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Le chenil

Chapitre 4

Zoophilie
Il ne fallait pas me le dire deux fois. J’ai tout donné, même mes mains n’en peuvent plus de rougir son cul. Margot a joui par deux fois avant de rendre les armes et que je jouisse dans son fion. Je n’étais pas sorti de son cul que Karine, sur ordre de sa belle Maîtresse, vienne me sucer ma bite avec une ferveur et une gourmandise qui fait plaisir à voir et, mmmh, à ressentir. Sur le sol, totalement épuisée, Margot tente de se lever, en vain. J’attends de jouir dans cette petite bouche savoureuse comme celle de ma Colette pour aider notre nouvelle amie qui nage dans la sciure et les copeaux de bois.
Après avoir joui dans cette délicieuse bouche, je relève Margot. Je l’emmène dans mes bras dans la salle de bain, la dépose dans la baignoire pour longuement la laver.
— Tu sais y faire. Si tu veux, avec ta femme, on pourrait en dresser des chiens et des chiennes, de toutes races et de tout poil.— On verra ça quand tu seras mieux. — Je te parle sérieusement. Corinne ne jure que par vous deux. Isabelle vous adore, je ne parle même pas de Karine. Elle, si elle avait le choix, elle vivrait parmi vos enclos. — Comme Colette alors. — Attends, Corinne m’a envoyé un texto cette nuit. Tiens, mon portable est là, appuie sur OK et après sur 7924. Après, sur messagerie. — La vache, avec des photos qui plus est. Ouais, elle n’a pas détesté à la lire. — Et moi non plus. Les enfoirés, ils m’ont baisée jusqu’au trognon, t’avais raison sur toute la ligne. — Ose me dire que tu n’as pas aimé ?

Je la laisse dans son bain pour rejoindre les autres. Je souris en arrivant sous la tonnelle. Chacune tente de se faire entendre pour raconter son temps passer dans leur enclos. Je prends place entre Karine et ma Colette. Ma belle m’attire tout contre elle, m’embrasse, déjà mes mains se promènent sur ses seins majestueux. Je ne peux m’empêcher de bander quand elle m’embrasse comme ça, c’est si...
Mais là, j’ai juste envie de savoir si elle pourrait me faire une pipe devant nos amies. D’une main sur sa nuque, j’attire tout doucement son visage sur ma braguette. Souple, Colette, maintenant, je le sais, n’attendait qu’un geste fort de ma part. Sa bouche sur ma queue, je me mêle à la discussion. Si Karine regarde, sa langue léchant sa lèvre supérieure, je m’adosse comme il faut, écarte mes bras. Elle s’incline, caresse la tête de Colette, lèche son oreille et vient à son aide pour me faire une sublime fellation à deux bouches. En face de moi, Corinne réussit à se faire entendre, racontant sa première fois. Comme sur son SMS, elle décrit si bien les choses, qu’on a qu’à fermer nos yeux pour voir la scène. Peu vaillante encore, Margot nous rejoint enfin. Elle me regarde, tout sourire en me voyant entre de si bonnes bouches. Près d’Isabelle et Corinne, elle s’assoit péniblement. Elle nous confie avoir présumé de ses forces comme des capacités de nos molosses.
J’avoue que cela nous a fait bien rire. Elle qui se vante de pouvoir tenir plus longtemps que toutes ses amies. En toute fin de journée, un traiteur commandé par Margot et Isabelle débarque avec tout plein de petits plats pas dégueulasses pour un sou.
La fatigue est là, à n’en pas douter. Toutes ces femmes commencent à en donner les signes après deux nouveaux tours dans les enclos. En haut, Colette et Karine ne donnent plus signe de vie, elles doivent certainement dormir. Sous la tonnelle, je propose nos chambres pour prendre du repos avant un éventuel nouveau round le lendemain. Je guide chacune dans les trois autres chambres disponibles. Puis, parmi les enclos, je donne à manger et à boire à ces valeureux baiseurs canins. C’est là que Margot me rejoint, incapable de trouver le sommeil. À moitié nue, elle me pose ses mains sur ma queue qui réagit immédiatement à ces doux attouchements.
— Tu sais, toi et Colette, vous pourriez vous faire des couilles en or.— Tu sais, nous et le fric, ce n’est pas ce qu’on recherche. Bien sûr, il en faut pour vivre, nourrir nos chiens, réparer la maison, les enclos, les cages et les niches mais sinon, on a tout ce qu’il nous faut.— Il vous faudrait quoi en plus ?
— Toi, Corinne, Isabelle et Karine ainsi que nos chiens. Voilà, c’est tout, même tes soumis, c’est déjà de trop. Non, nous ce qu’on aime, c’est baiser tranquillement, quand on en a envie. Pour Colette, c’est de s’enfiler dans un enclos, parmi ses chiens. — Et toi ?— Moi, aimer ma femme, lui faire l’amour, bricoler et de temps en temps, prendre du bon temps en guise de pourboire. Tu vois, rien de bien extraordinaire en somme. — OK, donc tu ne veux pas voir mes soumis débarquer chez vous ?— Sauf si tu en as qui aime les bêtes comme nous les aimons et capable de me faire de l’excellent travail, pas des branleurs.— J’en ai et pas qu’un ou qu’une, plusieurs même. — Alors dans ce cas, c’est voir.

