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Chez Tante Isaline

Chapitre 1

Inceste
C’est à l’âge de dix-neuf ans que m’est arrivée cette aventure qui m’a marqué à tout jamais. Bien sûr, j’étais encore puceau, je n’avais jamais flirté avec une fille, j’étais bien trop timide pour faire le premier pas, car je n’avais pas un physique du genre « jeune premier » à faire tomber toutes les filles, jugez par vous-même. Je pesais quatre-vingt-douze kilos pour un mètre soixante et une figure avec de belles joues bien gonflées, un ventre bedonnant pas très attirant pour une jeune demoiselle à la recherche du prince charmant. Ma seule satisfaction dans ce tableau était ma bite, je la trouvais bien proportionnée. En tout cas, je ne manquais pas de me l’astiquer au moins trois à quatre fois par jour, sachant pertinemment que ce serait la seule solution pour moi d’avoir un peu de plaisir.
Je ne rappelle plus pour quelle raison exactement je suis arrivé pour quelques jours chez ma tante Isaline, la sœur de mon père. Mes parents devaient s’absenter du samedi au dimanche suivant et je ne pouvais pas aller avec eux. Comme je faisais des études de mécanique en Bac Pro, je ne devais pas manquer les cours. Je n’avais pas vu ma tante depuis environ cinq ans et le dernier souvenir que j’en avais ne m’avait pas franchement marqué.

Le dimanche soir, me voilà donc arrivé chez cette fameuse tante avec mon vélo et mon sac à dos contenant mes affaires de toilette. Elle vint m’accueillir le sourire aux lèvres. Environ la cinquantaine, un bon mètre soixante-dix, cheveux châtain clair tirant vers le blond, de beaux yeux marron, plutôt rondelette sans être grosse, mais avec une poitrine du genre Dolly Parton. On pouvait dire d’elle que ce n’était pas un canon de beauté, mais elle avait un physique plutôt agréable.

Elle me présenta ma chambre, pas très loin de la sienne, qui avait été celle de son fils avant qu’il ne parte de la maison. Suffisante pour mes quelques jours ici.

En dinant, nous avons parlé de choses et d’autres, de son fils parti étudier à l’étranger, de son mari qui l’avait quittée deux ans auparavant pour partir avec sa secrétaire, en somme que des choses ordinaires et banales. Comme du coup en venant chez elle, j’étais assez loin du lycée, je devais me lever et partir plus tôt, vers vingt-deux heures trente, je décidais donc d’aller me coucher.

Elle me souhaita une bonne nuit, mais elle me dit qu’étant un peu insomniaque, elle préférait rester encore un moment devant la télé avant d’aller elle aussi se coucher. Je fis un petit tour par la salle de bain pour me laver les dents, et un brin de toilette. Il y avait dans un coin un bac à linge sale, curieux, j’ouvris le couvercle et en fouillant un peu, je dégottais une petite culotte noire avec des dentelles. La portant à mon nez, je fus assailli par des effluves enivrants d’un mélange d’odeurs de parfum et de transpiration qui me fit immédiatement bander. De peur d’être surpris, je remis bien vite à sa place ce petit morceau de dentelle parfumé. Vous vous en doutez bien, dès que je fus couché, je me fis une séance d’astiquage en règle. Jamais je n’avais eu la trique autant que ce soir-là.

Le lendemain matin, ma tante déjeuna avec moi. Je pris le temps de la détailler un peu mieux. Elle avait mis un tailleur gris très strict qui mettait bien en valeur son fessier un peu rebondi, un chemisier blanc un peu transparent qui laissait deviner un soutien-gorge blanc également et des collants couleurs chair qui mettaient bien en valeur des jambes assez courtes, mais bien dessinées. Elle portait des escarpins en adéquation avec sa tenue. Étant secrétaire dans une entreprise de transport, elle se devait d’être bien mise pour accueillir la clientèle. Finalement, le tableau n’était pas désagréable du tout à regarder, cette femme possédait même un certain charme.

Chacun parti à ses occupations de la journée. Curieusement, je ne pus m’empêcher de repenser à la petite culotte en dentelle qui m’avait fait tant d’effet. Instantanément, je me remis à bander aussi fort que la veille. La journée fut longue et je mis peu de temps pour rentrer dès les cours terminés.

Isaline était déjà arrivée et s’était changée, elle était maintenant en survêtement, elle m’annonça qu’elle allait faire un peu de footing :— Veux-tu venir avec moi ? Ça te ferait du bien après cette journée de cours.
— Eh non, merci c’est gentil, répondis-je. Tu sais moi et le sport ça fait deux. Je vais réviser mes cours pour demain en attendant ton retour. — Comme tu veux, j’en ai pour une petite heure.

