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Le chenil

Chapitre 6

Zoophilie
Colette, qui vient de servir des rafraîchissements, est entre les mains d’Isabelle. Je sais que cette femme en pince pour ma femme. Envoyant les soumises se doucher ensemble, je viens m’asseoir près d’Isabelle. Très vite, nos bouches se soudent. En face de nous, Corinne se masturbe en fantasmant à haute voix. De la douche, deux jolies jeunes femmes viennent s’occuper de Corinne sur la demande, et non de l’ordre, d’Isabelle. Karine ne cesse de me regarder, elle sait que j’en pince autant pour elle que pour ma Colette. Seulement, je ne sais comment faire, ni même comment demander à Isabelle de me céder sa soumise. Je la sais très amoureuse de sa belle secrétaire très particulière. Puis, Margot se joint à nous, son corps embaume le chien et là, cela ne loupe pas, je bande comme une bourrique. Mon pénis bien en érection n’échappe pas à Karine qui se glisse sous la table pour me le prendre de sa délicieuse bouche.
— Alain, j’ai un souci avec elle.— Dis-moi tout.— Elle vous aime. Elle vous aime d’autant plus qu’elle est folle de toi et Colette. — Comme si nous ne l’avions pas remarqué. Tu comptes faire quoi ?— Nous en avons longuement discuté, elle et moi. Je crois qu’il est temps que je me fasse à l’idée qu’elle vous aime plus qu’elle ne m’aime. Cela dit, on ne veut pas se quitter, pas encore. — Et ?— Ben, je...Karine, explique. — Oui Maîtresse. Maître Alain, Maîtresse Colette, je voudrais rester, vous aider, en étant votre soumise. Cela dit, je ne peux me résoudre à quitter Maîtresse Isabelle. Alors...— Je vois, mon chéri, cette demoiselle veut rester avec nous, tout en voyant Isabelle quand elles le souhaitent toutes les deux. — Mais il est où le problème, je n’en vois aucun, personnellement. Karine, tu peux rester, Isabelle, tu peux venir la voir quand tu le désires et puis voilà. Et...ben non, on ne peut pas séparer Isabelle de sa si jolie secrétaire. Isabelle, tu vis dans quoi, un appart ou une bicoque ?— Ben, un appart. — OK, on a quatre chambres ma douce; si on leur donnait une. Isabelle viendrait vivre avec nous sans quitter son si joli petit amour.
Isabelle se lève, me saute au cou. Sa bouche se soude à la mienne et je tombe sur le sol. Aussitôt, Karine se jette dans la mêlée. Et ce n’est que le début, ma douce Colette se joint à nous. Devant nos amies, nous voilà dans une petite partouze, extrêmement improvisée. Peu à peu, excitées, nos amies nous rejoignent. Quand Karine m’offre son corps, comme cette première nuit avec ma tendre moitié, je lui fais la totale même si je ne bande qu’à moitié. Les corps jouissent, parfois ensemble, parfois séparément.
— Mon chéri, je t’aime. J’ai aussi quelque chose à te demander. Cela fait quoi ? Deux ans maintenant, oui, bientôt deux ans. Je porte ce collier de cuir et...— Tu veux que je traite comme Margot traite ses soumis ou comme Isabelle s’occupe de Karine. — Comme Isabelle s’occupe de Karine. — Je t’aime ma chérie. Oui Margot. — Non, rien, t’as tout dit.
Sous la tonnelle, nos amies ont déjà tout prévu. Un minibus arrive, trois jeunes femmes en descendent et déposent des plats devant nous. Je relève Karine, on appelle la soumise de Margot et Suzanne, avec Corinne, qui nous rejoignent, main dans la main. Autant dire que la suite semble s’annoncer chaude, très chaude, pour ne pas dire brûlante. Tiens, comme la cire de cette bougie qu’Isabelle renverse sur le corps offert de Karine. Très vite, ma douce rejoint Karine. Ensemble, elles font l’amour sous les claques amoureuses de mes mains et de celle qui me regarde maintenant autrement, Isabelle.
