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Ma chef Agnes

Chapitre 1

Hétéro
J’ai changé depuis quelques mois, de poste, et me voilà dans une agence, plein centre-ville, mais à 70 kilomètres de la maison.Agence dirigée par Agnès, une femme de 45 ans, divorcée, mère de 2 enfants. Elle parait autoritaire, mais on sent bien qu’elle est humaine et sympathique. Quelconque physiquement, ni belle ni moche, elle porte sur son visage, les traces d’un passé difficile.
Elle doit mesurer 1m70 environ, 50 kilos grand maximum, elle n’a pas de réelles formes, une petite poitrine, et un fessier inexistant. Les cheveux mi- long, sans coupe, les yeux clairs, le regard agréable, bien qu’il soit triste.
On peut dire que je m’entends bien avec elle, ce qui n’est pas le cas de tous ici. J’ai appris avec le temps qu’il était préférable de la jouer soft, acquiescer quand il fallait, ne pas faire de vague, et on s’évite les soucis et les désaccords.
Ce matin, j’avais décidé d’aller évoquer les couts concernant mes frais kilométriques, en effet, cela représente un réel budget pour moi, et un beau trou dans l’argent du ménage.Agnès était déjà là quand j’arrivais, la lumière dans son bureau me l’indiquait, je passe me chercher un café et je frappe à sa porte. Elle vint m’ouvrir, sourire aux lèvres, et un sympathique bonjour.
Elle portait une robe couleur chair, proche du corps, qui marquait évidemment ses sous-vêtements, un string pour aujourd’hui.Même si ce n’était pas mon genre de femme, j’aimais regarder et deviner ce qu’elle pouvait bien porter comme dessous.Après quelques minutes d’échange sur ma situation, elle m’avoua que ce serait difficile d’obtenir des indemnités, mais me proposa de faire du covoiturage.Effectivement, son domicile se trouvait sur ma route, négociant un petit détour, elle me proposa de venir jusqu’à chez elle, et y laisser ma voiture, on prendrait alors la sienne, qui était un véhicule de fonction. Si je n’y voyais pas d’inconvénient, elle serait ravie de m’accorder ces économies, et en profiterait pour ne plus faire la route seule.
On a décidé d’essayer dès le lendemain, je devais la rejoindre à 8h30 maximum chez elle.Le lendemain, je me tiens au programme, et me voici un peu en avance chez Agnès qui m’accueille en robe de chambre, les cheveux en bataille.
— Bonjour, je suis désolé, j’ai passé une sale nuit, j’ai du mal à me réveiller ce matin, entre ! vas-y, je file me préparer.
Je lui emboîte le pas, elle m’accompagne jusqu’à la cuisine, tout était plongé dans le noir, juste une lumière nous montrait un peu de vie.
— La nounou est venue récupérer les enfants, j’étais en train de boire mon café, fais-toi s’en un si tu veux, et si je peux abuser de ta gentillesse, pourrais-tu ouvrir les volets de la maison ? — Pas de soucis, je m’en occupe.
Elle claque la porte de la salle de bain, où je ne peux m’efforcer de l’imaginer nue dans la douche.Elle vit dans un joli pavillon d’une centaine de m2, je navigue entre les différentes pièces pour ouvrir chaque volet manuellement, je finis dans sa chambre. Le volet une fois ouvert me laisse apercevoir, un grand lit défait, deux oreillers l’un contre l’autre adossé à la tête de lit, et au sol, un string noir sur lequel reposaient des lingettes fraichement utilisées...
Mon esprit de voyeur commence à s’emballer, pris d’excitation, je m’approche de ces objets qui me laissent penser à une envie subite, qui a dû être satisfaite... peut être l’ai-je dérangée ?Le string dans les doigts fébriles, j’aperçois également le tiroir de la commode de chevet, entrouvert, et quelle est ma surprise en l’ouvrant... un gode ventouse, plutôt bien réalisé, et d’une taille supérieure à la moyenne, il était rose, un gland décalotté, bien épais, veiné, avec un socle en forme de testicule. Mon sang ne fait qu’un tour, et voilà que ma verge se met à gonfler d’excitation. D’autant plus que le petit string noir que j’ai entre les doigts est clairement maculé de cyprine... elle a dû bien s’amuser avec ça, la coquine.
— Ça va, je te dérange pas ! sa voix claque comme un coup de fusil. Elle est là, dans l’entrebâillement de la porte, le visage rouge.— Je t’ai demandé d’ouvrir les volets, et non de ramasser mon linge sale !!!
Confus et honteux, je repose le string et referme le tiroir, j’essaie de m’excuser, mais aucun mot ne sort de ma bouche, je passe à côté d’elle, tête baissée.J’allais lui proposer d’annuler le covoiturage, lorsqu’elle me tendit sa mallette de boulot, en me demandant de lui déposer dans le coffre de la Twingo.Les premières minutes dans la voiture étaient d’un silence glacial, je naviguais sur mon téléphone, en évitant de croiser son regard.