En effet, environ une heure plus tard, elle revint les joues écarlates, toute en sueur.

— Tu peux attendre un tout petit moment avant de dîner, je vais prendre une douche, je sens mauvais, c’est épouvantable.

Elle courut à l’étage prendre sa douche, elle laissa dans son sillage une odeur tenace de sueur et de parfum, le même que celui de la petite culotte d’hier, qui me fit encore une fois le même effet en me provoquant une érection phénoménale.

En me dirigeant vers l’étage, je ne pus m’empêcher d’approcher de la porte de la salle de bain qui était malheureusement fermée. Des bruits d’eau qui coulait me parvenaient aux oreilles, je crus même entendre quelques petits gémissements, mais j’étais tellement excité que mon imagination me jouait sûrement des tours. Je n’essayais pas d’ouvrir la porte, j’avais encore une fois trop la trouille de me faire surprendre et je pris la direction de ma chambre pour travailler.

Quelques minutes plus tard, on frappa à ma porte, c’était ma tante. Elle s’était changée de tenue, elle avait revêtu une petite robe descendant mi-jambe et un tee-shirt qui dessinait parfaitement sa belle poitrine. Elle s’était parfumée et paraissait très détendue.

— Tu as terminé ton travail ? Si tu es prêt, on peut aller dîner, j’ai préparé une pizza pour ce soir, ça te va ? Me demanda-t-elle. — C’est parfait pour moi, j’arrive tout de suite.

Comme la veille, nous parlâmes de plein de choses, la famille, son travail, le lycée. Elle était finalement de bonne compagnie et savait être une oreille attentive. Arriva vingt-deux heures, je pris le chemin de ma chambre sans manquer de faire une halte dans la salle de bain. Après un rapide lavage de dents, j’entrepris une fouille en règle du panier à linge. Et là, merveille, je trouve une petite culotte blanche, mais avec l’entrejambe un peu marron et tout humide. Je fourre mon nez dedans, l’extase !!!
C’était encore meilleur que la veille, elle avait certainement couru avec et c’était un enchantement de respirer ces effluves puissants et odorants. Un mélange de transpiration et d’odeur d’urine encore humide. J’aurais pu rester le nez dedans une éternité quand soudain on tenta d’ouvrir la porte. Heureusement que j’avais eu le réflexe de la fermer à clé. Avec précipitation, je remis la culotte dans le fond du panier et je fis couler l’eau dans l’évier pour donner le change.

— Ah, tu n’as pas fini, excuse-moi, je voulais mettre le linge à tourner dans la machine. Pas grave, je reviendrai tout à l’heure.

Ouf, il s’en était fallu d’un cheveu que je sois pris sur le fait. Je suis parti me coucher, mais je ne pus m’endormir qu’après une bonne séance de branlette.

Ce fut le bruit de l’aspirateur qui me réveilla de bonne heure le lendemain. Après m’être habillé, je descendis prendre mon petit-déjeuner, ma tante avait tout préparé sur la table de cuisine, elle était en jogging et s’activait en tous sens. Sa silhouette était assez massive, mais elle se déplaçait malgré tout en souplesse tout en tortillant un peu des fesses. Elle était vraiment au naturel, sans maquillage, ce qui laissait apparaître quelques petites rides en-dessous des yeux. Me voyant arriver, elle s’exclama :

— Oh mince, c’est vrai, tu dormais encore, excuse-moi, mais c’est mon jour de repos et j’en profite toujours pour faire le ménage à fond. Désolée de t’avoir réveillé. — T’inquiète, c’est pas grave, de toute façon, il était l’heure que je me lève.

Nous primes un petit-déjeuner rapide, et j’enfourchai mon vélo pour aller au lycée. La journée passa rapidement, non sans avoir eu quelques pensées érotiques que me provoquaient inconsciemment les petites culottes de ma tante. Le dîner en tête en tête avec ma tantine fut des plus agréables. Elle avait eu le temps de préparer un petit repas festif.

— Il y a bien longtemps que je n’ai pas pris un apéritif, veux-tu en prendre un avec moi ? proposa-t-elle. — Si tu veux, mais quelque chose de léger, je n’ai pas l’habitude de boire de l’alcool.
— Eh bien un petit Porto, ce n’est pas trop fort.

Après avoir dégusté notre apéritif, elle apporta sur la table une superbe entrée de fruits de mer.

— Avec ce plat, il nous faut un peu de vin blanc, j’en ai mis au frais. Ça me fait plaisir d’avoir un peu de compagnies, je suis tout le temps seule.