Elle me prit par la main, m’entraîna dans la chambre que nous lui avions mise à disposition. Elle me pousse sur le lit pour mieux me sauter dessus. Si j’avais des fringues, je ne les avais plus. Margot me montre une autre facette de sa personne, l’amante douce et avenante, l’amie sensuelle, lascive. Nous faisons l’amour un long moment avant que Margot ne s’endorme comme les autres. Je la délaisse, pour aller au bureau, faire nos comptes. Ma douce colombe me rejoint, me demande de quoi nous parlions avec Margot, je lui raconte tout. Son sourire me dit que j’ai eu raison de céder à Margot. Sur ce petit banc, je me glisse entre ses cuisses pour lui dévorer toute son intimité, de son clitoris à son anus. Ma langue s’insinue partout où elle peut pénétrer et ma colombe apprécie comme à chaque fois. Plus j’enfonce ma langue, plus ma douce moitié se rapproche de l’orgasme. Je prie même pour qu’il réveille toute la maison et l’ensemble des chiens.
Pour avoir réveillé tout le chenil, Colette s’est montrée très à la hauteur. Son orgasme fut si puissant que je crois même que nos plus proches voisins ont dû nous entendre et ils sont à plus de trois kilomètres. Jamais ma petite femme n’avait joui de cette façon aussi sonore. Et de voir arriver toutes nos amies à moitié réveillées, rien ne pouvait me faire plus plaisir. Sur le petit banc, Colette sourit en essayant de récupérer.
Dans la cuisine, je m’empresse de préparer quelque chose à manger. Une grande casserole pleine d’eau, un peu de sel et voilà des pâtes pour toute l’équipe. Dans une autre, je prépare une sauce tomate comme ma mère me l’avait apprise. Hunk s’assoit près de moi, je connais ce regard, un bout de tomate et le voilà heureux comme un fou. Fucker n’est pas loin, avec sa Maîtresse, Isabelle. L’arrivée de Karine dans la cuisine, tout sourire, n’est pas de trop, je vais avoir besoin d’aide. Je ne peux m’empêcher de fixer mon regard sur sa croupe qui enflamme mes sens. Dans le salon, Colette sert l’apéro sur des airs d’opéra avec Aïda. Dans la cuisine, je m’amuse à allumer Karine qui tente désespérément de mettre la table.
Dans le salon, les discussions vont bon train. Ordre contre ordre, Karine devient chèvre et cela semble beaucoup amuser Isabelle qui vient voir comment se débrouille sa soumise. Isabelle qui vient tout contre moi, admirer la plastique de sa belle compagne.
— Elle te plaît ?— Autant que ma Colette. — Je te comprends. Si tu en as envie, ne te gêne pas pour moi. Après tout, je vous dois bien ça.— Tu ne nous dois rien du tout. Tu sais très bien que vous êtes les bienvenus, comme toutes tes amies. Seulement, plus, on ne pourra pas. Sinon, il nous faudrait faire un tournus, ce qui gâcherait notre plaisir à tous. — Je sais que tu as raison. Toi, pour le moment, il te faut te concentrer sur les travaux de restauration. — T’inquiète, j’ai déjà fait mon programme. Dès lundi, je m’attaque au toit de la maison. Sinon, à la prochaine grosse pluie, on pourra se doucher sous le toit. — J’ai des aides si tu veux. — Il me faudrait trois personnes et une, oui une aide pour Colette avec les chiens. — Karine, ça te plairait de les aider ?— Madame, vous savez très bien que je ne peux rien vous refuser et en plus, si vous me le permettez.— Et comment, ma chérie. Bon, ça c’est réglé, mon petit Alain. — Bon, à table, c’est prêt.

Autour de la table sous la tonnelle, les rires et les commentaires nous donnent le la de la bonne humeur. Cela fait plaisir de voir manger ces femmes, même si mon repas n’a rien à voir avec ce banquet traiteur d’hier. Je crois même que c’est la toute première fois que je fais à manger pour autant de personnes, que des amies en plus, des vraies de vraies. Et ça, ça n’a pas de prix, croyez-moi !
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