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Le châtelain

Chapitre 3

c'est au tour fr Jean

Orgie / Partouze
Je n’ai plus revu le Châtelain, malgré plusieurs appels de sa part ; si j’ avais aimé la soirée chez lui, puis ensuite être sa maîtresse, je n’avais pas apprécié la dernière où, à mon regret, il avait voulu humilier Jean. Mais il faut reconnaître que l’envie de me retrouver dans une telle situation me tenaillait, d’autant plus que lorsque nous en parlions, Jean me prouvait toujours ensuite son excitation. De plus, j’avais envie que lui aussi se trouve dans une même possibilité ; il est bi, j’aime le voir et il aime se faire prendre devant moi. Mais jusqu’à présent, c’était toujours lorsque j’avais un amant qu’il avait cette possibilité. Il m’avait avoué lors de ces discussions, qu’il aimerait lui aussi être offert à plusieurs hommes.Il me fallait donc trouver cette soirée, mais difficile pour moi, ne connaissant pas assez ce milieu ; c’est une contribution sur un site libertin qui allait me donner cette double possibilité, pour lui comme pour moi. L’annonce était celle-ci :
— Pour soirée libertine, cherche homme ou femme acceptant d’être offert(e) sans limites. Discrétion, hygiène et assurance que tous seront clean.
En clair, cela signifiait que les hommes ne seront pas encapuchonnés et que, celui ou celle qu’ils posséderont recevront leurs semences ; tout à fait ma recherche. Lors de la prise de contact, il m’a fallu d’abord expliquer ma recherche. Encore maintenant, une femme n’est pas toujours crédible dans cette situation ; finalement un rendez-vous fut organisé, pour une soirée où c’est Jean qui serait la proie. En tant que sa femme, je pourrai assister, mais sans aucune participation de ma part, tous les hommes étant exclusivement homo ou bi, tous voulant seulement un contact masculin pour un Gand bang.
Sans avertir complètement Jean du déroulement de la soirée (je lui avais simplement dit qu’il y aurait des gay sur place, nous nous sommes rendus sur place ; une très belle propriété en pleine campagne ; devant la résidence, de nombreuses voitures (une dizaine) ce qui promettait un grand nombre d’hommes. Le couple nous recevant nous a accueillis très gentiment, avant que La femme m’entraîne, le maître de maison a demandé à Jean, devant moi, son accord pour cette participation, précisant qu’à partir de son accord, il ne pourrait plus faire marche arrière, l’ensemble des autres participants ayant réglé leur abonnement. L’étonnement de Jean était manifeste, mais un sourire de ma part lui a confirmé mon acceptation ; il pensait sans aucun doute que c’était moi la proie du jour, ce en quoi il allait être surpris.
Il a suivi le maître de maison, alors que me prenant par le bras, sa main effleurant mon sein, la femme s’est dirigée vers une petite pièce, aménagée, non seulement avec diverses boissons et agapes, mais aussi par deux fauteuils grand confort, faisant face à un rideau ; ouvrant celui-ci, j’ai découvert un grand miroir, sans tain, nous permettant de voir de l’autre côté, où plusieurs hommes se trouvaient, un verre à la main. A l’arrivée de Jean, tous se sont rapprochés de lui avant que le maître lui explique la raison de sa présence ; appuyant sur un bouton, le son nous est parvenu :
— Voilà Jean, à la demande de votre femme, tous ces hommes vont pouvoir se servir de vous pour satisfaire leurs envies ; tout leur est permis, en dehors de la violence ; elle est avec ma femme et elle peut vous voir à travers ce grand miroir et bien entendu vous entendre ; je vous souhaite une bonne soirée ; profitez de ces mâles, tous puissants et performants et qui de plus ont eu droit à une boisson aphrodisiaque qui leur décuplera leurs capacités.
L’étonnement de Jean était visible et son regard vers le miroir traduisait sa crédulité, sachant maintenant ce qui l’attendait. Un verre lui a été présenté, sans doute contenant lui aussi la boisson miracle, puis rapidement les événements se sont précipités. Plusieurs d’entre eux se sont dévêtus, arborant tous un très beau membre, certains déjà bien tendus, puis lui prenant le verre des mains, ils l’ont fait mettre à genoux pour lui présenter leurs gourdins à sucer ; je sais qu’il aime le faire et c’est sans hésitation qu’il en a gobé un avant de leur prodiguer à tour de rôle, une sucette dont il a le secret, alors que deux le déshabillaient ; en quelques secondes, nu, il a commencé à subir leurs attouchements, plusieurs venant le doigter, lui trituraient les couilles, alors que déjà l’un d’entre eux venait de décharger sa semence dans sa gorge ; sans attendre, sa bouche fut à nouveau investie, alors qu’autour de lui plusieurs se masturbaient.
