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Chez l'assureur

Chapitre 1

Gay
Je me présente.Moi c’est Brice. Je viens d’avoir 21 ans. Je suis étudiant en école de commerce. Je mesure 170 cm, pour 65 kilos, de corpulence plutôt fine et musclé du haut, avec une cambrure au bas du dos qui me fait un cul bombé. J’ai les cheveux châtains qui tombent sur les épaules et des yeux bleu clair.
C’est les vacances d’été et on est lundi. J’ai passé le permis moto, il y a quelques jours. Je me suis acheté la moto Kawasaki Ninja 300 KRT édition de 2016, la semaine dernière. Presque toutes mes économies y sont passées.
Mon père a appelé l’assurance ce matin, pour dire que je passerai en début d’après-midi pour l’assurer.
9h30.
Comme tous les matins, depuis le début des vacances, je vais courir une heure et j’enchaîne avec deux heures de musculation à la salle.
12h30.
Après ma séance de musculation, direction les douches, qui sont communes pour les hommes. Et il y a toujours du monde en général. Voir des hommes nus ne me gêne pas. Enfin, si, d’une certaine façon. Voir tous ces corps musclés, nus et totalement épilés, m’excite. Je pense que cela doit être normal.
Aujourd’hui, on est trois sous les douches et l’un d’eux, plus âgé que moi, vient me caresser les fesses et les malaxer en me murmurant dans l’oreille :— Tu as un joli petit cul.
Et je ne sais pas pour quelle raison, j’ai trouvé cela agréable et l’ai laissé faire. Sentir ses mains douces et fermes me caresser le cul, m’a excité.
J’étais tellement fasciné par les sensations de ses caresses que je n’avais pas remarqué ma grosse érection, la queue bien droite. Le gland bien décalotté et gonflé. Cela avait l’air de beaucoup les amuser ! Timide, rouge de honte, je suis vite parti m’habiller.
13h00.

Je sors de la salle de sport pour rentrer chez moi. Sur la route, je repense aux caresses du mec. Cela m’amusait beaucoup ! Du coup, je me suis demandé ce qui se serait passé si j’étais resté.
J’arrive chez moi, je mange vite fait et direction le garage.
J’admire ma belle Kawasaki. Je m’imagine au guidon sur les routes des bords de mer. Je m’équipe, j’enfile mon blouson et mes gants. Puis, je la démarre et je pars directement à l’assurance.


14h15.
J’entre chez l’assureur. C’est un homme qui a la cinquantaine, grand avec de larges épaules, les cheveux grisonnants, et les yeux marron.
Il me dit avec un grand sourire : — Bonjour, c’est vous qui venez pour assurer la moto ?
Je lui réponds : — Oui, mon père vous a appelé ce matin. — Parfait, allons voir cette moto. Il faut que je vérifie si elle n’a pas de défaut avant de l’assurer.
Nous sortons, il la regarde sous tous les angles.
— Bon, c’est parfait. Très belle moto. Me dit-il avec le sourire.— Heu, merci. — Bon rentrons et préparons les papiers. Suis-moi jeune homme !
Nous rentrons dans l’agence et nous installons. Il m’explique certaines choses au sujet de l’assurance, et me donne les papiers.
— C’est bon ! Votre moto est assurée, dit-il avec un sourire. Et attention sur la route. — Oui, pas de problème.
Cela faisait un moment que j’étais là. J’avais une envie pressante de pisser. Cela ne pourra pas attendre que je rentre chez moi.
— Excusez-moi, où sont vos toilettes ?
— Suis-moi jeune homme !
Je le suis, il me raconte que lui aussi à mon âge, il avait une moto.
— C’est là. — Merci.
Il continue de parler, je suis curieux de savoir la suite de son histoire.
J’entre dans les toilettes en laissant la porte ouverte, il se met sur le côté. Je défais la ceinture de mon jean régular, ouvre la braguette, je remarque que j’ai oublié de remettre mon boxer à la salle de sport. Je me dis que j’ai dû l’oublier là-bas, sous la pression de tout à l’heure. Puis, mon pantalon tombe à mes genoux.
— Ah merde !
Je pense que l’assureur a dû entendre mon pantalon tombé, avec le bruit du ceinturon au sol.
Je suis cul nu. Pas grave, j’ai trop envie là ! Je pisse. Cela fait du bien ! Je vise bien au milieu, et lui, il continue de me parler.
Sa voix est proche. Je tourne la tête. Il me regarde pisser. Il commence à me caresser les fesses délicatement en me faisant des bisous dans le cou.
Je ne dis rien, je le laisse faire, repensant à ce matin sous les douches. Aussitôt, je sens mon sexe se dresser, le prépuce s’ouvre doucement, et fait apparaître mon gland tout gonflé.L’assureur le remarque, je suis tout rouge.
Il me dit : — Oh ! Mais c’est que j’ai l’air de te faire de l’effet ! Tes fesses sont magnifiques, et ta queue, humm… N’aie pas peur, laisse-toi faire !
Je ne sais plus où me mettre ! J’ai couché avec plein de femmes et c’est toujours moi qui dominais. Mais là, je ne comprends pas ce qui m’arrive. Cet homme à la voix douce et rassurante m’excite. J’ai une envie subite d’être à lui !
Il se colle à moi. Je sens quelque chose de très dur dans son pantalon qui frotte mes fesses. Il sort son sexe et me caresse avec. Il est très dur et chaud dans ma raie. Je suis tout retourné ! Une excitation extrême monte en moi. Mon gland s’humidifie. D’un coup, instinctivement, je me jette sur sa queue. Elle est veineuse, énorme et toute dure. Elle doit bien mesurer 19 x 6 cm.
Et là, je commence par l’attraper avec mes deux mains, puis la lèche de bas en haut. Je suce ce gland énorme et très doux. J’aime beaucoup le sentir sur mes lèvres et dans ma bouche. Je l’aspire ! Puis, la suce avec un va-et-vient, doucement.Je le sens qui respire de plus en plus fort ! Il prend du plaisir ! J’accélère la cadence ! Je suce de plus en plus vite, tout en le branlant. Sa grosse queue me remplit complètement la bouche, j’adore. Cela me fait penser à toutes ces filles qui m’avaient sucé. Je me sens comme une femme et cela m’excite énormément ! Sucer cette bite est merveilleux ! Je n’aurais jamais pensé que je ferais cela un jour, et je ne le regrette pas ! Sa respiration augmente, il va tout lâcher. J’imagine la sensation de son sperme gicler sur ma langue, remplir ma bouche, et son goût. Rien que d’y penser, je suis terriblement excité !
Tout à coup, la sonnerie de l’entrée se fait entendre. Il semblerait que quelqu’un soit dans l’agence.
L’assureur dit :
— Ah merde ! Il y a du monde, reste là. Je reviens.— Oui, je vais t’attendre nu. Je suis tellement excité que je banderai encore à ton retour. Je finirai de te sucer. Je veux goûter ton sperme !— Humm ! Je fais vite.
À suivre…
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