Quelques mois plus tard, Isabelle débarque chez nous, rejoignant sa si jolie et docile Karine. Dans les faits, afin d’améliorer notre confort, j’ai entrepris, avec les soumis de Margot, d’agrandir la maison. Cela n’a pas été sans mal. La maison de ma douce est ancienne, un peu branlante par endroit. Mais heureusement, parmi les clients de Maîtresse Malvina, il y a un homme, architecte de son état, qui m’a fait les plans pour faire en sorte que la maison ne s’écroule pas. Pas à pas, une ouverture est faite et les travaux ont commencé. Il est vrai que je suis comme un contremaître, je dirige plus que je ne travaille et c’est bien la toute première fois.
A l’étage, je peux entendre trois femmes qui prennent leur pied. Je souris quand je vois que certains soumis de Margot bandent comme des bourriques. Un coup de cravache ici ou là sur ces queues tendues et le travail reprend immédiatement.
Quand Karine m’apporte une boisson rafraîchissante, devant ces soumis, je la couche et la baise. Après avoir éjaculé, je l’entraîne dans un enclos. Je sais que ces quatre chiens, pires que Hunk et Fucker, vont lui en mettre pleins, partout. Mais avant de pénétrer dans cet enclos, la petite Karine se couche sur le sol de tout son long. En rampant sur quelques centimètres, elle vient baiser mes pieds, me les lécher, me les sucer avant de ramper dans l’enclos. Et cela ne tarde pas, comme folle au milieu de ces quatre impénitents baiseurs, Karine est vite submergée de bites canines. Elle suce en se faisant baiser, elle lèche en se faisant enculer. Ces cris attirent ma Colette et Isabelle. A moitié dévêtue, les deux femmes s’en vont s’enfermer dans un même enclos. Là, ce ne sont que six débutants qu’il faut éduquer et non dresser. Oui, ici on éduque, on ne dresse pas.
Mes femmes s’en donnent à cœur joie et c’est si beau que je reviens avec notre dernière acquisition, une caméra de dernière génération. Je filme, m’enfilant même dans l’enclos pour être au plus près de l’action. A quatre pattes, la caméra au ras du sol, l’un des chiens s’en prend à mon cul. Isabelle m’arrache la caméra, Colette guide la bite du chien qui s’enfonce lentement en moi. Dans le feu de l’action, quand le plus jeune des toutous de cet enclos passe devant moi, je l’attrape, branle sa bite, avant de la lui sucer jusqu’à ce qu’il éjacule. Et Isabelle de tout filmer avec Colette, la langue plongée dans le merveilleux cul de notre amie et complice. Quand je jouis, l’un des chiens vient lécher mon foutre, ma bite. Voilà que je bande à nouveau. Colette se glisse sous moi, guide mon chibre tendu en ses entrailles. Je lui clame mon amour éternel et nous baisons pendant que plusieurs chiens font la queue pour m’enculer.
Je suis sorti de là, complètement vidé, en rampant. Devant Karine qui s’accroupit devant mon visage, j’ai juste assez de force pour lécher son sexe et son cul suintant le foutre de chien. Et Isabelle qui nous filme encore et encore. Il faudra que l’accu se vide pour qu’elle cesse, cette vilaine coquine. Cela dit, je ne prélève pas mon dû, mais elles, oui. Cette fois, c’est moi qui paie de ma personne pour m’être fait enculer par je ne sais combien de nos chiens.
