Le soleil est haut dans le ciel. Un temps pour un weekend fantastique. C’est alors tout naturellement que lorsque nous prenons, Marc et moi, notre petit déjeuner je dis: -Mon amour, cela te dit une petite balade en campagne tous les deux aujourd’hui ?-Bonne idée, cela me fera penser à autre chose qu’au boulot. -Alors je m’occupe des affaires. Je finis mon petit déjeuner tranquillement et me lève pour le ranger. Alors que je range, je vois le regard insistant de Marc sur moi. Dormir en t-shirt culotte fait en même temps tout pour émoustiller mon homme. Je m’amuse avec lui prenant des poses explicites qui sont loin d’être utiles. C’est qu’après une bonne douche pour me réveiller totalement alors que mon leggin et ma brassière de sport sont posés sur le lit que Marc arrive dans mon dos. Un sourire se dessine sur mon visage alors qu’il se colle à moi. Son entrejambe se presse contre mes fesses, et je remarque que mon petit jeu de séduction a bien marché. Son sexe et dur comme du bois. Il me baise le cou d’une multitude de petits bisous, mais je lui dis : -Pas tout de suite mon bel étalon. J’ai bien envie d’utiliser cette promenade pour…tester des choses…-Entendu ma chérie. Je t’attends dehors. Marc enfile une tenue de sport et sort de la maison. Je reviens à la cuisine, glisse une bouteille d’eau dans un petit sac à dos et je sors à mon tour. Nous avons de la chance de vivre dans une campagne pas trop isolée, nous permettant de profiter de l’air frais sans être à des kilomètres de la première ville. Nous nous mettons alors à courir en direction de la campagne. Mon homme se trouve qu’à quelques pas derrière moi, pour je ne sais plus quelle raison ( Il trouve toujours une bonne excuse.) Mais en vrai je sais qu’il observe mes fesses. Ce qui n’est pas pour me déplaire. J’aime me sentir ainsi désirée. Au détour d’un chemin, nous sommes obligés de faire une halte. Un véritable étalon passe devant nous. -Bonjour, dit la cavalière en souriant, d’une voix peu assurée.-Bonjour. La jeune femme passe devant nous, mon homme ne se prive pas d’observer la cavalière. Mais je suis plutôt focalisée sur le cheval, remarquant son sexe sorti du fourreau. Mais pourquoi donc ? Quand mon interrogation est finie la jeune femme et déjà loin. Après quelques dizaines de minutes de course, Marc et moi faisons une halte près d’un cours d’eau. La rivière nous offre une douce mélodie aux oreilles. Je ferme les yeux pour écouter le son de l’eau, mon homme se glisse derrière moi et chuchote à mon oreille. -Cela te dirait de nous rafraîchir dans cette eau ?
-Pourquoi pas. Je le vois retirer son short et son t-shirt, se dévoilant dans son plus simple appareil. -Et bien, cette rencontre te met en forme, dis-je en souriant.-Désolé, je …. Marc n’a pas le temps de continuer sa phrase que me voilà à genoux face à lui. Ma main saisit son sexe et je le porte à ma bouche. Mon homme soupire d’aise quand je tourne ma langue autour de son sceptre. Avec ma main libre je remonte ma brassière et une douce main se pose sur ma poitrine nue. Marc malaxe mes seins, tire sur les tétons. Je me relève, l’embrasse mélangeant nos salives puis mon corps se cambre naturellement contre l’arbre le plus proche. Je ne dois pas attendre quelques secondes. Sans crier gare, le sexe de Marc s’enfonce brutalement en moi. Je me mords les lèvres, je me fais brutalement baiser (il n’y a pas d’autres mots), mes yeux se ferment, mais l’image qui me vient à l’esprit n’est pas mon homme mais le cheval…Ce qui me trouble. Après un dernier coup de reins, Marc remplit mon antre de son sperme chaud. Il m’embrasse la nuque et se retire de mon sexe, mon homme me retourne face à lui, pince mon clitoris entre deux doigts et frotte son sexe encore dur contre le mien. Le soir, nous faisons sauvagement l’amour. Je lui mordille le cou, les oreilles… Lui tient mes poignets, mes bras levés au-dessus de moi. -Ma chérie, je peux ? Il a porté sa main sur mes fesses et pose son sexe sur mon œillet. Je lui demande d’attendre un peu, badigeonne mon petit trou de lubrifiant et Marc me prend doucement. Me laissant m’habituer à son intrusion. Une fois cela fait, mon homme fait de lentes allées et venues dans mon petit trou. Ses doigts jouent avec mes lèvres intimes et Marc finit par jouir en moi. Repus de cette étrange journée, nous la passons à traîner au lit. Quelques jours plus tard, seule cette fois-ci je me dirige vers l’endroit où nous avons croisé la jeune cavalière. Et comme cela devait probablement être son habitude, la voilà proche de son cheval qui s’abreuve. Je me rapproche d’elle, discrètement. Alors que j’allais annoncer mon arrivée, un événement retient mon intention. La jeune femme tourne la tête autour d’elle sans me voir, déboutonne son pantalon et le baisse ainsi que sa culotte. Elle pose sa main sur la crinière chevaline, puis se fait lécher le fruit intime par la langue de son destrier. Surprise, je fais un pas en arrière, manquant de peu de me faire voir. Une fois la surprise passée, je continue à la regarder. La cavalière s’écarte pour se mettre à côté de son cheval. Je déglutis, vois sa main saisir le sexe de sa monture. Il me parait énorme, ma main se glisse entre les jambes malgré moi. Pour plus de confort je baisse mon leggin à mi-cuisse et commence à me caresser. Le cheval semble apprécier la lente masturbation, deux doigts entrent dans mon sexe. Je suis tellement excitée que malgré moi j’urine, tant pis. Mes yeux se posent sur la cavalière, la voilà sous son destrier. De ses deux mains elle fait un rapide va-et-vient sur ce sexe démesuré. Ma jouissance me prend tel un éclair qui m’aurait traversée de part en part. Quand je reprends mes esprits, la cavalière est à quelques pas en face de moi… Elle m’a vue. Rouge de honte je me rhabille et passe devant elle. -Désolée, ce n’était pas correct de ma part. -Non ne t’inquiète pas… C’est excitant de se faire observer…Mais cela ne te choque pas ?— Eh bien… Dis-je hésitante. Cela m’intrigue.-Je vois, j’ai l’habitude de passer par ici avec Azur, tu peux venir me revoir une autre fois si tu veux…Avec ton mec, si tu en as l’occasion. -Je lui en parlerai.-Au fait, je m’appelle Jade et toi?-Diane. Un joli sourire fend son doux visage. Elle s’approche de moi, embrasse ma joue, la forte odeur chevaline mélangée à son parfum envahit mes narines. " À très bientôt Diane, j’espère." Le soir même, j’en parle à Marc qui m’écoute attentivement. M’avoue qu’il s’est masturbé en pensant à la magnifique cavalière, mais je ne lui en veux pas… Nous prenons alors la décision de la revoir. Je finis par m’endormir les doigts baladeurs de Marc sur ma peau nue…
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