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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Un chemisier un peu trop transparent....

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je m’appelle Julien et je suis étudiant en faculté de lettre moderne et actuellement en vacance scolaire. J’ai réussi à me dégoter un petit boulot dans une épicerie que tient un de mes oncles dans le Sud est de la France. Mais je commence qu’à partir du mois d’Août et je suis confiné dans la résidence de mes parents. Nous venons de passer la fête du 14 Juillet et la chaleur est insoutenable ce qui implique que je passe la plupart de mon temps enfermé dans la résidence cossue de mes parents. Comme vous pouvez le constater, je suis issu d’une famille bourgeoise. Mon père s’appelle Dominique et il est cadre supérieur dans une entreprise renommée basée à Nantes. Il gagne bien sa vie et travaille beaucoup. De plus, il est fort probable qu’il prenne du galon très prochainement. Nous vivons correctement grâce aux revenus de mon père. Ma soeur, Catherine, est étudiante en première année de chimie et vit avec un jeune ingénieur de 27 ans à 150 km de là. On ne la voit pas beaucoup. Enfin, ma mère s’appelle Martine. C’est une très belle femme bourgeoise d’1m64, étonnement bien conservée pour ses 47 ans. Elle est brune et aime se coiffer au carré. De temps en temps, elle se teint les cheveux en un peu plus clair (proche du châtain) mais ces temps ci, elle opte pour le brun. Ses yeux sont de couleurs noisettes et elle aime maquiller ses paupières d’une couleur verte qui donne davantage d’éclat à son regard. Ses lèvres sont pulpeuses et sont misent en valeur par un fabuleux rouge à lèvres carmin. Son visage n’a presque pas de rides car elle passe beaucoup de temps à se faire des mascaras pour revitaliser sa peau (elle fréquente également de temps à autres les instituts de beauté). J’oserai comparer son visage à celui d’une présentatrice de télévision Evelyne T. qui anime une émission inepte sur la troisième chaîne. Ma mère a un très beau corps pour son âge. On pourra lui reprocher un léger embonpoint au niveau des hanches à cause de ses deux grossesses (ma soeur et moi), ce qui est normal après tout. Ses jambes sont bien lisses et bien épilées et elle aime porter des mules en cuir noir, lacets aux chevilles, où l’on peut voir ses doigts de pied recouvert d’un superbe vernis rutilent de couleur crème. Dernier détail qui a son importance : ma mère a de très gros seins. Pour elle, c’est un handicap à la fois physique (mal de dos et gêne dans les quelques travaux qu’elle effectue à la maison) et moral (maman est assez timide et cache sa poitrine qu’elle sait attirer le regard de la gent masculine). Elle met des soutient-gorges spéciaux à armatures. En règle général, ma mère a un corps superbe et plantureux. Elle est issue, elle aussi, d’une famille bourgeoise et puritaine et a beaucoup de principes très stricts (surtout dans la manière de nous tenir devant les autres et dans la réussite scolaire). J’ajouterai cependant, qu’elle a toujours été honnête et correcte avec ma soeur et moi. Elle ne travaille pas car les revenus de mon père suffisent largement à nous procurer un niveau de vie élevé. Ma mère est une femme qui est très maniaque et propre sur elle. Elle est exigeante dans ses tenues qui somme toute, ne sont pas très variées dans la mesure où elle ne porte que des tailleur-jupes classes. Ce n’est pas le type de femme a porter des tenues provocantes et loin s’en faut. Depuis quelques temps, pourtant, elle porte un petit chemisier blanc très beau mais incroyablement diaphane. On peut voir à travers son soutient-gorge blanc à armature et en dentelle, qui maintient son énorme poitrine largement visible à travers le tissu fin. On peut également voir la couleur de la peau de son ventre ainsi que son nombril. Elle porte une jupe noire qui lui arrive jusqu’au genoux mais qui contraste tellement avec le chemisier blanc que le regard se focalise inéluctablement sur ses gros seins. Elle sort faire des courses toute seule, ingénue, vêtue de la sorte sans se douter des tentations qu’elle est susceptible de provoquer. Un soir, mon père lui a même fait des petites réflexions sur sa tenue (pas trop invectives dans la mesure où ma mère prend la mouche facilement et se vexe) mais elle a répondu que c’était à la mode tout simplement. Je ne me sens pas le courage de lui dire que sa chemise est provocante et préfère me taire. Peut- être que si j’avais eu un peu plus d’audace, ce qui s’est passé n’aurait pas eu lieu. Ma mère part donc faire ses courses comme à son habitude. Le terme lèche-vitrine est plus approprié. Elle file en centre ville avec sa chemise diaphane, sa jupe noire et son sac à main en cuir. Elle adore faire les magasins et de préférence, ceux qui proposent des articles de luxes. Il lui arrive d’y passer des heures et même sans rien acheter. Les rues sont bondés de personnes de toutes nationalités et de catégories sociales différentes. La promiscuité et la chaleur ne semblent pas l’affecter dans son activité favorite et sans s’en apercevoir, elle s’éloigne du centre et se laisse entraîner par les boutiques dans une rue un peu plus calme et non fréquentée. Elle est tellement concentrée sur son activité qu’elle ne fait même pas attention au regard des hommes qui la croisent ni à ce jeune en survêtement qui la suit discrètement depuis le centre ville. Il a remarqué cette bourgeoise qui dépense des fortunes en vêtements de luxe depuis le début de l’après midi et compte bien la soulager de quelques billets. Il n’est pas du coin mais semble connaître l’endroit. C’est une rue relativement déserte, qui possède une multitude de petit recoins sombres avec des commerces qui ne marchent pas et mettent souvent la clé sous la porte. Elle est adjacente à la rue principale où fourmille les touristes en tout genre. Pourtant, ceux-ci n’y mettent jamais les pieds on ne sait pour qu’elle raison. Ma mère fait exception à la règle (pour son plus grand malheur) et s’aperçoit bien trop tard qu’elle est tombée dans un traquenard. Tout se passe très vite : Le jeune homme bâillonne maman avec sa main gauche et la menace avec un couteau de son autre main. Elle sent la lame effilée titiller ses cottes de manière significative. Il la force à se mettre dans un coin sombre, entre deux murs et sort son portable devant ma mère épouvantée, les larmes aux yeux et complètement surprise. Il appelle ses complices qui arrivent une bonne dizaine de minutes plus tard. Une grosse Mercedes gris métallisée s’arrête devant eux et ma mère est poussée sans ménagement dans la voiture qui démarre aussitôt. A l’intérieur du véhicule, c’est l’enfer : La chaleur est insoutenable et la musique est assourdissante. Il y règne une odeur pestilentielle de sueur, d’alcool, de tabac et d’autres substances prohibées qui lui donnent des nausées. Elle est coincée entre deux jeunes hommes d’environ 20-25ans : un blanc et un noir avec des têtes pas très engageantes. Ils n’hésitent pas à lorgner sur ses gros seins et cela la gène au plus haut point. Ils regardent tous son corps sans éprouver le moindre complexe. Ma mère a du mal à réaliser ce qui se passe. Ce genre d’incident n’arrive qu’aux autres. Elle ne se sentait pas concernée par ce genre de problèmes dans la mesure où cela ne la touchait pas ni elle, ni ses proches. Mais aujourd’hui, c’est différent. La Mercedes roule pendant une bonne demi heure et s’engage dans un quartier mal famé de la ville. Ce quartier est en fait un vaste chantier où la plupart des immeubles sont en courts de démolitions afin de rénover entièrement l’endroit. La voiture décide enfin de s’engouffrer dans un chantier où se trouve un immeuble désaffecté. Maman est tirée hors du véhicule et se retrouve en face des quatre hommes qui la reluquent de la tête au pied avec des yeux de pervers. Le jeune en survêtement blanc sort le premier et ordonne à ma mère de descendre du véhicule. Elle s’exécute toujours sous l’effet de la peur et de toute façon, elle est poussée par le noir sans ménagement vers l’extérieur. Les quatre garçons se retrouvent dehors maintenant . Ils ont entre 20 et 25 ans avec des mines patibulaires. Leur chef est un brun avec un bouc et qui porte un t-shirt moulant kaki. Il examine attentivement les paquets de maman qui se trouve debout devant eux toute tremblante. Elle ne comprend pas et ne réalise pas encore ce qui est en train de lui arriver. Elle baisse les yeux et elle croise les bras sur son opulente poitrine car elle a bien remarquée l’intérêt qu’elle suscite auprès de ses kidnappeurs. Le brun au bouc farfouille dans le paquet et pousse un sifflement d’étonnement: ’Eh bien Madame se refuse rien ! Je vois qu’on est pas dans le besoin!’