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Le châtelain

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Suite à la soirée débridée où je me suis comportée comme une petite salope, alors que je savais que mon homme me voyait, le retour a été difficile et les explications du lendemain tout autant. Me braquant lors de notre discussion avec lui, je lui avais avoué que j’avais aimé être le centre de la soirée, précisant aussi que j’avais beaucoup apprécié les talents et le membre du châtelain. Ma réaction avait sans aucun doute surpris Jean, mais il faut aussi reconnaitre que c’est lui qui m’avait doucement encouragée à m’offrir aussi bien à un autre homme qu’à un couple, me demandant même de le faire cocu devant lui avec deux hommes ou un couple.
Si le souvenir de cette soirée m’avait marquée, il restait aussi pour moi l’envie de revoir le Chatelain, comme il l’avait annoncé à Jean en aparté, mais aussi à mon oreille, alors qu’il venait de m’offrir à ses invités. Ses possessions m’avaient procuré de très fortes jouissances, son membre sachant parfaitement remplir ma chatte. Dominant, performant, il m’avait laissé l’espoir de le revoir.
Je ne sais comment il a eu mes coordonnées, peut-être par le couple à l’origine de cette invitation, toujours est-il que sur mon téléphone, j’ai retrouvé ce message :
— Bonjour belle coquine, j’aimerais bien te retrouver pour te procurer le plaisir que tu mérites ; mes invités m’ont loué ta performance ; si tu le veux, téléphone-moi au 06......, cela me fera très plaisir de te revoir ; je t’embrasse partout.
Cet appel, s’il me surprenait un peu, m’apportait la solution à mes pensées envers lui ; sans la moindre réflexion, je l’ai recontacté, trop heureuse d’avoir l’espoir de l’avoir comme amant régulier. Si Jean aimerait que j’aie un amant, pour l’instant, je gardais cette possibilité secrète ; je voulais d’abord avoir revu Mon Châtelain ; trois jours plus tard, je me dirigeais vers lui, dans un lounge de sa connaissance. Il m’avait demandé de venir nue sous une très légère robe s’ouvrant sur le devant ; en marchant dans la rue, je sentais les pans s’ouvrir, découvrant partiellement mon entrejambe. Le petit vent frais venait me rafraîchir les cuisses, mais dans mon ventre, le plaisir de savoir que j’allais peut-être lui appartenir me donnait déjà très chaud.
Courtois, galant même, il m’a accueillie, déposant rapidement un baiser directement sur mes lèvres, tout en me complimentant sur ma tenue, car à peine arrivée, il a vérifié que sa demande avait été respectée, ouvrant ma robe, alors que le serveur, qui venait de nous attribuer une table à l’écart, était encore présent ; sans nul doute que le spectacle de ma nudité l’a motivé, car pendant tout le temps de notre présence, il est très souvent venu pour savoir si tout allait bien.
Il faut dire que mon Monsieur, comme il voulait que je l’appelle, en profitait pour me caresser, n’ayant que très partiellement refermé ma robe, aussi bien les seins que mon minou, enfonçant ses doigts entre mes petites lèvres alors qu’il restait planté devant nous. Monsieur en profitait pour me faire écarter les jambes, découvrant la totalité de mon sexe. Ne tenant pas compte de la possibilité que d’autres personnes puissent elles aussi en profiter. Dans mon ventre, c’était le feu, dans ma chatte une coulée de cyprine.
Soudain, alors que le serveur venait nous apporter nos boissons, il lui a demandé de me conduire aux toilettes, et quand j’ai voulu refermer ma robe, il m’a grondée, m’ordonnant de le suivre ainsi. Rouge cramoisi, j’ai traversé la salle, cachant comme je le pouvais le désordre de ma tenue. Arrivé au sous-sol, le serveur m’a serrée de près ; me plaquant sur le lavabo et relevant ma robe, il m’a possédée, me disant que c’était sur la demande de l’homme avec moi. Il venait de m’offrir à un inconnu, qui sans hésitation s’est enfilé dans ma chatte, me baisant rapidement, sans que j’y prenne beaucoup de plaisir, en dehors de celui que mes rencontres avec mon châtelain allait être très chaude. En remontant, alors que sur mes cuisses dégoulinait le sperme qui venait de me remplir le ventre, j’ai eu la surprise de trouver un mot sur la table :
— Je t’attends à l’hôtel à côté chambre 23, j’ai très envie de te prendre.
