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Check-up complet

Chapitre 2

Prise à son propre piège

SM / Fétichisme
Plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis sa visite chez le médecin, chez Ce médecin. Elle était sortie du cabinet totalement chamboulée. Elle avait été choquée, outrée par le traitement qu’elle avait subi et en même temps… Elle avait joui comme jamais elle n’avait joui. C’est d’ailleurs ce qu’elle avait lu dans les yeux du médecin au moment de sortir ; elle lui avait lancé un regard noir, furieux, et il s’était contenté de sourire en la toisant de haut, d’un air de dire : ma petite, ne viens pas te plaindre vu comment tu as hurlé de plaisir…Car oui, elle avait hurlé. Pas crié, non, véritablement hurlé, tant son orgasme avait été intense et foudroyant. Pas un jour ne s’était écoulé sans qu’elle ne repense à ce poing qui s’était refermé dans sa chatte puis dans son cul. Et aussi à ce qu’elle avait ressenti quand l’explosion était survenue, quand le liquide avait soudain jailli de son sexe sans contrôle aucun… Une gêne extrême mêlée à un sentiment de libération et d’abandon total qui n’avaient fait que décupler son plaisir…Durant toutes ces semaines, elle avait tenté de reprendre une vie « normale », de ne plus penser à cela. Mais rien n’y faisait, les images et les sensations revenaient sans cesse, elles l’obsédaient…C’était encore pire lorsqu’elle faisait l’amour avec son petit ami : tout lui semblait fade, ses orgasmes paraissaient insignifiants en comparaison de ce qu’elle avait vécu dans ce cabinet médical.Elle en voulait au médecin… Elle s’était sentie utilisée, humiliée. Pire que tout, il lui avait fait en même temps découvrir des sommets de jouissance qui désormais la laissaient dans un état de frustration terrible après chaque nouveau rapport sexuel avec son compagnon. Elle le haïssait de toute son âme mais tout son corps ne pensait qu’à lui et à ses mains…Sa frustration s’était muée en hargne, en rage qu’elle ne parvenait pas à expulser. Elle se disputait désormais fréquemment avec son compagnon et chaque nouvelle incartade creusait un fossé de plus en plus profond entre eux. Elle ne voyait plus qu’un moyen pour sortir de ce cerce vicieux : retourner voir le médecin et lui rendre la monnaie de sa pièce, l’humilier à son tour. Elle avait échafaudé tout un plan : prendre un nouveau rendez-vous, avec un prétexte « osé », et aller le narguer. L’exciter au plus haut point et le laisser ensuite « en plan », seul à son tour avec sa frustration. Pourquoi ne pas le sucer, elle était douée d’après tous les hommes qui avaient eu l’occasion de se retrouver entre ses lèvres, et claquer la porte du cabinet alors qu’il serait sur le point de jouir ?
