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Chaussures vernies....

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Ce matin, le réveil était difficile, d’autant que j’ai l’impression d’avoir fait des rêves assez cocasses. Mais, bon, c’est les vacances, je peux un peu trainer au lit. Chaque matin, c’est pareil depuis plus d’une semaine, ma compagne part au travail et me laisse tout seul à la maison. On est installé chez belle maman étant donné qu’elle passe sont temps entre deux ville du sud de la France, donc quant elle n’est pas là, on garde la maison.
Elle rentre cet après midi d’ailleurs, pour reprendre ses cours de danse. Et attend de moi, quelques cours de remise à niveau étant absente depuis déjà 3 semaines. Donc, faut se bouger un peu et passer à la douche car je ne sais pas quant elle va arrivée exactement !
Je m’extirpe du lit avec la conviction d’un ours sortant de son hibernation hivernale. C’est à dire pas bien vite. Mais, une fois sous la douche, le jet froid me réveil brutalement ! C’est assez pensif que je me douche, car j’essaie de me remémorer les songes vicieux de la nuit dernière. Mais rien ne me reviens d’assez précis pour m’exciter un peu d’autant que l’eau est maintenant qu’a peine tiède. Du coup, je pense à ma belle mère qui va bientôt rentrer. C’est une femme très bien conserver pour son age dans un style assez bourgeois d’après des amies. On ne peut pas dire qu’elle s’habille pas très sexy mais plutôt du genre catho avec un chemisier, un pantalons cintré et des mocassins et je vous passe l’assortiment des couleurs...
Quoi qu’il en soit, ce qui m’attire le plus chez elle c’est ses pieds, du moins lorsqu’elle décide enfin de mettre des chaussures plus sexy. C’est rare mais bon, j’ai un penchant fétichiste sur les chaussures des femmes depuis que je suis petit et avec le temps rien ne s’arrange. Du coup, je passe souvent mon temps à m’imaginer des scénarios improbables qui au fil du temps, deviennent, mené par l’excitation, de vrais challenges à réaliser.
Me voilà donc, le sexe à la mains, sous la douche, m’imaginant un scénario pour être au plus près de ses pieds. Quant soudain que j’ai eu une idée...
Si elle veut que je lui donne des cours de danse, je vais lui demandé de mettre une paire de chaussures adéquates. Reste plus qu’a trouver un stratagème pour pouvoir être à ses pieds. C’est à ce moment là qu’un bruit de clé se fait entendre à la porte. Je coups l’eau et écoute d’un oreille attentive pour savoir qui sait.
« Salut, je suis rentré, il y a quelqu’un »
« Merde, ma belle mère est déjà là !»
Je sors donc de la douche et enfile un peignoir tout en me séchant.
« Je suis dans la salle de bain, j’arrive, une petite seconde »
« Ok, je pose mes affaires en attendant » me dit-elle.
Je sors donc de la salle de bain, juste vêtu de mon peignoir et me retrouve face à elle avec la surprise de la trouver en robe noir, bas et bottes (oui je sais qu’elle n’aime pas les collants).

« Comment aller vous » lui demandes-je
« Bien, il n’y avait personne sur la route, j’en ai donc profité pour faire le voyage d’une traite, mais du coup, je n’ai rien mangé »
Je lui dis que je vais voir ce qu’il y a dans le frigo tout en sachant qu’il n’y avait pas grand chose car je devais aller faire des courses ce matin.
J’en profite pour lui demander quant elle voudrait faire de la danse aujourd’hui. Elle me répondit que ce matin, se serait parfait, car cet après midi elle avait un rendez vous à la banque. Ni une ni deux je lui dit que j’étais disponible mais qu’il fallait qu’elle mette des chaussures plus hautes car je suis plus grand qu’elle. Elle acquiesce et me rejoint dans la cuisine.
« Je suis désolé mais, il y a pas grand chose à manger à part une petite tranche de jambon et des tartelettes citrons meringués » lui dis-je d’un aire désolé.