J’avais le choix : partir avec la certitude de ne pas le revoir, ou le rejoindre, tout en sachant qu’à partir de ce moment, je deviendrais sa maîtresse, à son entière disposition. Sans plus réfléchir, j’ai traversé le hall d’entrée sous le regard averti du concierge, pour me diriger vers une nouvelle étape de ma vie sexuelle.Pour la deuxième fois en quelques jours, j’étais sous sa domination ; pendant plus d’une heure, il m’a possédée, fougueusement, sa queue me remplissant la matrice, me percutant furieusement ; il n’y avait pas de sentiment, simplement une possession totale de mon corps ; changeant les positions, il m’a longuement baisée, avant de se répandre en moi ; comme lors de ma soirée au château, il m’a fait jouir comme jamais, sachant à chaque fois le moment où j’allais partir. Alors que ma énième jouissance venait de déferler, alors que lui s’était retenu, il s’est bloqué au fond de mon vagin, jouissant, me remplissant de nombreux jets de sperme en me disant :
— Dorénavant tu m’appartiens ; tu seras ma maîtresse selon mes volontés, voyant que je ne répondais pas, il s’est retiré de mon corps, à mon grand désespoir et mon cri a jailli.— Oh non, oui je suis à toi, je serais ta maîtresse comme tu le veux, même si mon mari risque de mal le prendre.
Après un petit silence, il a ajouté :

— Tu vas être à ma disposition ; tu savais très bien en venant que tu allais le faire cocu, comme il l’est déjà, cela n’a donc pas d’importance.
En effet, je lui ai appartenu de nombreuses fois sans que Jean le sache ; je savais que cela aurait de suites, mais il m’apportait trop de plaisir ; avec cependant la sensation de n’être pas sincère envers mon homme. Lui n’en tenait pas compte ; pour lui Jean était un cocu et moi une belle salope qui le trompait allègrement. J’avais cependant oublié le côté pervers de mon amant.
— Je veux que vous veniez, toi et ton homme ; tu n’as pas le choix, sinon c’est terminé entre nous ; tu n’es pas la seule à me donner tes faveurs donc à toi de choisir.
La rencontre a eu lieu, en effet, malgré mes appréhensions ; il m’avait fallu avouer à Jean que j’avais rencontré le châtelain, sans lui préciser que j’étais sa maîtresse et que régulièrement il me fécondait allègrement. Honnêtement, je pense que Jean avait des soupçons sur l’avenir, mais il n’en a rien dit.
A notre arrivée, c’est le Châtelain qui nous a accueillis, souriant, affable, nous remerciant d’avoir accepté son invitation ; alors que nous venions de prendre l’apéritif, il a pris le bras de Jean en lui disant, devant moi, à haute voix, alors que ses deux domestiques, un homme et une femme étaient présents dans la pièce :
« Je me souviens du plaisir que vous avez éprouvé lors de notre soirée, alors que vous assistiez, un peu à l’écart, à la démonstration de votre femme s’offrant d’abord à deux hommes dans la chambre, car je vous ai vu, puis ensuite lorsqu’elle s’est offerte à mes invités. J’ai compris ce jour que vous aimiez la voir ainsi, que vous acceptiez qu’elle vous fasse cocu et que vous y preniez du plaisir ; il faut reconnaitre que c’était un beau tableau qui m’a décidé à faire d’elle ma maîtresse. Comme je me sens redevable, je vous propose ce soir d’assister à un tableau, on ne peut plus érotique, mais sans que vous y participiez ; vous êtes simplement voyeur, comme l’autre jour, par contre ; comme l’autre soir vous avez le droit de vous masturber.
Cependant vous pouvez partir, mais je pense que votre femme sera très déçue, car elle m’a avoué qu’elle y avait pris beaucoup de plaisir et qu’elle vous avait dit qu’elle recommencerait volontiers. Je crois savoir que vous aimerez la voir à nouveau s’offrir devant vous, pas vrai ».Lorsque je regarde Jean, il est blanc, de colère ou de surprise ; je m’attendais à ce qu’il se lève et m’entraîne vers la sortie, mais il ne bouge pas ; puis me regardant fixement, le regard brillant, il lui répond :
— Honnêtement, j’ai envie de partir, après vous avoir mis mon poing dans la figure ; cependant puisque vous savez que j’ai aimé la voir et que je sais qu’elle en a très certainement envie, elle est à vous, puisque de toutes les façons, elle est déjà votre maîtresse.
Puis se tassant dans le fauteuil, il se tait ; pendant un petit moment, le Châtelain semble surpris par la réaction de Jean, puis il redevient mon maître. Me prenant par la main, il me tire vers une déserte et m’enlevant ma jupe et mon corsage, il m’arrache mon string, me laissant nue devant ses serviteurs, puis il m’allonge sur la table, et leur fait un signe.
— Elle est à vous, montrez à ce monsieur combien sa femme aime se faire prendre par mes serviteurs avant de m’appartenir ensuite, mais aussi de me suivre pour passer la nuit avec moi.
Récit de NiniL’homme que je n’avais pas vu se dévêtir s’est approché de moi, la queue à demi tendue et il s’est frotté contre mes lèvres, avant de s’engouffrer dans ma bouche pour que je le suce ; il a une forte odeur, mais pas désagréable et sans hésitation, je commence à le branler, le sucer avant de l’engloutir totalement ; sa queue est courte, mais très épaisse, et je dois écarteler mes mâchoires pour lui prodiguer cette sucette, ce qui le fait rapidement grossir.