. Il passe les paquets remplis de vêtements et de parfums de luxe à ses trois complices puis il s’intéresse au sac à main en cuir duquel il extirpe un joli petit porte feuille en cuir. Sans gêne, il regarde sa pièce d’identité et sa carte grise où il peut lire précisément l’adresse de notre résidence. ’Je comprends, mieux! C’est vraiment un quartier de bourgeois là bas ! ’ Il remarque l’alliance à son doigt et dit: ’Je vois que t’es mariée! T’as des mômes?’ Ma mère relève la tête et a le vague espoir d’apitoyer son ravisseur. ’Oui, j’ai deux grands enfants: Julien et Catherine que j’aime beaucoup et...’ L’homme la coupe : ’Grands! Tu m’étonnes! avec les nénés que t’as ma salope, ils n’ont pas du manquer de laitage!’ Et tous rient à cette réplique salace et humiliante. Ma mère est vexée et réellement outrée par une telle réflexion. Comme elle est susceptible, elle hausse le ton et s’adresse aux jeunes avec un air hautain et méprisant :’ Bande de voyous parasites! De quel droit vous osez me parler sur ce ton! Vous feriez mieux de travailler et de vous rendre utile à la société au lieu de vous en prendre à des gens bien comme il faut!’ Là, les jeunes ne rient plus du tout. Le brun au bouc s’avance vers elle et lui administre une belle gifle. ’ T’aurais mieux fait de la fermer sale pute de bourge! On t’aurait relâchée car t’étais mariée et on respecte en général les mères de famille mais là, t’as ouvert ta gueule une fois de trop!’ Maman est sur les genoux et frotte sa joue légèrement endolorie et commence à pleurer. Elle se sent terriblement humiliée qu’un jeune de l’âge de son fils ose lever la main sur elle. Elle n’a pas compris que les règles sont différentes ici. Furieux, le brun au bouc lui ordonne de se lever et dit :’ Bon, de toute façon ça tombe bien cette histoire car on a tous envie de tirer un coup, pas vrai les mecs!’ Tous opinent et reluquent les formes plantureuses du corps de ma mère avec des yeux de pervers. La chaleur intense et l’émotion suscitée par son enlèvement ont fait suer maman. Elle transpire tellement que sa chemise transparente lui colle à la peau et épouse littéralement les formes de son corps. Ses gros seins encore cachés par son soutient- gorge blancs à armature, ressortent encore plus et de manière provocante. Sa respiration s’accélère et au regard de ses ravisseurs, elle comprend le sort qui l’attend sans oser y croire réellement. Soudain, elle entend: ’Vire moi ton soutient-gorge! T’en as pas besoin! ’. Ma mère ne sait plus quoi faire. Elle n’arrive pas à concevoir ce qu’il lui arrive, elle ne peut pas admettre ce qui va se passer. Pourtant, lorsqu’elle voit le gars en survêt sortir son couteau pour la menacer, elle se met à pleurnicher et soulève sa chemise imbibée de sueur. Elle a du mal à dégrafer son soutient -gorge à cause de la transpiration et de la panique engendrée par les insultes de ses ravisseurs qui s’impatientent. Lentement, avec hésitation et toujours en pleurant, elle enlève son soutif libérant enfin les deux énormes nichons qui tombent lourdement et ballottent à l’intérieur du chemisier devant les yeux concupiscents des jeunes mâles. Il est vrai que ma mère a de très gros seins, blancs avec de larges auréoles brunes et de petits tétons que l’on voit pointer à travers le chemisier décidément si transparent. Je crois qu’elle en a toujours eu honte. D’ailleurs elle met rarement des décolletés et c’est en de très rares occasions que j’ai pu voir ma mère les seins à l’air. Ce que je peux ajouter, c’est que j’ai eu souvent l’opportunité de voir des films pornographiques avec de superbes actrices bien fournies de ce coté là et je n’exagère pas en disant que maman n’a rien à leur envier et loin s’en faut. Elle croise les bras contre sa grosse poitrine laiteuse en tenant toute penaude son soutient-gorge, le regard dirigé vers le sol en guise de soumission. ’Envoie nous ton soutient- gorge qu’on regarde mieux!’ demande le brun au bouc en s’avançant vers elle. Elle tend le bras et le jeune s’empare du gros soutient-gorge à armature en coton et le porte à ses narines. Il renifle bruyamment le soutif comme un chien en rut et le passe à ses camarades qui examinent la pièce avec la plus grande attention. Maman ne comprend pas comment un morceau de tissu peut les mettre dans un état pareil. Ils ont l’air excité en reniflant et en touchant fébrilement son dessous. En regardant la taille gigantesque des bonnets ornés de dentelles, ils peuvent se faire une idée de la grosseur des seins de ma mère qu’ils ne peuvent apercevoir bien comme il faut pour l’instant. Cela les mets dans des états pas possible et les quolibets fusent. Ils n’hésitent pas à la traiter de ’ salope vache à lait, de pute à gros seins’. Inutile de vous dire que ce langage choque ma mère au plus haut point. Soudain, elle entend: ’Maintenant enlève ta culotte et vite fait sinon...’. Maman s’exécute, toujours en pleurnichant et baisse lentement sa culotte blanche, elle aussi en coton et assortie à son soutient gorge. Elle est obligée de se pencher pour leur donner son jolie slip en dentelle et tous peuvent voir facilement ses gros seins ballotter outrageusement à l’intérieur de son chemisier transparent. Ils reluquent aussi ses jambes galbées, bien épilées et relativement bronzées ainsi que ses superbes mules noires où l’on peut voir ses pieds aux ongles vernis d’une couleur crème. Ils ont du mal à se retenir de se précipiter sur cette bourgeoise aux formes provocantes. Mais tous sont d’accords: Ils veulent faire durer le plaisir le plus possible et d’abord bien l’humilier afin de lui montrer qu’elle n’est pas au dessus des autres. Ils s’emparent de la culotte et se la passent comme pour le soutient-gorge. Ils la froissent entre leurs mains, la sentent et font des commentaires salaces devant les yeux écoeurés de maman. La culotte finit par se perdre entre les mains des jeunes qui s’intéressent maintenant à elle. Ils s’avancent vers elle, sûr d’eux et le regard plein de d’idées perverses. Ma mère essaye de reculer mais se heurte au véhicule. Le brun au bouc s’empare de son bras et la rapproche vers lui. Que peut-elle faire ? Tenter de se défendre pour fuir ? Les jeunes ont une moyenne d’1m80 et elle fait 1m64. Elle se sent ridicule à coté d’eux, impuissante et vulnérable. Elle sent le brun au bouc s’agenouiller devant elle tandis que le noir commence à lui défaire les boutons de son chemisier un à un. Les mains du brun au bouc caresse ses mollets et ses cuisses tendres et lisses et commence à les lécher. Il en profite également pour lui enlever ses mules une à une. Les doigts habiles du noirs parviennent à déboutonner totalement le chemisier ce qui a pour effet de faire tomber les deux gros seins aux larges auréoles brunes devant les yeux subjugués des autres jeunes. ’ Soulève ta robe, sale pute ! Montre ta chatte à tous le monde !! ’ ordonne le brun au bouc. Ma mère ferme les yeux et sanglote. ’ Magne toi, salope ! Pas la peine de chialer, ça ne fera qu’empirer les choses ! ’ Elle soulève sa jupe avec hésitation et finalement tous peuvent apercevoir le minou bien entretenu de ma mère. Elle pleure à grosses larmes et se demande le mal qu’elle a pu faire pour subir une telle humiliation. ’ C’est bien, ma salope ! et en plus tu sens bon ! ’. Soudain, elle sent la langue pointue du brun titiller son sexe qu’il écarte largement de ses doigts experts. En fait, sa tête et en dessous la jupe mais comme elle est relevée, les autres peuvent admirer l’exploit. Quelque chose se passe à l’intérieur du corps de ma mère. Une chaleur semble l’envahir, une sensation qu’elle croyait éteinte se manifeste peu à peu. La langue est experte et chatouille son clito. Le noir lui a enlevé entièrement sa chemise et ma mère se retrouve poitrine nue, ses gros seins à l’air et à la vue de tous. Elle ne souhaite plus que le brun au bouc s’arrête et commence à onduler du bassin. Sa chatte commence à s’humidifier et cela satisfait le brun au bouc. Le noir soupèse et palpe les grosses loches de maman qui commence à gémir de plaisir. Elle aime beaucoup qu’on lui tripote les seins. Ils sont vraiment gros, fermes et laiteux. Ses tétons pointent dur et le noir