— Si c’est pour faire le mort, je n’ai pas besoin d’un covoitureur, me dit-elle, dans le plus grand des calmes.— On va dire que la situation embarrassante de ce matin a coupé mon bavardage naturel, lui répondis-je, d’un air penaud.— Qu’est-ce qui est embarrassant ? Le fait de savoir qu’une femme seule ait besoin d’assouvir certains désirs, ou qu’elle te surprenne, avec son string mouillé dans la main, car tu n’as pas su retenir ta curiosité ? — La première est excitante, et cela ne me pose aucun souci, au contraire... la deuxième est plus gênante, effectivement, être pris main dans le sac, et de surcroit par sa chef, est une situation plutôt embarrassante.
Je ne veux pas être jugé, lui dis-je.
— Comme ça, on est deux alors, je ne veux pas que tu te fasses des idées sur moi, oui j’utilise un gode pour assouvir certaines envies, je suis divorcée depuis 3 ans, et je n’ai pas eu d’homme depuis ce temps, jusqu’il y a quelques semaines, cela ne me dérangeait pas, j’en éprouvais aucune envie, mais depuis peu, cela revient, et je me suis surprise à commander cet objet sur internet, je l’ai reçu hier dans la boîte aux lettres, il est énorme, et désolée de te décevoir, mais il n’a pas servi, il ne rentrera jamais ! à côté mon ex-mari est ridicule, lâcha-t-elle en éclatant de rire...
Je ris aussi.
— De ce que j’ai vu, il ne parait pas si imposant, une belle taille, mais rien d’affolant.
Elle me regarde d’un œil inquiet et interrogateur.
— Tu vas aussi me dire que ton sexe est plus gros ? Vantard ! — Je ne répondrais pas à cette question trop intime, étant la seule réponse que je trouvais sans réfléchir.— Mouais, je ne sais pas ce que tu entends par là, mais ça ne répond pas à ma question, ça n’existe que dans les films ce genre de taille d’engin ! — Cela veut donc dire que ça existe.
Elle sourit, surprise de ma réponse, et elle ne put s’empêcher de diriger son regard vers mon entrejambe.
— Tout ce que je te demande, c’est d’en parler à personne, et c’est un ordre ! là elle était redevenue sérieuse et autoritaire.
J’acquiesçai et je lui confirmais que cela resterait entre nous. Que ce genre de situation n’était ni pour l’un ni pour l’autre une chose que l’on avait envie de crier sur tous les toits.La journée se passait parfaitement bien, je n’ai croisé Agnès que 2 ou 3 fois avant le retour du soir, cependant une chose m’intriguait au plus haut point, je ne voyais aucune marque de string sous sa robe moulante, elle ne portait également pas de collant. Serait-elle nue ? Cette idée provoqua une forte érection, et il faut dire que c’est peu discret dans un pantalon de costume slim.
— Effectivement, tu me parais bien gâté par la nature, me lança-t-elle en s’installant dans la voiture.
Rouge de honte, je regarde ma bosse qui tend vraiment mon pantalon, j’essaie de la remettre en place, en la poussant vers le côté, mais cela devient encore plus visible. Agnès a les yeux rivés sur mon sexe.
— Je ne peux le cacher, effectivement, c’est une certaine fierté, répondis-je, en essayant de rester calme.— Et tu arrives à entrer sans faire de dégâts ? — Arrêtons d’exagérer, elle est d’une bonne taille, effectivement, et d’après ma femme, c’est la plus grosse qu’elle n’ait vue, mais oui, la pénétration s’effectue sans difficulté, je fais juste attention en entrant. — Combien fait-elle ? Elle a les yeux brillants, et elle n’arrête pas de mordre ses lèvres... l’ambiance est électrique, tendue, comme mon érection qui ne s’affaiblit pas.— 20 centimètres, pour 5 centimètres de large, au meilleur de sa forme.
Les yeux écartés, elle fixe ma bosse.
— Et ben, dis donc, je ne sais pas si ça doit m’épater ou me faire peur.— Pourquoi vous faire peur ? Il n’est pas prévu que je vous pénètre.
On éclate de rire, l’ambiance est bonne et amicale, mais pesante, il fait chaud.
Au fond de moi, je suis excité, je me mets à imaginer mon sexe en elle, rencontrant de réelles difficultés à rentrer... et j’avoue que c’est une expérience que j’ai envie de tenter.L’arrivée chez elle coupe mes idées sexuelles, Agnès m’invite à entrer, boire un café, en tout bien tout honneur comme elle précise, en ajoutant que ses garçons sont là. Je refuse son invitation, prétextant la route.Elle vient à mon encontre pour me faire la bise, et me glisse dans la main un tissu en dentelle, que je sens humide, avec une voix très sensuelle, elle me glisse :
— Puisque celui de ce matin avait l’air de te plaire.
Je suis surpris de cette audace, et mon excitation s’accroit, décidément, elle m’aura bien excité.
— J’en ferai bon usage, lui répondis-je avec un sourire malicieux.
La route est trop longue, je décide de m’arrêter dans un chemin boisé, et je prends son string entre les doigts, le porte à mon nez... ce parfum est délicieux. Il ne ressemble en rien à ce que j’ai déjà pu sentir, un doux mélange de parfum pour femme, de gel douche fruité, mais aussi plus corsé, plus âpre, l’odeur d’un sexe excité... je ne résiste pas à plonger mon nez dedans, humide, collant, je sens cette odeur intime et divine, tout en déboutonnant mon pantalon, le faisant glisser sous mes fesses ainsi que mon boxer, les fesses nues sur le cuir de mon siège, la verge tendue à l’extrême, je la saisis dans ma main et commence de longs va-et-vient, tout en m’imaginant la tête entre les cuisses d’Agnès, le nez sur son sexe.