En quelques minutes, il venait de boire deux des hommes, l’obligeant à déglutir rapidement pour ne pas s’étouffer, car une autre queue venait l’investir. A commencé alors le véritable Gand bang ; le couchant sur le bras d’un canapé, un superbe noir (j’aurais bien aimé l’avoir à ma disposition) est venu derrière lui, et après l’avoir un peu plus dilaté avec ses doigts, il s’est enfilé dans son anatomie ; sous la poussée, un cri a été perceptible de notre côté, vite étouffé par une queue dans sa bouche, alors que le mandrin s’enfonçait profondément dans ses entrailles ; l’homme maîtrisait très bien sa sodomie, se retirant parfois, pour mieux le percuter ensuite, lui dilatant le sphincter. Jean lui ne bandait pas, soumis à cette puissante et sans aucun doute douloureuse enculade.
Autour de lui, plusieurs lui avaient déjà juté sur son visage, avant qu’avec un rugissement retentissant, le black se vide en lui, ressortant sa queue, alors que ses jets étaient encore puissants, lui arrosant la rosette ; plusieurs à la suite sont venus, non pas le déflorer, car son anneau venait de se faire exploser, mais lui remplir ses entrailles, après une sodomie plus ou moins longue, mais toujours très puissante, et se terminant toujours par une éjaculation ; lorsque le piston se retirait de l’anneau, la jute s’écoulait entre les cuisses de mon homme.
J’avoue que la vue de ces multiples possessions me donnait chaud au ventre et je n’étais pas la seule, car la maîtresse de maison avait une main entre les cuisses, se branlant doucement ; sans hésitation, j’en ai fait de même, alors qu’une main se posait sur moi. Pendant un certain temps, le spectacle ne nous a pas intéressés, nous livrant aux douces joies de Lesbos ; alors que nous reprenions un peu nos esprits, m’embrassant, pouvant ainsi déposer de nos liqueurs sur mes lèvres elle m’a dit :
— Je crois que nous allons nous revoir et j’ai très envie que tu nous appartiennes.
Dans la salle, le spectacle continuait, un homme allongé sur une grande litière, Jean planté sur son dard, alors qu’un autre lui présentait son vit, pour manifestement une double sodomie ; pour lui, je pense que c’était une première, et avec surprise, le deuxième s’est emmanché sans aucune difficulté, tant son anneau avait été écartelé auparavant. Ses cris de jouissances ne s’arrêtaient que lorsqu’il avait une trique dans la bouche. A la suite, plusieurs fois, il a subi ce double, y prenant plaisir, car à nouveau il bandait, jutant même sur le ventre de l’un de ses amants.
Entre deux périodes de récupération des hommes présents, s’abreuvant, il y avait toujours une queue pour le remplir ; si j’avais pu compter 10 hommes dans la salle, même si certains s’étaient simplement branlés ou jutés dans sa bouche, tous l’avaient enculé, certains plusieurs fois, ce qui signifiait que ses entrailles avaient encaissé au moins 10 à 15 saillies, il nous était possible de constater que son anneau ne se refermait plus, dilaté, plusieurs fois par deux bites à la fois. Sans grande surprise, je pouvais apprécier qu’il s’offrait sans hésitation, se détournant parfois vers cette glace qui nous séparait ; sur son visage, les traces de ces excès, mais aussi souvent des yeux brillants et un sourire, évocateurs à mon encontre.
Tard, très tard dans la nuit, peu à peu le nombre de postulants a diminué, et c’est finalement par une triple que son « martyr « s’est terminé. Epuisé par cette multitude de saillies, le visage, le corps et surtout le cul plein de sperme, il s’est endormi sur la couche. Courtoisement, le maître de maison m’a proposé de le laisser dormir ici, et le couvrant, après l’avoir tendrement embrassé, mais sans je pense qu’il le réalise, j’ai suivi nos hôtes, pour une nuit, certes agitée, mais beaucoup moins que ce que venait de subir mon homme.
Le lendemain, après un bon petit-déjeuner, nous sommes repartis, Jean encore vasouillard, mais me remerciant de cette expérience, mais ne souhaitant pas, pour l’instant la renouveler, avec cependant l’envie de retrouver ce couple si libertin qui nous avait permis tant de plaisir, car je lui ai raconté ma nuit, entre une femme très entreprenante et un homme sur qui les effets de l’aphrodisiaque étaient encore évidents. Mais c’est une autre histoire.
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