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Chatelains possédés

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Du canapé sur lequel elle avait échoué, la baronne, cuisses écartées, hurlait plus qu’elle ne criait : « Bourrez-moi le con, éclatez-moi le cul ! » tout en se branlant la moule avec acharnement. La vision de sa propre fille couchée sur la table, transformée en corps gémissant par les coups de langue sur les lèvres de sa chatte que lui administrait son propre frère pendant qu’elle gobait les lourdes burnes du baron l’avait rempli de bouffées de chaleur qu’une masturbation du clitoris ne venait évidemment pas diminuer. Joseph, le maître d’hôtel, répondant à l’appel de la baronne avait sorti son braquemart et s’était approché d’elle. Goulûment, elle se jeta dessus, avide de pomper cette queue longue et dure, aux veines apparentes qui en augmentaient l’attrait. Pendant qu’elle suçait le valet, le baron enfonçait sa propre tige dans la bouche de sa fille qui, loin de s’en offusquer, manifestait par des grognements de plaisir qu’elle appréciait cette irruption. Tout en suçant, la baronne matait la scène, avec une vue directe sur la chatte ouverte de sa fille que les doigts du frère venaient à présent branler de l’intérieur. Celui-ci s’était relevé mais, courbé en avant, laissait entrevoir tout ce que sa raie poilue et des fesses bien rondes dissimulaient aux regards. N’y pouvant plus, délaissant la queue de Joseph, la baronne, abdiquant toute pudeur et toute dignité vint se mettre à genoux derrière son fils afin de lui lécher le cul. Pour l’aider, en parfait serviteur, le maître d’hôtel écartait les fesses du jeune baron afin que sa propre mère puisse lui titiller de sa langue devenue folle les petites lèvres de l’anus à la fois rosé et poilu. De légers râles venaient manifester le contentement du jeune homme, ajoutant ainsi à la polyphonie gémissante qui ne cessait de croître dans la pièce. Car le baron, de plus en plus excité par la langue experte de sa fille qui lui léchait la bite, lui excitant le gland tout en lui caressant les couilles, se transformait lentement mais sûrement en animal atteint par le plein rut, articulant à peine des paroles le surprenant sans doute lui-même : « Suce bien ma belle ! Astique-moi la tige petite pute ! ».La vague montante du plaisir avaient également atteint la jeune servante, Nicole, et la femme de Joseph, habituellement très digne dans son emploi de gouvernante de maison. En effet, après s’être caressé sous les jupes, devant le spectacle étonnant de cette famille atteinte par le démon du plaisir sexuel, la gouvernante avait saisit les nichons de la bonne et les lui torturait alors qu’elle avait guidé sa main vers le creux de sa culotte. Ainsi, Nicole branlait la chatte humide de la digne cinquantenaire pendant que celle-ci pinçait les seins de la jeune bonne à présent à découvert.Cette fois, ce fut Sophie, la jeune baronne qui finit par hurler : « Baisez-moi putain ! Je veux vos grosses queues ! ». Le premier à la lui enfoncer dans sa chatte ruisselante de plaisir fut son frère, dont la baronne en titre, rendue folle par cette scène, doigtait le cul. Le baron, lui, avait basculé pour se faire lécher l’anus par sa fille, avant de se dégager pour aller fourrager son épouse devant les domestiques. Il la prit en levrette sur le bord de la table, à côté de son fils qui s’agitait sur le con de sa sour en poussant de petits cris auxquels répondaient, comme en écho, les gémissements de la jouvencelle. Le baron pénétra de son gros dard la chatte de sa femme en vociférant : « Prends donc ça, sale putain ! », accompagnant ce compliment d’une dégelée de claques sur la croupe offerte. Joseph voulait partir honorer son épouse, et accessoirement former la jeune bonne, mais la baronne le retint car elle voulait voir sa bouche tout aussi remplie que l’était son con. Elle lui ordonna : « Joseph, votre bite ! Je veux votre bite ! Foutez-la moi au fond de la gorge ». Aussi il se mit à genoux sur la table, devant elle et, pressant la tête de la baronne, lui enfonça l’engin si bien qu’elle poussa des beuglements étouffés pendant que le baron cinglait son cul de claques de plus en plus violentes, en la traitant de chienne, de traînée, de putasse et de sale conne.La femme de Joseph avait du mal à retenir ses lèvres, alors qu’elle contemplait ce spectacle bestial, d’autant plus que Nicole lui chauffait sérieusement les lèvres de la chatte et le clitoris par ses coups de langue qui semblaient ne point connaître de fatigue. Elle sentait des picotements