Sous la douche avec Karine, celle-ci me déclare vouloir être encore plus chienne que chienne. Et je la crois, car je sais qu’elle adore cela. Sous notre tonnelle, je débarque avec Karine à quatre pattes, en laisse, une queue attachée à sa croupe. Isabelle découvre une nouvelle facette de sa soumise et amour. Devant sa Maîtresse, elle branle son popotin, la queue s’agite en même temps et cela nous excite. Très vite, Isabelle plonge le visage de sa douce entre ses cuisses en se couchant sur le dos, à même le banc de la tonnelle. Du sexe jusqu’au cul, Karine lèche, suce, bois et fait jouir sa Maîtresse. Je pousse Colette sur la bouche de notre amie. Ma belle se soulage dans cette bouche ouverte. Si Isabelle ne l’avait fait, dans ce moment de pure folie, elle boit ce qui coule de ma douce moitié. Et cela continue avec moi pendant que je darde le cul de ma Colette. Isabelle se gave de nos urines.
Si toutes nos amies étaient présentes, je crois qu’Isabelle les aurait très certainement toutes bues.
Les corps fatigués, Colette se glisse dans la peau de Maîtresse Malvina. A coup de martinet, elle envoie les soumis dans leur enclos, les enchaîne à leur niche respective. Puis, dans des gamelles, elle distribue la bouche canine ainsi que de l’eau. C’est tout ce qu’auront ces soumis. A leur sujet, nous ne faisons que suivre les instructions de leur Maîtresse.
En haut, dans la toute première chambre agrandie, trois femmes et un mec tombent à plat sur le grand lit qu’il occupe. Pas la peine de chercher à baiser, on en peut plus tout simplement. Au pied du lit, deux chiens guettent déjà le lever du soleil, ce sont Hunk et Fucker. Eux n’attendent que le matin pour glisser leur gueule entre nos cuisses.
Et cela ne manque pas avec Hunk, sur mes couilles, qui me lèche comme il aime à le faire tous les matins. Et puis Fucker s’active aussi entre les cuisses d’Isabelle. Karine rejoint Hunk pour me tailler une pipe d’enfer. Et Colette, je ne l’oublie pas, j’en serais bien incapable. C’est moi qui la lèche, de son fion à son mignon minou. Dans l’embrasure de la porte, une femme se tient, les mains sur ses hanches. C’est la membre de la SPA, Suzanne, qui débarque en ce jour férié.
— On se donne du bon temps sans moi, dit-elle en riant.
Mais, excitée, elle a tôt fait de se joindre à nous, cette quinquagénaire belle comme un cœur. Et Fucker de se glisser derrière-elle, pour le prendre sans perdre de temps. Dès que ma douce épouse jouit, je baise la bouche de cette membre de la SPA. J’éjacule dans la gueule de Hunk et me lève; direction la cuisine pour préparer le déjeuner. Une idée traverse mon esprit tordu. A poil, je sors, avise un enclos avec ces quatre molosses. Les meilleurs baiseurs du chenil. Ils savent déjà ce que j’attends d’eux. Je leur montre la maison. De là, ils y vont au bruit et à l’odeur. Dès qu’ils arrivent dans la chambre, je suis au courant. Les exclamations de bonheur me parviennent très rapidement.
Devant la machine à café, je bois le premier. Sur la table, je mets tout, pendant qu’en haut, des femmes jouissent de nos chiens. Un klaxon se fait entendre. Je sors pour découvrir l’imposant tout-terrain de Margot, alias Maîtresse Malvina. Devant mon corps dénudé, au lieu de me serrer la main, c’est ma bite qu’elle me branle en douceur en me baisant ma bouche. L’un après l’autre, les chiens de l’enclos retournent à leur place, dans l’enclos. Le dernier semble vouloir du rabe, il peine à revenir ou alors, il y en a une qui en veut encore. Karine est dans la cuisine. Face à Margot, elle tombe à genoux, s’incline et dépose sa bouche sur les cuissardes de cette sublime Maîtresse.
