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Chaste

Chapitre 1

Le commencement

Divers
— François !
Au ton utilisé par ma mère, je sais qu’elle est mécontente. Je me dépêche de la rejoindre. Elle m’attend devant le WC dont elle me montre la cuvette.
— Encore une fois, tu n’as pas abaissé la planche. Par ailleurs, il y a deux femmes dans cette maison, tu pourrais au moins respecter ta sœur et moi.— Excuse-moi, maman, je n’ai pas pris garde.— En plus de cela, tu as uriné à côté du pot, j’en ai assez de ton comportement.— Je m’excuse, Maman, je ferai plus attention et je nettoierai.— Ce n’est pas tout, dit-elle. Alors, elle sort de sa main un caleçon et me le montre. Ainsi, j’aimerais que tu m’expliques. Et, elle laisse sa phrase en suspens.— Je ne comprends pas ta question, dis-je, rougissant. En effet, je comprends la question, l’intérieur du slip doit être souillé de sperme.— Tu te moques de moi. File à l’école. On règlera ce problème ce soir.
J’ai 18 ans, je vis avec maman et ma sœur Sophie qui est mon aînée de deux ans. Papa est mort quand j’avais 16 ans. Pour des histoires d’héritage, je dois rester avec ma mère et ma sœur jusqu’à l’âge de 21 ans. Ma mère nous élève seule. Le testament de mon papa lui interdit de se remettre en couple avant ma majorité à 21 ans.
Je rentre à la maison après l’école. Je fais mes devoirs et lorsque Sophie m’appelle pour le dîner, je descends manger.Sophie porte déjà sa robe de corvée. Maman lui impose une sorte de robe en pilou d’une couleur verte fade, lorsqu’elle prépare à manger ou fait le ménage. Je n’ai jamais compris à quoi cela servait. Elle a juste plus l’air à l’aise dans ce vêtement, car je suppose qu’elle ne porte rien en dessous. La robe étant tellement lâche, je n’ai jamais vu un téton pointer.
Le repas se passe comme d’habitude. Nous parlons tous les trois de notre journée.Aujourd’hui, c’est mon tour de te débarrasser la table, de faire la vaisselle. Je m’exécute. Sophie monte dans sa chambre et je reste avec maman.
— Mon chéri, c’est très difficile pour une femme seule d’élever deux enfants. Avec ta sœur, les choses se passent bien, parce que c’est une fille et que je suis moi-même une fille. Tu es un garçon, et j’ai plus de mal à t’éduquer.— Maman, je ferai attention à la planche des w.c.. — Ce n’est pas cela dont je parle. Écoute-moi attentivement : tu deviens un homme, tu as des besoins que nous ne pouvons pas satisfaire. Moi, j’ai appris à éduquer une petite fille. Ton père était censé s’occuper de toi. Tous les problèmes que nous subissons ta sœur et moi, c’est à cause du fait que tu as un pénis. J’ai longuement réfléchi et j’ai décidé d’agir.— Quoi ? Tu vas me couper le pénis ? dis-je à moitié en rigolant est à moitié mort de peur.— Non, gros idiot... mon idée est tout aussi efficace, mais moins douloureuse. Baisse ton pantalon et ton slip, ordonne-t-elle.

Le ton est sans appel. Je m’exécute. J’ai le pantalon troussé sur les chevilles et je me retrouve à poil devant ma mère. Mon pénis s’érige doucement. La situation est troublante.
— Tu es sérieux ? Je suis ta mère, tu pourrais contrôler ton érection. J’arrangerai cela dans quelques secondes.
Elle me saisit les bourses d’une main, tire dessus violemment, et avec son autre main, gifle violemment mon membre turgescent. La douleur est immédiate : je débande. D’une main experte, elle glisse un anneau métallique au-dessus de mes bourses puis introduit une cage sur ma verge. Un cadenas est ensuite ajusté. Mon sexe est emprisonné dans une cage de métal.
— C’est une cage de chasteté. Tu peux remettre ton slip et ton pantalon. Avec ce dispositif, il t’est impossible de bander et tu vas devoir faire pipi assis.
Je remonte mon slip et mon pantalon. J’ignore quoi penser.
— À partir d’aujourd’hui, tu es la troisième fille de la maison. Elle me tend une robe verte en pilou du même genre que porte ma sœur. Voici ta robe de corvée, me dit-elle. Tu la porteras, tu seras nu en dessous, sauf la cage évidemment, lorsque tu effectues tes corvées. J’ai aussi remarqué que ton pubis et ton sexe étaient poilus. Ce n’est pas propre, tu perds des poils dans les w.c., ainsi, chaque samedi, après tes corvées, tu t’épileras intégralement. Tu vas te tenir comme une jeune fille bien éduquée qui veut plaire à son entourage.
