Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 120 J'aime
  • 2 Commentaires

Chemins libertins

Chapitre 13

Premier enculage

Hétéro
Chapitre XIII


Je connais Alexandra depuis quelques années. Secrétaire dans la boîte où je travaille, je la côtoie régulièrement. Agée de 25 ans, c’est une jolie fille, douce et très attirante. J’avais remarqué à plusieurs reprises qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Un jour que nous mangions ensemble, je le lui fis remarquer, et c’est tout naturellement que nous en vînmes à parler de sexe. Etonnamment, cette fille que je savais être timide se livra sans aucune pudeur, me racontant ses fantasmes, ses craintes et ses désirs. Elle m’avoua qu’elle n’avait encore jamais pratiqué de fellation sur un homme et encore moins essayé la sodomie. Moi, je lui racontai également tout de ma vie sexuelle et de mes fantasmes. Comme à mon habitude quand je parle de sexe, je bandais dur. Remarqua-t-elle mon émoi ? Elle ne m’en dit rien, mais une lueur d’envie brillait dans ses yeux.
Ce soir-là, j’étais seul dans notre appartement. Annick était partie pour une semaine chez ses parents et cette sensation de liberté me comblait d’aise. Quoi de plus sympa que de retrouver ses habitudes de célibataire ? Après une bonne douche, j’étais étendu sur le canapé du salon, écoutant le dernier disque des Pink Floyd. Le téléphone sonna, me tirant de ma douce rêverie. J’allais décrocher.
— Bonjour, c’est moi.
Je n’avais pas reconnu cette voix.
— Qui ça moi ?— C’est Alexandra.— Oh, bonjour, comment vas-tu ?— Je vais bien, je dirais même très bien. Tu te souviens du fantasme dont je t’ai parlé ?— Tu sais, tu m’as parlé de beaucoup de fantasmes. Lequel ?— Tu sais, avec le foin.— Hum, oui, pas mal.— Eh bien, je suis en bas de chez toi, viens vite me rejoindre, j’ai une surprise.
Et elle raccrocha.
Je trouvais la situation parfaitement irréelle. Voilà une jeune femme que je croyais tout de même plutôt réservée sur le plan sexuel et qui me proposait ni plus ni moins de réaliser l’un de ses fantasmes. J’enfilai rapidement un jeans, un t-shirt Lacoste et ma veste en cuir et descendis rejoindre Alexandra.
Elle m’attendait dans sa Citroën ZX blanche. Elle était vêtue d’un imperméable crème dévoilant la rondeur de ses genoux. Je crus reconnaître dans ses yeux maquillés cette petite lueur de désir que j’avais déjà aperçue quelques fois.Elle m’embrassa avec tendresse, et sans rien me dire, démarra.Après cinq minutes de route dans les rues de la ville, je me hasardai à lui poser la question qui me brûlait les lèvres.
— Où va-t-on ?— Tu verras, je crois que ça devrait te plaire.— Tu ne veux pas me dire ?— Tu verras, me fit-elle avec un petit clin d’œil.
Son imperméable qu’elle avait noué à la taille s’était écarté. Je voyais ses jambes gainées de noir et, plus intéressant, la lisière d’un bas et juste au-dessus, la chair nue de sa cuisse. Décidément, les choses prenaient une tournure vraiment très intéressante.
Nous étions sortis de la ville et nous enfoncions dans la forêt. Les phares éclairaient la route serpentant entre les arbres. Enfin, notre voiture s’engagea sur un chemin caillouteux et une grande bâtisse apparut au détour d’une clairière.
— Tu te rappelles, je t’avais parlé de mon oncle qui possède un manège où il élève des chevaux, eh bien, nous y voilà, et tu sais que s’il y a des chevaux, il y a aussi du foin.
Ma gorge devint tout à coup très sèche. Alexandra arrêta le moteur et descendit de la voiture. Je la suivis. Elle me prit par la main et m’emmena en courant dans une petite grange jouxtant le manège. Nous y entrâmes et l’odeur si caractéristique du foin me monta au nez. Je cherchai à tâtons un interrupteur pour allumer la lumière, mais Alexandra vint vers moi et se plaquant contre mon corps, me dit :
— Non, laisse éteins, tu verras, il fera assez clair avec la pleine lune.
En effet, quelques rais de lumière blanchâtre s’immisçaient entre les planches mal ajustées de la grange.
Tout à coup, Alexandra posa sa bouche sur mes lèvres et sa langue s’enroula autour de la mienne de plus en plus lascivement, de plus en plus fougueusement. Son corps s’était mis à tanguer contre le mien et des gémissements s’échappaient de sa gorge.
— Viens, me dit-elle, fais-moi vivre mon fantasme.
Elle m’attira dans un coin de la grange et se plantant face à moi, défit la ceinture de son imperméable, me dévoilant la beauté de ses seins qu’aucun soutien-gorge n’entravait et de son ventre sur lequel se détachait un porte-jarretelles noir. Elle n’avait pas mis de slip et son pubis nu se découpait dans la lueur irréelle. Je fis glisser son imperméable sur ses épaules et le posai sur le foin. Elle s’agenouilla devant moi, défit la boucle de mon pantalon, descendit la fermeture et passant sa main dans mon slip, en extrait ma queue dure comme du fer.
— Tu sais ce que tu fais ? lui demandai-je.— Oui, ne t’en fais pas, me répondit-elle dans un souffle.
Je sentis tout à coup sa langue passer sur mon gland, ce qui me fit frémir de plaisir. Elle semblait amadouer ma bite, ou était-ce le contraire ? Après un moment de ce traitement, Alexandra me prit dans sa bouche, d’abord timidement, puis de plus en plus goulûment. La chose devait lui plaire, car elle poussait de petits gémissements énamourés.
— Tu sais, je me l’étais souvent imaginé, mais jamais je ne pensais pouvoir faire le pas. Qu’est-ce que j’ai loupé !
Et elle me reprit de plus belle jusqu’à me faire mal à force de succion et de mordillements.
— Arrête, arrête, je n’en peux plus, lui dis-je.
J’avais hâte de découvrir sa petite chatte aux poils châtains. Je la couchai sur son manteau et elle écarta d’elle-même ses cuisses pour que je puisse découvrir son sexe. Je plongeai ma langue dans sa fente, découvrant avec délice la saveur un peu acide de sa cyprine. Elle était trempée et je n’eus aucun mal à enfoncer un doigt dans son vagin. Ma langue trouva son petit clitoris qui pointait au haut de sa fente et lui prodigua une caresse qui fit gémir Alexandra. Elle poussa son sexe vers moi afin de mieux me sentir, et j’en profitai pour descendre mon doigt jusqu’à son anus où il plongea sans aucune difficulté. Surpris, je relevai la tête et lui dis :
— Coquine, j’ai cru que tu ne t’étais jamais fait enculer.— C’est vrai, mais je veux essayer ce soir, alors, je me suis préparée cet après-midi avec mes doigts. En effet, son petit trou était très glissant et totalement relâché. Etait-ce son aveu ou son odeur, mais j’étais totalement grisé. Je lapais cette chatte comme un fou, j’avais envie de la lui manger, d’enfoncer ma langue toujours plus loin dans son trou, ce qui rendait folle de désir ma douce soumise. Enfin, n’en pouvant plus, arrivée au paroxysme du plaisir, Alexandra jouit en criant, me gratifiant d’une giclée de son jus intime que je bus avidement.

