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Le chenil

Chapitre 5

Zoophilie
Les jours, les semaines passent, nos amies reviennent très régulièrement pour prendre leur pied dans les enclos. Sur la demande de Margot, Maîtresse Malvina, j’ai construit deux grands enclos avec six cages et niches. Ces enclos sont bien différents des autres, grillages plus hauts, barbelés au sommet et pouvant être électrifiés. La tonnelle est encore agrandie et le toit de la maison est maintenant comme neuf, mais surtout, étanche. Je commence à refaire des niches usées par le temps. En fait, je ne les refais pas, j’en construis de nouvelles, plus spacieuses, plus hautes. Cela étant, sans l’aide de nos amies, Colette et moi serions bien empruntés pour entretenir tout ça.
Dans une petite heure, ma douce moitié, si divinement soumise et moi attendons Maîtresse Malvina. Elle nous a avertis arriver avec quatre de ses clients et une cliente particulièrement excitée à l’idée d’être enfermée avec des chiens deux jours durant. Là, on va voir, je ne crois pas qu’elle ne tiendra le coup. L’expérience m’a appris qu’un humain ne tenait pas plus de cinq ou six heures au milieu de nos nobles baiseurs canins. Et encore, c’est que cette personne jouit d’un entraînement presque quotidien. Enfin, si elle abdique après quelques heures, j’ai déjà prévenu Margot que cette soumise devra nettoyer toute la maison et tous les enclos. Pour les enclos, c’est à la main qu’elle devra enlever les crottes. Si la femme semble si excitée par mon idée, que dire de la Maîtresse qui vit en elle ? Je parle, je parle, mais la voilà qui arrive avec son grand bus.
— Salut ma belle.— Chut, Maîtresse. Alors, tout est prêt ?— Oui Maîtresse, selon vos ordres. — Ne sois pas aussi pompeux avec moi. — Sors moi ces asticots qu’on les mette dans leur enclos. Pour ta femelle, je lui ai réservé celui des copains de Fucker. Ce sont parmi nos plus endurants. Ta femelle ne devrait pas tenir plus de quatre heures avec eux. Et encore, je compte large.— On verra bien, mais pari tenu.— Une nuit rien que toi, Colette et moi.— Si tu ajoutes un chien ou deux, je ne suis pas contre, mon salaud.— OK, on y va comme ça. Cochon qui s’en dédit.
Les soumis de Maîtresse Malvina sont emmenés comme des prisonniers dans les séries américaines, enchaînés les uns aux autres. Devant l’enclos, ils découvrent leur nouvel univers. Avec Margot, on les place dans leur cage respective. Une fois enchaînés à leur niche, nous disposons les gamelles remplies de la même nourriture que pour les chiens, les canins. Puis, en dehors de l’enclos, nous regardons arriver Colette, entièrement nue, traînant derrière elle cette soumise à quatre pattes. Sérieusement, je m’attendais à voir une femme dans les 40 ans et plus. Elle n’a pas la trentaine, un peu boudinée, certes, mais très agréable à regarder. Je montre à Colette l’enclos, celui qui vit grandir Fucker. Je vois ma Colette arborer son sourire magique, presque sadique. Margot accompagne ma douce moitié. Toutes les deux poussent cette femme dans l’enclos et ouvrent les six cages. La pauvre, six chiens parmi les plus endurants que nous ayons, elle va déguster.
Margot, en Maîtresse impérieuse, lui ordonne de se laisser faire dans un premier temps.
— Après, pendant qu’ils se reposeront, s’ils le font, tu les suces tous, salope.
Très vite, les chiens s’en donnent à cœur joie. Le dominant est le premier à posséder cette femme. Près de Margot, je lui demande si elle ne veut pas profiter, elle aussi, de prendre du bon temps. Son sourire radieux fait plaisir à voir. Je la pousse vers un enclos à l’écart de ceux de ses soumis, celui dont les chiens sont encore en rodage. Avec Colette, Margot pénètre dans l’enclos.
— Je veux voir si vous serez plus endurante que cette soumise. Alors éclatez-vous, mes chéries !— Petit vicieux, dans mon donjon, je jure que tu ferais un tabac.— Je n’en doute pas, mais mon donjon, il est ici. Oh, mon beau Hunk, tu veux les rejoindre. Viens mon chien, va retrouver nos femelles.

