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Chemins libertins

Chapitre 4

Hétéro
Chapitre IV


Je n’en revenais pas. Faire ainsi jouir une fille dans le métro ! Je sentais de délicieux picotements dans mon bas-ventre et le fait de retrouver Annick dans une tenue qui, je le savais, allait être affriolante poussait mon excitation à son paroxysme. J’avais envie de sexe, mais pas du sexe gentil, du sale, du vicieux, de celui qui vous fait exploser la tête. Je pensais déjà à tout ce que j’allais faire ce soir. Les amis qui nous invitaient avaient une conception de l’amour assez spéciale et je savais qu’il y avait de grandes chances pour que cette soirée tourne en partouze. Je me réjouissais de connaître la réaction d’Annick face à ce genre de sauterie. Hum, j’étais sûr qu’elle allait aimer.
Je n’étais plus très loin de notre appartement maintenant. Voilà deux ans que nous vivions ensemble, Annick et moi. Nous habitions un très beau duplex dans un quartier chic de la capitale. C’est elle qui l’avait découvert en répondant à une petite annonce et qui m’en avait fait la surprise.
Nous nous étions rencontrés lors d’une soirée en discothèque. Elle était là avec une copine et draguait tout ce qui bougeait. Elle m’avait invité à danser et m’avait fait comprendre que je lui plaisais. Son bas-ventre ne cessait de chercher mon sexe et sa poitrine s’écrasait contre mon torse. Au moment où je voulus l’embrasser, elle prit mes lèvres goulûment, m’enfonçant sa langue profondément. Je lui pelotai les fesses par-dessus sa minijupe et je sentis avec ravissement qu’elle portait un string.
En tout cas, elle promettait pour une jeune fille de 20 ans. Après la série de slows qui me laissa passablement excité, je l’invitai à ma table où nous discutâmes pendant le reste de la soirée. Je savais tout d’elle quand je la raccompagnai chez sa grand-mère. Elle avait perdu ses parents très tôt et habitait chez elle.
— Je ne peux te faire entrer, j’ai seulement une chambre et elle serait fâchée de voir que je ramène un garçon à la maison. Mais, je veux quand même te remercier de la soirée qu’on a passée ensemble.
Ce faisant, elle posa sa main sur ma braguette et me regardant droit dans les yeux, la descendit lentement. Je lui facilitai la manœuvre en me soulevant légèrement et, dégrafant mon pantalon, je le fis glisser sur le haut de mes cuisses. Elle descendit son visage vers mon bas-ventre et emboucha ma queue en m’arrachant un gémissement de bonheur. Sa bouche coulissait régulièrement le long de ma hampe et sa main avait englobé mes couilles. Je sentais avec ravissement sa langue agacer mon gland. Remontant sa main, elle commença à me branler en même temps, ce qui me fit grogner de satisfaction. Je sentis que ma sève montait irrésistiblement dans mes reins.
— Je vais jouir petite fille. Oh, c’est bon, je jouis.
Sortant ma queue de sa bouche, elle dirigea mes jets sur mon ventre et m’embrassa fougueusement en gémissant. Puis, prenant un mouchoir dans son sac, elle m’essuya délicatement, presque avec dévotion.
— Excuse-moi, je n’aime pas avaler le sperme.— Ce n’est pas grave, mais je te ferai aimer ça.— Hum, ça on verra.

Elle me quitta en m’embrassant une dernière fois, me laissant dans ma voiture, la queue à l’air.
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