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Chasseur de fantômes

Chapitre 2

Partie 2/2

Voyeur / Exhibition
Afin de pimenter la suite, Dorian propose de jouer au jeu « action ou vérité ». Alissa n’est pas très chaude mais Max la rassure en promettant qu’aucune question ni qu’aucun gage ne seront trop déplacés. La partie commence doucement et les garçons tiennent parole. Mais peu à peu leurs questions et leurs gages sont de moins en moins innocents. Mon hypothèse selon laquelle les deux garçons se sont mis d’accord pour profiter de la jeune fille me paraît de plus en plus probable.
Dorian pousse Alissa à leur révéler l’âge de sa première masturbation et à détacher quelques boutons de sa chemise, laissant apparaître la dentelle du soutien-gorge. Quant à Max, il profite du jeu pour venir caresser les seins de sa copine et tente de lui faire avouer son plus gros fantasme.
— J’ai toujours voulu servir de vide-couilles, déclare-t-elle alors que les lumières du salon se mettent à clignoter. Être la pute d’un tas de mecs qui abuseraient de moi sans arrêt.
La révélation semble plaire aux mecs, mais personne ne bouge pour le moment. C’est au tour de Dorian de lui proposer une action ou une vérité. Alissa choisit la première.
— Ôte ta culotte et écarte les cuisses ! lance-t-il d’un ton impérieux.
Ça y est ! Mes capteurs s’agitent de nouveau. Comme aux toilettes précédemment, les mêmes phénomènes se produisent. Les entités qui hantent cette maison se manifestent une nouvelle fois alors qu’Alissa obéit sans protester à l’ordre de Dorian.
L’effet sur le garçon est immédiat : il bondit littéralement sur la jeune fille et la plaque violemment à terre. Il lui arrache la chemise, l’embrasse fougueusement et lui palpe les seins. Ses gestes semblent sauvages et frénétiques. En quelques mouvements, il libère de son pantalon son sexe bandé et, sans préliminaires, pénètre Alissa qui glapit de joie. Les voilà tous deux en plein coït.
Pendant ce temps-là, Max se contente de rester sagement assis. Son visage est tourné dans la direction des deux autres mais son regard est vide et inexpressif ; c’est comme s’il ne voyait pas sa copine se faire sauvagement baiser par leur ami.
Les coups de reins de Dorian sont puissants, saccadés, et arrachent à chaque fois un cri à la donzelle. Dans ce corps-à-corps furieux, il lui a arraché tous ses vêtements. Elle est donc totalement nue pour subir les assauts du mâle. Malgré les airs de fille pudique qu’elle affichait en début de soirée – qui d’ailleurs me laissaient penser qu’elle était encore vierge – la voilà maintenant qui hurle son bonheur et qui réclame au garçon de la défoncer, de la prendre comme une vulgaire chienne. Elle n’a plus aucune retenue et Dorian s’en donne à cœur joie.
Hum, je dois avouer que ça donne très envie… Avoir à disposition une jeune et si jolie donzelle, ça me dirait vraiment… Mais encore une fois, même si j’aimerais me joindre à eux, je ne dois pas oublier mon rôle de simple observateur. Je ne suis pas là pour participer. Ce n’est pourtant pas l’envie qui me manque. D’ailleurs je commence à me trouver très serré dans mon pantalon.
Dorian et Alissa geignent en chœur de plus en plus bruyamment. On dirait vraiment deux bêtes sauvages. Le spectacle est hallucinant. Le couple se donne tellement à fond qu’il semble perdre souffle. Cependant, ils ne ralentissent pas pour autant. J’ai l’impression que rien ne pourrait les stopper. Ils baisent comme si leur vie en dépendait. Puis, soudain, un hurlement retentit et le corps de Dorian est pris de convulsions. Je devine qu’il vient de jouir. L’homme se retire puis s’écroule par terre, l’air complètement vidé.
C’est à ce moment-là que Max sort de sa torpeur pour se diriger vers sa copine qui, à quatre pattes, remue l’arrière-train de façon aguichante. Le blond se déshabille rapidement. On voit apparaître un sexe raide de dimensions tout à fait honorables. Max approche son gland du visage d’Alissa qui n’affiche plus qu’une expression perverse. La jeune femme se jette dessus et se met à le sucer voracement.