Elle resta anéantie par le plaisir de longues secondes. J’en profitai pour me déshabiller entièrement et je m’étendis à ses côtés, lui caressant tendrement les seins. Mais elle me repoussa, m’enjamba et dos à moi, elle prit mon sexe dans sa main et le dirigea vers son anus palpitant.
— Va doucement, lui dis-je, sinon tu vas avoir mal.
Mais elle ne m’écoutait pas. Je sentis mon gland toucher son trou virginal et elle s’empala d’une seule poussée en criant, mélange de douleur et de plaisir. Elle resta ainsi un petit instant, ma verge enfoncée jusqu’aux couilles et, prenant appui sur mes cuisses, commença à monter et descendre lentement sur mon sexe. Elle ne disait rien, je n’entendais que son souffle, de plus en plus court. Puis, des gémissements montèrent de sa gorge avant qu’elle ne se mette à crier son plaisir à pleins poumons.
— Je jouis, je jouis.
Elle s’écroula sur moi, prise de tremblements désordonnés. Je la laissai se calmer, retirant lentement ma queue de son trou boursouflé. Je n’avais pas encore joui, et un sentiment de frustration commençait à m’envahir. Alors, la soulevant de toutes mes forces, je la pris dans mes bras et la couchai à plat ventre sur un monticule d’herbe fraîche et lui écartant les fesses, je léchai amoureusement sa rosette. Cette caresse la fit gémir et elle remonta encore sa croupe vers ma bouche. Je me redressai alors et la pénétrai de toute la longueur de ma verge, lui arrachant une plainte de contentement. Elle glissa sa main entre ses cuisses et se griffa rageusement le clitoris. Je n’avais pas à bouger, elle s’empalait d’elle-même, lançant des petits cris de plaisir, et on eut dit que jamais elle n’allait s’arrêter d’orgasmer. Moi, je sentais que je n’allais pas tarder à jouir et d’une dernière poussée, je bloquai son cul contre mon ventre et ma semence gicla avec violence au fond de ses fesses.
— Qu’est-ce qui s’est passé ? lui demandai-je, une fois le calme revenu.— Tout ça, c’est de ta faute, me dit-elle avec une petite moue enfantine.— Comment ça ma faute ?— Ben oui, à force de parler de sexe avec moi, tu m’as donné des envies. Et il faut dire que les magazines que tu m’as donnés à lire m’ont passablement intéressée.— Bon d’accord, mais à ce point ?— Oui, à ce point, et je ne regrette rien.

Elle m’embrassa sur la joue et se levant, elle se mit à trois mètres de moi et elle pissa copieusement dans l’herbe fraîche. Puis elle s’essuya la chatte et le cul avec un mouchoir pris dans sa poche et me dit avec un petit sourire :
— Voilà, c’est déjà fini, ramène-moi à la maison.
Cette fois, c’est moi qui pris le volant, et comme un somnambule, ayant encore du mal à réaliser ce qui m’était arrivé, je la conduisis jusque chez elle.
Diffuse en direct !
Regarder son live