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Le Château

Chapitre 3

SM / Fétichisme
— Mais d’abord, mettons-la en tenue, ajouta-t-elle !
Avec l’aide du Comte et de Mario, elle retira rapidement la veste, le chemisier, le soutien-gorge et la jupe de Clara, tout en faisant glisser à terre sa culotte qui était restée bloquée sur ses cuisses. Comme par réflexe, celle-ci chercha pendant quelques secondes à se rebeller, mais elle constata bien vite que ses mouvements étaient inutiles et surtout, les doigts habiles de la Comtesse savaient lui rappeler qu’en réalité, elle était excitée par cette situation inédite. Totalement nue à l’exception de ses bas noirs, Mario la présenta face au public qui émit quelques applaudissements. Le majordome frottait son sexe dur et gonflé contre le dos de sa prisonnière, sans aucune retenue. Clara conservait les yeux mi-clos et elle se retint pour ne pas implorer cet inconnu de sortir son sexe et de la baiser, là, ici, sur cette scène devant ces gens qu’elle ne connaissait pas.
Mais c’est une autre sensation qui lui fit ouvrir les yeux. Elle sentit soudain une bouche sur sa chatte. La Comtesse s’était mise à genoux et elle avait posé sa bouche sur son intimité, couvrant de petits baisers la chair douce et lisse, puis laissant sa langue en explorer les contours. Clara poussa un cri, c’était la première fois qu’une autre femme caressait sa vulve avec sa bouche, avec sa langue.
— Tu es délicieuse ma chérie, constata la Comtesse. Nous allons nous régaler avec toi ! Mais d’abord, amusons-nous un peu, attachons-la.
Le Comte s’était éloigné pour faire descendre la poulie électrique qui maintenait attachés en hauteur les poignets de Carole. Celle-ci en avait profité pour se mettre à genoux et se reposer un peu de la tension imposée par les liens. Une autre paire de menottes avait été fixée à la petite barre, à côté de celle de Carole et Mario fit pivoter Clara pour que le Comte fasse passer ses poignets dans les entraves. Le métal se referma sur ses mains sans que Clara ne se rende vraiment compte de la situation, car elle était restée concentrée sur les sensations magiques que la langue de la Comtesse et le sexe de Mario lui procuraient. Elle réalisa sa situation lorsque la poulie fit remonter la corde et que ses bras tirés vers le haut la forcèrent à se dresser, et presque à se mettre sur la pointe des pieds pour limiter la sensation d’étirement. Elle était de la même taille que Carole et elle constata que ses liens lui imposaient d’avoir son corps tout contre celui de sa partenaire.
La situation ne semblait pas gêner cette dernière, qui au contraire prenait un véritable plaisir à se frotter contre la peau de la jeune femme. Clara eut alors un mouvement de recul, car la différence d’âge avec Carole lui semblait choquante. Au fond d’elle-même, elle ne put s’empêcher de penser que cette femme avait l’âge d’être sa mère.
Mais bien au contraire, Carole ne semblait pas offusquée par la situation et elle chercha à frotter son corps contre celui de la jeune captive. Et bien plus, elle cherchait à poser sa bouche sur celle de Clara qui cherchait par de petits mouvements de tête à éviter ce contact trop rapproché. C’est alors qu’elle vit que les deux châtelains s’étaient rapprochés et qu’ils avaient chacun en main un petit objet métallique qu’elle n’identifia pas immédiatement. Mais lorsqu’elle vit le Compte prendre entre ses doigts un téton de Carole, le pincer puis y poser l’extrémité d’une pince métallique, elle comprit à quoi servait cet accessoire. La Comtesse venait de procéder à l’identique sur l’autre sein et malgré son expérience, Carole ne put s’empêcher de pousser un cri de douleur. A son tour, Clara se mit à crier lorsqu’elle constata qu’en fait il y avait deux pinces sur chaque objet, reliées par une très courte tige de métal.
Sans ménagement, ses tétons furent saisis, pincés, puis les maîtres de maison fixèrent les pinces à dents sur ses pauvres tétons dressés.