Elle avait finalement appelé le secrétariat, prenant rendez-vous pour des problèmes « d’ordre sexuel ». Elle s’était préparée avec soin le jour J : elle portait une jupe droite, qui arrivait un peu au dessus du genou, et un chemisier blanc. C’est surtout en dessous qu’elle avait fait un effort particulier. Elle avait acheté, spécialement pour cette occasion, un ensemble coordonné de dentelle rouge sombre : soutien-gorge, tanga et surtout porte-jarretelles. C’était la première fois qu’elle en portait un, et elle avait ressenti une vive excitation en fixant les bas noirs qui gainaient admirablement ses longues jambes.Ce n’est qu’une fois arrivée dans la salle d’attente que l’appréhension avait commencé à la gagner. Elle avait quitté son domicile pleine de certitude, sûre de son pouvoir de séduction ; mais, une fois franchie la porte du cabinet, le doute l’avait envahie. Son scénario ne lui paraissait finalement pas si bien ficelé que cela, elle voyait mille failles potentielles. Surtout, le sourire en coin de la jeune assistante qui l’avait accueillie à son arrivée, lui avait fait perdre tous ses moyens. Elle était là la dernière fois, elle avait tout vu, elle savait… Et elle lui avait fait goûter, à même ses lèvres, le foutre salé du médecin qu’elle avait accepté sans rechigner…Elle était à deux doigts de s’enfuir, se sentant idiote, quand la jeune femme lui fit signe d’entrer : c’était enfin son tour. Elle ne pouvait plus reculer ; elle prit son courage à deux mains et elle entra dans le bureau du médecin, prenant son air le plus aguicheur possible.Elle bondit de surprise à peine la porte franchie : le médecin qui se tenait devant elle, qui l’accueillait avec un sourire chaleureux, n’était pas le même que la première fois. Il était beaucoup plus jeune, à peine trente ans. Il était grand, plus d’un mètre quatre-vingt, brun avec de grands yeux verts ; il était particulièrement séduisant. « Entrez mademoiselle », lui dit-il avec douceur.Elle obtempéra, avançant dans la pièce. C’est alors qu’elle le vit : l’autre médecin ; il était dans un coin de la pièce, il semblait observer la situation, toujours avec son sourire arrogant. Le regard de la jeune fille allait de l’un à l’autre, elle ne comprenait pas ce qui se passait.« Alors, qu’est ce qui vous amène, lui demanda le jeune médecin.— Je… Je…, balbutia-t-elle, incapable de répondre.— Elle vient pour des problèmes d’ordre sexuel, d’après ce qu’elle a dit en prenant rendez-vous », intervint alors l’assistante.Le jeune fille la foudroya du regard. L’assistante se contenta de la toiser d’un air dédaigneux. Il était évident qu’elle l’avait fait exprès. Le médecin plus âgé s’était approché, arrivant à la hauteur de son jeune confrère.« Cette jeune femme est venue me voir il ya quelques semaines, si je me souviens bien, expliqua-t-il. Nous avions soupçonné lors de sa visite des fuites urinaires qui m’ont conduit à effectuer un examen approfondi qui heureusement n’a rien révélé de grave ».Il avait prononcé toutes ces explications à l’intention du jeune médecin, mais c’est elle qu’il regardait droit dans les yeux. Si je me souviens bien… Comme si il pouvait ne pas se souvenir de ce qui s’était passé ! En quelques instants, il avait totalement repris la main, totalement pris le contrôle.« Vous avez de la chance pour votre stage dans mon cabinet, dit-il à l’adresse du jeune homme. Les problèmes d’ordre sexuel sont les plus complexes à détecter et à diagnostiquer. Allez-y, je vous laisse commencer, je vous guiderai si besoin !— Merci, lui répondit-il. Pour commencer, dit-il en se tournant vers la jeune femme, pourriez-vous m’en dire un peu plus sur ces fameux problèmes ?— Je… Je… C’est que… ».Elle ne savait pas quoi dire, elle était prise à son propre piège. Son cerveau tournait à toute vitesse, mais elle ne trouvait aucune raison, aucune explication valable à donner pour se sortir de cette situation.« C’est une situation très fréquente, réagit le vieux médecin. Les patientes, surtout quand elles sont jeunes, ont du mal à expliquer, ou en tout cas à exprimer, les difficultés qu’elles rencontrent sur le plan sexuel. Il faut, dans ce cas-là, les questionner, avec beaucoup de tact bien entendu.