Un petit poil me chatouille, ce qui me laisse imaginer qu’elle ne s’épile pas, je ne suis pas fan des sexes naturels, et je préfère le penser lisse et doux, accueillant ma langue gourmande et joueuse.Une idée folle me traverse l’esprit, mais elle parait joueuse autant que moi, je saisis mon smartphone, je veux lui prendre ma verge tendue à l’extrême en photo, j’enroule son string autour de ma tige de chair, je décalotte mon gland, et le fais gonfler encore plus. L’angle de l’appareil la met encore plus en valeur. La voici capturée, prête à être envoyée.
Un petit mot :
— Votre divin parfum intime a eu raison de mon désir, la voici dressée de plaisir.
Envoyé.Cet état d’excitation aura raison de moi, c’est dans un gros soupir que j’éjacule, de longs spasmes accompagnent mes giclées. J’arrive à les diriger vers le tissu en dentelle d’Agnès, et je le remplis de mon sperme chaud.Me voici satisfait de cette tension, le string noir inondé, je le dépose dans la boîte à gant, je lui rendrais demain matin. La sonnerie de mon téléphone retentit, Agnès a répondu.
— Tu ne m’as pas menti, impressionnant, mais tu n’aurais pas dû faire ça...à demain.
J’ai du mal à comprendre le sens de son message, j’en saurais peut-être plus demain.
Aujourd’hui, mercredi c’est RTT à midi, comme Agnès, ça tombe bien pour notre covoiturage.Son SMS trotte toujours dans ma tête, je ne comprends pas ce qu’elle a voulu dire, et tout le trajet jusqu’à chez elle, c’est le même refrain qui sonne.De toute façon, plus besoin d’y penser, je viens de me garer devant chez elle. La maison a l’air d’être plus en vie qu’hier matin, les volets sont déjà ouverts. Je sonne. La voilà qui m’ouvre, déjà habillée, elle porte un jean sombre slim, avec un chemisier légèrement transparent qui laisse entrevoir un soutien-gorge noir en dentelle. Après une bise rapide, et un bonjour cordial, elle me propose de l’attendre cinq minutes, le temps qu’elle finisse de se préparer.Je la suis jusqu’à la salle de bain, elle me regarde, étonnée :
— Oui ? Tu as besoin de quelque chose ? — Vous rendre ça, lui répondis-je, en lui tendant son string souillé et encore humide de mes effluves d’hier.
Elle le saisit à pleine main, et me regarde, surprise.
— Il a bien servi effectivement, il y a tout de disproportionné chez toi ! dit-elle, le sourire aux lèvres.— Je ne fais pas les choses à moitié, effectivement.— Que dois-je en conclure ? — Ce que vous voulez, c’est vous qui m’aviez offert votre string.
Je l’avais piqué, elle pensait pouvoir gérer la situation, mais au fond d’elle, elle savait que la situation n’était plus sous contrôle.
— Cela fait trois ans que je n’ai pas eu un homme dans mon lit, ce n’est pas aujourd’hui que ça va changer, surtout un collègue, et encore moins un homme marié !
C’était clair, et froid comme réponse, pas vraiment celle que j’attendais, mais je savais aussi que son but était de reprendre la main, je ne devais pas la brusquer, mais garder une longueur d’avance sans qu’elle s’en rende compte.
— Qui a dit que je voulais entrer dans votre lit Agnès ? Aussi attirante que vous êtes, je ne pense pas que ce soit une bonne idée...
Son visage se ferma d’un coup, piquée, je ne voulais surtout pas qu’elle pense gérer la séduction.
— Et pourquoi donc ? — Sans rentrer dans le détail intime de ma vie, je ne pense pas que mes envies sexuelles puissent correspondre à une femme divorcée et sans activité sexuelle depuis aussi longtemps.
J’avais décidé de taper fort, je voulais qu’elle se sente vexée, fragile, j’avais envie que ce soit elle qui me demande de la prendre, c’est le seul moyen pour moi de l’avoir tout entière.
— Tu as trop regardé 50 nuances, me lança-t-elle sur un ton froid.— Effectivement, et j’avoue qu’à cet instant, je ne serai pas contre vous mettre une bonne fessée sur vos fesses nues !
Elle ne répondit pas, mais son regard en disait long.Le trajet se passa bien, Agnès était concentrée sur sa route, mais je voyais bien qu’elle était perdue dans ses pensées. Je pense que mon petit jeu fait effet, et honnêtement, je m’arrêterai bien sur le bord de la route pour la prendre en levrette rapidement sur la banquette de la Twingo.La matinée fut calme et passa vite, 2, 3 clients classiques, je suis à jour dans mes dossiers, à 12h15, je frappe à sa porte pour indiquer qu’il était l’heure.Elle était déjà prête, et 5 minutes plus tard, nous voici sur le chemin du retour.
