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Chez la coiffeuse

Chapitre 2

Le magasin de chaussures

Lesbienne
La partie de baise à trois avec Chez Elodie la coiffeuse et Myriam la serveuse du café que nous avons prise comme jouet sexuel s’est terminée dans un triple orgasme, et chacune s’est retirée pour un repos bien mérité.
Arrivée à l’appartement, je ne prends pas de douche, je veux garder tous les effluves de nos ébats, En me déshabillant, je ne peux m’empêcher de me caresser, le long de mes jambes, j’adore sentir le crissement de mes bas puis j’arrive à ma chatte. J’avais gardé le string de Myriam qui n’a pas eu le temps de sécher, car j’ai remouillé dedans. J’aime bien tirer sur mes poils de chatte pour ouvrir ma caverne et observer mon clito entre mes lèvres béantes. Ce soir, je suis insatiable, j’ai envie de me branler et au bout de quelques minutes de trituration de ce clito de plaisir, je pars dans un violent orgasme qui me couche sur le lit

Après une bonne nuit de repos "du guerrier !!", nous sommes samedi, je m’offre une grasse matinée jusqu’à 10h.

Pendant mon petit-déjeuner, je ne cesse de penser à cette folle journée d’hier : les caresses de la coiffeuse, le bref passage au magasin de chaussures, la prise de rendez-vous avec Elodie, la rencontre à trois avec Myriam la serveuse – une fieffée salope celle-là pour son âge-. La tension monte en moi à tel point que je me demande si je ne deviens pas nymphomane. Je découvre à quel point j’aime le sexe. Le corps des femmes ne m’a jamais autant fait d’effets. Le déclic s’est fait à la suite des caresses furtives puis appuyées de cette coiffeuse.Je mets dans mon programme de revenir au magasin de chaussures pour voir si la vendeuse d’hier est toujours là. Je m’habille très sexy en mettant en valeur ma poitrine, mes bas et mon porte-jarretelles et pas de culotte. On ne sait jamais ...