— Merci docteur, répondit le jeune homme avec déférence. Très bien mademoiselle, dit-il en se tournant vers elle ; s’agit-il de douleurs, par exemple pendant les rapports ?— Je… Non, pas du tout, répondit-elle sans trop savoir où cet échange allait la mener.— Je pencherai plutôt pour un problème à avoir du plaisir pendant les rapports, intervint de nouveau le vieux docteur. De toute manière, il faut procéder aux examens de rigueur si nous voulons en avoir le coeur net ! »Un problème à avoir du plaisir… s’exclama-t-elle intérieurement. Mais quel salaud !!! Et son regard moqueur qui ne la quittait pas… Elle ne savait plus quoi faire pour se tirer de là ; elle était en panique et elle n’arrivait plus à réfléchir convenablement. « Je vais vous demander de vous déshabiller et de vous allonger sur la table d’auscultation mademoiselle », lui dit gentiment le jeune médecin.Elle resta un moment interdite. Elle prenait conscience à quel point son fameux « plan » était mal ficelé… Totalement perdue, elle décida d’obéir, de donner le change jusqu’au bout. Elle commença à déboutonner son chemisier ; elle vit immédiatement le regard du jeune homme glisser vers le soutien-gorge de dentelle rouge. Son coup d’oeil ne dura qu’un bref instant, mais elle y décela une lueur d’intérêt indéniable. Elle fit ensuite descendre sa jupe le long de ses cuisses. Le jeune homme écarquilla les yeux quand il vit le porte-jarretelles et les bas. Il mit plus de temps à reprendre sa composition. Derrière lui, le vieux médecin n’avais pas cillé ; il avait toujours son mince sourire narquois. Elle était désormais en petite tenue, entourée des deux hommes et de l’assistante.« Il va falloir aussi enlever vos sous-vêtements », lui dit le jeune médecin, d’un ton légèrement embarrassé. Au point où elle en était… elle dégrafa son soutien-gorge, libérant ses seins ronds et fermes. Elle fit ensuite glisser son tanga au sol. Elle était nue, en porte-jarretelles dans un cabinet médical. Rien ne se passait comme elle l’avait prévu. Sur un signe du médecin, elle s’installa sur la table d’auscultation. Immédiatement, la jeune assistante sortit une paire d’étriers de part et d’autre de la table et elle y cala les pieds de la jeune fille, passant ses chevilles dans des sortes de bracelet qu’elle resserra immédiatement, immobilisant ainsi ses jambes. Puis, elle écarta les étriers au maximum, ouvrant en grand ses cuisses. Une fois de plus, son corps la trahit : malgré elle, la situation l’excitait et elle sentait la mouille qui commençait à ruisseler à l’orée de sa chatte ; plus elle luttait, plus elle avait l’impression que ses sécrétions augmentaient.
« Très bien, dit soudain le médecin plus âgé. Il faut toujours commencer par les premières observations extérieures. Que pouvons-nous constater ? demanda-t-il au jeune homme.— Et bien… lui répondit ce dernier hésitant, incapable de détacher son regard du sexe luisant. Je ne saurais dire, je ne vois rien de problématique. — Tout à fait, lui répondit le vieux médecin. En fait, nous voyons des choses plutôt rassurantes. Regardez : les glandes vestibulaires ont l’air de parfaitement fonctionner ! ».Sur ces paroles, il écarta avec ses doigts les grandes lèvres de la jeune femme et il passa et repassa un autre doigt le long de la paroi entre les lèvres et sa fente qui s’ouvrait de plus en plus. Elle dut lutter de toutes ses forces pour ne pas gémir de plaisir à ce seul contact. « Vous voyez, dit-il en montrant au jeune médecin son doigt qui luisait de mouille, les glandes jouent parfaitement leur rôle en sécrétant de la cyprine. Pour le dire de manière plus prosaïque, dit-il en s’adressant cette fois à la jeune fille, vous mouillez parfaitement mademoiselle, pas de souci de ce coté ! ».Il avait prononcé ces mots en la regardant fixement, articulant sciemment comme si il parlait à une personne inculte. Il semblait lui signifier par là qu’il avait très bien compris ce qu’elle avait en tête, et il lui montrait par la même occasion à quel point elle avait complètement perdu. Une fois de plus, il l’humiliait et elle sentait son excitation monter en flèche en retour.