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Chemins libertins

Chapitre 14

Fabienne la cochonne

Trash
Chapitre XIV


Je profitai de l’absence d’Annick pour rappeler la belle blonde du métro. Tiens, j’avais de la chance, elle était à la maison. Je compris à la chaleur de sa voix qu’elle ne m’avait pas oublié et c’est tout naturellement que nous nous donnâmes rendez-vous dans un restaurant chinois le soir même. Je savais que j’allais me surpasser. Des idées salaces courraient dans ma tête depuis le début de la journée, et j’avais bien envie d’en expérimenter l’une ou l’autre.
Elle me raconta beaucoup de choses, son enfance, mais également son adolescence où elle découvrit le sexe grâce à un homme nettement plus âgé qu’elle. Elle était allée jusqu’au bout d’elle-même et tout à coup, je me posai la question si ce ne serait pas moi l’élève, et elle le maître. Elle avait presque tout connu, les partouzes, le sadomasochisme plutôt hard, les soirées fines chez des personnes très fortunées et très en vue. Une vie de débauche qui semblait la contenter.
Nous avions pas mal bu et c’est dans ma voiture que je l’accompagnai jusque chez elle. Elle était habillée d’une manière très suggestive. Sa robe dévoilait le haut de ses cuisses à chacun de ses pas, laissant entrevoir la lisière d’un bas noir. Sa poitrine, outrageusement gonflée, était encore mise en valeur par un profond décolleté. Nous savions l’un et l’autre que nous finirions notre soirée ensemble. Déjà, chemin faisant, mes mains se permettaient quelques incursions sur ses seins, faisant gémir la belle. Elle m’avait avoué qu’elle était très sensible de cet endroit et que le moindre attouchement suggestif suffisait à lui faire écarter les cuisses.
Après avoir garé la voiture, j’ouvris la porte du côté de ma passagère et je l’aidai à s’extraire de l’habitacle. Elle se cramponnait à moi pour ne pas tomber, la hauteur de ses talons lui donnant une démarche hésitante. Dans son appartement, elle me fit asseoir dans un fauteuil très confortable et s’agenouillant devant moi, elle entreprit de me déshabiller complètement. Puis, se rendant vers sa chaîne stéréo, elle l’enclencha et se planta devant moi. La musique de Joe Cocker résonna soudain dans l’appartement et elle me fit le plus formidable strip-tease qu’il m’ait été donné d’admirer.
Lascivement, lentement, elle fit glisser les bretelles de sa robe par-dessus ses épaules, dévoilant ainsi la pointe de ses seins. Puis, petit à petit, elle descendit sa robe le long de son ventre et, me tournant le dos, la fit passer par-dessus son cul, très lentement, me dévoilant peu à peu ses fesses rebondies. Comme dans le métro, elle ne portait pas de culotte. Je remarquai que son ventre était ceint d’une chaînette en or. Elle était maintenant nue devant moi, n’ayant gardé que ses bas. Elle se caressait tout le corps, gémissant de plaisir, faisant saillir ses tétons en les prenant, l’un après l’autre, entre ses lèvres. Sa main gauche avait glissé jusqu’à sa chatte rasée et elle gratifiait son clitoris de délicieuses caresses. Il émanait d’elle une sensualité incroyable. J’avais vraiment l’impression que cette fille était faite pour l’amour.
Elle tendit une main vers le tiroir d’une commode et en ressortit un gode annelé d’au moins cinq centimètres de diamètre. Puis se mettant à quatre pattes, le cul tourné vers moi, elle recula jusqu’à n’être qu’à quelques centimètres de mes jambes. Elle se cambrait, me faisant admirer sa chatte et son anus entrouvert. Prenant le gode, elle l’enfonça lentement dans son sexe. Je voyais ses lèvres boursouflées s’écarter au passage de l’engin. D’une dernière poussée, elle le fit pénétrer tout au fond de son vagin. Elle tourna sa tête vers moi.
— Vas-y, fais-le bouger, ramone-moi.
Je pris le sexe factice dans ma main droite et le ressortis presque entièrement, ne laissant que le gland distendre ses nymphes. Puis j’appuyai pour le faire entrer à nouveau jusqu’au fond. A chaque va-et-vient, Fabienne gémissait. Je bougeai le gode de plus en plus vite, de plus en plus durement, arrachant des plaintes à la belle blonde. Le caoutchouc était couvert de cyprine et le bruit qu’il faisait en plongeant dans ce gouffre béant était des plus excitants. Fabienne avait enfoncé d’elle-même deux doigts dans son anus et elle les faisait aller et venir au même rythme que mon gode. Tout à coup, tout son corps se cabra et elle poussa un grand cri, tremblant sur ses bras. Un liquide gicla hors de son sexe, m’éclaboussant le bas du ventre. Elle semblait se vider, comme une pile électrique, agitée de soubresauts incontrôlables. Elle finit par se coucher sur le tapis, à plat ventre, un sourire de contentement sur les lèvres.
— Tu vois, me dit-elle, ça c’est l’effet point G. T’arrives pas souvent à jouir comme ça, mais quand ça te prend, c’est absolument fantastique. Une sorte d’orgasme suprême qui te fait sombrer dans le bonheur le plus total. — En tout cas, l’effet est dévastateur, lui répondis-je en me regardant le ventre.

