Mon chéri. Ton absence est pesante. Je me trouve seule à la maison, j’aimerais que tu sois près de moi, sentir ton corps chaud contre le mien. Je m’ennuie de ta voie, de tes caresses quand tu me fais l’amour. Reviens vite.Hier au soir je n’en pouvais plus, je me suis couchée nue à ma place, je touchais le lit à tienne pour satisfaire mon envie de toi. Bien sur tu n’étais pas là. Je mouillais en pensant à nos étreintes passionnées. J’ai du me résoudre à ce que je fais souvent devant toi : je me suis caressée la chatte. J’ai commencé doucement en posant comme tu sais si bien le faire, ma main sur toute ma fente. Mon majeur est entré quelques minutes dans mon trou humide. Il allait et venait, je pensais que c’était ton doigt. J’ai eu un orgasme lentement, mais j’ai joui en pensant à toi. Ensuite j’ai posé mon doigt, l’index, sur le clitoris. Là, j’ai frotté un bon moment avant de partir au 7° ciel, non disons au 6° seulement.Ce matin au réveil j’ai encore pensé à ton absence. Tu me manques trop, revient vite s’il te plaît. Je veux ta langue dans ma bouche, dans mon sexe. Tu sais je te rendrais tout en plus fort encore. Je devais me lever au matin, me laver, toujours nue, j’ai pris une douche. Tu devine ce que j’ai fait sous la douche, j’ai laissé couler l’eau chaude sur tout mon corps, sur mes seins, comme tu aime voir ensuite le jet est venu sur mon ventre. Je me suis accroupie pour que le jet vienne sur mon petit trou. Tu sais que je jouis facilement ainsi. Je l’ai laissé pour jouir encore une fois de mon cul. Ensuite j’ai mis le jet à quelques centimètres de ma chatte. Je me suis régalée de sentir cette eau venir me donner tant de plaisir. J’ai ressenti les spasmes en jouissant. J’avais les yeux fermés pour profiter de cette simili caresse qui me faisait jouir encore. Je te voyais à mes coté : tu me regardais en te masturbant. C’était beau de te voir te donner du plaisir comme j’aime. En allant faire les course, j’ai fais un détour par le magasin de vêtements dont nous avions déjà parlé. J’ai pu acheter à une charmante vendeuse, au sous sol un godemichet. Il est rouge la couleur que tu aimes. Je l’ai essayé en rentrant : il est parfait, je jouis presque mieux qu’avec toi.Tu sais je l’ai sucé après que j’ai joui : j’aime mon jus tu le sais bien. Toi aussi, tu l’aimes quand tu me lèches toute ma fente qui n’attend que toi maintenant.Je l’ai mis par derrière aussi. Là je n’y suis pas habituée, j’ai eu mal, mais tant pis je me le suis mis à fond. J’ai finalement pris un petit orgasme, ce qui m’a étonné pour cette sodomie, ma première.Rentre vite, je vais finir pas faire des bêtises. Ne penses pas que je te trompe avec quelqu’un d’autre. Je me contente seule, comme tu dois faire certainement le soir ou le matin selon tes horaires. C‘est vrai que tes heures sont décalées, dommage, je ne sais même pas quand tu te masturbes. Sinon, nous pourrions décider d‘une heure pour le faire ensemble certainement.Je dis des sottises. Je t‘aime trop c‘est pour ça. Si tu étais à mes cotés, tu me mettrais ta langue bien profond dans la bouche, tu me lécherais les lèvres comme j‘aime.Et encore ta main sur mon corps ouvert. Je pourrai te toucher partout comme tu me dis aimer. Je pourrais même te caresser le cul comme je refuse depuis toujours parce que pour moi un cul est sale. Sache que j’ai envie de ton corps de ta chatte que j’aimerais avoir sur ma bouche en 69.