« Allez-y, rien ne remplace la pratique, dit-il à l’adresse du jeune médecin. Je vous laisse vérifier par vous même ».D’abord hésitant, le jeune homme finit par approcher ses doigts de l’entre-jambe de la jeune fille. Doucement, il écarta les grandes lèvres et il commença à passer ses doigts avec une infinie précaution sur le pourtour de son sexe. Il constata avec trouble qu’elle mouillait effectivement abondamment. Il cherchait visiblement à ne pas sortir du domaine médical en ne touchant aucune zone réellement sensible, mais cela ne faisait qu’accroître encore davantage l’excitation de la jeune femme qui serrait les dents pour ne pas gémir de plaisir.« Parfait dit alors le médecin plus âgé ; il reste un point à vérifier avant de mener l’examen interne : l’état du clitoris. Il a peut être reçu un choc ou un éraflure qui pourrait être à l’origine de ces fameux troubles que la demoiselle mentionnait » »Pas le clitoris hurla-t-elle intérieurement. Elle tenta, en vain, de refermer ses jambes ; les liens et les étriers la maintenaient fermement. Elle vit l’assistante deviner sa tentative et celle-ci lui adressa un large sourire carnassier en constatant son impuissance. Elle prenait un malin plaisir à observer les tourments de la jeune femme.Le vieux médecin posa ses doigts de part et d’autre de ses grandes lèvres, tirant vers le haut. Immédiatement, ses petites lèvres et son clitoris saillirent, complètement emprisonnés entre les deux doigts du docteur. Il resta un instant sans rien faire, juste à observer. « Le clitoris semble intact, constata-t-il finalement. Il semble même sortir très facilement de son capuchon, ce qui est en général propice à d’agréables sensations lors de rapports sexuels. Je vais quand même procéder à quelques vérifications supplémentaires ».Il prit alors tout son temps pour approcher son autre main de son bouton de plaisir. Il avait accru la pression de ses deux doigts autour de ses lèvres, maintenant encore plus fermement son clitoris dans cette position érigée qui l’offrait totalement à la vue et aux caresses. Quand enfin son doigt effleura la tige, elle ressentit une décharge intense dans tout son corps. Elle faillit lâcher un cri.Il passa légèrement sur toute la surface, allant de la tige au gland du clitoris, comme si il cherchait un problème, un défaut. Il finit par hocher la tête d’un air positif et il proposa à nouveau au jeune médecin de procéder lui aussi à l’examen. Ce dernier semblait comprendre de plus en plus que ces attouchements étaient tout, sauf d’ordre médical. Il parut en prendre son parti, et, avec un large sourire cette fois, il posa à son tour ses doigts de part et d’autre des grandes lèvres de la jeune fille. Le médecin plus âgé lui expliqua à nouveau comment bien les étirer pour faire jaillir au mieux le clitoris et ainsi « faciliter » l’examen. Il s’avéra un élève doué, et très vite les doigts de son autre main parcouraient le petit bouton affolé, cherchant des problèmes qu’il commençait à savoir inexistant.Elle se retenait avec de plus en plus de difficultés. Il était aussi doué que le vieux médecin, et avec cette prise, son clitoris était totalement offert aux caresses ; il dardait, hors de son capuchon, directement exposé aux mouvements diaboliques des phalanges qui le faisaient rouler encore et encore. L’assistante ne la lâchait pas des yeux avec son grand sourie moqueur.