Mon Dieu, quel spectacle ! Elle qui était toute timide tout à l’heure, la voilà en train d’avaler une belle bite comme si elle avait fait ça toute sa vie. Elle salive abondamment sur l’engin de son mec, lui lèche aussi les bourses et n’hésite pas à lui trifouiller l’anus sans aucune gêne.

Trop, c’est trop ! J’ai beau être un chercheur tout à fait sérieux, je ne peux pas tenir mes ardeurs à distance plus longtemps. Il faut que je me soulage rapidement ou je risque la rupture d’anévrisme. Quelle sensation de liberté de sentir enfin sa bite délivrée ! Le contact de mes doigts nerveux sur mon membre est très agréable. Me voilà à me masturber devant la magnifique représentation retransmise sur mon écran. Finalement, c’est plutôt une bonne idée de joindre l’utile à l’agréable.
A priori, je ne suis pas le seul à ne pas être insensible à la performance baveuse d’Alissa puisque Dorian semble avoir retrouvé de la vigueur. Il s’approche du derrière tendu de la jeune fille qui, toujours à quatre pattes, entreprend maintenant des gorges profondes avec la tige de son compagnon. Il s’agenouille et se met à bouffer le cul de notre jeune blonde. La seule réaction de cette dernière est de se tendre davantage vers lui. Mon Dieu, comme j’aimerais moi aussi goûter à cette croupe appétissante…
Entre deux mouvements de poignet vigoureux, je n’oublie pas de vérifier l’état de fonctionnement de tous les capteurs : il serait dommage d’avoir une panne maintenant, je perdrais des données vitales. Après tout, je n’aurai peut-être pas d’occasion d’assister de nouveau à ce phénomène mystérieux et envoûtant. Tout est OK ; les données n’ont pas changé. La température est toujours glaciale, tout le contraire de la magnifique scène qui anime mon écran.
Mieux que ça, les perturbations semblent s’étendre à toute la maison. Certains objets commencent à trembler comme si j’assistais à un mini-séisme. Les portes des placards claquent, des chaises sont déplacées, voire renversées. Ça devient de plus en plus intense, à l’image de la scène qui réunit le trio dans le salon puisque maintenant Alissa se fait prendre en sandwich en hurlant comme une bête à l’abattoir. Max devant, Dorian derrière s’en donnent à cœur joie.
Leur corps-à-corps torride se poursuit ainsi de longues minutes tandis que moi je continue de m’astiquer, mais en prenant quelques pauses histoire de faire durer le plaisir. Eux ne semblent pas près de s’arrêter, alors je tiens à en profiter le plus longtemps possible. La nuit risque d’être longue. Une nuit que je ne suis pas près d’oublier car j’assiste à un show exceptionnel, et j’ai enfin mis en lumière un phénomène paranormal.
Mais comme toute bonne chose a une fin, les deux hommes semblent au bord de l’orgasme après, semble-t-il, avoir fait jouir plusieurs fois la donzelle. Ils la font mettre à genoux devant eux et s’astiquent la bite à quelques centimètres du visage féminin. Elle semble épuisée par toutes ces sollicitations mais continue de se frotter le clitoris en réclamant du sperme de vive voix. Dorian et Max jouissent à quelques secondes d’intervalle et arrosent le visage souriant d’Alissa. Après coup, elle se nettoie à l’aide de ses doigts et avale la semence des mecs. Pour moi aussi, c’en est de trop : poussant un cri terrible, je jouis violemment et arrose mon clavier comme un con. Merde, j’en ai mis partout !
Ils ont tous joui, mais les perturbations ne semblent pas se finir pour autant. Il y a bien une légère accalmie, mais rien de très significatif. Malgré les éléments qui se déchaînent, notre trio semble toujours impassible à son environnement.
— Et si nous continuions la soirée à l’étage ? propose Dorian. Nous serons plus à l’aise dans un lit.