N’osant pas refuser, je pris un verre de vin blanc qui me chauffa un peu les oreilles. La suite du repas fut divine, une bonne viande arrosée d’un petit verre de vin rouge. Ma tante semblait heureuse de ma compagnie. L’alcool aidant, elle me raconta un peu ses habitudes prises depuis le départ de son mari ainsi que celui de son fils. Une vie solitaire, ponctuée de quelques amourettes sans lendemain.

— Et toi, dis-moi. Comment ça se passe avec les filles ? Une petite amie en ce moment ? — Eh ... Non. En fait, je suis trop timide pour oser m’avancer vers les filles. — Tu vas bien finir par trouver, tu n’as jamais eu de petite copine ? — Non jamais. — Excuse-moi, je suis maladroite de te mettre dans l’embarras, c’est le vin qui m’a grisée un peu, je n’ai plus l’habitude d’en boire.

Le silence s’installa entre nous, elle paraissait vraiment contrite d’avoir embarqué la discussion sur ce sujet. Le repas se termina en discutant de banalités, après l’avoir aidée à faire la vaisselle, elle me dit :

— Excuse-moi, mais ce soir, j’ai un petit coup de mou, je vais aller me coucher, à demain.

Passant près de moi, elle déposa sur ma joue un petit baiser rapide. Elle ne me semblait pas dans son état normal. Je pris le chemin de ma chambre quelques minutes plus tard. En passant devant la sienne, je vis que la porte n’était pas fermée entièrement. J’en profitai pour laisser traîner un œil. Elle était allongée sur le côté, couchée en chien de fusil, sa croupe tournée vers moi. Elle portait un petit déshabillé en satin qui dévoilait une partie de ses cuisses charnues, je devinais sa petite culotte sous la fine étoffe. Je ne pus m’empêcher de prendre à pleine main ma bite qui commençait à gonfler. Poussant un peu la porte, je fis quelques pas vers le lit tout en me masturbant doucement. Elle bougea à ce moment-là et commença à se tourner. Lâchant mon engin, je pris rapidement la direction de ma chambre avant d’être pris en flagrant délit.

Sitôt couché, je repris mon astiquage, en fermant les yeux, je revoyais cette croupe et les belles cuisses au travers de l’étoffe, je m’imaginais monter dans son lit et lui faire l’amour comme une bête. Soudain, une main se plaça sur la mienne. En sursautant, j’ouvris grand les yeux et dans la pénombre, je découvris le visage de ma tante penchée au-dessus de moi.

— Alors petit coquin, c’est comme ça que tu dors ? Je m’en doutais un peu, vois-tu. Quand j’ai changé tes draps hier, il y avait de belles taches un peu bizarres. En plus, j’étais étonnée de voir que mes dessous changeaient de place dans le bac à linge sale.

Tout penaud, je restais immobile ne sachant que répondre, la main sur ma bite avec la main de ma tante par-dessus. Elle s’assit près de moi sur le bord du lit. Elle ne semblait pas fâchée après moi. Je finis par articuler péniblement :
— Je m’excuse, je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris de faire ça. — Tu n’as pas à t’excuser, tu es un jeune homme en pleine forme avec des pulsions tout à fait normales, tous les hommes font ça. Allez enlève ta main, laisse-toi faire.

Elle retira ma main, mais la sienne prit la place avec douceur. Elle commença un lent va-et-vient sur ma queue tendue. Que c’était bon, bien meilleur que quand c’était moi ! Elle savait s’y prendre, frottant par moments le gland avec son ongle. Elle s’était installée tout contre moi, je sentais la douce chaleur de son corps m’envahir et je fermai les yeux. Elle plaça ma tête tout contre sa poitrine comme une maman câlinant son enfant. Sa main pressait et relâchait la pression tout en tournant autour de mon mat. Je n’allais pas tarder à éjaculer, elle dut s’en rendre compte, car elle accéléra ses va-et-vient, mon corps se tendit et d’un coup, plusieurs jets de sperme s’étalèrent sur mon ventre. Je n’avais jamais joui d’une telle force. Ma tante fit sortir de mon membre les dernières gouttes en le comprimant et elle étala les longues traînées de foutre tout le long de mon ventre.

— Tu vas pouvoir aller te laver un peu mon petit cochon, sinon mes draps vont encore tout prendre, dit-elle en riant franchement. J’espère que tu vas pouvoir t’endormir maintenant et à demain.
Avant de partir, elle me donna un petit baiser sur la bouche puis elle partit se coucher. Après un sérieux lavage, je m’endormis comme une masse, épuisé par ce délicieux moment. (La suite à venir).
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