Je file dans ma chambre sans demander mon reste. La cage n’est pas agréable à porter. Je me demande ce que les copains vont penser de moi à l’école : il est complexe de porter cet ustensile discrètement. Je me mets à bander et la cage me fait mal. Il va falloir trouver quelque chose pour me satisfaire...
La semaine passe rapidement, excepté une envie de jouir qui est de plus en plus incontrôlable lorsque je suis seul, je n’oublie jamais la présence de la cage. Voilà samedi, le jour des corvées. Je suis chargé de faire les vitres et Sophie s’occupe du repassage ainsi que le sol. Nous travaillons tous les deux dans nos robes en pilou. Je commence par le bas et Sophie par le haut, au bout d’une heure, je la croise et nous continuons notre travail sans échanger un mot. Le soleil chauffe les pièces et le nettoyage des vitres me fait transpirer. Je décide d’enlever cette stupide robe. Elle est trop chaude. Je suis nu, à l’exception de la cage. C’est très agréable le soleil qui touche ma peau et qui caresse mon sexe encagé. Une sensation de nudité agréable qui me fait passer la corvée sans que je m’en aperçoive. Maman rentre des courses. J’enfile à nouveau ma robe en vitesse et je redescends. Sophie a aussi terminé. Maman l’envoie prendre son bain et me demande de l’attendre dans ma chambre.
Elle rentre dans ma chambre et déploie une serviette de bain sur mon lit.
— Tu enlèves ta robe et tu croises les mains derrière la nuque, tu te tiens droit, ordonne-t-elle.
Elle enlève ensuite la cage, mon sexe se raidit, mais elle ne semble pas s’offusquer. Je la vois même sourire.
— Maintenant, mon chéri, mets-toi à quatre pattes sur le lit, les jambes bien écartées. Je dois bien voir ta petite rondelle.
Je m’exécute.
— Laisse les mains où elles sont et tu viens déposer tes fesses entre tes talons, sors le cul comme une fille bien éduquée et docile.
Je m’exécute.
— Tu vas te laisser aller, ça fera moins mal. Il n’est pas question que tu cries. Laisse-toi faire.
Tout en parlant, je sens que ma mère met une sorte de liquide sur mon anus. Je sens que l’on pénètre mon intimité, lentement, gentiment, probablement avec un doigt. Je tremble, mais une main maintient mes fesses dans leurs positions alors que je me fais fouiller l’intimité. Les mouvements sont doux et même si ce n’est pas agréable, ce n’est pas douloureux. Après quelques va-et-vient, je sens un liquide chaud m’inonder la poitrine. Je viens d’éjaculer sans aucune jouissance.
— C’est la façon la plus facile pour vider tes testicules, mais sans que tu éprouves de jouissance. On appelle communément se faire traire. Il est maintenant temps que je t’épile.
À l’aide de bandes de cire froide, elle commence par m’épiler la raie des fesses, puis quelques minutes plus tard, mon pubis est entièrement glabre. Maman s’attaque ensuite à l’aide d’un rasoir au manche de mon sexe ainsi qu’à mes bourses. La sensation est bizarre, je me sens fragile, exposé, nu comme un ver, et elle me remet la cage.
— Tu remets ta robe, ensuite, tu nettoies ta chambre. Je vais à présent aider ta sœur avec son bain. En revanche, ensuite, lorsque je t’appelle, tu pourras bénéficier de l’eau chaude de son bain.
Elle quitte la pièce. Je ne bande plus, pourtant je suis frustré d’avoir éjaculé sans jouissance. Le contact imberbe de l’air sur ma peau a quelque chose de troublant. L’envie est toujours là, pressante, mais je sens que je suis vide.
Le téléphone sonne, je décroche et c’est Brenda. C’est une MILF, une amie de maman. Cette rousse porte toujours de grands décolletés dans lesquels pend une chaîne qui attire le regard vers sa grosse poitrine ; lorsque je la vois, mes yeux la quittent rarement. Elle veut parler à maman ou à ma sœur, car elle ne pourra pas recevoir samedi prochain les filles à la maison. Une fois par mois, ma sœur et ma mère vont chez une amie passer l’après-midi. Le club des MILF, comme je l’appelle. Je n’ai aucune idée à quoi elles passent leur temps, sinon probablement médire, jacasser et boire un verre de champagne ou deux. Je prends donc le téléphone portable et rentre dans la salle de bain en le tendant à ma mère. Merde, je n’ai même pas pensé à frapper à la porte et je tombe sur un spectacle auquel je ne m’attendais pas. Ma sœur est assise sur le bord de la baignoire, jambes largement écartées. Elle porte un t-shirt, je ne vois pas ses seins, mais ses tétons pointent franchement.