Clara n’avait jamais ressenti une telle sensation. La douleur éclata dans son corps, se diffusant dans tout son être. Mais en même temps, elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une forme de plaisir dans cette douleur, ou plutôt une forme d’excitation nouvelle. Elle avait toujours été sensible des seins et même lors de ses masturbations solitaires, elle aimait les caresser, voire les pincer du bout des ongles. De plus, les pinces l’obligeaient à se tenir tout contre le corps de Carole et celle-ci avait immédiatement glissé sa cuisse entre les jambes de Clara. Tout en poussant des gémissements de douleur qui allaient en déclinant au fur et à mesure qu’elle s’habituait à la morsure des pinces, elle se mit elle aussi à faire onduler ses hanches, ses cuisses, pour profiter des chaudes sensations offertes par sa partenaire. Mais ce qui la fit taire définitivement fut la langue de Carole qui finit par réussir à se glisser dans sa bouche.
Elle ne parvenait plus à résister à la pression de sa bouche et finalement elle se laissa faire, laissant la langue de Carole prendre possession de la sienne, la caresser, l’aspirer. Ce premier baiser féminin augmenta encore son désir et elle se surprit à chercher à son tour à profiter de cette caresse, à la faire durer.
Elle entendit alors des claquements qui n’étaient autres que le bruit de la cravache du Comte qui frappait en rythme les fesses et les cuisses de Carole. La cravache semblait décupler le désir et l’excitation de Carole qui avait retiré sa cuisse d’entre les jambes de la jeune femme pour frotter son bas-ventre contre elle. Clara répondit à sa caresse en faisant également onduler son bassin pour que leurs deux chattes se touchent, s’effleurent afin de tenter de se donner du plaisir.
Mais la Comtesse avait un autre projet en tête et elle avait en main un double gode souple qu’elle montra ostensiblement au public. Elle se mit alors à genoux et des deux mains, elle écarta les bassins des deux femmes puis repliant le gode, elle commença à caresser les deux minettes offertes avec les extrémités des phallus de latex.
— Elles sont trempées toutes les deux, annonça-t-elle fièrement à l’assistance.


Elle fit alors glisser une extrémité du gode dans la chatte de Carole qui s’ouvrit facilement et repliant l’objet, elle fit entrer l’autre extrémité dans la vulve de Clara. Lorsqu’elle relâcha l’objet, Clara poussa un cri, car elle venait seulement de se rendre compte qu’elle était pénétrée. Et l’objet était d’une belle taille, à la fois en largeur, mais aussi en longueur. Les vagins des deux femmes ne permettaient pas de le contenir en entier et elles étaient donc contraintes de faire saillir leurs fesses pour que la pénétration demeure acceptable. Mais cette position inconfortable leur permettait également de commencer un lent mouvement de va-et-vient qui fut immédiatement initié par Carole. A son tour, Clara se prit au jeu et se mit à faire coulisser l’engin dans sa matrice.
Les coups de cravache du Comte sur ses fesses lui arrachèrent quelques cris, mais ils furent vite étouffés par la bouche sauvage de Carole et par le feu qui inondait son bas-ventre. Clara constata que la douleur semblait augmenter son plaisir, qu’elle s’ajoutait aux sensations que lui procuraient les caresses de sa partenaire et le frottement du sex-toy dans sa chatte.
Toute à son plaisir, à son désir, elle n’avait pas aperçu Mario qui avait enfin libéré son sexe de son pantalon et qui sur injonction du Comte s’était rapproché d’elle. Elle sursauta lorsqu’elle sentit que deux mains fortes écartaient ses fesses et qu’un gland dur et ferme caressait sa raie. Aussitôt, elle comprit et elle se mit à crier :
— Non, non, je vous en prie, je...
Au sourire du Comte, elle comprit que ses suppliques n’y changeraient rien.
— Peut-être êtes vous encore vierge de cet orifice ma chère ? dit-il à haute voix.
Le regard terrifié de Clara apporta la réponse attendue. De son côté, la Comtesse tendit à Mario un tube de gel lubrifiant et elle lui en déposa délicatement une noix sur l’extrémité de sa verge. Puis avec ses doigts, elle fit glisser un peu de gel entre les fesses de Clara.
Clara sentit la panique monter en elle. Elle était en sueur, son bas-ventre était en feu et elle sentait que la jouissance provoquée par le gode allait sans doute bientôt la submerger. Mais sentir cette bite frotter contre son petit trou la mettait en panique. Elle avait toujours refusé cette pratique, par peur de la douleur. Et commencer la sodomie avec un engin de cette taille lui semblait au-dessus de ses forces. Pourtant, elle ne pouvait s’y soustraire, et le gland de Mario se glissa facilement entre ses lobes fessiers. Puis les deux mains puissantes se positionnèrent sur ses hanches, la tenant fermement. Elle renonça à se débattre et elle entendit Carole lui glisser à l’oreille :
— Ne te crispe pas chérie, détends-toi, calme-toi.