Les autres ne protestent pas et le suivent dans les escaliers. Je suis curieux de voir combien de temps ils vont rester sous l’influence des esprits et jusqu’où ces derniers vont les entraîner. Tandis qu’ils pénètrent dans l’ancienne chambre des Dupuis et que je m’apprête à assister à la suite des réjouissances, quelque chose attire mon attention : une des caméras du rez-de-chaussée vient de s’éteindre. Que se passe-t-il ? Soudain, tous mes capteurs commencent à tomber en panne les uns après les autres. Merde ! Non, pas maintenant ! Vite, il faut que j’arrange le problème, au risque de passer à côté de données capitales. Chaque seconde perdue, c’est potentiellement des dizaines d’infos qui partent avec elle.
Je vérifie mes branchements, lance une analyse du réseau qui m’indique que tout semble OK, et finalement décide de rebooter le système en espérant le faire repartir. En pestant contre la malchance, j’essaye toutes les solutions possibles mais la panne se poursuit. Plus qu’une solution : aller voir sur place et inspecter mes installations. Je m’étais promis de n’intervenir en aucun cas et de rester à distance, mais ai-je le choix ? C’est la chance de ma vie qui s’est présentée à moi ce soir, et si je laisse cette panne se poursuivre, je perds cette unique occasion qui se profile à moi. Et puis le trio est à l’étage ; si je m’introduis discrètement pour vérifier mon matos, je peux passer inaperçu. Après tout, ils n’ont même pas remarqué les perturbations autour d’eux ; ils ne remarqueront pas non plus ma présence en bas. C’est décidé, j’y vais.
Le mieux est de passer par la porte de derrière qui me fera entrer par la cuisine. C’est plus discret par rapport au voisinage : ce n’est pas le moment qu’un voisin m’aperçoive et me prenne pour un cambrioleur. Je crochète la serrure et ouvre la porte doucement. Je pénètre à pas de loup dans la sombre cuisine en m’éclairant d’une lampe-torche. Tout semble maintenant calme et… en ordre ? Bizarre, je me souviens avoir vu plusieurs chaises renversées dans la cuisine, mais là, plus rien. Arrivé au salon, même constat : tout est OK, comme si jamais personne n’était venu. La fenêtre par laquelle sont entrés Alissa et les mecs est fermée et leurs bières vides qu’ils avaient laissées traîner ont disparu. Je ne comprends rien ! Bon, j’éclaircirai ce mystère plus tard ; vérifions déjà notre matériel. Dans le salon, tous mes engins semblent en état de marche. Ah, je n’y comprends plus rien ! Peut-être la panne s’est-elle finie d’elle-même. Vérifions tout de même les autres pièces avant de repartir.
Pareil dans la cuisine et la salle de bain. C’est en sortant de cette pièce que je tombe nez à nez avec une Alissa complètement nue. Je sursaute comme un con mais retiens un cri. Je l’éclaire en tentant de bredouiller des excuses justifiant ma présence. La blonde ne semble pas réagir à mes mots. C’est comme si je n’étais pas là. Elle a le regard perdu dans le vide, tel un zombie. Je ne peux m’empêcher d’admirer son corps de rêve maintenant que je le vois de près. Elle est vraiment très jolie avec son visage angélique et ses magnifiques courbes.
Alissa s’avance soudain vers moi, s’agenouille et commence à déboutonner mon pantalon.
— Non, non, arrête ! la supplié-je en lui retenant les mains.
Mais elle ne semble pas m’entendre et une lueur perverse éclaire maintenant son regard. Je suis malgré tout excité par la situation. Une bouffée de chaleur m’envahit et ma volonté vacille. Ma prise sur ses poignets se fait de plus en plus faible. Je m’abandonne bien malgré moi à la douceur de sa bouche.
Elle me lèche le gland et je suis transporté au paradis. Mon Dieu, comme j’en rêvais… Je me vois accepter mon sort et pose une main pour jouer avec les boucles de ses cheveux. Le plaisir grimpe rapidement. À la voir si bien m’astiquer la queue, je suis pris d’un doute quant à son expérience. Elle avait l’air d’une vierge effarouchée à son arrivée, mais c’est une reine de la pipe que j’ai là. Voulant prendre en main la situation, je lui appuie sur le crâne et la force à m’avaler de tout mon long, ce qui semble ne lui causer aucun problème.