Son sexe vient d’être épilé aux bandes de cire froide, il est glabre et propre. J’aperçois l’ourlet de ses lèvres qui semblent être humides et rouges. Ma mère parfait son épilation à l’aide d’une pince à épiler. Je tends le téléphone, elle le prend et je sors, mais maman me retient par la main.
— Brenda, je rencontre une difficulté urgente, je te rappelle, dit-elle au téléphone et elle raccroche. Tu devrais frapper avant d’entrer François. Maintenant, tu as vu l’intimité de ta sœur. À ton tour de lui montrer la tienne. Enlève ta robe !
Mon sexe glabre bande dans la cage, prêt à exploser. Rouge de confusion, j’enlève ma robe et ma sœur déclare :
— Il est gros et large maman, tu ne devrais pas l’encager, il va diminuer de taille et j’imagine que tu veux de beaux petits enfants et une belle-fille satisfaite.
Maman répond :
— Je sais, mais c’est devenu impossible pour nous d’avoir ce genre de mâle à la maison. François, ordonne-t-elle, finis l’épilation de ta sœur, je dois rappeler Brenda. Et, toi Sophie, ajoute-t-elle : c’est la même règle, pas de masturbation. Je ne suis pas loin. Ne faites pas de bêtises tous les deux.
Je constate que ma sœur n’a jamais refermé les jambes. Je saisis la pince à épiler, mais j’ignore quoi faire. C’est aussi la première fois que je vois un sexe féminin ouvert, de si près. Ça m’excite, cependant la cage fait son effet.
— Gros bêta, me dit Sophie. Dépêche-toi de m’arracher les poils avec la pince. Je dois être parfaite quand maman revient. Il en reste un peu dans le creux des lèvres.
Je commence à arracher les poils un par un et ça me fait un effet bœuf. Il n’y a pas grand-chose à faire ; néanmoins à chaque poil enlevé Sophie pousse un petit gloussement entre la douleur et le plaisir.
— Putain, ça fait mal. Tu vas me lécher la chatte avant qu’elle revienne. Je veux jouir.
Elle saisit ma tête à deux mains et j’ai à peine le temps de sortir ma langue qu’elle frotte mon visage contre son sexe et, en moins de deux minutes, elle m’inonde de cyprine en retenant un cri de jouissance.
— Sèche-toi la face avec une serviette et finis mon épilation rapidement. Maman ne doit se douter de rien.
Je reprends le travail. J’ai été utilisé comme godemichet humain, c’est humiliant, mais j’ai encore dans les narines la délicieuse odeur du parfum de la chatte de Sophie. Maman revient, apprécie le travail et fait lever ma sœur. Quelle belle vue, j’avais eu le zoom, maintenant la vue d’ensemble : une chatte glabre dont la vulve est ouverte et perle d’humidité de sa jouissance. On a envie de la lécher. Maman ajuste une sorte de ceinture de chasteté pour fille sur son sexe : c’est une grille qui couvre sa fente, elle est prolongée par un trou qui s’ajuste au niveau de son anus. Le tout est tenu par des sangles métalliques protégées par un plastique noir. Maman ajuste la ceinture à la taille et referme un fin cadenas. La clé de ce dernier termine sur un fin collier qu’elle porte au cou. Je reconnais la clé de mon propre dispositif de chasteté qui pend aussi. Je suis toujours à genoux devant ma sœur et ma mère. Ma sœur enfile sa jupe sans mettre de culotte au-dessus de sa ceinture. Maman interrompt ma contemplation en me demandant de m’habiller.
La semaine suivante passe en un éclair. Avec le travail pour l’école et mes devoirs, je ne vois pas le temps s’écouler. Lors de nos conversations, il n’est jamais fait allusion à ce qu’il s’est passé samedi dernier. Je garde en tête le film de tous les événements ainsi que la photo de la chatte ouverte de ma sœur. Je dors nu sous mes draps et mon excitation reste constante. Cependant, je n’ai aucun moyen de me soulager et je ne vais quand même pas me traire moi-même.
Samedi, le jour des grosses corvées, c’est à mon tour de repasser et puis de cuisiner un gâteau. En effet, maman invite ses amies cet après-midi comme Brenda ne sait pas recevoir. Une fois les tâches effectuées, maman renouvelle mon épilation. Je n’ai apparemment pas droit à l’éjaculation par la traite. Mes testicules sont pleins et douloureux. Lorsque maman reçoit ses amies, j’ai d’habitude l’instruction de jouer à la console dans ma chambre. Je suis assez surpris lorsque je l’entends m’appeler.