commence à les téter tout en les malaxant lentement. Instinctivement, elle lui prend la tête et la plaque le plus possible contre son sein. Son instinct maternel est réveillé et la voilà se faisant téter avidement par l’un de ses ravisseurs. Sa chatte est une véritable fontaine maintenant et elle ne maîtrise plus son corps humide de sueur qui se laisse entraîner dans la luxure. Pourquoi se retenir après tout ? Ses enfants ne sont pas là, son mari pareil. Et de toute façon en ce qui concerne le sexe entre mon père et elle, cela n’a jamais été très fort. D’autant plus qu’elle n’a jamais connu quelqu’un d’autre avant lui. La nuit, elle faisait souvent des rêve consécutifs à ce manque de sexe. Mais des rêves pervers, inavouables ou elle se voyait baisant avec des hommes bien plus jeunes qu’elle. Elle a même rêvé se faire carrément violer et humilier dans des endroits sordides par des dizaines d’hommes. Aujourd’hui, le fantasme rejoint la réalité. Certes, une femme normale serait sérieusement traumatisée par une telle chose, mais pas ma mère et bien au contraire. Elle gémit très fort en ouvrant bien la bouche et excite les mâles. ’ Je vois que t’aime ça ma salope ! eh bien à ton tour de nous faire une petite gâterie ! ’ Ma mère est mise à genoux et les quatre hommes se mettent autour d’elle. Ils baissent leur pantalon exhibant des sexes énormes et turgescents. Le noir la saisit par les cheveux sans état d’âme et la force à lui sucer la queue. C’est la première pipe de ma mère car elle n’a jamais expérimenté autre chose. Elle tente de faire au mieux et pompe la grosse queue d ’ébène. Elle aime soupeser les testicules bien lourds et bien remplis. Le noir gémit de plus en plus fort : ’ Suce, salope de bourgeoise bouffeuse de queue ! ’. Ses gros seins à l’air ballottent honteusement et excitent les autres qui veulent aussi se faire sucer par ma mère. Le noir n’en peut plus et, vaincu par le plaisir procuré par ma mère, lui éjacule dans la bouche de toute ses forces. Elle en avale la moitié et le reste coule sur ses gros seins. Frustré, le noir la gifle en la traitant de ’ pute à gros seins ’ et laisse sa place aux autres. Son visage est recouvert de foutre et son rouge à lèvre se mélange au sperme qui dégouline sur son visage. Les bites s’engouffrent tour à tour dans la bouche goulue de maman mais les gars parviennent à se retenir. Las de ce petit jeu, le brun au bouc décide de la prendre en premier. Il la plaque sur le capot de la Mercedes et lui arrache violemment sa jupe noire puis il la pénètre. Son sexe effectue des va et vient dans celui de ma mère bien mouillé. Elle aime cela et le lui rend bien en poussant des gémissements de plaisirs. Le brun au bouc s’énerve : Elle est vraiment trop salope et il lui faut autre chose de plus humiliant. Il se retire d’elle et la retourne. La voilà plaquée sur l’aile du véhicule. Son corps, complètement nu est cambré. Ses jambes sont écartées et ses grosses loches sont collés contre la vitre de la Mercedes. Il écarte les belles fesses de ma mère et crache sur son trou du cul bien exhibé afin de la préparer. Il se doute qu’elle est vierge de ce trou là. Il plaque la salive, la prend par les hanches et commence à la sodomiser. Il y va lentement car ma mère a mal et il ne souhaite pas abîmer un si jolie lot. Une fois arrivé jusqu’au bout, il commence à effectuer de lents aller retour. De son coté, le gars en survet a remarqué, sur l’aile opposé et à travers la vitre, les gros nichons aplatis contre la vitre et cela l’excite à fond. Il regarde les gros seins se déformer sur la vitre en fonction des mouvements de va et vient. Il rentre à l’intérieur du véhicule, le démarre afin de pouvoir baisser la vitre arrière puis éteint. Les loches de ma mère tombent comme une grappe par la fenêtre du véhicule. Le jeune homme s’excite comme un pourceau sur les seins de maman en train de se faire enculer à l’extérieur. Il les soupèse, les malaxe avec avidité, les suce, les tête comme un bébé assoiffé. Le brun au bouc encule de plus en plus fort ma mère qui accompagne les coups de boutoirs. Elle semble trouver du plaisir à se faire enculer et sucer ses gros seins en même temps. Le brun au bouc n’en peut plus, c’en est trop et il éjacule dans le