— Vous me paraissez bien songeuse Agnès depuis ce matin ? — Effectivement, je dois reconnaitre que je suis assez pensive depuis hier soir, ça fait beaucoup d’éléments depuis hier matin, tu es entré dans mon intimité, je t’ai offert une partie de celle-ci, tu me confies la tienne, et là elle ne peut s’empêcher de jeter un œil entre mes jambes, mon sexe l’attire.— Je ne sais pas quoi en penser, pour être honnête.— Effectivement, c’est troublant de se retrouver dans cette situation, mais je vais être honnête également, depuis hier matin, je n’ai qu’une vision en tête, et elle est interdite aux moins de 18 ans... — Dis-moi, elle susurre presque ces deux mots, je la sens excitée et impatiente.— Je ne cesse d’imaginer, ce gode s’enfonçant entre vos cuisses...
La bombe était lâchée, elle savait ce qui m’excitait. Et rien que d’y penser, voici ma verge qui se réveille, formant la même bosse qu’hier soir.
— J’ai un marché à te proposer, me dit-elle, sérieuse, le regard brillant.
Dans ma tête, c’est feu d’artifice, je sens qu’elle lâche prise, et que je vais obtenir ce que je veux...
— Pour les mêmes raisons évoquées ce matin, je ne peux pas concevoir coucher avec toi, mais...
Le suspens était trop long, elle était là, bouche mi-ouverte à attendre...
— Mais, je peux concevoir d’essayer de me pénétrer avec mon gode devant toi, à condition que je puisse te mater aussi, je pourrai ainsi m’imaginer que c’est ton sexe que j’aurai en moi... Mais rien de plus, es-tu d’accord avec mes conditions ? — OK pour moi, mais j’ai une condition également, je veux que vous vous épiliez intégralement, j’ai envie de profiter de la vue d’un sexe lisse.— J’ai jamais fait, mais OK pour cette condition.
Prétextant un mal de dos, je lui demandais de m’arrêter à la 1ere pharmacie, pour y prendre des cachets, mais en réalité, c’est surtout pour acheter du lubrifiant, je savais qu’il allait être utile, si je voulais voir son jouet s’enfoncer sans difficulté.
— Pas la peine d’acheter des capotes, tu ne les utiliseras pas, me lança-t-elle sur un ton moqueur.— Ça tombe bien, je suis allergique, effectivement je m’en servirais pas.
La réponse est parfaite pour ce genre d’attaque, et en plus c’est bien vrai.De retour avec les cachets dans les mains, et le lubrifiant dans ma sacoche, Agnès parait rassurée.
— Tu es vraiment allergique ? — Si vous voulez me voir tout mou et rouge, on peut essayer.— Je préférai la voir dans la même forme qu’hier soir.
J’étais vraiment excité, et ma bosse regonflait de plus belle, arrivé chez elle, elle me regarde et me demande si je veux passer l’après-midi ici avec elle, je caresse juste mon sexe, en guise de réponse.En entrant, je nous sens un peu fébriles et mal à l’aise, on sait ce qu’il va se passer, je lui propose de commander traiteur et de se faire livrer. Elle me remercie, et m’invite à m’installer dans le salon pendant qu’elle passe à la salle de bain.
— Si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas.— Tu ne veux pas plutôt me tutoyer s’il te plaît ? — Je vous tutoierai qu’à une seule condition, et pour l’instant, ce n’est pas au programme.
Je passe commande auprès d’un traiteur chinois, dont j’ai trouvé le flyer sur son frigo, pendant que je l’imagine cul nu sur le rebord de sa baignoire et cette vision me pousse à frapper à la porte une fois la commande passée.
— Tout se passe bien ? — Entre si tu veux, je pense que j’aurai besoin d’aide, ce n’est vraiment pas évident.
Elle est effectivement assise sur le rebord de la baignoire, jambes écartées, le sexe poilu, en train de batailler avec un rasoir.Voyant une tondeuse à cheveux sur l’étagère, je décide de prendre les choses en mains, elle me regarde, surprise.
— Pas d’inquiétude, je maîtrise.— Interdiction de me toucher, c’est la règle, sinon on arrête tout ! — Je toucherai que ce qui est nécessaire pour réaliser un minou lisse...
Je m’assois par terre entre ses jambes, le visage à 20 centimètres de son sexe, la tondeuse sans sabot dans la main droite, ma main gauche vient fébrilement toucher son ventre... et méthodiquement, je retire tous les poils sur son pubis, autour de ses lèvres, et je descends même sur son périnée. Elle me laisse opérer sans bouger, je vois un liquide brillant humidifier sa fente, mais je n’en fais rien, je continue, concentré, à rendre ce sexe aussi lisse que possible. Une fois la tondeuse passée, je prends du savon que je fais mousser, et l’étale sur son pubis, autour des lèvres, sur son périnée, tout en remontant mon index le long de son sillon fessier... en insistant sur son anus. Elle se crispe et serre les jambes.
