer dedans. Je fis, naïvement, des cercles, et des mouvements de va-et-vient. Elle reprit ma main pour m’encourager à y aller plus fort. Alors, je ne me suis plus retenu. J’ai rentré deux doigts en plus. Elle cria, se mit à bouger le bassin rapidement. Sa branlette buccal s’accéléra. Je ne tenais plus. Alors que je l’entendais crier, je lâchais tout mon sperme dans sa bouche. Elle pompa de sa main et ferma bien ses lèvres autour de mon pénis. Elle ne perdit pas une goutte. Et je lui avais offert une quantité phénoménale, pour moi. Elle me regarda avec un sourire en coin et avala tout.     — C’était génial, Jean, me dit-elle avec des yeux brillants. Ça te dit de rentrer chez moi ? On pourrait en explorer un peu plus à deux, non ?
Bien entendu, j’ai dit oui.   
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