— François, descends mon chéri.
J’arrive dans le salon et je constate que les filles ont déjà consommé quatre bouteilles de champagne. Il y a maman, Sophie, Brenda, Céline, une grande brune sèche sans poitrine et la mère de mon copain Paul, Véronique. Elle est aussi la maman de Virginie : une fille super canon, mais avec un caractère horrible. Virginie veut toujours tout décider pour tous.
— Brenda voulait te féliciter pour ton gâteau, il est délicieux.
J’ignore quoi répondre alors, je murmure un merci. Brenda enchaîne.
— Il est vraiment délicieux, mais ce que je voulais vraiment, c’est voir ton petit oiseau dans sa cage.
Maman ne leur a quand même pas parlé de ça ? Je rougis. C’est déjà super humiliant de porter une cage, et si en plus, je dois être la risée de ces femmes et devoir dévoiler mon intimité de mâle castré. C’est la honte. Véronique ajoute.
— Ne fais pas ton timide, c’est pareil pour Paul, allez fous-toi à poil immédiatement et sans discussion : on veut voir.— Tu veux un coup de main ? demande Céline. Ou de cravache ? Le t-shirt aussi doit partir.
J’enlève mon t-shirt et j’abaisse mon pantalon et mon slip. Tous les regards sont posés sur mon sexe. Brenda m’ordonne d’enlever complètement mes vêtements ainsi que mes chaussettes et chaussures. Puis, elle saisit la cage par la main droite et me flatte les bourses avec la gauche.
— Mireille, (c’est le prénom de maman), libère-nous donc cet oiseau. Et, toi Sophie, sers-lui alors un morceau de gâteau. C’est un invité particulier que nous avons ce jour.
Maman enlève ma cage et Brenda me branle doucement. Elle fait lentement coulisser la peau de mon prépuce sur mon gland tout en malaxant mes testicules de l’autre main.
— Il y a du monde là-dedans, déclare-t-elle en sous-pesant mes bourses d’un air de connaisseuse.
Je sens que je viens, mais elle le sent aussi et elle arrête son mouvement. Elle saisit l’assiette de gâteau que Sophie a préparé puis en quelques mouvements rapides sur mon manche me fait éjaculer sur le gâteau. C’est au moins cinq grandes giclées de sperme chaud qui le recouvrent.
— Il est en grande forme le petit oiseau. Je te souhaite bon appétit, dit Céline en me tendant une petite cuillère et l’assiette remplie de gâteau au sperme. Ne reste pas debout mon grand, il y a assez de place pour toi sur le tapis. Assieds-toi donc par terre à ta place.
Je suis tellement estomaqué que j’obéis sans rien dire. Je suis nu sur le tapis et mange ma part de gâteau. Il goûte ma semence, mais ça ne me dérange pas. Les filles continuent leur discussion comme si j’étais absent, mais en m’observant.
— Mireille, demande Véronique, as-tu décidé ce que tu allais faire de François ? — Que veux-tu dire ?— Tu comptes le faire opérer pour en faire une fille ou tu veux juste un mâle chaste comme un bœuf ou en faire un taureau ?— Je n’ai pas encore réfléchi à cette question, répond maman. Vous me conseillez quoi les filles ?— Je conseille l’opération, répond Céline. Je suis lesbienne, en conséquence une femme de plus, ça me plaît. — J’aime l’idée d’une femme homme, répond Véronique. Pour mon fils Paul, on a commencé un traitement hormonal, les seins lui poussent, mais je ne compte pas lui faire couper la bite. J’apprécie l’idée d’avoir un homme femme. François semble avoir des dispositions similaires de bouffeur de sperme, ajoute-t-elle.— Je le trouve musclé et bien proportionné, dit Brenda. Si j’étais toi, j’en ferais un taureau. J’apprécie l’idée qu’il pourrait nous prendre chacune à tour de rôle lors de nos après-midi. Il ne ressemble pas à mon mari. Sa bite est devenue si petite à force de porter la cage que je dois me satisfaire avec un gode. Mais, l’avantage, c’est qu’il me lèche délicieusement la chatte. Je vous le recommande pour ça les filles. Et, toi Sophie, tu es bien silencieuse, tu penses quoi ?— C’est mon frère alors ce que maman voudra. — Vous voyez, c’est un choix délicat, répond ma mère. Personnellement, je préfère un taureau, mais ça ne peut pas aller dans ma maison avec Sophie. Cependant, je pense que je vais lui laisser le choix. François, quelle est ta préférence ?
À toi, lecteur, de répondre pour François...
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