se répandre dans son corps et les vagues du plaisir la submergeaient, mais elle tenait encore bon face à cet adversaire de sa dignité.A présent, le baron et son fils avaient échangé leurs positions : pendant que le père travaillait le vagin de sa fille, le baronnet baisait sa propre mère qui, par instinct comme elle le faisait si souvent quand elle se retrouvait seule, s’excitait la partie supérieure de la chatte avec les mains. Joseph, lui, voulait se retirer car il sentait le jus monter, mais la baronne ne voulut pas arrêter son ouvre si bien qu’il déchargea en pleine gorge en gémissant : « Madame, je vous donne mon foutre. Aaahhh ». A peine le jus chaud et épais avalé, sa patronne se mit à gueuler qu’elle aimait ça, qu’elle voulait du jus de mec, du foutre de mâle, du sperme chaud, etc. Mais déjà son fils la comblait en la retournant pour lui jouir sur le visage. Cette fois, elle n’eut pas le temps de prendre le foutre en elle mais elle se rattrapa en s’en tartinant le visage.Au même moment, la femme de Joseph céda : son corps se mit à vibrer, ses yeux à chavirer et elle poussa des gémissements tels que le baron, excité de l’entendre se mit à l’insulter indirectement en s’adressant à sa fille : « Ma chérie, tu entends cette vieille gouine qui se fait léchouiller sa chatte mouillée ? Regarde-les ces grosses salopes ! ». Et joignant le geste à la parole, il retourna sa fille sur la table, telle une crêpe, afin qu’elle puisse mater les deux domestiques. Profitant de l’occasion, son père lui viola le cul, ce qui lui fit pousser des hurlements auxquels répondirent aussi sec les gémissements de sa mère qui avait repris la masturbation de sa chatte, toujours cuisses écartées. Les quatre femmes gémissaient, hoquetaient, criaient, hurlaient, perdaient leur vocabulaire pour ne plus prononcer que des termes de la plus grande vulgarité. « Allez les connes, défoncez-vous les chattes avec vos langues ! » criait ainsi la baronne ; « Madame, je jouiiiiiiiis ! Fous-moi la main dans le con ma chérie ! » répondait, comme en écho, la gouvernante.Au milieu de ce tapage, la bite de Joseph avait repris toute sa vigueur et lorgnait à présent le cul du jeune baron qui était resté, comme épuisé, couché en avant sur la table, fesses relevées. Depuis longtemps, cette bite connaissait ce cul : elle l’avait déniaisé alors que le jeune homme atteignait les 14 ans et depuis, le brave Joseph calmait les désirs sodomites du jeune baron. Ce soir-là donc, comme l’orgie familiale avait rompu les digues et quitté toute mesure, les deux hommes rendirent publique leur liaison coupable et, devant ses parents, sa sour et les deux domestiques, le jeune homme s’offrit à la bite talentueuse de son mentor en sexe. Enculé par Joseph, il s’était relevé, le regard noyé de plaisir. Le baron en profita pour en rajouter dans le cul de sa fille, en traitant ses propres enfants de bande d’enculés et de bâtards. Il ne savait plus ce qu’il disait. Mais la baronne, qui ne perdait pas le nord tout en perdant ses sens, voulut rajouter à cette indignité en faisant venir Nicole entre ses cuisses pour lui lécher la chatte pendant qu’elle-même continuerait à enflammer celle de sa gouvernante.Les deux pédés s’enculaient donc pendant que les trois gouines se faisaient jouir de leurs cons. Le baron finit par jouir dans le cul de la jeune baronne en grognant, elle-même se finissant par des mouvements affolés de sa main sur son clitoris. Le jeune baron, cuisses relevées et écartées offrait sans pudeur son jeune cul poilu au valet, la tête penchée sur la poitrine de sa mère, elle-même perdant sa voix à force de gémir, de couiner et d’hurler, cuisses écartées au maximum pour ouvrir sa chatte à la main de la jeune bonne qui à présent lui défonçait le con. Quant à la gouvernante, ne sachant plus ce qu’elle faisait, elle s’était relevée et pissait un jus doré, éclaboussant de son urine de chaudasse à la fois le visage de la baronne et celle du jeune baron enculé par son mari à elle. Les deux hommes encastrés l’un dans l’autre finirent par juter ensemble, la toison velue du jeune baron se barbouillant des deux foutres mélangés, celui du maître et celui du serviteur pendant que la baronne, dans un dernier rut agonisant, s’effondra sur la table, vaincue par ce plaisir qui avait violé tous les tabous. Tous ? Elle le pensait. Pourtant l’avenir allait lui montrer que ce n’était là que le début d’une lente descente de cette famille d’aristocratie terrienne dans les marais de la perversion sexuelle et morale.
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