Hunk à l’intérieur, je regarde un moment ce merveilleux spectacle. Les deux femmes se la jouent complices et c’est encore plus beau.
Après un moment, je retourne travailler. Il me faut terminer un dernier enclos, ce qui fera que nous pourrons accueillir plus de septante chiens en tout avec ce dernier enclos. Déjà les premiers orgasmes se mêlent au hurlement des chiens. J’avoue, je bande comme une bourrique.
Après quelques heures, la soumise est couchée sur le sol. Je dois la tirer dehors de l’enclos. Alors qu’elle tente de se relever, je l’oblige à se mettre à quatre pattes. Je n’ai guère pas besoin de la forcer, elle se montre particulièrement docile. Dans son cul, ma queue va-et-vient au milieu du foutre des chiens. Cette soumise ne tarde pas à laisser s’exprimer un nouvel orgasme. Je passe de son fion à son con et là encore, elle ne tarde pas à jouir et moi avec en m’écroulant sur son dos.
— Ça va, tu récupères ?— Oui Monsieur. Je peux y retourner maintenant. — Oh non, cette fois, je vais te mettre avec les chiens de ta Maîtresse. — Monsieur serait-il plus vicieux que Madame ?— C’est à voir, petite salope. Allez, avance ! Voilà, tu vas tous les sucer et les boire. Ensuite, j’ai un autre travail qui t’attend.
Dans l’enclos, la soumise passe de cage en cage, suçant chacun des soumis de Maîtresse Malvina l’un après l’autre. Puis, elle revient vers la porte de l’enclos, le corps suant de partout en plus de puer le chien mouiller et le foutre. Mais ces odeurs, comme toujours, ont l’art de m’exciter. La belle me laboure mon cul de sa langue. Je l’aime cette soumise quand elle me défonce de sa langue. Je jouis sur son dos, allez savoir pourquoi. Puis, munie d’un simple petit seau, je l’envoie nettoyer à la main tous les enclos de leurs crottes.
— Maintenant, on verra si tu es aussi endurante que ta Maîtresse le prétend.
Dans l’enclos de Margot et ma Colette, les chiens semblent ne plus être en mesure d’assumer leur rôle. Ils sont tous couchés près de leur niche et mes deux gourgandines baisent entre elles comme des malades en se roulant sur le sol, au milieu les crottes.
Très vite, la soumise est violée par les chiens du premier enclos, cela complique sérieusement sa corvée. Je lui ai dit qu’elle ne sortirait pas de là sans que toutes les crottes soient ramassées.
Mes deux salopes adorées sortent enfin de l’enclos. Bandant comme un âne, je me permets de prélever mon pourboire en les enculant, passant de l’une à l’autre pour notre plus grand bonheur.
Après une longue douche, Margot revient me trouver. Harnachée de cuir, un long fouet à la main, elle me prie de la suivre, vers ses soumis. Faut reconnaître que vêtue comme ça, elle donne envie de se laisser fesser. Oui, mais juste un peu, hein, faut pas pousser non plus. Devant l’enclos, tous ses soumis font le beau. Colette nous rejoint, nous apprenant que nous attendons encore de la visite, Isabelle et Karine vont arriver ainsi qu’une certaine Corinne. Miam, je sens un week-end grandiose. Seulement Corinne ne sera pas toute seule à venir. Une de ses amies l’accompagne, comme elle, elle aime se faire mettre par des chiens de temps à autre. Pire que tout, c’est une membre permanente du comité directeur de la SPA nationale. Se la mettre dans la poche nous aiderait beaucoup pour l’entretien du chenil.
Enfin, Margot nous fait une démonstration de dressage de soumise devant nos chiens. Pas tous, il en est qui s’occupe de la soumise. De voir ces hommes obéir aveuglément à cette femme, à se prendre coup de fouet sur coup de fouet en offrant leur corps, c’est juste à peine croyable. En fait, pas autant que de rencontrer une femme dans un bois, baisée par un chien.
— Margot, tes esclaves, tu crois que si on en met un par enclos, ils aimeraient ?— C’est à voir Colette. Je ne crois pas qu’un seul oserait avoir le toupet de refuser. J’en ai fait des bisexuels. Regarde, tu vas comprendre.