— Et les soumis; comment vont-ils ?— Ils sont dans l’enclos. Sinon, ils me font un excellent boulot. Tu viens me les changer ?— S’ils veulent rester plus longtemps, je ne suis pas contre. Sinon, que font-ils d’autre ?— Le nettoyage des enclos. A ce propos, il n’y en a aucun pour protester quand l’un des chiens veut en enculer un. Tu vas rire, mais ton avocat, il est tellement dans son scénario qu’il nous cueille les crottes avec sa bouche. Parfois, je l’envoie aux toilettes quand Isabelle ou Colette y vont se soulager. Je te laisse imaginer la suite. — Quoi ? Tu veux dire qu’il les lèche ?— Ben oui, et il bande comme un âne. — Ce vieux débris bande ! Non, là, tu me racontes des sornettes. — Ben non, mon amour d’homme dit vrai, ma belle.— Salut, ma Colette, comment vas-tu ?— Merveilleusement bien, tu sais. Bon, on déjeune. Oh, Isabelle va avoir un peu de retard, il y a Rexilton qui la baise encore. Celui-là, il n’est pas question de le vendre ou même de le donner, mon amour. — Mais c’est là ton domaine, ma chérie d’amour.
Ben, après trois ans, on se parle encore comme cela entre ma douce et moi. Bon, ce n’est pas tout, avant de déjeuner, il me faut mettre au travail les soumis de Margot. C’est elle qui s’y colle. Cela dit, elle envoie l’avocat nettoyer tous les enclos, même le leur. Et ce con bande rien qu’à cette idée.
En jupette, à ras les fesses, l’avocat commence sa besogne sous le regard interrogatif de Margot, sa Maîtresse. Elle n’en croit pas ses yeux et décide de libérer sa bite de son carcan de cuir. Il bande deux fois plus et, connaissant Margot, celle-ci n’hésite pas. Elle se couche et l’avocat, en guise de récompense, peut la baiser. Et il se donne avec tendresse sur le corps de sa Maîtresse. Bien entendu, Isabelle débarque avec ma caméra chargée à bloc. Dans la cuisine, je me mets à table, j’ai une faim de loup. Colette s’assoit près de moi, sa tête sur mon épaule. Elle fait signe à Karine de se glisser entre mes jambes. Cette petite coquine en pince toujours plus pour moi et ma Colette. Cela dit, elle ne délaisse surtout pas sa Maîtresse. C’est aussi ce qui nous soude tous les quatre.
Dehors, les chiens sont tous excités en entendant Margot prendre son pied avec l’avocat soumis. Sur son tout-terrain, six soumis en cage se branlent. Isabelle a tôt fait de mettre le holà à cette branlette collective.
Enfin, la journée commence réellement dans le calme. Trois et six, cela fait neuf soumis à gérer. Pour Maîtresse Malvina, c’est une chose aisée que de s’occuper de ses soumis. Pendant que je me remets à l’œuvre dans mon atelier, Margot me dévoile ses secrets pour dominer ces mecs en mal de sensations parfois terriblement douloureuses. Parmi les enclos, il y en a un qui prend son pied, et quel pied ! Il ne cesse de bramer son bonheur. Lui, je crois que s’il continue ici, on ne va plus pouvoir s’en débarrasser et en voyant Colette le mater, la soumission de cet homme semble lui plaire au point de vouloir en faire sa chose. Entre nous, ce n’est, de loin, pas pour me déplaire.
Je viens de terminer une nouvelle niche. Je la destine à cet enclos du fond. C’est là que nous allons mettre dans une sorte de quarantaine, tout nouvel arrivant. Oui, la semaine passée, la police nous a amené un chien mal en point. Cela fait dix ou douze jours qu’on le soigne. Même, notre vétérinaire devient chaque jour plus optimiste en le voyant reprendre de la vigueur et ne plus avoir peur de Colette ou de moi. Cela étant, il n’est pas encore prêt pour baiser ma Colette ou toute autre femme.
Margot nous réserve encore une surprise. De la banquette arrière de son gros véhicule, elle nous sort un couple lié ensemble par une laisse qui court d’un collier à l’autre. Devant nous, elle arrache le bout de tissu qui leur sert de vêtement.