La servante, elle s’est agenouillée entre mes jambes qu’elle a largement écartelées, et sa bouche se pose sur mon minou, ce qui aussitôt déclenche un début de plaisir ; j’aime me faire sucer par une femme ; elles sont souvent beaucoup plus performantes que les hommes pour les cunnis. Et là, c’est le cas ; sa langue fouraille entre mes petites lèvres, atteignant mon petit bourgeon qu’elle mordille, à la limite de la douleur, avant d’enfoncer deux doigts dans ma chatte ; sa langue et ses doigts sont une source immense de plaisir et ma première jouissance déferle, lui inondant le visage de cyprine, semence qu’elle lape dès la sortie de ma vulve. Lui vient de se retirer de ma bouche, sans doute pour ne pas juter, car ses halètements prouvent que je lui ai donné du plaisir.
Finalement, ils s’inversent sur moi, et d’une poussée, il me pourfend, s’enfonçant entre mes lèvres encore peu dilatées ; l’emprise est totale, sa queue écartèle ma vulve, ses attributs venant buter contre mon sillon ; c’est alors que la servante, se mettant à genoux sur la table, à cheval sur mon visage, me plaque sa vulve sur la bouche ; elle aussi a dû avoir une émission de jus, car sa chatte est très humide. Je sais ce qu’elle veut : sans hésitation, ma langue s’infiltre entre ses lèvres, farfouille dans son antre, alors que lui se déchaîne dans mon ventre ; ses coups de boutoirs sont violents, il me défonce et parfois je quitte la chatte à ma portée, pour gémir, autant de douleur que de plaisir ; à chaque fois, elle me prend la tête pour la plaquer à nouveau sur sa chatte béante et gluante de cyprine.
Sous la conjonction de cette double possession, ma jouissance à nouveau se concrétise, lui jute en moi, alors que dans ma bouche, un flot de cyprine jaillit, m’obligeant à déglutir rapidement, mais pas assez vite et mon visage est inondé. Je ne sais plus ce qui me fait le plus jouir, mais, pour Jean qui doit me voir, il est évident que mon plaisir est total. Alors qu’ils s’écartent de la table et que le Châtelain se présente entre mes jambes, je regarde Jean : le visage tendu, il se branle en me regardant ; mais je n’ai pas le temps de m’y intéresser plus, car LUI, le Maître vient de me prouver sa domination en s’enfonçant sans aucune difficulté tant ma chatte est pleine de semence ; sûr de lui, il me défonce, sachant très bien que cela me procure beaucoup de plaisir ; il a eu l’occasion à de nombreuses reprises de me saillir ainsi et à chaque fois, je me suis livrée entièrement, jouissant plusieurs fois sous les pénétrations puissantes et nombreuses de cet amant très performant.
Là, il en est de même.Alors qu’il a mon corps à sa disposition, il me baise en s’adressant parfois à Jean :
— Tu vois combien je lui apporte du plaisir ; ce n’est pas toujours le cas avec toi, du moins pas souvent si j’en crois ses dires, mais là, elle est à moi ; elle attend que je la fasse jouir, que je lui prouve ma puissance et que dans son ventre, ma semence la remplisse ; elle aime que je la possède et que je fasse jaillir sa cyprine ; écoute-la jouir.
JeanEn effet sous les coups de boutoirs qui la défoncent, je ne compte plus ; ses cris résonnent dans la pièce, elle en oublie même de se laper la vulve au-dessus de sa tête ; oubli vite réparé, car la servante se plaque à nouveau sur sa bouche, gémissant à son tour. Le Châtelain lui aussi vient de jouir et quand il se retire, sa semence s’écoule encore de son méat et se répand sur le ventre de Nini.
« Tu vois, pour la deuxième fois, je viens de la féconder, et cette nuit, elle va m’appartenir, peut-être même que je l’offrirai à nouveau à mes serviteurs, pour leur plaisir et j’en suis sûr, le sien, car comme tu peux le voir, elle aime cela. «
Alors qu’il la redresse et la prend par la main, elle se détache de lui et vient vers moi ; j’ai toujours la queue bandée, car même si je suis perturbé de la voir aussi salope, je n’en reste pas moins très excité. Elle se met à genoux devant moi et commence une turlutte qui m’amène rapidement au plaisir ; alors qu’avec moi, elle n’avale que rarement, là elle déglutit et tout mon sperme s’écoule dans sa gorge ; se redressant, elle m’embrasse, puis m’entraînant vers la sortie, elle se lâche :
« Tu as pu me voir en petite salope, et j’ai beaucoup aimé ; comme toi, je peux le constater, car en plus c’était une de tes envies. Mais ce soir, même s’il a été mon amant, c’est avec toi que je rentre ; tu es le seul homme que j’aime, et si je dois reconnaitre qu’il m’a procuré beaucoup de plaisir, je ne souhaite pas continuer à te faire cocu de cette façon. »Sans un regard vers lui, elle m’a entraîné vers ses vêtements et c’est en femme amoureuse qu’elle m’a suivi jusqu’à la maison.
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