Les ordres fusent et les mâles se mettent l’un derrière l’autre en cercle. Un sur le dos, l’autre à quatre pattes, ainsi de suite, ils doivent sucer celui devant lui. Si je ne suis pas attiré par les hommes, en imaginant que cela soit des femmes, je n’ose imaginer mon état. Pire, une femme et un chien renouvelé plusieurs fois dans un grand cercle, là oui, j’adore l’idée.
Un coup de klaxon, c’est Isabelle, Karine et Fucker qui arrivent. J’avoue que je suis un peu surpris en voyant Karine, entièrement dévêtue, menottée, tenue en laisse par Fucker qui lui, est tenu en laisse par Isabelle. Cela donne un charme certain au trio. Près de nous, nous nous embrassons à pleine bouche. Karine s’agenouille devant moi. De sa langue, elle vient me lécher mes chaussures.
— Cette salope m’a demandé de l’enfermer dans un de vos enclos. — Oh mais j’ai mieux. Elle va visiter tous les enclos en compagnie de la soumise de Margot. — Alain, si tu n’étais pas aussi investi dans ce chenil, toi et Colette seriez chez moi.— Tu vois, ma belle, ce chenil, cette femme, c’est tout ce que j’ai et plus, je n’en veux pas. Et puis, il y a vous et ma douce moitié que j’aime plus que tout. Ce qui fait de moi l’homme le plus riche qui soit.
Isabelle regarde où se trouve la soumise et envoie Karine l’aider à soulager ces chiens de leur trop plein de sperme, sans oublier de ramasser leurs crottes. Quant à Fucker, Margot a une lumineuse idée vicieuse. Avec l’accord d’Isabelle, elles vont le mettre dans l’enclos des soumis.
Pendant ce temps, sous notre tonnelle, on se prend un verre. Colette s’assoit sur mes cuisses, je sens son corps encore odorant des chiens. Ma main glisse entre ses cuisses, je sais qu’elle adore quand je la fais jouir devant nos amies. Cela dit, j’en encore cette image, les quatre soumis devant lécher et sucer celui devant lui. Alors, je me lance, j’avance mon idée, un chien et une femme, etc. Colette me regarde, me dévore ma bouche d’un baiser de feu. Même l’arrive de Corinne et de cette membre de la SPA ne la dérange pas. C’est même le contraire, cela décuple ses envies de jouir.
— Alain, je te présente une membre éminente de la SPA, la chienne Suzanne, la pire salope zoophile que je connaisse. Elle est pire que nous toutes réunies. Avec elle, vous pourrez faire de ce chenil un cinq étoiles. — Suzanne, enchantée, j’en termine avec ma femme, si vous cela ne vous dérange pas. — Au contraire. Corinne m’en a déjà bien dit sur vous deux. Nous venons de faire un tour de votre chenil, il me plaît beaucoup, surtout cet enclos pour soumis. Corinne m’a expliqué que vous êtes en train de tout rénover, ça me plaît. Colette, j’ai très bien connu votre père, cela me désole de savoir qu’il ne se souvient de rien.
Colette jouit de mes mains devant cette Suzanne. Je crois qu’elle n’a rien entendu des propos de cette femme. Pendant que ma Colette récupère, j’organise une visite de tout le chenil, pas seulement des enclos.
— Que font ces deux femmes ?— Oh, rien, elles retirent toutes les crottes des enclos. Au passage, les chiens prennent du bon temps avec elles. — Bien, très bien même. J’adore voir cela. Corinne m’a dit que vous nous permettiez de jouir de vos pensionnaires ?— C’est exact, seulement, cela a aussi un prix. Pas une forte somme, non, nous voulons juste que cela couvre les soins et la nourriture de nos animaux. Mais je vous préviens, je prélève mon pourboire quand vous ressortez d’un enclos. En gros, je vous baise à ma convenance. — Cela ne me semble pas très excessif comme tarif. Tu vois, Corinne, ce couple me semble parfait pour ce que nous avons discuté.
Margot nous rejoint, elle avait été voir comment ses soumis se comportaient avec le chien. Alors, cette Suzanne nous explique son idée. Elle voudrait faire une assemblée de comité au milieu des enclos. Bien entendu, il n’est pas question que pendant la réunion, les chiens baisent des humains. L’idée est bonne si elle nous apporte un plus. Margot, écoutant Suzanne, semble la reconnaître, mais ne dit rien. Dans mon atelier, je montre ce que je fais pour le chenil. Contre un mur, les plans du chenil sont affichés. Je donne une longue explication, ce que désirons faire avec ma Colette pour nos chiens, leur donner plus d’espace. Enfin, c’est parmi les enclos que tout ce petit monde me suit. Devant l’enclos des soumis. Suzanne me demande à qui ils sont. Je désigne Maîtresse Malvina. Suzanne explose de bonheur ainsi que Margot. C’est comme si d’appeler Margot par son nom de dominatrice avait réveillé quelque chose chez Suzanne.
