La soirée s’est très bien passée. Pour fêter ton anniversaire, un peu en retard, nous sommes allés dans un restaurant très chic. Nous sommes début juin, il fait encore bon le soir. La journée a été chaude et après avoir pris une douche ensemble, nous avons pris la direction du Golf. L’endroit est climatisé donc impeccable. Je suis habillé assez classique, chemise vichy-Chino-faguo. Toi, par contre, tu as opté pour une jupe assez courte noire - chemisier blanc échancré - collants - Louboutin. Tu es face à moi, très belle. Ton rouge à lèvres très discret, tes cheveux attachés avec une couette tout en dévoilant ta nuque me plaisent beaucoup. A table, j’ai essayé de regarder le plus souvent possible sans que tu ne le remarques, ton décolleté magnifique. J’ai pu apercevoir ton soutien-gorge noir, fin et transparent à des endroits. Je m’imagine déjà te l’enlever par la suite afin de découvrir ce qu’il cache. Lorsque tu te lèves pour aller à la salle d’aisance, j’en profite, comme d’autres dans la salle, pour mater ton cul. D’où je suis, je peux juste apercevoir la forme d’un sous-vêtement sous ta jupe, sans savoir de quoi il s’agit. String, tanga, culotte italienne, les trois te vont bien. Ta cambrure est superbe avec tes talons. Je vois d’autres regards converger vers tes fesses. Ce n’est pas pour me déplaire... Nous finissons le repas et réglons la note. Il est très tard, la nuit est tombée et l’air est frais.Nous arrivons à la voiture garée au fond du parking, face au Green, presque à l’abri des regards. Il ne reste plus de client au restaurant. Sur le chemin, je pose ma main sur le bas de ton dos, tout en marchant à côté de toi. J’adore te voir avec une couette de cheveux, ça te rend plus désirable, plus femme. Je cherche mes clés qui se trouvent dans ta petite pochette. Tu me tends celle-ci. Je l’ouvre et surprise, les clés et un bout de tissu qui ressemble à un tanga. Petit coup de chaleur, je frissonne de plaisir. Nous montons à bord et il fait très chaud. J’ouvre le toit ouvrant pour admirer le spectacle des étoiles au-dessus de nos têtes. Je pose ma main sur ta cuisse. Tu regardes autour pour t’assurer qu’il n’y a personne. Je descends de la voiture, tu ne comprends pas pourquoi. Je me place sur le siège passager, derrière toi. Je passe mes mains des deux côtés du siège. Je trouve ta nuque, m’y attarde un peu et dégrafe ton chemisier bouton après bouton. Tu es surprise mais comprends ce que je veux faire. J’accompagne délicatement ton mouvement et t’aider à enlever ton haut. Mes doigts découvrent ensuite ton soutien-gorge, j’adore cette matière si fine. Je le dégrafe. Je passe ma tête sur le côté, il est bien noir transparent. Je l’enlève. Mes mains se baladent sur tes seins, je les malaxe, je bande. Tes tétons sont entre mes doigts, je les pince doucement. Tu commences à fermer les yeux et à basculer ta tête en arrière... Je continue à profiter de ta poitrine sans trop voir ce que je fais. Tu respires un peu plus vite. J’aime les sentir dans mes mains. Je descends de nouveau de la voiture. J’ouvre ta portière. Tu es surprise. Tes seins sont à la vue de tous. Je recule ton siège, bascule ta tête en arrière et me place devant toi à genoux. L’endroit est exigu mais peu importe. Mes mains partent de tes talons et remontent vers ta jupe courte. Tes bas sont agréables à frôler. J’adore toucher cette matière. Mes mains passent sous ta jupe. A ma grande surprise, des porte-jarretelles noirs retiennent tes collants. Mes joues sont en feu. Je saisis alors tes jambes et les pose sur mes épaules, tes talons presque en l’air. J’aime te voir salope comme ça. Ma bouche rentre en contact avec ta chatte, ruisselante et bien rasée. Je te lèche, te suce et te pénètre avec ma langue. Je suis aux anges. Tes mains viennent me cramponner le visage pour me montrer ton plaisir. J’adore ce goût. Une petite brise passe à travers le toit pour rafraîchir l’habitacle. J’ouvre ma braguette. Tu comprends, te retournes dos à moi, prête à me recevoir, ta jupe positionnée sur tes hanches. J’introduis mon sexe entier directement sans difficulté. J’ai envie de te prendre sauvagement, j’attrape tes hanches et te pénètre. La vue sur ton dos, les porte-jarretelles et ton cul me font monter en température. Je te baise fort. Je suis en nage rapidement. Tu le vois. Je t’attrape la queue-de-cheval d’une main, tu te cambres. Tu es magnifique et bandante. Nous prenons énormément de plaisir. Puis tu ouvres la porte pour avoir un peu d’air. Je me retire. Tu descends de la voiture à moitié nue. Tu t’appuies le dos sur la porte arrière, lèves une jambe afin que je vienne te prendre. On ne pense même plus qu’on pourrait nous voir, mes mains agrippent ton corps fiévreux comme un aimant. Tes talons magnifient ta position. Je te pénètre de nouveau et en profite pour t’embrasser dans le cou. Mon pieu est dur, dresser en toi. Je sens la sève monter. Je te le dis dans l’oreille. A ce moment, tu restes dos à la voiture et me retournes de manière à ce que je sois dos à toi. Derrière moi, je sens tes seins pointés à travers ma chemise, face à moi les lumières de la ville. Tu passes une main sur mon sexe par le côté. Tu commences par me toucher les bourses ce qui a pour effet de me faire encore raidir davantage. Mon gland est rouge vif, gorgé de plaisir. Tu remontes ensuite en me titillant le frein, zone sensible pour moi. J’ai les yeux dans le vague. Le moment est exquis. Enfin, tu serres doucement avec ta main douce mon sexe et commences à me branler. Tu ne vois pratiquement pas ce que tu fais, je sens ton souffle dans mon cou. Tu accélères le mouvement de va-et-vient. Je me tends, je vais jouir. Mon sperme gicle et plusieurs longs filets jaillissent de ma verge. La brise de la nuit vient nous rafraîchir. Tu continues à me masturber plus doucement... encore une belle soirée à tes côtés. Personne n’a vu notre manège. Nous repartons... la soirée n’est peut-être pas finie...