— Pas d’inquiétude, je ne fais que préparer le passage du rasoir, lui dis-je calmement, en faisant glisser le bic dans le sens inverse de la pousse des poils, mes doigts frôlent ses grandes lèvres, ma paume de main vient se plaquer contre son clitoris, et en jonglant bien, j’arrive de manière naturelle à effectuer une pression suffisante à cet endroit, pour la sentir légèrement soupirer, ma lame a quasiment fini son travail, son sexe est gonflé et son clitoris est bien hors de son capuchon, je finis le rasage par les quelques poils qui entourent son anneau interdit, et la voici douce et lisse. Je lui demande d’entrer dans la baignoire, et avec le pommeau de douche, à température agréable, je la rince, tout en en profitant avec ma main et mes doigts pour lui caresser le sexe. Cette position est très sensuelle et excitante, je bande comme un taureau, et je n’ai qu’une seule envie, c’est de lui dévorer cette chatte si fraiche...
Elle me sort de mon envie en coupant l’eau.
— Stop, ça va trop loin, j’avais dit pas de contact, et là c’est déjà bien assez.— Dites-moi que vous n’aimez pas ça ? lui dis-je en titillant son clitoris gonflé de sang.— Stooop, glissa-t-elle en soupirant de désir. — DING DONG, satané livreur, il choisit mal son moment...

Il fallait qu’il arrive maintenant celui-là, je sortais de la salle de bain, récupère mon portefeuille dans ma sacoche, et vais ouvrir au livreur. Je réceptionne la commande et je paye.Agnès me rejoint, vêtue d’une robe de chambre en soie, courte, qui laisse entrevoir ses jolies jambes fines.
— On mange tout de suite ? lui lançais-je, tout en la dévorant des yeux.— Cela serait préférable, vu ton appétit ! répondit-elle en souriant.— Ce n’est pas de ça dont j’ai envie à cet instant.
Je me rapproche d’elle tout en disant ça, elle essaye de me repousser, mais tombe en arrière sur le canapé.La voilà à moitié couchée, les jambes relevées, la robe de chambre écartée... une vue imprenable sur son sexe lisse et épilé... elle porte encore son chemisier qui lui arrive au-dessus du nombril.Je ne peux m’empêcher de m’accroupir vers cette offrande, Agnès referme les jambes.
— Arrête, s’il te plaît, ça va trop loin... — Taisez-vous ! ça suffit maintenant de faire l’enfant, on n’exhibe pas sa chatte comme ça, en espérant qu’il ne se passe rien !
Mon ton l’avait surprise, elle était décontenancée, figée, j’avais dit ça, tout en lui empoignant les genoux, et en les écartant.
Je me baisse encore, me mets à genoux entre ses cuisses, elle se laisse faire, elle n’a pas peur, elle est juste intimidée.J’embrasse son ventre, lèche son nombril, puis je descends sur son pubis tout doux... je dépose quelques baisers, puis descends encore sur l’aine, j’évite tout contact avec son sexe... je veux vraiment l’apprivoiser... je veux qu’elle se donne entièrement.
J’embrasse l’intérieur de sa cuisse, de doux et long baisers, puis ma langue joue avec sa peau... elle soupire légèrement, elle lâche prise doucement et s’allonge complètement.Ma bouche longe sa jambe, passe par son genou, son mollet, sa cheville, je lui masse sensuellement le pied, puis prends son gros orteil dans ma bouche, elle sursaute, ouvre grand les yeux...Je la regarde fixement, pendant que je lèche et aspire cette partie de son corps, j’aime le sentir dans ma bouche, sa finesse, son goût... mes mains la caressent en même temps, et je la sens se libérer petit à petit... son sexe devient luisant, elle ouvre sa robe de chambre, défait son chemisier, elle est terriblement sensuelle dans ses mouvements.
Je remonte ma langue sur toute sa jambe, ralentit à l’intérieur de sa cuisse, puis me dirige vers son sexe, il est trempé, il est vraiment très beau, des lèvres de taille moyenne, gonflées, bien symétriques, la fente brillante et nacrée, et son clitoris qui pointe, à l’origine de ses lèvres, ni trop gros ni trop petit, facilement repérable... je la sens impatiente, son bassin ondule devant moi... J’approche mon visage, mon nez effleure sa peau, son odeur est délicieuse, elle sent l’excitation, une légère odeur d’amande, sa mouille humidifie mes narines, salée et chaude...
— Je t’en supplie, vas-y..... elle soupire en disant ça, et cambre son bassin pour que son sexe avance encore plus vers moi...
Ma langue vient effleurer ses lèvres, délicatement d’abord, je veux la goûter, puis plus goulûment, je lèche de bas en haut, à pleine langue, je recueille sa cyprine dans mon mouvement de langue.
— Vous êtes délicieuse... je veux vous dévorer... je disais ça avec une forte excitation, d’une voix tremblotante... c’était la plus belle chatte que j’ai eu l’occasion de lécher... j’étais si excité que j’aurai pu décharger dans mon boxer sans qu’elle me touche. Son parfum et son goût étaient divins, elle sentait la fraicheur et l’excitation, elle appelait ma langue... Je rentrai doucement dans un état second, ma langue devenait plus vive, plus précise, elle tournait autour de son bout de chair qui gonflait sous les caresses, elle se faisait taquine puis virile... elle entrait dans sa fente humide comme un sexe tendu, puis ressortait lécher goulûment les lèvres gonflées de sang.