Se relevant, elle m’entraîna vers la salle de bain. Sans même ôter ses bas, elle se coucha dans la baignoire et me demanda de venir au-dessus de son ventre.

— J’ai envie que tu pisses sur ma chatte, me dit-elle en me regardant droit dans les yeux.— Quoi ?— Viens, pisse-moi dessus, me répéta-t-elle en cambrant son corps vers mon sexe. La chose était difficile, car je bandais encore. Pourtant, en me concentrant, un petit jet d’urine s’échappa de mon gland, allant s’écraser sur la poitrine de Fabienne. Celle-ci émit un râle et elle caressa sa peau mouillée des deux mains.— Plus bas, vise ma chatte.
Descendant ses mains jusqu’à son sexe, elle écarta ses lèvres faisant saillir son clitoris. Le jet était maintenant plus dru et éclaboussait avec force le sexe de la jeune femme. Elle criait, en proie à une jouissance fantastique, ses doigts massant sa vulve dégoulinante. Mon jet se tarit peu à peu et Fabienne se redressant emboucha mon sexe débandé jusqu’au fond de sa gorge alors que d’une main, elle ouvrait la douche, me faisant sursauter de surprise. Elle avait une façon de me sucer qui me fit rebander presque instantanément. Elle prenait mon sexe au plus profond de sa bouche, ses lèvres venant buter contre mes couilles puis elle le faisait ressortir, sa langue agaçant mon gland avant de l’enfoncer à nouveau le plus loin possible. Son visage et ses cheveux dégoulinaient et des perles d’eau glissaient sur ses joues et ses yeux clos.
Elle se redressa en tournant sa croupe vers moi, prit mon sexe qu’elle pointa contre son anus et elle s’empala d’une seule poussée, en laissant échapper une plainte de femme comblée.
— Vas-y, encule-moi fort, très fort, sois brutal avec moi, fesse-moi.
Je la défonçai avec une violence inouïe, et désirant prendre la direction des opérations, d’un coup, je sortis de son cul, le laissant béer d’une façon indécente. Elle poussa un cri de déception.
— Ecarte tes fesses, lui dis-je en lui envoyant une claque sur le cul.
Des deux mains, elle sépara ses fesses, dévoilant encore plus son anus sombre.
Je replongeai d’un coup ma queue dans son trou et me retirai à nouveau, instaurant ainsi à ma victime consentante un va-et-vient frustrant. Puis, j’enfonçai trois doigts de chaque main dans son anus complètement défoncé, écartant les chairs intimes. Fabienne haletait de désir, se griffant les fesses de ses doigts aux longs ongles rouge sang. Avisant le pommeau de douche effilé, je le détachai de son support et le plongeai d’un coup dans son cul. Sous cet assaut, la jeune femme rugit de plaisir, se laissant remplir par l’eau chaude s’écoulant dans son rectum. Au bout de quelques secondes, je retirai le pommeau et le remplaçai par ma queue bandée, et à nouveau, je la baisai violemment, faisant gicler le trop-plein hors de son anus. J’avais passé la douche sous son ventre, et Fabienne, s’en saisissant, l’enfonça profondément dans son vagin, me comprimant le sexe.
Je me retirai encore une fois, admirant les allées et venues de la douche entre ses lèvres, et n’y tenant plus, replongeai mon dard jusqu’aux couilles dans ses intestins.
Je sentais que je n’allais plus pouvoir tenir longtemps à ce rythme.
— Je vais jouir.— Attends, retiens-toi, je veux que tu jouisses dans ma bouche.— Viens, prends-moi.
Elle se retourna, entourant mon gland de ses lèvres et je giclai mon sperme qu’elle avala en jouissant.
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