J’impose un rythme de plus en plus effréné à cette fellation et m’enfonce au fond de sa gorge, la faisant abondamment baver. Mon cerveau baigne dans un océan de plaisir qui me fait presque oublier les raisons de ma présence ici et mon identité. Tout ce qui m’importe pour le moment est cette fille qui s’active à me donner du plaisir. Je meurs d’envie de l’embrasser, la lécher, la croquer, la dévorer. Je veux faire d’elle mon objet et déchirer sa chatte à volonté.
Je la prends dans mes bras et retourne précipitamment dans le salon où je l’allonge dos sur la table. Je lui écarte les cuisses en grand. Je ne prends pas le temps d’admirer sa vulve dégoulinante et je la pénètre d’un coup brusque qui lui décroche un sourire ravi. Je donne toute ma force, toute mon énergie et toute mon âme dans mes coups de reins. J’ai perdu tout contrôle. C’est comme si quelqu’un d’autre avait pris les rênes de mon corps et m’obligeait à la culbuter jusqu’à plus soif. C’est une étrange sensation. J’y trouve mon compte mais je ne peux pas m’empêcher d’être, quelque part, effrayé par mes gestes. Au fond de moi, je sens que quelque chose cloche et que la situation est anormale. Je voudrais y mettre fin mais le plaisir est trop grand et me domine.
Alors je suis obligé de m’y abandonner, de rendre les armes, de me vautrer dans la luxure, dans une sauvagerie des plus animales. Malaxant fermement sa poitrine, je continue de pilonner Alissa violemment, jusqu’à m’en faire mal au sexe. Mais rien n’y fait, je ne pourrai pas m’arrêter avant d’avoir enfin joui. Nous braillons comme des bêtes mais je n’ai cure qu’on puisse nous entendre. C’est quelques minutes plus tard que j’atteins enfin l’orgasme libérateur. Mon sexe crache de puissants jets dans l’antre d’Alissa. Aussitôt, je commence à reprendre conscience de la situation dans laquelle je me trouve.
Je me retire soudainement et me rhabille en m’excusant auprès d’Alissa pour mon comportement. J’ai vraiment merdé. Moi qui ne voulais pas intervenir, voilà que je viens de perdre le contrôle. Qu’est-ce qui m’a pris, bon sang ? Tandis que j’essaye de chasser le brouillard de mon cerveau, je ne m’aperçois pas qu’Alissa retrouve elle aussi ses esprits. C’est quand j’entends sa voix effrayée que je prends conscience de la situation.
— Qui êtes-vous ? demande-t-elle toute tremblante. Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Oh, mon Dieu, je suis nue ! Que m’avez-vous fait ?— Non, attendez, ce n’est pas ce que vous croyez ; c’est…
Mais que puis-je bien lui dire ? Si je lui parle de fantômes, elle ne me croira jamais. Les spectres ne sont pas censés pousser les gens à baiser. Elle est vraiment perdue et terrorisée, me regarde comme si j’étais le diable en personne. Je tends une main amicale pour la rassurer mais elle se méprend sur mon geste, me repousse et s’enfuit. Sa course est arrêtée quand elle percute son copain. À deux pas de Max, Dorian surgit lui aussi de l’ombre, un sourire aux lèvres.
— Max, tu es là ? Dieu merci !— Que se passe-t-il, mon amour ? Qui est ce type ?— Restez calmes, les imploré-je. Je peux tout vous expliquer.
Un rire rauque s’échappe de la gorge de Dorian tandis qu’il s’avance au-delà du couple blond.
— Il est venu pour vous, déclare-t-il en me désignant d’un doigt accusateur. Il vous espionne depuis le début et souhaite maintenant vous séparer, tout comme votre père.
Leur père ? Mais de quoi parle-t-il.
— Non, pitié, pleure Alissa. Je t’aime de tout mon cœur, Max. Je ne veux pas être encore séparée de toi.— Je t’ai promis que je ne laisserai plus jamais personne nous faire du mal, sœurette. Je tiendrai ma promesse.— Bien dit, Max ! rit Dorian. Faites-lui connaître le sort que votre père vous a fait connaître.