Les deux femmes s’enlacent, s’embrassent de longs baisers volcaniques.
— Nous sommes des cousines et, quand nous étions plus jeunes, nous aimions à nous faire plaisir ensemble. — Corinne, je te dois de retrouver ma cousine. On s’était quittée un peu fâchée. De la revoir fait renaître des souvenirs magnifiques.
Et voilà que Corinne a droit à des baisers plus qu’enflammés. Cela étant, nous poursuivons la visite, cette fois avec la douce main de Colette dans la mienne. Devant un enclos, deux femmes ramassent des crottes avec des chiens très avenants qui les baisent à tour de rôle. Les pauvres soumises, elles souffrent plus qu’elles ne prennent de plaisir. Nous décidons, avec Margot de les sortir de cet enclos et de les laisser tranquilles jusqu’à demain où elles reprendront leur labeur. Puis, de retour vers les soumis, Margot explique à sa cousine Suzanne comment elle en est venue à éduquer ces soumis. À commencer par son ex-mari qu’elle désigne du doigt au milieu des trois autres. Suzanne nous fait alors un aveu :
— J’ai aussi un soumis. Tu le connais bien ma chérie, c’est notre cousin Jacques. Cet enfoiré a tenté un jour de me violer, d’où notre petite dispute. Depuis, je me suis vengée sur lui. De fil en aiguille, il est devenu ma chose. Corinne le connaît très bien. Elle adore lui écraser ses couilles et le faire juter dans les w.c. qu’il doit lécher ensuite. Quand elle lui fait ça, je mouille comme une fontaine et avec Corinne, la suite n’est qu’un régal.— Donc, c’est à cause de Jacques que nous nous sommes disputées ?— Eh oui, je m’en veux de n’avoir pas pu tout te dire, ma chérie. — Les amies, voilà qui nous réjouit, Alain et moi. Vu que nous sommes toutes là, qui veut prendre son pied dans l’un des enclos pas encore visités ? Suzanne ?— Je veux bien tenter ma chance avec trois ou quatre de tes molosses, Colette. Si cela ne vous dérange pas, cela va de soi. — Pas le moins du monde. Celui-ci devrait te convenir, ils ne sont pas aussi brutaux que les autres, ils sont jeunes et apprennent encore. — Va pour ces chiens.
Je me rappelle à son bon souvenir pour mon pourboire. Son baiser avec sa main dans mon pantalon me dit qu’elle n’est pas contre. Surtout que je lui précise que cela m’excite de baiser une femme qui vient de se faire baiser de partout par nos chiens. Avec Colette, nous lui retirons lentement ses atours tout en l’émoustillant par nos attouchements. Nue, malgré son âge, elle se porte comme un charme. Ma main sur sa chatte déjà humide me dit qu’elle ne va pas détester. Une fois dans l’enclos, elle se montre vite très entreprenante. Très vite, les chiens l’adoptent et la baise. Corinne nous répète que c’est la pire des salopes avec des chiens. À regarder Suzanne, on n’en doute pas une seconde. Sa bouche, ses mains sont partout et les chiens sautent sur elle pour la baiser et recommencer juste après. Nous nous éloignons un peu. Sans être douchées, les soumises sont toujours près enclos suivant. À genoux, elles attendent les ordres.
— Si vous vous sentez d’attaque, il y a encore six enclos à visiter, dit Margot. — Ma petite Karine, prête à poursuivre ? ajoute Isabelle.— Je crois qu’elles ne pourront pas poursuivre, elles sont bien trop fatiguées et je ne veux pas d’un accident, poursuivais-je.
Les deux dominatrices étaient d’accord avec moi. Seulement, elles ne m’avaient pas payé mon pourboire. C’est près de la tonnelle que je les encule en passant de l’une à l’autre avant de jouir sur les têtes de ces petites dévergondées. Elles tentent de m’achever d’une belle fellation, peine perdue, je ne suis plus en forme.
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