Ce fut une fois de plus le médecin plus âgé qui mit fin aux attouchements alors qu’elle était à deux doigts d’exploser. Il confirma avec son élève que tout était en ordre de ce coté. Puis il annonça qu’il était temps de passer aux examens internes. Elle fut soulagée sur le coup de ce répit, même si elle se doutait que cela ne serait que de courte durée.En effet, très rapidement et sans prévenir, le médecin plongea deux de ses doigts dans sa fente humide et grande ouverte. Il expliqua d’une voix neutre au jeune médecin pourquoi deux doigts étaient préférables à un seul, fournissant un argumentaire médico-scientifique auquel plus personne ne semblait croire dans la pièce.Tout en débitant son jargon, il fouillait avec agilité l’intérieur de son vagin, appuyant avec une précision extrême sur toutes les zones les plus sensibles. Il cessa enfin son exploration alors qu’il l’avait à nouveau amenée à un plateau de plaisir irrépressible, mais ce n’était que pour proposer à son jeune acolyte d’effectuer à son tour l’examen. Celui-ci obtempéra immédiatement avec un enthousiasme qui n’avait désormais plus rien de médical.« Remontez bien vos doigts le long de la paroi antérieure, le guidait le médecin plus âgé. Vous devriez sentir une zone plus rugueuse, proche du point de Gräfenberg. C’est le fameux « point G » dont parle tous les magasines de jeunes, dit alors le médecin à sa patiente en continuant d’articuler fortement comme si il s’adressait à une imbécile. Est-ce que vous sentez une différence de sensation, mademoiselle ? », lui demanda-t-il avec un large sourire.Enfoiré !!! avait-elle envie de lui hurler… Non, elle ne ressentait pas une différence de sensation, mais Des différences de sensation. Des sensations qui l’amenaient de plus en plus aux portes de l’orgasme pour la nième fois…Les jointures de ses doigts étaient blanches tant elle se cramponnait à la table pour se retenir de crier son plaisir et de perdre totalement la tête.« Remontez encore un peu, poursuivit le médecin à l’adresse de son élève. Massez cette zone vigoureusement du bout de vos doigts ! ».Il fit alors aller et venir ses doigts, suivant consciencieusement les instructions de son professeur. Elle fut à nouveau soulagée car, au début, cette caresse ne provoqua pas les remous de plaisir qu’elle venait de ressentir dans son bas-ventre quelques instants plus tôt. Cependant, rapidement, une nouvelle sensation monta en elle. La même en fait que celle qu’elle avait eu quelques semaines plus tôt lors de son premier rendez-vous quand son sexe s’était mis subitement à couler sans qu’elle ne puisse rien contrôler… Elle sentait que cela arrivait, et comme la première fois, elle savait qu’elle ne pourrait rien contrôler, c’était inexorable, inéluctable…« Vous pouvez arrêter, tout m’a l’air en ordre, dit soudain le médecin plus âgé, mettant fin à son supplice. De plus, cette zone, si elle est trop stimulée, peut déclencher ce que l’on appelle communément « l’effet fontaine ». Je ne pense pas que cette jeune demoiselle aimerait « gicler » sur ma table d’auscultation, elle en serait sans doute extrêmement gênée… » poursuivit le médecin en regardant à nouveau la jeune fille avec un sourire en coin.Elle resta interdite par les propos du médecin ; il la provoquait encore et encore et il se moquait ouvertement d’elle. Il savait au fond de lui qu’elle avait été à deux doigts de « gicler » et qu’elle ne ressentait qu’une seule chose : une immense frustration.« Tout me semble finalement en ordre, mademoiselle, enchaina-t-il. Vous vous êtes sans doute inquiétée pour rien. Vous allez pouvoir rentrer chez vous ! ».D’un geste de la main, il lui indiqua la porte du cabinet lui signifiant par là que la consultation était finie. Il retourna alors s’asseoir à son bureau, suivi du jeune médecin. Elle resta un instant, hésitante. Tous ses sens étaient en feu, ils avaient éveillé un véritable volcan en elle et elle sentait sa chatte qui dégoulinait littéralement. Une boule de plaisir qui ne demandait qu’à exploser s’était formée dans son bas-ventre et elle mourrait d’envie que la déflagration survienne enfin.