Agnès se tordait de plaisir sur le canapé, elle cherchait désespérément un endroit où s’accrocher, je la sentais pleine de désir...Je lui tendis alors ma main gauche, qu’elle saisit fortement, ainsi je pourrai ressentir son plaisir, et m’adapterai à son ressenti.Ma bouche et ma langue parcouraient son sexe trempé, elle gémissait de plus en plus, de légers cris résonnaient lorsque ma langue restait plus longuement sur son clito, je savais comment la faire déclencher, mais j’avais envie de plus. Toujours ma main gauche dans sa main, je passais ma main droite au-dessus de sa jambe, pour la plaquer sur son pubis, je tirais légèrement sur ses lèvres, sa fente s’ouvre, son clitoris se tend... ma langue lèche son sexe entièrement puis j’aspire délicatement son petit bout et son capuchon... La réaction est immédiate, sa main se comprime dans la mienne, un long feulement s’échappe de sa bouche, suivi d’un « Oh putain ! »
C’est le signal, mais voulant jouer encore un peu, je relâche la pression et la suçotant un peu plus bas...
— Pourquoi ?! me dit-elle, plaintive...— J’en peux plus, fais-moi jouir s’il te plaît.
Des larmes dans les yeux, je sentais qu’elle prenait un pied énorme, et j’étais très fier de ma prestation, mais je décidais de la faire languir encore un peu, meilleur serait son orgasme. Et surtout, je savais que j’avais plus de chance qu’elle soit réceptive à cette caresse que je m’apprêtais à effectuer...
Ma langue jouait sur ses lèvres, puis descendit petit à petit sur son périnée, je léchais doucement de la pointe de la langue cet endroit où la peau est si fine et si tendue...Elle relâche un peu ma main, mais ondule son bassin au rythme de ma langue, je la lèche encore en petit cercle, puis ma langue dévie et se retrouve collée contre son anus...C’est une sensation divine de prodiguer ce genre de caresse, surtout lorsque je suis à peu près sûr que c’est la première fois pour elle. Je le sais, car son corps s’arrête de bouger, sa main se détend... je la sens gênée. Ma langue continue de la lécher doucement, je sens son anneau étroit et gonflé, toutes les petites boursoufflures sont terriblement excitantes... et malgré elle, sa corolle s’ouvre doucement...
Pour éviter qu’elle ne perde son excitation, mon index vient titiller son clitoris, en même temps que la pointe de ma langue cherche à entrer entre ses fesses...La réaction est nette et rapide, sa main agrippe de nouveau la mienne, ses gémissements reprennent, et ses fesses s’ouvrent un peu plus...Je la lèche avec gourmandise, et mon index effectue des petits cercles intenses, je sens qu’elle vient, elle pousse de petits cris sourds, sa main écrase la mienne, je décide alors d’en finir, et ma langue vient la laper goulûment sur toute sa fente, pour finir avec son clitoris que j’emprisonne dans ma bouche.
Son orgasme déchire la pièce, intense et long, je la sens se tortiller dans tous les sens, des « putain » « oh oui c’est bon » « t’arrête pas » résonne encore et encore, ma bouche est trempée...Je continue de la stimuler jusqu’à ce qu’elle redescende, doucement, lentement, elle se calme, son souffle ralentit, sa main me lâche... elle est calme et détendue.Je trouve des mouchoirs sur sa table, je m’essuie la bouche et les mains, puis m’assois à côté d’elle, les yeux mi-clos, je sens qu’elle est ailleurs. Puis sa main remonte sur ma cuisse, fébrile, tremblante... elle dégrafe mon pantalon, je l’aide en relevant mes fesses et en baissant costume et boxer... Ma verge est tendue à l’extrême, le gland décalotté violet lisse... ma tige est gonflée, on voit mes veines palpiter. Elle se redresse, et prend mon sexe à pleine main, cette sensation est délicieuse, elle me sert doucement et commence de légers va-et-vient, comme si elle faisait connaissance avec mon intimité. Honnêtement, je me contrôle pour ne pas gicler directement, toute cette excitation est difficile à contenir, d’ailleurs mon gland est mouillé.
— Ton sexe est magnifique, me dit-elle en le masturbant plus rapidement, tout en faisant bien attention de tirer sur ma peau pour tendre mon gland au maximum. Elle place sa deuxième main au-dessus de la première, on y voit mon gland seul, tendu, brillant et humide. Puis tout s’accélère, elle caresse mes bourses qui me font mal d’excitation, puis me branle rapidement, frénétiquement, de bas en haut, doucement puis vite, en serrant puis en relâchant... ça a l’air de durer une éternité, mais 1 ou 2 minutes plus tard, un soubresaut annonce ma défaite, je lâche « Je viens..... », accompagné d’un premier jet de sperme qui s’envole à plusieurs cm de hauteur avant de retomber sur mon ventre à peine découvert, Agnès continue sa masturbation, un deuxième et troisième jet sont malheureusement pour elle propulsés dans son cou...épais, ils coulent lentement vers sa poitrine, pour les suivants, c’est du feu d’artifice, dans ses cheveux, sur mon pantalon, sur le canapé, j’en mets partout, et le tout dans un râle de plaisir et des gémissements intenses. Mon sexe est rouge et extrêmement gonflé, toujours dans sa main chaude et habile. Je suis vidé et heureux.