Arrivée devant la boutique, un bref regard à travers la vitrine ne me permet pas de voir si ma vendeuse est bien là. J’entre donc, je m’attarde sur le rayon des escarpins tout en balayant du regard les autres rayons en quête de mon éphémère contact d’hier. Elle n’est pas là. Seule une vendeuse à la caisse est occupée avec une cliente. La cliente partie, la vendeuse se dirige vers moi. Belle plante ma foi : 1.80m environ perchée sur des hauts talons, jupe en cuir noir, très courte à mi-cuisses qui dévoile le haut brodé de ses bas à chaque pas avec une opulente poitrine qui dilate son corsage blanc en laissant nettement voir la gorge de séparation de ses seins. Désirable cette personne ! Mais arrêtons là mes pensées, ce n’est pas pour elle que je suis venue.
— Bonjour Madame. Puis-je vous être utile ? — Bonjour, je suis venue hier et j’ai été conseillée par une de vos collègues, une petite dame brune.— Oui, c’était Anne. C’est ma vendeuse préférée. Je suis sa patronne. Elle est de repos aujourd’hui, dites-moi ce qui vous ferait plaisir. Je vois que vous êtes élégante, que recherchez-vous ? — Vous aussi vous êtes élégante et votre tenue vous va à merveille. J’ai très apprécié les conseils de votre vendeuse, je l’ai trouvée très douce, c’est pourquoi je suis revenue. — Je sais qu’elle aime bien les clientes de votre genre.
Cette phrase sonne bizarrement, qui plus est, elle est appuyée d’un regard insistant les yeux dans les yeux. Un regard troublant qu’elle accompagne d’un rapprochement et d’un geste en forme de caresse sur le haut de ma cuisse. Je ne me recule pas et sens monter en moi un désir que je commence à bien connaître. Sans se soucier de l’arrivée éventuelle de clientes, la patronne continue ses caresses en remontant ostensiblement ma jupe jusqu’au haut de mon bas et introduit sa main sous le voile pour mieux me caresser la peau. Insidieusement, la main remonte vers ma chatte que je sens trempée de cyprine, mais le manège est interrompu par le carillon de la porte annonçant l’entrée d’une cliente. L’excitation est stoppée net.
— Bonjour Madame, que puis-je pour vous ? — Je voulais juste savoir quand commençaient les soldes.— Dans quinze jours Madame, mais si vous avez une carte de fidélité, dès la semaine prochaine, nous effectuerons des ventes privées.
— Merci, au revoir Madame.
Il est midi, derrière la cliente, la patronne ferme la porte à clef et descend le rideau. En revenant vers moi, j’observe cette poitrine qui danse à chaque pas, c’est terriblement excitant.
— Vous n’avez rien dit tout à l’heure. Je ne vous ai pas choqué ? — Non Madame, je peux même dire que c’était agréable.— Appelez-moi Anne, ça vous rappellera peut-être votre venue d’hier, vous m’avez dit que l’autre Anne était très douce. Racontez-moi.— Oh ce n’était rien, je l’avais vue en train de refaire l’étalage dans la vitrine, accroupie, elle dévoilait son entrejambes et j’avais remarqué qu’elle n’avait pas de culote. A la vue de mon regard inquisiteur, elle s’est ravisée. Je suis entrée, nous avons fait des essayages et j’ai senti la douceur de ses mains sur mes bas jusque dessous ma jupe. Le contexte ne lui permettait pas d’aller plus loin. A ma sortie du magasin, j’ai fantasmé et aujourd’hui je voulais la revoir. — Si je comprends bien, vous aussi vous aimez les femmes ? — Oui surtout les belles femmes comme vous. Votre tenue, votre poitrine, vos jambes, vous devez beaucoup plaire aussi bien aux femmes qu’aux hommes.
Après mes paroles, Anne s’approche de moi, me saisit la tête par les cheveux et colle sa bouche sur la mienne. Je ne résiste pas, je desserre les dents, nos langues se rencontrent, se lient, se délient, nos lèvres s’écrasent, nous échangeons nos salives avec fougue. Anne me lèche littéralement le visage. Même à ce stade, je suis prise d’une excitation sans borne et je sens couler mon jus le long de mes cuisses. Je n’ai plus de retenue envers cette inconnue. A deux mains, je remonte le peu de cuir de sa jupe en haut de ses cuisses, dévoilant les attaches de son porte-jarretelles. Elle aussi n’a pas de culotte. J’empoigne les deux lobes de son cul et la colle contre moi.
— Viens dans l’arrière-boutique, nous serons plus à l’aise. J’ai envie de toi.
Anne me précède la jupe troussée au-dessus de ses fesses, je me caresse devant le spectacle.L’arrière-boutique est une assez grande pièce qui ne doit pas servir de remise. Elle ressemble plutôt à un vaste boudoir joliment décoré dans les tons de rouge et légèrement éclairé par deux très belles lampes Tiphanie. Au centre de la pièce, une table en marbre au beau milieu de laquelle est posé un imposant godemichet de couleur chair et quelques objets tels que martinet, chaînes avec pinces à seins, bougies, canne anglaise. Au fond de la pièce, une croix de Saint-André fixée au mur est éclairée par un halo de lumière orange. Dans un recoin, je découvre une machine avec une tige surmontée d’un autre gode de couleur noire cette fois. Un portant rassemble diverses tenues : de soubrette avec volants en broderie, de vêtements en latex, de cuissardes, de jupettes en cuir... Tout ceci ressemble étrangement à un de ces donjons qu’on voit dans les vidéos pornos de BDSM. Tout un nouvel univers pour moi.
— Voilà Madame.— Vous pouvez m’appeler Claire, Anne.— Donc, voilà Claire, comment trouvez-vous mon arrière-boutique ? — Je suis impressionnée, je n’ai pas l’habitude d’une telle ambiance, même si j’ai vu quelques vidéos de tels décors sur des sites internet. La réalité est particulièrement bluffante. — Si vous le souhaitez, je vous inviterai un jour à découvrir l’extrême plaisir qu’on peut découvrir avec tous ces objets. Je vous initierai au monde du bondage et du sado-maso mais aujourd’hui, c’est de ton corps Claire dont j’ai envie. Laisse-moi le découvrir. Malheureusement, je dois rouvrir le magasin dans une heure, nous ne pourrons nous offrir qu’un court plaisir. — Non Anne, tu m’as trop excitée et c’est moi qui ai envie de te déshabiller. Je veux tes seins, tes jambes, ton cul et surtout ta chatte. Laisse-toi faire ?
Lentement, je m’approche de ma nouvelle proie et commence à lui caresser les cheveux, la figure, je promène mes mains sur sa poitrine en dégrafant un à un les boutons de son corsage que je fais glisser à terre. Son soutien-gorge à balconnets a du mal à cacher ses tétons bien dressés que je m’empresse de sortir et sucer. Anne commence à gémir. Je dégrafe sa jupe et la fais lentement glisser en caressant ses jambes. Le contact avec ses bas m’excite tellement que je sens un jet de cyprine sortir à nouveau de mes entrailles. Elle aussi mouille abondamment, je vois le jus perler sur son abondante toison brune. Je me baisse pour enfouir ma langue dans sa cavité en lui écartant les jambes. Je rencontre un énorme clito bandé comme une petite bite. C’est merveilleux, j’aspire la protubérance, la titille avec ma langue, mais les soubresauts soudains d’Anne annonciateurs d’un orgasme me font lâcher prise.
— Reprends-moi Claire, c’était si bon, bouffe-moi et pénètre mon con avec tes doigts, plusieurs, la main entière, j’ai l’habitude.
Un véritable ramonage ne tarde pas à déclencher un nouvel orgasme bruyant :
— OUI, OUI je pars, continue, défonce-moi.
L’orage passé, je prends les mains d’Anne et les insinuent dans mon corsage pour qu’elle me masturbe les seins.
— Branle-moi la chatte en même temps, elle est archi trempe, lubrifie bien mon cul, j’ai envie de me baiser avec ton gode sur la table.
Cela dit, je m’approche de l’objet et sans ménagement, je me l’introduis dans le con pour entamer une série de va-et-vient jusqu’à l’orgasme. Annie s’est détachée de moi et m’observe en se caressant.Une pendule sonne 14h.
— Vite Claire, remettons-nous ; il faut que j’ouvre le magasin. Le samedi, les clientes sont désagréables si je n’ouvre pas à l’heure.
Anne se rhabille, je remets de l’ordre dans mes vêtements et nous regagnons le magasin. Il n’y a personne à la porte.
— Alors Madame Claire, êtes-vous satisfaite ? Vous vouliez voir ma vendeuse Anne, vous avez eu Anne, sa patronne. — Oui, je suis vraiment contente d’avoir pu jouir de ce corps que je devinais splendide. Je retiens votre invitation pour une initiation BDSM. Nous nous reverrons.
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