— À présent, mon cher frère, à toi de choisir : je raconte tout à maman ou tu préfères une solide correction.— Tu as fait cela exprès pour humilier mon copain et pouvoir me punir, dis-je. — Je vais te faire une proposition surprenante François. Si tu acceptes que je joue au docteur avec toi, je te promets de faire remplacer le contraceptif inhibiteur que maman te donne par un contraceptif simple. Ce veut dire que tu pourras bander, baiser, éjaculer, jouir, mais pas mettre une femme enceinte. — Pourquoi ferais-tu cela ? Sophie me regarde et déclare : — Tu ne te rends pas compte comme tu deviens désirable. Lorsque je vois ta longue bite, ta musculation, cela me donne des envies. Toutefois, moi, je suis toujours avec une ceinture et maman n’est pas près de l’enlever. J’ai envie de me venger sur toi, c’est mon côté sadique. Maintenant, file à la muscu, je réfléchirai à ta punition, me dit-elle avec un sourire sadique. Les jours passent et je ne vois rien venir. Il faut dire que Sophie est aussi prise par ses études d’infirmière. Pour les plus fins observateurs, la féminisation de Paul continue. Il porte quotidiennement une brassière serrant sa poitrine pour dissimuler ses seins. Lors du cours de gym, lorsqu’il a enlevé son slip, j’ai vu qu’il portait en dessous un string rose et toujours son gode et sa cage qui m’a semblé encore plus petite. Ce samedi, j’ai dû faire l’ensemble des corvées seul, car Sophie travaille. Maman m’a autorisé à les faire nu. Je dois avouer que j’aime de plus en plus la nudité. A mon retour de la salle de musculation, maman m’annonce qu’elle sort ce soir. Cependant, elle n’aura pas le temps de ramener Sophie de l’hôpital. Je dois donc aller la rechercher à pieds, car maman ne souhaite pas qu’elle rentre seule. Elle accepte de me déposer parce qu’elle passe par là. Je trouve facilement le service dans lequel ma sœur fait son stage. Les infirmières du jour quittent actuellement la salle et ma sœur, toujours en tenue, parle avec l’infirmière de nuit. Je ne les interromps pas. Lorsque Sophie remarque ma présence, elle me sourit pour me faire comprendre qu’elle m’a vu et qu’elle arrive. Quelques minutes plus tard, elle m’invite à la suivre dans l’hôpital et nous nous retrouvons dans son vestiaire. — Cela t’intéresse de visiter l’hôpital ? demande-t-elle.— Oui, pourquoi pas.— Tu dois enfiler une tenue appropriée, attends. Elle me tend une tenue composée d’un pantalon et d’une veste de la même couleur qu’elle. — Enfile cela, tu seras plus discret. Je commence à passer la tenue sur mes vêtements, mais elle m’arrête.
— Tu dois te déshabiller avant gros niais. À poil, puis tu enfiles la tenue et tu me suis. Ainsi, nous visitons les différents services dont la plupart sont vides : imagerie, salles d’opération, blanchisserie. C’est un vrai labyrinthe. Finalement, on se retrouve dans un cabinet de consultation gynécologique dont Sophie ferme la porte à double tour après m’avoir fait entrer. — C’est ici que tu vas subir la correction promise. Je ne m’y attendais absolument pas. Je me suis fait piéger comme un rat. Elle continue : — Comme tu l’as constaté, tout est vide, tu peux crier comme tu veux, personne ne viendra à ton secours. Maintenant, tu enlèves ton pantalon et tu t’installes confortablement dans le fauteuil gynécologique. Moins d’une minute plus tard, j’ai les jambes et les mains attachées. Mes genoux reposent sur les accoudoirs prévus à cet effet. Sophie manipule le fauteuil électrique pour m’écarter les jambes au maximum et avancer mon bassin. Elle s’arrête lorsque mes testicules pendent dans le vide. Je ne vois pas tout ce qu’elle fait, mais je sens une traction qui s’exerce sur mes couilles. Elle m’explique : — J’ai appliqué un poids sur ton bien le plus précieux afin d’en étirer la peau. En attendant que cela se passe, je vais te faire une petite gâterie. Elle prend mon sexe en bouche, mais je ne bande pas à cause des médicaments. — J’avais oublié, déclare-t-elle. À son ton, je sais parfaitement que ce n’est pas vrai. Ainsi, il va donc falloir que l’on passe autrement le temps. Patiente, un instant et elle installe une table mobile qu’elle ajuste pour que mon pénis repose dessus. Elle revient ensuite avec une boîte stérile dont elle sort une paire de gants qu’elle enfile, puis elle installe un champ opératoire autour de ma verge. Elle décalotte mon gland en déplaçant mon prépuce. — Ça va faire mal, serre les dents, ordonne-t-elle. Elle enfonce une aiguille à travers la peau du prépuce. La douleur est vive, mais je suis si bien attaché que mon corps ne bouge pas. — Ne fais pas l’enfant, ce n’est que le début. Ainsi, elle continue d’enfoncer quelques aiguilles puis elle les retire toutes. Une petite goutte de sang apparaît à chaque trou, mais cela ne fait pas mal. — Assez joué, déclare-t-elle. Je vais maintenant t’injecter de l’acide hyaluronique dans la verge. Cela ne fait pas mal et devrait augmenter la circonférence et peut-être un peu la longueur de ta bite. Ces piqûres ne sont, en effet, pas douloureuses. L’opération prend une vingtaine de minutes. Elle enlève ensuite le poids qu’elle avait attaché à mes testicules et injecte un autre liquide dans chaque bourse. Cela suscite un mal de chien et j’ai l’impression que mes couilles vont exploser. Elle range soigneusement le matériel, me détache. — Remets ton pantalon, on y va. Je prends ma queue en main, tout semble normal, elle est juste un peu plus gonflée qu’avant. Mes testicules par contre, sont énormes, sensibles, de la taille de mon poing. Je remets mon pantalon et nous quittons la pièce pour le vestiaire. Ensuite, nous rentrons à pieds à la maison. Au bout de deux jours, mes testicules ont repris une taille normale. La routine continue, école, médicaments, salle de musculation. Ce n’est que le samedi suivant que je constate un changement. En effet, j’ai eu un rêve érotique et à mon réveil, je découvre une quantité impressionnante de sperme dans mes draps, de plus, je rebande. Mon sexe est plus long, plus large, plus dur qu’avant.