Après ces orgasmes foudroyants, nous nous allongeâmes l’un contre l’autre sans un mot, mon sexe à demi mou, contre ma cuisse poisseuse, Agnès nue, contre moi...Après quelques minutes de calme, Agnès se lève...
— Je vais prendre une douche, tu m’accompagnes ? — Avec plaisir, lui répondis-je.
Nous voici dans la salle de bain, retirant nos derniers vêtements, complètement nus, je la regarde.La peau blanche, quelques grains de beauté, une petite poitrine, formant des petites poires, avec des mamelons foncés, et des tétons bien dressés, assez fins. Un ventre plat, dessiné par les contours de ses abdos, un nombril creux, son pubis lisse descend jusqu’à la jointure de ses lèvres, son capuchon est encore relevé, et son clitoris apparent, une jolie taille, gonflé, caractéristique de son excitation.
A la vue de son sexe encore gonflé, mon érection reprit sa vivacité, et mon sexe se gonflant de désir se dressa comme un mat. Agnès monte dans sa baignoire et commence à faire couler l’eau, puis dirige le jet sur son corps pour nettoyer les traces de mon plaisir... je la rejoins rapidement, et elle me mouille également, nous n’échangeons aucun mot, juste des regards profonds et intenses qui en disent long sur nos envies. Elle accroche la pomme de douche, tout en laissant couler l’eau en direction de mon corps, prend du gel douche et le fait mousser entre ses mains.
Puis d’un contact timide, elle les pose sur mon torse, commence à me caresser par légère pression, puis remonte sur mes épaules, descend sur mes bras... sa bouche se rapproche de la mienne, hypnotisé par ce contact, je ne peux m’empêcher de poser ma bouche sur la sienne, et de l’embrasser langoureusement, ma langue lèche ses lèvres, puis la pénètre à la recherche de la sienne, notre baiser est passionnel, et ses mains agrippent mes fesses qui se contractent à son contact. Ma verge, dure et dressée, se plaque sur son ventre, et mes mains attrapent son visage...
Après plusieurs minutes de baiser intense, et de caresses sensuelles, sa main finit par se retrouver sur ma verge tendue... elle soupire un léger « humm » en la serrant entre ses doigts, et commence de lents et légers va-et-vient, tout en s’agenouillant devant moi. Cette image m’excite encore plus, et la dernière montée de sang finit par rendre mon érection à son comble, surtout lorsque sa langue timide vient se poser sur mon gland.
Elle tend ma peau pour bien me décalotter, et sa langue roule tout autour, et s’attardant sur mon frein... un réel délice qui se ponctue par un « oh putain c’est bon », son regard intense cherche le mien, et une fois accroché, elle glisse mon gland entièrement dans sa bouche chaude... et commence des petits va-et-vient avec sa tête, puis descend doucement pour enfoncer mon sexe dans sa bouche, arrivé à moitié, elle s’arrête, puis retire sa bouche, tout en aspirant mon gland. Je suis en transe, elle est très douée et jamais je ne l’aurais imaginée sucer de cette manière, sa langue reprend sa ronde, et sa main me masturbe plus énergiquement, je suis obligé de m’accrocher à la colonne de douche pour ne pas défaillir sous le plaisir prodigué.
J’ai du mal à la reconnaitre, dans cette position, elle me suce avec tellement de gourmandise et d’érotisme, c’est doux et langoureux, je reconnais ne jamais avoir été sucé de la sorte, et je commence sérieusement à ressentir les effets de cette fellation, car mes bourses se contractent, et je sens mon sperme me remplir.
Je la préviens dans un gémissement que je ne peux plus me retenir, et que je vais jouir...Elle sort alors ma verge de sa bouche, et sa langue vient lécher mon frein pendant que sa main effectue des va-et-vient rapides, c’en est trop pour moi, et dans un premier soubresaut, je vois sortir un jet de sperme qui se repend sur sa langue, je gémis et je laisse sortir tout cette tension, aussi bien oralement que par ma verge qui ne s’arrête pas de gicler. Agnès a la bouche remplie de mon sperme, mais elle ne s’arrête pas pour autant, jusqu’à ce que dans un dernier râle, je capitule complètement, et que je m’effondre, assis sur le rebord de la baignoire. Elle me regarde, toujours avec beaucoup d’intensité, et dans un déglutissement rapide, avale toute ma semence. Cette image est terriblement excitante, et son petit sourire laisse penser qu’elle apprécie.
Elle reprend la pomme de douche, et se nettoie la bouche, puis me glisse :
— Pour une première fois, je suis très contente du goût, c’est un vrai plaisir de te prendre jusqu’à la fin.— Tu n’avais jamais avalé jusqu’à aujourd’hui ? lui dis-je, d’un air ahuri ?— Mon con d’ex-mari s’était déjà permis de se laisser aller, mais j’ai toujours recraché, avec toi je ne sais pas, je me suis pas posé la question, et j’ai adoré.
