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Chemins libertins

Chapitre 15

Vibrations jouissives

Hétéro
Chapitre XV

J’avais dîné en tête-à-tête avec Alexandra, et comme toujours, notre discussion avait dévié sur le sexe. Je la savais pudique, mais après l’expérience nocturne qu’elle m’avait si généreusement offerte, je ne fus pas surpris lorsqu’elle m’avoua qu’elle aurait bien aimé s’acheter un vibromasseur. Sans rire, je lui proposai de m’occuper de cette acquisition. Je suis à présent certain qu’elle pensait que je blaguais. Et pourtant, elle se retrouva bientôt avec un superbe vibromasseur rose de belle dimension.

Je le lui apportai un soir chez elle. Elle m’ouvrit en robe de chambre, les cheveux humides d’une douche qu’elle venait de prendre.
— Entre, me dit-elle ; j’étais en train de me faire jolie.— Hum, je vois.
Effectivement, elle était très jolie. Les lèvres soulignées de rouge et les yeux finement maquillés, elle ressemblait à une poupée de porcelaine. Ses longues jambes se dévoilaient à chacun de ses pas et mon cœur battit un peu plus vite quand je vis apparaître un adorable bout de sein dans l’échancrure de son vêtement.
— Alexandra, j’ai quelque chose pour toi.— Ah oui ? répondit-elle, quelque peu interloquée.
Je lui tendis le petit paquet que j’avais fait confectionner par le vendeur du sex-shop et elle l’ouvrit, les yeux agrandis par l’impatience.Elle poussa un petit cri de surprise en voyant l’objet qui trônait dans sa boîte.
— T’es fou, c’était pour rire que je te disais ça.— Eh bien tu vois, il faut toujours me prendre au sérieux, alors, je me suis dit que ce serait très bien que je te l’offre.— Et que dois-je en faire ? me demanda-t-elle avec un sourire plein de candeur.— Veux-tu que je te montre ?— Hum, pourquoi pas ?
Elle me regardait maintenant avec un air de défi et elle dénoua très lentement la ceinture de sa robe de chambre. Puis, tout aussi lentement, elle fit glisser celle-ci sur ses épaules nues, dévoilant petit à petit les courbes de son corps. Ses petits seins pointaient d’une manière arrogante, et quand je vis son sexe, je ne pus réprimer une expression de surprise en voyant la vulve totalement épilée de la jeune femme.

— Tu te rappelles, tu m’avais dit un jour que j’avais la peau douce comme un bébé et que tu aurais bien voulu savoir si elle était aussi douce tout partout. Ça m’a donné des idées et je me suis rasé la chatte complètement, et ma peau est effectivement tellement douce que je ne peux plus m’en passer. Et en plus, tu ne trouves pas que c’est très obscène ?

Elle s’était assise sur le divan, les jambes largement écartées, dévoilant son sexe qui bâillait d’une manière indécente entre ses cuisses. Décidément, sa chatte était superbe, et c’est vrai que de la voir ainsi débarrassée de tout poil superflu était très excitant. Les petites lèvres s’ouvraient sur une fine chair rose déjà humide et le clitoris faisait comme une petite perle sur le haut de cette fente.Elle passa ses doigts sur ses grandes lèvres, les écartant puis les refermant, insinuant quelques fois, un voire deux doigts dans son sexe. Elle était comme une jeune chatte, alanguie sur ce divan, me regardant de ses yeux devenus brillants de désir.
— Viens toucher comme c’est doux, me dit-elle soudain.
Je ne me contrôlais plus. De la voir ainsi, indécente, offerte comme pour le sacrifice me faisait bander à mort et je n’avais qu’une envie, la dévorer à pleine bouche, boire son suc jusqu’à la lie. Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille. Au moment où j’approchai ma bouche de son sexe, elle me repoussa doucement, mais fermement, en me disant :
— Non non, seulement avec les doigts, touche comme c’est doux.
Effectivement, sa peau était d’un velouté parfait et mes doigts appréciaient sa douceur, me procurant des sensations jusque dans le creux des reins.
— Tu ne voulais pas me faire essayer quelque chose ? me demanda-t-elle.— Attends, je vais le chercher et je prends un peu de gel lubrifiant, d’accord ?— D’accord, dépêche-toi, j’ai très envie.
Je pris le vibromasseur et m’empressai de le laver avant de revenir vers Alexandra qui continuait à jouer avec sa chatte, laissant échapper maintenant quelques soupirs quand ses caresses se faisaient plus précises.
— De quoi as-tu envie ? lui demandai-je.— J’aimerais bien que tu me fasses jouir avec cet engin, alors débrouille-toi, je te laisse le choix.