Alors qu’elle allait pousser la poignée, elle entendit le jeune médecin qui s’étonnait de cette visite, de la bonne santé apparente de la jeune fille. Elle n’avait visiblement rien, alors pourquoi venir et demander un tel examen ?« Nous avons parfois le cas, mon jeune ami, lui expliqua son professeur. Des jeunes femmes apparemment bien sous tout rapport, mais qui cachent en fait un tempérament d’allumeuse et de catin ; des femmes qui ont une attirance pour les professions médicales, et qui viennent, vous m’excuserez les mots, « se faire sauter ». Vous apprendrez à les gérer, faites moi confiance ».Elle resta immobile, incapable de bouger, la main toujours fermement posée sur la poignée de la porte. Allumeuse, catin, se faire sauter… Oui, à ce moment là, elle rêvait de se faire sauter, de se faire sauter comme une catin. Elle aurait frotté son sexe contre n’importe quoi pour se faire jouir ; mais plus que tout, elle avait une envie folle, irrépressible, de sentir à nouveau les mains expertes de ces deux hommes sur sa fente brulante.« Je ne me trompe pas mademoiselle, n’est-ce pas ? lui lança le médecin. Vous êtes bien venue ici avec l’idée de vous faire sauter ? ».Sa main tremblait sur la clanche. Un combat terrible se livrait dans son esprit. L’envie de se sauver à toutes jambes affrontait celle de faire demi-tour et de tout avouer, de supplier en fait ce médecin de la baiser… Son bas-ventre grondait de plaisir, et elle ne voyait aucun moyen d’apaiser ce désir fou qui la tenaillait…La chair eut raison de l’esprit. Sa main quitta la poignée. Lentement, elle se retourna vers les deux médecins toujours assis à leur bureau. Le jeune la regardait avec surprise, le plus âgé avec un sourire de contentement. Elle chiffonnait machinalement sa jupe du bout des doigts, sans oser bouger ni parler.« Oui, mademoiselle ? Lui dit le médecin. Avez-vous quelque chose à nous dire ou à nous demander ? ».Il la regardait fixement, son regard la transperçait de part en part. Elle avait les larmes aux yeux, la gorge sèche et elle ne parvenait à faire sortir aucun son de sa bouche. Comment en était-elle arrivée là ?« Mademoiselle, si vous n’avez rien de plus à dire, je vais vous demander de partir, d’autres patients attendent leur tour, lui lança le médecin d’un ton sec.— Je voudrais… dit-elle, hésitante, sans trouver les mots.— Vous voulez quoi ? tonna le médecin.— Je voudrais… parvint-elle encore à articuler entre deux début de sanglot.— Je vais vous demander de partir, vous nous avez fait perdre assez de temps !— Je voudrais… me faire baiser, finit-elle dans un murmure.— Je n’ai rien entendu mademoiselle !, rugit- à nouveau le, médecin tandis que son jeune élève écarquillait les yeux.— Je voudrais me faire baiser, parvint-elle finalement à dire plus distinctement. — On ne vous a donc pas appris à être polie quand vous demandez quelque chose ???— Je voudrais me faire baiser… s’il vous plait », finit-elle par dire au bord des larmes. Le pire, pensa-t-elle, c’est que ce s’il vous plait était sincère.Le vieux médecin la toisa un instant sans rien dire. Le jeune homme n’en revenait toujours pas, son regard allant de la jeune fille à son professeur.« Déshabille-toi ! » dit alors le médecin plus âgé d’une voix ferme.Elle hésita, totalement désemparée.« J’ai dit : à poil ! Je ne vais pas le redire deux fois » lui dit alors le médecin d’un ton encore plus autoritaire.Elle se mit alors à déboutonner son chemisier puis elle enleva à nouveau sa jupe. Elle ne s’arrêta pas là, elle savait ce que cet ordre signifiait ; elle enleva également ses sous-vêtements, ne gardant que son porte-jarretelles. Les deux hommes et l’assistante la détaillaient à nouveau avec concupiscence. « Vous voyez, dit le médecin à l’adresse du jeune homme ; des cas comme cela surviennent de temps à autre. Des jeune femmes, le plus souvent, qui se croient malignes… Leur comportement est en réalité inadmissible ; elles coûtent de l’argent à la sécurité sociale et elles nous font perdre un temps précieux que nous pourrions consacrer à de véritables malades ! ».Il n’avait pas lâché la jeune patiente