Après ma folle soirée avec Déborah, j’étais quelque peu fatigué. J’avais joui tout mon soûl de son superbe corps. Pas une fois je ne l’avais prise par-devant. Elle me tendait encore et toujours sa croupe pour que ma queue s’y enfonce profondément. Je n’avais jamais vu une nana jouir pareillement du cul. Il semblait que jamais je n’allais arriver à la rassasier.
J’étais dans ma voiture, arrêté aux feux et c’est un coup de Klaxon qui me sortit de ma rêverie. Je n’étais plus très loin de chez moi et je me réjouissais de revoir Annick à qui j’allais raconter tout ce que j’avais fait ce soir. Je savais que ça allait l’exciter. On avait passé un accord tacite mentionnant qu’on pouvait s’envoyer en l’air chacun de son côté, mais qu’il était impératif de raconter son expérience à l’autre. Jusqu’à présent, je dois avouer que c’est moi qui racontais plus souvent qu’elle. Je garai la voiture dans le garage et pris l’ascenseur jusqu’au quatrième étage où nous habitions. Il était passé minuit et je pensais trouver Annick déjà endormie, mais je fus surpris d’entendre de la musique à travers la porte d’entrée. J’enlevai ma veste et mes chaussures dans le vestibule et me dirigeai vers le salon. La lumière était tamisée et je vis deux corps tête-bêche couchés sur le tapis devant la cheminée où crépitait un feu. Il faisait une chaleur étouffante et une odeur de sexe flottait dans l’atmosphère surchauffée.Je m’approchai sans bruit, admirant les deux femmes qui se donnaient du plaisir. Annick qui me faisait face me vit et me fit un petit clin d’œil tout en continuant de dévorer la chatte de son amie. Je me déshabillai rapidement et le sexe déjà bandé, m’installai dans le fauteuil. Je caressai doucement ma verge tout en admirant le tableau qui m’était offert. Annick se redressa et me regardant droit dans les yeux d’une manière très sensuelle, elle s’avança à genoux jusqu’à moi. Mes jambes étaient écartées, mes couilles totalement exposées. La tête d’Annick était maintenant entre mes cuisses. Sa langue pointa sur la base de mes testicules et lentement remonta le long de mon sexe jusqu’à ce que ses lèvres touchent le bout rond de mon gland. Elle fit alors disparaître l’entier de ma hampe au fond de sa bouche, m’arrachant un gémissement de plaisir. En ouvrant les yeux, je vis Isabelle allongée, les jambes écartées, se masturbant à l’aide de ses doigts. Sa chatte était totalement ouverte et luisante de mouille. Son corps était luisant de sueur. Elle passait et repassait ses doigts à l’orée de son trou avant de remonter jusqu’à la petite pointe turgescente qui pointait hors de son capuchon. Ses petites lèvres ressortaient d’entre les grandes. On avait envie de les mordiller et de les allonger encore plus. La coquine dut lire dans mes pensées, puisque les prenant entre le pouce et l’index, elle les tira vers l’avant puis sur le côté, m’exposant encore plus l’entrée de son vagin. Annick pendant ce temps continuait habilement sa fellation. Elle me connaissait très bien, s’arrêtant au moment où elle sentait que j’allais exploser, me laissant le temps de souffler en prenant mes boules dans sa bouche, ou en me titillant le bout du gland de sa langue pointue. Puis elle reprit ma queue entre ses lèvres tout en me massant les couilles. Diabolique, elle était diabolique. Se relevant, elle se retourna et prenant mon sexe dans sa main, elle le plaça contre l’entrée de sa chatte et s’empala d’une seule traite en poussant un petit soupir de plaisir. A cette vue, Isabelle se leva et vint se placer entre les jambes d’Annick. Je savais pour l’avoir vu dans le miroir de notre chambre à coucher que le spectacle était très excitant.
Annick avait ramené ses jambes sur mes genoux et passant mes mains sous mes fesses, je l’aidai à monter et descendre sur ma verge. Isabelle avançant sa tête, me léchait les couilles inondées par les coulées de plaisir de ma chérie. Puis, remontant petit à petit, elle donna des coups de langue sur ma queue qui entrait et ressortait du vagin en feu. Au moment où la bouche d’Isabelle s’appliqua sur le clitoris d’Annick, celle-ci poussa un petit cri et accéléra la cadence de notre coït. Pas pour longtemps pourtant. La position devenant inconfortable, elle se releva et faisant se coucher Isabelle, elle se plaça en 69 sur elle. Leurs bouches étaient ainsi à hauteur de leurs sexes. Annick plongea sans attendre ses lèvres sur la chatte de son amie, s’appliquant à agacer le clitoris dressé. Me postant derrière la croupe ainsi offerte, je plongeai mon sexe profondément dans sa vulve ouverte et dégoulinante de plaisir. J’allais et venais lentement, ressortant presque complètement pour m’enfoncer encore plus loin. A un moment donné, je sentis une main prendre mon sexe et, sortant de la chatte trempée, je me sentis avalé par la bouche d’Isabelle. Puis je repris ma chevauchée, alternant les plaisirs d’un sexe ou d’une bouche. Je sentais parfaitement la petite langue courir sur mes couilles alors que des gémissements sortaient de la gorge des deux femmes. Annick, selon la vitesse à laquelle je la prenais, relevait la tête en criant, avant de la replonger entre les cuisses de son amie. Celle-ci fut soudain prise de tremblement et jouit dans un long râle. Moi-même je n’en pouvais plus et dans un dernier sursaut, je sortis prestement du sexe offert et enfonçai ma queue dans la bouche de Isabelle où je m’épanchai en de longues giclées qu’elle avala avec délice. Puis je m’écroulai sur le côté, entraînant Annick dans ma chute.
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