Et aussitôt, elle enfonça de nouveau sa langue dans la bouche de Clara, entamant à nouveau une caresse subtile, ferme et douce à la fois. Clara avait stoppé les mouvements de son bassin sur le gode planté en elle et elle ne ressentait plus que les mouvements de Carole qui faisaient bouger le jouet pour elles deux. La verge était positionnée à l’entrée de son cul et lentement elle sentit que Mario cherchait à s’enfoncer en elle. Le gel lui aurait permis de s’enfoncer en une fois, brutalement, mais il prenait son temps, Clara sentit son anneau s’écarter, s’ouvrir progressivement. Mais la douleur était là, une douleur supplémentaire qui venait s’ajouter à celle de ses seins. Mais à sa grande surprise, la langue de Carole, les lents va-et-vient du sex-toy dans sa chatte, l’excitation de ses tétons firent remonter son désir. Et presque malgré elle, elle sentit que son corps se détendait, que la crainte de la douleur reculait et elle se sentait curieuse de cette nouvelle sensation.
Son anus venait de se refermer sur le gland de Mario. Il fit une pause, semblant apprécier l’étroit fourreau. Puis, il reprit sa progression, toujours aussi lentement, mais sans faiblir.
— Allez ma belle, tu y es presque, dit-il.
Le souffle de Clara s’était accéléré, à son tour, elle chercha à capter la langue de Carole. Puis Mario se mit en mouvement, il ressortit lentement sa verge, mais il laissa le gland dans le cul de sa partenaire. Ses doigts se firent plus fermes sur les hanches de Clara et il augmenta un peu la vitesse de son mouvement. Le gode coulissait toujours dans sa chatte, déclenchant des vagues de sensations dans le bas-ventre de la jeune femme. Pour sa part, Carole lui chuchotait des mots crus dans son oreille :
— Tu aimes ça finalement, avoir une queue dans ton cul... c’est bon hein... tu es une véritable petite salope !
Carole semblait terriblement excitée et par ses mots et les frottements de sa peau, elle contribuait à augmenter encore le désir de Clara. Mario alla plus vite, il poussait de petits grognements à chaque fois que sa verge touchait le fond de l’anus de Clara. Les yeux fermés, Clara se laissait aller, sans réfléchir, sans comprendre même, elle laissait son corps parler, faisant fi de son éducation, de ses préjugés, elle n’avait plus qu’une seule idée en tête, jouir, prendre du plaisir, elle le sentait par tous les pores de sa peau. Tout se mélangeait, s’additionnait, le désir et la douleur, les regards qu’elle imaginait fixés sur elle, la langue et la peau de Carole, en elle et sur elle, cet inconnu qui la sodomisait pour la première fois. Et soudain, elle sentit son corps exploser, son ventre libéra un orgasme comme elle n’en avait pas encore connu.
Repoussant la langue de Carole, elle se mit à crier, à hurler son plaisir, sans retenue, faisant entrer et sortir de sa chatte le sexe de latex, le laissant s’enfoncer au plus profond de son intimité. Ses cris semblèrent libérer Mario qui se mit à accélérer encore, voulant jouir dans le cul de sa jeune partenaire.
Tout le corps de Clara était crispé dans cette recherche du plaisir. Elle se mit à hurler, à se tortiller dans ses liens, elle n’avait même plus conscience que d’autres la regardaient. Son orgasme durait et des ondes de plaisir montaient en elle. Elle sentit à peine Mario jouir dans son cul et ressortir de l’étroit fourreau de son anus. Son esprit se brouilla et elle se relâcha, accentuant ainsi la morsure des pinces sur ses tétons. Mais dans le même temps, le comte avait manœuvré la poulie, ce qui la fit glisser lentement sur le sol et la comtesse vint les détacher et retirer pinces et godemichet.
Carla resta allongée sur le parquet, sans bouger, épuisée par la tension et le plaisir qui l’avait totalement submergée. Elle sentit qu’on la portait, que les bruits autour d’elle diminuaient, qu’on la posait sur un lit et que délicatement on lui retirait ses bas. Et puis elle plongea brutalement dans un profond sommeil.
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