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Chemins libertins

Chapitre 7

Je réalise mon fantasme

Hétéro
Chapitre VII


Eliane m’avait glissé subrepticement un bout de papier où était inscrit le numéro de téléphone de la belle Déborah. Je lui avais téléphoné pour lui donner rendez-vous et c’est d’une voix sensuelle qu’elle m’avait invité à venir chez elle. Quand je lui avais fait part de mon fantasme, elle en avait été très excitée. Il était vingt heures quand je sonnai chez elle.
— Qui est là?— C’est moi, Arnaud.
A ces mots, la porte s’ouvrit sur une magnifique créature. Déborah était nue sous un déshabillé transparent. Ses jambes étaient gainées de bas noirs retenus par un mignon porte-jarretelles. Elle plaqua son corps contre le mien et m’embrassa fougueusement tout en ôtant ma veste.
— Tu viens pour me faire jouir du cul ?— Il me semble que c’est bien ce que je t’avais expliqué.— Alors regarde, je me suis préparée.
Elle se retourna et me présentant son cul, elle écarta ses fesses de ses deux mains.Je vis avec ravissement son anus complètement ouvert, luisant de gel lubrifiant. Réunissant quatre doigts de sa main droite, Déborah les introduisit lentement dans son fondement. Puis elle les fit aller et venir en me regardant langoureusement.
— Regarde comme il est bien ouvert pour toi. Ça me fait tellement du bien, tu ne peux pas t’imaginer.
La petite salope avait effectivement l’air de prendre son pied en s’enculant ainsi.Elle se retourna vers moi et me prenant la main, m’attira jusqu’à sa chambre où je découvris une panoplie complète de godes, du plus petit au franchement monstrueux, alignés sur son lit comme pour la parade.
— Regarde comment je m’ouvre le cul quand je suis seule pour me masturber.
Elle se coucha sur le duvet et prenant un gode de taille normale, elle le passa et le repassa sur les lèvres de sa chatte avant de le faire glisser jusqu’à son anus où il entra d’une seule traite. Puis elle se mit à défoncer son trou du cul tout en se titillant le clitoris. Debout en face d’elle, je me déshabillai rapidement et une fois nu, je caressai ma queue bandée. Le plaisir montait peu à peu dans le corps de Déborah. Elle avait déjà changé de gode. Celui-ci me paraissait vraiment gros pour un anus. Mais ça ne semblait pas poser de problème à la jeune femme qui se branlait toujours plus vite. Enfin, elle éclata dans un long cri de plaisir.Elle reprit lentement ses esprits.
— Tu ne peux pas t’imaginer comme j’aime jouir du cul. C’est vraiment un besoin pour moi. Et il me semble que plus c’est gros et plus je jouis fort. Tu vois le dernier de mes godes, il fait sept centimètres de diamètres. Eh bien, c’est avec celui-là que j’ai mes plus fortes jouissances. Très souvent, je passe dans les pommes. Mais il faut que je sois très excitée comme je le suis maintenant, me dit-elle en m’attirant sur le lit.
Elle prit mes lèvres et m’embrassa doucement.
— Je suis prête à réaliser ton fantasme.
Elle se mit à quatre pattes en creusant les reins, ce qui eut pour effet d’écarter ses globes fessiers. Elle me tendit un tube de gel lubrifiant.
— Mets-en assez, il faut que ça glisse tout seul.
J’enlevai le capuchon du tube et introduisant son extrémité dans l’anus ouvert, je lui en envoyai une bonne rasade. Je plongeai tout de suite deux doigts dans son orifice, ce qui fit gémir Déborah.
— Viens, mets-moi tes doigts bien profondément, défonce-moi.
Je rajoutai un troisième doigt puis un quatrième, les vrillant dans le rectum de la belle. Je bougeai de plus en plus vite, essayant à chaque fois de m’enfoncer encore plus profondément. Voyant son trou s’ouvrir encore plus, j’essayai de joindre le pouce aux quatre doigts déjà introduits. Ça devenait un peu plus difficile, mais Déborah releva encore sa croupe, ce qui ouvrit un peu plus son anus. Elle avait passé une de ses mains entre ses jambes et caressait à pleines mains sa chatte rasée. Je ressortis complètement mes doigts de l’anus distendu. La vue que j’avais de son anatomie était incroyable. On aurait dit un gouffre insondable. Je rajoutai du gel lubrifiant dans l’orifice et sur ma main. Cette fois, réunissant mes cinq doigts, je les fis pénétrer doucement, sans à-coups. Déborah avait écarté ses fesses et poussait pour détendre son muscle. Elle haletait comme un animal blessé. Tout à coup, toute ma main glissa dans l’œillet de la jeune femme. Elle poussa un cri de surprise et de plaisir mêlé. C’était incroyable. J’avais la main entière enfoncée dans son rectum. La sensation était bizarre. C’était doux, chaud, très gluant grâce au gel.
— C’est bon, c’est bon, vas-y, commence à aller et venir avec ton poing.
Ce que je fis avec plaisir. On aurait dit un énorme bélier qui entrait et sortait de son trou. J’allais et venais de plus en plus vite, de plus en plus durement, lui arrachant des geignements de jouissance.
— Sors ta main complètement et rentre-la de nouveau.
Je la sortis doucement, laissant son anus complètement ouvert puis je la replongeai dans la fournaise. Je fis ce geste plusieurs fois, arrachant à chaque fois un cri à ma tendre enculée. C’est maintenant elle qui rythmait la pénétration en avançant et reculant sa croupe et c’est dans une cavalcade folle, mon poing enfoncé très profondément qu’elle jouit de tout son être.Ma queue n’en pouvait plus d’attendre. Je me couchai à côté d’elle en lui caressant la poitrine, ce qui eut pour effet de la tirer de sa torpeur. Je présentai mon sexe à ses lèvres qui s’ouvrirent comme une fleur. Je poussai jusqu’au fond de sa gorge, mimant le coït. Elle se laissait faire, avalant l’entier de ma verge en poussant des petits gémissements de contentement. Je n’en pouvais plus. Je jouis puissamment, lui lançant des gerbes de sperme au fond de sa bouche. Elle avala le tout en me regardant tendrement dans les yeux.
— Merci, merci pour cette jouissance merveilleuse, me dit-elle après avoir sorti ma queue.
Elle se blottit contre moi et s’endormit, un sourire aux lèvres.
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