« Ce n’est pas grave, je vais me débrouiller » me dit-elle.
Je lui laisse donc la place pour qu’elle constate par elle même la désertification du frigo.
« Tiens va voir si tu trouves une paire de chaussures pour que je danse avec toi dans mon placard » rajouta t-elle.
Mon cœur se mis à battre très fort et j’ai du sûrement rougir un peu, je lui répondis que j’allais voir ça en attendant qu’elle mange.
Me voilà donc le nez dans son placard que j’avais déjà regardé il y a quelque temps. J’y extrais une paire d’escarpins vernies noirs que je fais glisser sur mes lèvres. Qu’est ce que j’ai envie de les lécher ! Puis, je descends le bout de la chaussures jusqu’à mon entre jambe et le fait glisser sous mon peignoir. Je sens le cuir vernie et froid touché mon sexe ce qui à pour conséquence de le faire sursauter. De l’autre mains, je monte le talon à ma bouche que je suce délicatement. Me voilà déjà tout excité et je dois vite stoppé sinon, je vais faire un malheur dans ses chaussures. Je me relève donc et me dirige vers la salle à manger où ma belle mère à déjà commencer de manger.
« Voilà, une paire pour danser ! »
« Tu devrais d’habiller, toi sinon, tu va attraper froid ! » me répond t-elle.
« Oui, je vais y aller, dite moi, si cela vous va pour danser »
Elle enleva ses bottes pour mettre son pied dans ses jolies escarpins vernies et me regarda en me disant qu’elle les mettait que très rarement. Puis elle me demanda de lui apporter une petite tartelette du frigo. J’en ramenais deux comme car je n’avais toujours pas petit déjeuné et il était déjà 10h30.
Je m’installais donc dans un fauteuil juste à coté de la table où elle était assise et nous entamions une discussion sur la danse. C’est à lors qu’une idée me viens à l’esprit. Une idée perverse, mais une idée quant même. Car ma main qui tenait ma tartelette était très proche de ses escarpins étant donné qu’elle avait croisé les jambes. Je me décidais à passer à l’acte en faisant des grands gestes lorsque je parler. Elle ne vis rien venir quant ma meringue viens se frotter contre le bout et la semelle de sa chaussure. Elle n’y fit pas attention et moi de mon coté je continuais à parler comme si de rien n’était. Quant je me mis à sursauté.
« Et merde ! J’ai collé de la meringue sur le bout de votre chaussures, je vais chercher de quoi l’essuyer »
« Ah, oui » me dit-elle, « ce n’est pas grave ! »
Je reviens donc avec un morceau de sopalin humidifié et me mis à genoux devant elle. Mais avant d’essuyer la crème, je me mis à ramasser avec le doigt et le porté à ma bouche, elle lui disant qu’il ne faut pas gâché.
« Mais s’est sale ne met pas ça à la bouche ! »
« C’est rien, j’ai fais pire dans ma vie » lui répondis-je
« Ah bon » me dis elle d’un aire curieux
« Regarder ! »
C’est à lors que je me suis mis à lui lécher le dessus de sa chaussure et elle ne dis rien, me regardant faire toute étonnée de ce qui se passer. Cette impression d’être soumis à ses pieds me donnait l’envie de m’appliquer ce que je fis avec le plus grand dévouement. Aussi grand que la bosse qui c’était créée sous mon peignoir. Et lorsque ce fut fini elle me regarda.
« Et ça t’a fait quoi ça ? » me demanda t-elle
« Rien, c’est rigolo »
Puis lorsque je me suis relevé, elle avait toujours les jambes croisés et son pied glissa sous mon peignoir et mon sexe en pleine érection viens se coller sous sa chaussure et le souleva légèrement.
« Je ne suis pas sur que cela ne te fasse rien » me dit t-elle en souriant.
Je ne sus pas quoi dire à part un sourire assez crispé qui sorti de mes lèvres. Elle regarda sa chaussure et remarqua qu’il rester de la crème sur la semelle et me regardant d’un aire aussi pervers que le mien « il en reste un peu.... »
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