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Chaude Cathy

Chapitre 1

Pluralité

Avec plusieurs hommes
Bonjour, après quelques années sans publication, je vous propose ce petit texte sans prétention, en 4 ou 5 chapitres...
Chaude Cathy
Cathy, bourgeoise de 57 ans, est mariée à un chef d’entreprise très occupé de la région bordelaise.C’est une très belle femme plantureuse, souriante, avec des yeux magnifiques, de belle prestance, de taille supérieure à la moyenne, blonde de nature, cheveux mi-longs, avec une très jolie frimousse. Une superbe femme aux formes pleines, une croupe qui donne des envies. À son âge, ses seins lourds sont ses meilleurs atouts. Elle est plutôt de nature réservée, mais capable de se lâcher quand le désir la prend ! Quand elle est excitée, elle adore s’exhiber, se monter, faire bander les hommes. Mais elle le fait avec discrétion, tact et une classe de bon aloi ! Ce qu’elle adore par-dessus tout, c’est voir les regards brillants de désir se poser sur elle. Les plus chanceux seront branlés, sucés et pourront éjaculer, en elle ou sur elle. Son mari lui fait l’amour régulièrement, mais ce n’est pas assez au goût de Cathy qui a un tempérament de braise. Elle en veut toujours plus et n’est satisfaite que prise par plusieurs queues bien tendues, dont elle peut disposer à sa guise.
Son mari la prête volontiers à leurs meilleurs amis ou des inconnus rencontrés ici ou là, parfois sur le Net, mais c’est toujours elle qui fait son choix, rien ne peut lui être imposé, elle décide seule.
Ce jour-là, alors qu’elle était dans la rue devant son domicile, une voiture est arrivée juste au moment où elle ramassait ses clés éparpillées, qu’elle venait de laisser choir. Elle était vêtue d’une jupe de tailleur un peu courte, comme à son accoutumée, d’un chemisier blanc assez léger, transparent, qui laissait deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, des escarpins noirs qui mettaient bien en valeur ses jolis mollets. Elle avait enfilé des bas autofixants crème, et comme d’habitude, elle avait totalement oublié de mettre une culotte... quelle tête en l’air !
Elle était donc accroupie, jambes légèrement écartées, jupe un peu remontée pour faciliter ses mouvements lorsqu’un véhicule, un gros 4x4 de marque étrangère arriva à sa hauteur, au ralenti...Le conducteur, la cinquantaine bien marquée, affichait une certaine surcharge pondérale. Il portait une casquette à visière, type base-ball, des cheveux grisonnants dépassaient sur les côtés ; son visage gras et ingrat était barré d’une moustache épaisse et grisonnante. Ses deux petits yeux brillèrent d’une lueur concupiscente en voyant la quinquagénaire ainsi accroupie, cuisses ouvertes. Il n’en croyait pas ses yeux ! Voir une femme de cette classe, les cuisses écartées, en pleine rue. Ce ne pouvait être que volontaire. Une chaude, sûrement...
Le passager à droite, était de type maghrébin. Il devait avoir le même âge que le chauffeur, mais plus maigre. Les cheveux noirs, légèrement dégarnis en haut du crâne, moustachu, son visage était mal rasé, ses yeux sombres dévoraient cette femme qui se donnait en spectacle au bord du trottoir.
Le troisième à l’arrière semblait espagnol ou portugais, peut-être italien. Plus jeune que ses deux compères à l’avant. La direction de leurs regards fit prendre conscience à Cathy que les trois hommes avaient les yeux pointés sur ses cuisses. Cette constatation lui procura cette délicieuse sensation, qu’elle éprouve quand un type la regarde avec insistance. Elle venait de faire un triplé pour le coup ; trois grosses queues à n’en pas douter, qu’elle n’allait tout de même pas laisser s’échapper ainsi.
Toujours affairée à ramasser ses clés, il lui en manquait encore une, elle resta dans cette position, sans refermer les jambes, pour que les trois mateurs en prennent plein la vue. Elle faisait tout pour qu’ils se trouvent à l’étroit dans leur slip. Cette pensée fit mouiller Cathy de plus belle. Elle aurait bien aimé vérifier, mais devait avant tout, agir avec doigté, et prudence. En pleine rue, c’était tout de même un peu risqué. Elle se dit qu’il ne fallait surtout ne pas les effaroucher, leur laisser croire encore à un semblant d’innocence de sa part ! Elle allait leur jouer le grand jeu, cela tombait bien, elle était seule pour sa journée de RTT, son mari, au boulot jusqu’au soir. Ses proies étaient à sa merci.
— Pardon Madame, nous sommes un peu perdus, nous cherchons la villa des Besson, vous êtes du quartier ?— Bonjour messieurs...
Ayant enfin trouvé la clé égarée, Cathy se redressa, au grand désappointement des trois lorgneurs. Elle s’approcha du gros véhicule, côté conducteur. Ce dernier, un peu désappointé de la disparition d’un si agréable spectacle, constata qu’ils n’avaient pas perdu au change. Certes la vue de l’entrejambe de la belle blonde avait disparu, mais la poitrine qui leur était maintenant offerte ne manquait pas de charme. Le chemisier bien rempli était de ce qui se fait le plus arachnéen dans le genre. De plus, comme il était mal fermé, on voyait très distinctement le sillon entre les deux globes d’albâtre. Deux très beaux seins, bien au-dessus de la moyenne. Les aréoles claires aux pointes turgescentes se distinguaient nettement sous le fin tissu. Appuyée à présent contre la portière du véhicule, elle réfléchissait, faisant mine de localiser dans sa tête la maison des Besson, qu’elle connaissait pertinemment.
Mais elle voulait au préalable évaluer les trois spécimens ainsi offerts à sa concupiscence. Eux par contre, se régalaient sans vergogne du spectacle. Cathy put ainsi observer les trois hommes à sa guise. Certes, ce n’était pas des apollons, mais ils feraient très bien l’affaire pour aujourd’hui. Ce qu’elle envisageait de leur demander ne nécessitait pas de très gros efforts intellectuels, ils s’acquitteraient très bien de la tâche, ça ne faisait aucun doute. Depuis le matin que son mari était parti, après lui avoir comme à son habitude rendu hommage, elle commençait à ressentir une nouvelle fringale, qu’il convenait d’assouvir sans tarder. Ces hommes avaient des mains larges, certainement un peu calleuses, des avant-bras de manœuvres en bâtiments, poilus à souhait, comme elle les aime. Elle se passa la langue sur les lèvres, comme pour les humecter, et dit, d’une voix chaude :
— Je crois bien que je connais leur adresse, mais il faudrait que je vous montre sur une carte, en avez-vous une, messieurs ?— Euh... non..., répondit le conducteur sans pouvoir détacher les yeux de l’échancrure du corsage.— Je pense que mon mari en a une, dans son bureau. Suivez-moi, messieurs... tous les trois !
A suivre
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