des yeux durant toute sa diatribe. Il s’était levé et il était désormais tout proche d’elle. « Vous allez vous faire baiser mademoiselle, si c’est que vous souhaitez ! lui souffla-t-il au visage. Mais avant, je vais vous faire passer le goût de jouer avec le corps médical ! ».Il l’attrapa alors par le bras et il la dirigea vers son bureau. Il la força à se pencher sur la vaste table. Il fit un signe de tête à son assistante qui s’approcha à son tour ; elle avait pris de la bande velcro dans une armoire et elle s’en servit pour attacher les mains de la jeune femme dans son dos. Elle posa ensuite sa main sur sa nuque pour la maintenir fermement contre le bureau.Le vieux médecin allait et venait derrière elle. Il avait retiré le stéthoscope qu’il avait autour du cou, et il jouait à abattre la tige caoutchouteuse dans la paume de sa main, faisant siffler l’air à chaque fois. La jeune femme tenta de se débattre, comprenant ce qui allait arriver, mais l’assistante tenait bon et la maintenait en position.Le premier coup la prit totalement par surprise. Elle cria de douleur sous l’impact du caoutchouc qui zébra sa fesse droite. Elle n’eut cependant droit à aucun répit, car un deuxième coup tomba quelques secondes à peine après le premier. Le médecin lui fouetta méthodiquement le cul, frappant chaque fesse à tour de rôle. Elle reçut vingt coups qui la laissèrent ivre de douleur. Son postérieur la brulait et la douleur irradiait dans tout son corps longtemps après la dernière morsure sur sa peau. « Je pense que cette fois elle aura compris, affirma le médecin. Maintenant, exauçons son souhait ! Mon jeune ami, à vous l’honneur, vous êtes jeune et vigoureux, je suis sûr qu’elle appréciera ! ».
Cette fois, le jeune homme ne se fit pas prier. Il déboutonna prestement son pantalon et il vint se positionner immédiatement derrière la jeune femme, la prenant par les hanches. Son gland déjà bien dur vint doucement caresser l’entrée de sa grotte brulante. Elle gémit, ondulant instinctivement pour se faire prendre par ce chibre qui lui faisait tant envie.« Non, pas ainsi, intervint le vieux médecin, interrompant la pénétration avant même qu’elle n’ait commencé. Je pense que cette petite chienne a besoin de plus ; sodomisez-la directement, cela va la calmer, croyez-moi ! Mon assistante va vous faciliter le travail ».Immédiatement, la jolie acolyte du médecin se pencha et écarta les fesses meurtries avec ses deux mains. Elle plongea ses lèvres dans le sillon offert et elle entreprit de lécher méthodiquement la rondelle totalement exposée. Sa salive coulait au fond de son petit trou, la lubrifiant abondamment. Cette petite langue agile commençait à faire des ravages ; la sensation était délicieuse, notamment quand elle appuyait de toute sa pointe pour pénétrer doucement l’anus frémissant. La caresse cessa alors que le jeune fille commençait à ressentir des ondes incessantes de plaisir monter depuis son cul dans tout son corps. Elle n’eut cependant pas longtemps à attendre avant de sentir le sexe tendu du jeune médecin venir à son tour appuyer sur son petit trou déjà bien préparé. Il s’enfonça en elle avec une efficacité certaine ; elle sentit immédiatement sa pratique. Il lui laissa le temps de s’habituer à sa présence entre ses fesses avant de commencer un va-et-vient régulier.Les ondes de plaisir revinrent presque aussitôt. Elle sentait en même temps sa chatte ruisseler de plus belle alors que les coups de rein du jeune homme s’accentuaient pour augmenter la cadence des coups de queue entre ses fesses. Elle gémissait de plus en plus, prenant un plaisir croissant dans cette sodomie qui venait enfin soulager le feu qui la brulait de l’intérieur.Le médecin plus âgé s’était approchée d’elle, se penchant contre le bureau. Il posa sa main sur sa fente largement ouverte et il commença à masser délicatement son clitoris et ses lèvres intimes. Les cris de plaisir de la jeune femme redoublèrent alors sous l’effet de cette caresse. L’assistante ne voulut pas être en reste ; elle s’approcha à son tour et elle s’agenouilla pour sortir le sexe de son patron qu’elle