Je m’avançai vers elle, l’appareil entre les mains, et me penchant vers sa poitrine, je suçai tour à tour les deux tétons, les faisant se redresser. Puis je pris le vibro et le mettant en marche, je le promenai sur les seins de la jeune femme, insistant sur les deux petits bouts de chair qui sortirent encore plus de leur cachette.
Je descendis peu à peu vers le sexe d’Alexandra. Elle se tordait maintenant sous la caresse et elle avait fermé ses beaux yeux verts. Sa poitrine se soulevait un peu plus vite. Au moment où l’engin approcha de son clitoris, son bas-ventre se tendit vers lui, cherchant le contact avec la vibration diabolique. Mais j’esquivai l’attaque, promenant la pointe du sexe factice sur les nymphes de la jeune femme, la laissant s’insinuer quelque peu dans son sexe, puis la laissant descendre jusqu’à son anus. Alexandra à ce contact poussa une petite plainte et elle s’arc-bouta encore plus. Je remontai alors le vibromasseur jusqu’à son sexe et l’y enfonçai d’une seule longue poussée en arrachant un cri de plaisir à la jeune femme. Je fis aller et venir l’engin, d’abord doucement, et de plus en plus vite à mesure que le plaisir montait. Les vibrations étaient maintenant à leur maximum et Alexandra gémissait de plus en plus fort.
Dans un dernier spasme, elle jouit en hurlant, le corps parcouru de tremblement.
Je la laissai reprendre son souffle en massant tendrement son anus avec du gel pour bien le lubrifier pour la suite des réjouissances. J’avais envie maintenant de la faire jouir par ce point secret, qu’elle sache tout le plaisir qu’on pouvait éprouver par ce petit trou.
Le vibromasseur était toujours planté au plus profond du sexe d’Alexandra, distillant des ondes de volupté dans tout son corps. Je le sortis lentement de sa cachette et le promenai plus bas, entre ses fesses jusqu’à ce qu’il pèse peu à peu sur l’orifice froncé qui semblait l’attendre et qui s’ouvrit comme une petite bouche. Je le fis d’abord pénétrer très lentement, essayant d’insérer uniquement sa tête, mais Alexandra d’une ruade du bas-ventre s’empala littéralement sur l’outil qui disparut avec une déconcertante facilité dans son rectum. J’augmentai quelque peu la vibration et posai mes lèvres sur le clitoris turgescent de la belle. En même temps, j’imprimai un lent va-et-vient au vibromasseur qui glissait très facilement. Ceci dura longtemps.
Je la sentais se tendre et s’écarter sous l’effet du plaisir toujours renouvelé que lui procuraient ma bouche et le mouvement de ma main, mais, diaboliquement, je retirai mes lèvres de son sexe et laissant retomber la pression, je recommençai alors mon travail de plus belle.
C’est au moment où je l’entendis crier, à bout de nerfs et de force que je compris que je pouvais libérer toute la puissance de sa jouissance. Je plongeai le vibro très profondément dans son rectum et j’aspirai très fort son petit bouton. L’effet fut foudroyant ! Jamais je n’avais vu une femme jouir ainsi. Elle hurla à pleins poumons et tout son corps resta tétanisé d’interminables secondes, comme s’il était traversé d’électricité. Puis elle retomba, emprisonnant ma tête entre ses jambes. Elle m’avoua n’avoir jamais rien connu de tel.
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