— Voilà mes derniers. Eux, je les ai pris pendant qu’ils voulaient me voler dans mon sex-shop. Il ne m’a fallu que trois heures pour les amadouer et les rendre très dociles. Du coup, je me suis dit qu’un séjour chez vous pour remplacer l’un ou l’autre, ne pouvait que leur faire du bien. Elle, c’est la pute, elle est relativement bonne pour faire le ménage. Par contre, pour te faire à manger, c’est une véritable empoisonneuse, nulle à chier. Lui, c’est la chose, il dit être maçon. A toi de voir mon biquet. — OK, mais n’as-tu pas dit avoir un sex-shop ?— Si, tu ne le savais pas ?— Ben non. Mais dis-moi, aurais-tu quelques catalogues du genre : comment faire pour que Karine et Colette deviennent encore plus chienne, tu vois le genre ? — Mais très certainement. Tiens, regarde ta belle moitié, elle est déjà tout excitée. — Ça te plairait, ma belle ?— Ben, et comment, tu me connais depuis tout ce temps.— Oh que oui; et ce que je vois me fait toujours autant bander, ma belle.— Bon, si je pige bien, une queue avec plug pour ton joli petit cul, ma belle. — Faut tout mettre à double, précise Isabelle en désignant Karine.— OK, mais alors, pas pareil. — Ben oui, normal. Chacune portera une tenue qui lui est propre.— Bon, côté catalogue, j’ en ai et je te les apporte lundi.
Pendant ce temps, du côté des enclos, un avocat soumis et plongé dans son rôle continue à prendre son pied comme jamais. Margot semble ravie, mais Maîtresse Malvina ne semble pas du même avis. Si nous laissons la femme aller le voir, on calme la Maîtresse qui vit en elle.
— Alors, salope de larve, ça te plaît de bouffer ça ?— Ô, Divine Maîtresse, je me sens ici à ma place. — Et toi, Colette, ça te plairait qu’il reste pour te faire tes enclos ?— Et comment ! Tu sais, il me plaît bien ce soumis. Regarde les autres enclos, ils sont propres et les chiens se sont calmés. Et puis, si cela lui plaît, pourquoi le priver de ses plaisirs ?— Ma chérie a raison, ma belle. — Ouais, faut reconnaître que vous n’avez pas tort. Dis, l’avocat, et ton boulot ?— Que ma divine Maîtresse se rassure, pour elle et ses amis, je répondrai toujours présent. Si je peux, ô, ma divine et vénérée Maîtresse, ce que je découvre ici me plaît. Je prends mon pied en étant doublement réduit en esclavage par vous et vos amis pour commencer et puis avec ces chiens qui m’enculent, que je suce. — Bon ben, la messe est dite. Les amis, je vous l’abandonne. Mais au moindre souci, je veux être mise au courant. Cette salope va vite être en manque de quelques douleurs, croyez-moi.— Mais moi...non, tu as raison. Je ne peux te priver de ce plaisir de la punir. — Ma chérie, comme je regrette de connaître depuis si peu de temps. Alain, toi, et ta chérie, vous êtes, sans conteste possible, le couple le plus hors-norme que je connaisse et ça me plaît que de vous avoir pour amis. Bon, le couple est déjà au turbin, je dois vous laisser. La pute et la chose, la nuit, qu’ils soient ensemble et dans la même niche. — OK ma belle; on fera comme tu dis. Une question, tu nous laisses ce couple, c’est top. Pouvons-nous nous en amuser, voire les punir ?— Mais bien entendu. En fait, vous faites comme vous voulez avec eux. Mais ne me les abîmez pas trop quand même.
Après nous avoir longuement embrassées, la mine triste de ne pouvoir rester, elle rentre dans son domaine.
La suite ? C’est à vous de vous l’imaginer. Enfin, si nous avons des nouvelles à vous mettre noir sur blanc...oui, mais non, on préfère que cela continue discrètement, de manière intime, entre nous et nos adorables chiens. Allez, à bientôt !
Fin
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