prit immédiatement en bouche.Sans cesser son massage de la paume sur le clitoris, le médecin insinua un doigt puis deux dans sa petite chatte resserrée sous l’effet du chibre qui démontait désormais littéralement son cul. Elle sentait les deux doigts comme jamais et leur insertion renforçait en retour les sensations que lui procurait le sexe dans son anus.Un troisième doigt effleura l’orée de son vagin. Il tournait lentement, cherchant à entrer, mais c’était impossible avec le sexe qui pilonnait sans relâche son orifice le plus intime. Cette impossibilité ne sembla pas arrêter le médecin qui força lentement mais surement l’accès. Le troisième doigt se planta finalement lui aussi dans la chatte brulante, augmentant encore le plaisir de la jeune fille qui haletait en criant, baisée comme jamais par le jeune médecin qui allait et venait désormais entre ses fesses sas aucune retenue.Elle ne sentit même pas le quatrième doigt entrer en elle ; elle était ailleurs, nageant dans un océan de plaisir qui avait pour point central son petit trou totalement distendu sous les assauts du médecin. Lorsqu’elle sentit le pouce qui tentait de se frayer un chemin en elle, elle eut envie de réagir, mais que faire ? Elle était agitée de part en part, telle un pantin désarticulé, subissant les coups de boutoir de plus en plus violents du jeune élève qui approchait lui aussi de l’apothéose.Rien ne semblait impossible à ce médecin et le pouce finit lui aussi par rentrer. Comme pour la fois précédente, il ferma son poing, mais il ne le retira pas cette fois, au contraire : il commença une série de va-et-vient rapide en elle, des va-et-vient qui eurent totalement raison d’elle. La boule de plaisir qui s’était formée dans son ventre depuis les premiers examens explosa littéralement. L’onde de choc la parcourut du bas-ventre à toutes ses extrémités ; mais ce n’était que la première d’une longue série, et pas la plus violente. Ls vagues se succédèrent pendant de longues secondes qui lui parurent une éternité, une éternité à hurler de plaisir en se déhanchant sans relâche sur le poing et le chibre qui la ravageaient. Au moment où son orgasme éclata, elle se sentit aussi à nouveau couler. Du liquide giclait de sa chatte en feu, sans qu’elle puisse le contrôler, sans qu’elle cherche en fait à le contrôler. Cette expulsion avait quelque chose de libérateur, qui ajoutait encore à sa jouissance.Elle sentit la queue du jeune médecin se contracter entre ses fesses, gonfler encore, lui arrachant de derniers cris de plaisir et soudain il expulsa tout son foutre au plus profond de son cul. Elle sentait les rasades chaudes qui coulaient en elle pour son plus grand plaisir. La main de l’assistante la saisit alors à nouveau par les cheveux et elle la fit agenouiller. Elle tenait le sexe de son patron dans la main et elle le branlait avec vigueur, juste devant son visage. Elle ne bougea pas, ne chercha pas à esquiver. Le visage du médecin se contracta de plaisir et il lâcha un long râle de jouissance avant que son sexe n’arrose le visage de la jeune fille de longues giclées de foutre crémeux. Elle était à genoux dans sa propre mouille qui avait inondé le parquet, de la cyprine coulait le long de ses cuisses et elle avait le visage couvert de sperme. De la semence commençait aussi à s’écouler de son anus encore béant. Elle ne ressentait alors qu’une seule chose : une béatitude profonde, un bien-être total. Jamais elle n’avait joui comme cela.
Elle rentra chez elle encore pantelante. Elle avait du mal à marcher, elle avançait comme un robot. Alors qu’elle tournait la clé de son appartement, son téléphone sonna, elle décrocha aussitôt.« Mademoiselle ? Je suis l’assistante du médecin que vous venez de voir. Il s’inquiète pour vous et il pense qu’il serait souhaitable que vous le voyiez au moins une fois par semaine pour suivre votre état. Il propose les vendredi à seize heure, est-ce que cela vous conviendrait ?— Je me rendrai disponible », répondit-elle sans hésiter, son bas-ventre à nouveau parcouru d’un frisson indescriptible.
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