Elle me lave le sexe, encore à semi-gonflé, excité par ses révélations, et se permet quelques petits va-et-vient taquins. Décidément, elle me surprend et m’excite au plus haut point. Sa deuxième main vient se glisser entre ses cuisses écartées, et elle stimule son clitoris, tout en me masturbant, ses premiers gémissements de plaisirs ne tardent pas à arriver, d’ailleurs sa main se resserre sur mon sexe, à la limite de la douleur, je sens qu’elle se perd, ses yeux se ferment, son corps se contracte, sa respiration s’accélère, et dans un soupir bruyant, elle laisse échapper son orgasme, j’en profite pour me pencher vers elle et l’embrasser passionnément, elle gémit de plus belle, ses doigts s’agitent frénétiquement entre ses cuisses, le bruit de mouvement, mélangé à sa cyprine, en font un concerto magnifique... jusqu’à sa redescente complète...Elle ouvre les yeux, me regarde et me dit dans un son à peine audible :
— J’ai envie de te sentir en moi, fais juste attention à ne pas jouir s’il te plaît.
Elle se redresse, vient m’embrasser, mes mains caressent sa poitrine dure et ses tétons dressés, je la retourne, la penche en avant, pour qu’elle prenne appui sur le bord de la baignoire, sa fente est tout humide et déjà ouverte. Je saisis mon sexe, évidemment de nouveau gonflé et prêt pour un nouveau plaisir, je me masturbe lentement, et effectue quelques pressions, pour faire grossir mon gland, qui devient rouge sang, et tout brillant, je le frotte contre les lèvres de ce vagin qui n’attend que d’être rempli... je le frotte de bas en haut, puis stimule son clitoris avec quelques va-et-vient soutenus. Je pose mon dard à l’entrée de sa fente, et pousse légèrement. Premier constat, elle est très étroite, et même si elle est trempée et moi lubrifié, la pénétration ne sera pas évidente... je pousse encore légèrement, ses lèvres s’écartent, et je sens une résistance... et j’entends une légère plainte de la part d’Agnès.
— Doucement s’il te plaît.
Je reste sans bouger, la pointe de mon gland entre ses lèvres, mon envie de la posséder est trop forte pour que je renonce, mais forcer nous fera mal, et bloquera certainement Agnès... je décide de passer ma main sous son ventre pour venir stimuler son clitoris, il est dressé sous mes doigts, dur comme un sexe d’homme, ses premiers gémissements sont rapidement audible, et j’en profite pour pousser légèrement mon sexe en elle, je sens une résistance diminuer et d’un léger coup de bassin, je rentre mon gland en elle...
Elle gémit de douleur et de plaisir en même temps, et moi tellement surpris par cette sensation d’étroitesse, que je pourrais comparer à un anus peu dilaté, je dois me retenir in extremis pour ne pas me rependre en elle. Après ce petit moment d’accalmi, je reprends mon ascension dans son vagin, et pousse délicatement ma verge, centimètre par centimètre en elle, toujours ma main sur son clito, ses gémissements sont signe de plaisir, et je me permets ainsi de rentrer la totalité de mes 20 centimètres en elle, butant sur sa paroi interne, lui laissant échapper un « ouche » bien audible... Cette sensation de fourreau serrant ma queue est divine, et la chaleur qui m’emprisonne me donne tellement envie de la posséder plus vigoureusement, que je ne peux m’empêcher de commencer des longs et profonds va-et-vient, sortant quasiment mon sexe à chaque aller-retour.
Je sens Agnès se contracter sous mes coups de boutoir, et ses gémissements sont remplacés par des cris, et un « baise-moi » vient éclater comme un coup de fusil, libérant en moi la tension retenue jusqu’à présent.
Ma main quitte son sexe, et vient l’agripper par la hanche, ma deuxième main reproduit le même mouvement, et la voici prise par les hanches, et mon sexe faisant de rapides va-et-vient en elle, pas trop profonds, de peur de lui faire mal. Son corps balance dans tous les sens, elle se tient tant bien que mal à la baignoire, et ses cris deviennent de plus en plus intenses, son souffle s’accélère, je la sens jouir, jusqu’au moment où son sexe se contracte autour du mien, l’emprisonnant complètement empêchant mon retrait...
Et là, elle se met à hurler, gémir « oh ouiiiii, putaaiiin t’arrête pas, je jouis !!!! »Je peux difficilement bouger dans son sexe qui est devenu une prison, mais tellement serré que je sens que je vais cracher... j’essaie de la prévenir et stoppe tous mouvements, mais la voici qui vient à ma rencontre et bougeant son bassin dans un dernier cri de plaisir... déclenchant en moi une éjaculation incontrôlée. Perdu pour perdu, je reprends mes va-et-vient dans un râle de plaisir rarement connu, et je me repends complètement en elle, jusqu’à ce que nous redescendions tous les deux, et que mon sexe ramollit sorte du sien, emportant avec lui, une bonne dose de sperme.
— Je suis désolé, j’ai essayé de me retirer, mais j’étais prisonnier.— Chuut, me dit-elle, en venant m’embrasser.— Merci !! Merci pour ce moment intense, je n’ai jamais ressenti autant de plaisir, j’ai tellement aimé sentir ton sperme me remplir, que j’en ai eu un 2e orgasme...
On s’embrasse encore, et nous nous lavons mutuellement avec beaucoup de tendresse.
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