Tandis que, méfiant et totalement confus, je recule, l’apparence du trio se modifie comme par enchantement. Ils prennent un aspect cadavérique. Sur eux, des blessures corporelles apparaissent qui suintent d’un sang épais et noirâtre. D’énormes et profondes plaies déchirent les corps du couple. D’un monstrueux trou dans le crâne de Dorian dégouline une matière putride. Je pousse un cri d’horreur et m’enfuis à toutes jambes vers la cuisine.
« Votre père ? Sœurette ? » Malgré la panique, mon cerveau fait le lien entre les éléments. Je comprends tout, maintenant. Depuis le début, je pensais qu’ils étaient victimes des fantômes, mais ce sont eux, les fantômes. Max et Alissa sont le couple de jumeaux incestueux, et Dorian le jeune homme suicidé. Le sort que leur a fait connaître leur père ? Des coups de hache, et c’est ce qu’ils me destinent.
J’atteins l’issue de secours mais la porte refuse de s’ouvrir.« Non ! Pas maintenant ! » Je donne de violents et désespérés coups d’épaule pour tenter de la défoncer mais rien n’y fait. Un bruit me déchire les tympans : un coup de hache vient de s’abattre à quelques centimètres de ma tête. Derrière moi, Max a un regard haineux. Le manche de l’arme est maintenu fermement par ses doigts tordus. Je me dégage de là avant qu’il ne tente un deuxième essai. Mes reflexes me font éviter de justesse un nouveau coup. Je cours. Il me faut trouver une autre issue. Par le salon, peut-être.
Je cavale comme un dératé dans le couloir. Mon cœur tambourine à m’en exploser la poitrine. Je suis pris de sueurs froides. La silhouette d’Alissa surgit devant moi, frêle, mais armée elle aussi d’une hache. Je pourrais tenter un passage en force mais je suis trop terrorisé. Max derrière moi, elle devant, il ne me reste plus qu’à prendre les escaliers. Je fuis encore.
Je manque de trébucher mais me rattrape in extremis à la rampe. Ma cheville en a pourtant souffert, mais ce n’est pas le moment de s’en soucier. Ma course effrénée m’amène sans encombre à l’étage. Rapide coup d’œil en arrière : rien ne m’a suivi. Profitant de cette accalmie mais l’esprit toujours en alerte, je m’autorise une brève pause. « Calme-toi ! Réfléchis comment t’en sortir. » Mais la peur embrouille toute réflexion. Soudain le spectre de Dorian, un sourire sadique aux lèvres, apparaît et tend un révolver fantomatique dans ma direction.
— BOUH ! lâche-t-il tandis que son doigt appuie sur la détente.
Je pousse un cri d’horreur. Une violente douleur me perfore la poitrine. Je chute dans les escaliers…

Épilogue :
Le corps du chercheur est trouvé quelques jours après en bas des escaliers. La gendarmerie ouvre une enquête pour déterminer les causes du décès. Après avoir inspecté la maison et le voisinage, elle trouve tout le matériel de l’homme. Elle comprend donc que la victime avait installé sans autorisation un dispositif de surveillance. Dans quel but ? Les gendarmes l’ignorent.
Cependant, ils profitent des enregistrements pour tenter d’élucider le mystère. Il semble que les caméras et les capteurs n’ont rien relevé de particulier ce soir-là ; en tout cas, rien avant l’arrivée de l’homme. Sur les images, on le voit pénétrer à l’intérieur de la maison par la porte de la cuisine et inspecter son matériel ; mais prêt à repartir, il semble pris d’un comportement étrange : il se met à se masturber jusqu’à la jouissance, puis il baragouine des phrases dépourvues de sens avant de perdre complètement les pédales et courir dans toutes les directions. Sa course l’emmène en haut des escaliers d’où il chute et se brise le cou.
L’enquête ne va pas plus loin. Pour tous les adeptes du paranormal, ce cas est brandi comme preuve de leurs croyances, mais personne de véritablement sérieux ne prête foi à ces allégations.
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