trou du cul de ma mère qui sent la semence chaude se répandre dans ses entrailles. Il se retire de l’anus dégoulinant de sperme et la donne aux autres. Ils la forcent à s’allonger par terre sur le dos et lui écartent largement les cuisses. Le sol est vraiment sale et la poussière se colle sur le corps de ma mère et se mélange au sperme. Le gars au survêt, sans tenir compte de l’état des lieux, s’allonge sur elle et commence à la pénétrer de toute ses forces. Le corps de maman est secoué par les fougueux coup de reins du jeune. Elle sent la grosse queue pleine de vie farfouiller ses entrailles et elle gémit de bonheur. Les mains du jeune s’active aussi sur ses grosses loches et la chaleur des doigts sur ses tétons lui procure une sensation de bonheur. Elle se sent enfin considérée comme une vraie femme et pas comme une mère de famille bourgeoise. Elle en a assez de jouer la sainte ni touche et de paraître bien aux yeux de tous. La voilà enfin elle même, libre de toute contrainte morale et puritaine. La scène est certes crue mais ma mère est heureuse de se faire baiser comme ça, à poil par des jeunes mâles en rut. L’un des jeunes incite le gars en survet à la retourner. Maman se retrouve donc sur le jeune tandis que l’autre s’agenouille derrière elle. Il la force à se pencher et lui écarte les fesses. La vue du trou du cul plein de foutre l’excite et lui aussi, décide de l’enculer. La queue rentre dans l’anus de ma mère sans problème et il commence à bien la ramoner. Sous l’effet du plaisir, elle ouvre la bouche et le noir en profite pour y enfourner son gros sexe qui a repris de la vigueur. La voilà prise par les trois orifices. Ma mère est formidable. Elle est synchro avec les mouvements de ses partenaires : Elle paraît une de ces actrices pornos que j’admirais depuis toujours. Comment imaginer une seconde que ma propre mère, la bourgeoise puritaine et honorable mère de famille puisse être aussi habile et bandante à ce point. La scène dure quelques minutes jusqu’à ce que tous finissent par se lâcher. Le sperme coule à flot et inonde les trois trous de ma mère. Les gars se relèvent et se refroquent épuisés mais satisfaits. Ma mère quant à elle est toujours par terre, nue, pantelante et ruisselante de transpiration. Elle est jambes écartés et caresse ses énormes seins couverts de foutre mélangé à la poussière et à la sueur tout en gémissant de bonheur. Elle reste là, allongée et bien pleine de foutre pendant une bonne dizaine de minute. Ses ravisseurs contents d’avoir pu baiser une bourgeoise mature et plantureuse, décident néanmoins de la ramener. La Mercedes s’arrête prés de notre résidence et ma mère en sort mal à l’aise. Ils ont continué à la peloter sans interruption tout au long du trajet. Ses gros seins étaient malaxés et des doigts s’introduisaient dans sa chatte humide. Ils lui ont restitué ses affaires sauf ses dessous qu’ils gardent comme trophées et ma mère se retrouve devant chez nous, les seins largement visibles à travers son chemisier diaphane. Le brun au bouc lui lance : ’ On a bien baisé et donc on te fout la paix pour l’instant ! C’est possible que maintenant que l’on sait où tu habites, on repasse te voir. On te préviendra par téléphone et on te dira qu’elle tenue il te faudra mettre ! ’. Ma mère fait semblant de ne pas écouter et regarde à droite et à gauche pour voir si il n’y’ a pas de voisins aux alentours. ’ Une dernière chose ! Evite de dire ça aux flics, ce serait dommage que tes enfants réalisent à quel point leur mère est loin d’être aussi parfaite qu’elle essaie de le montrer ! ’. Ma mère se retourne sans rien dire et part la tête haute, l’air austère vers la résidence. Son corps est maculé de souillure et il lui tarde de se prendre une douche. Le soir, nous dînons comme une famille unie et bien comme il faut. Ma mère est souriante voire radieuse. Impossible de deviner ce qui lui est arrivé dans la journée. Elle joue diablement bien son rôle. Aujourd’hui, elle ne met plus son chemisier transparent et opte pour des tenues plus soft malgré la chaleur. Elle n’a pas changé ses habitudes et part faire ses courses régulièrement...comme si rien ne s’était passé.
Gabrieldutour@aol.com
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